Fortuna Imperatrix Mundi

Joyeuses Pâques (hier & aujourd'hui ^^)

Pour ma part le magnifique temps de pluie me convient : Nel' m'a amicalement rappelé hier qu'il fallait que je boucle un boulot d'écriture pour le week-end au plus tard. Écrire par temps de pluie est bien plus agréable... du coup, je veux bien prendre la semaine de précipitations, ce sera bon pour ma productivité


(Sinon, je prends aussi les posts de RP qui avancent un peu l'action, ça me fait une récréation ! )

Hey hey ! C'est l'anniversaire de notre mignonne Nail' !

Plein de choux à la crème, vanille fondante, chocolat délicatement croquant, fruits parfumés et mousses onctueuses aux mille saveurs !


Bises !

Joyeux anniversaire Nail', elfe aux pommes et paysan farci

\o/ Merci <3

notre mignonne Nail'

<3

Bon anniversaire, mais je connais quelqu'un qui le dira mieux que moi : https://youtu.be/YHlZN-Iy9F8

Mouaha !

C'est toujours bizarre de jouer le jeu des pronoms avec des gens du milieu queer, mais en fait, on s'y fait assez vite... Il suffit d'un peu d'ouverture d'esprit.
En tout cas, disons-le, les toxicos, les anarchistes, les végans et les queers sont de loin la meilleure compagnie dont on puisse rêver.

Où sont les geeks de bonne compagnie dans ta liste ? ^^

Oh, mais on peut être végan, toxico, queer et geek ! ça a parlé jeux de plateau, Doctor Who, Game of Thrones et Babylon 5...

Alors je connaissais pas le terme queer (étant issu d'un milieu bassement normalisé sur le proto-modèle hétéropatriarchal), mais c'est quand même pas mal gratiné.

Bien, après, disons que fatalement, les étiquettes gay, trans, bi ou autres ne suffisent pas... Pour ça que LGBT actuellement n'est plus tellement utilisé dans le milieu. On a au minimum LGBTQ (queer pour le Q, comme vous vous doutez) et c'est la version la plus courte. On peut ne pas être trans, mais être gender-fluid par exemple, et c'est aussi le milieu qui est le plus ouvert à l'accueil des asexuels car, ouais, l'asexualité est une forme de sexualité alternative, même si elle est techniquement définie par l'absence de sexualité propre. Et ça se comprend : c'est une minorité qui doit assumer de ne pas être attiré pour la chose, ce que la société peut voir comme une tare.

Et j'ai oublie l'angle "maladie mentale" car toutes ces personnes citées (pas les LGBT, ceux que j'évoquais au-dessus en général) - respectables, malgré tout - souffrent souvent d'un trouble mental (ce qui peut expliquer d'autres de leurs traits), la bipolarité étant généralement assez présente, mais on a aussi les crises d'angoisse ou le trouble de la personnalité borderline. ça pousse à voir le monde différemment, fatalement...