Message : # 53262Message
darkbaron
06 mai 2016, 15:22
Bien, après, disons que fatalement, les étiquettes gay, trans, bi ou autres ne suffisent pas... Pour ça que LGBT actuellement n'est plus tellement utilisé dans le milieu. On a au minimum LGBTQ (queer pour le Q, comme vous vous doutez) et c'est la version la plus courte. On peut ne pas être trans, mais être gender-fluid par exemple, et c'est aussi le milieu qui est le plus ouvert à l'accueil des asexuels car, ouais, l'asexualité est une forme de sexualité alternative, même si elle est techniquement définie par l'absence de sexualité propre. Et ça se comprend : c'est une minorité qui doit assumer de ne pas être attiré pour la chose, ce que la société peut voir comme une tare.
Et j'ai oublie l'angle "maladie mentale" car toutes ces personnes citées (pas les LGBT, ceux que j'évoquais au-dessus en général) - respectables, malgré tout - souffrent souvent d'un trouble mental (ce qui peut expliquer d'autres de leurs traits), la bipolarité étant généralement assez présente, mais on a aussi les crises d'angoisse ou le trouble de la personnalité borderline. ça pousse à voir le monde différemment, fatalement...