OdE (Iris) - Eozen Gerwan
-
- Vétéran
- Messages : 869
- Inscription : 02 mai 2011, 01:48
OdE (Iris) - Eozen Gerwan
Nom : Eozen Gerwan
Age : 19 ans
Sexe : Masculin
Peuple : Tri-kazélien
Métier : Chevalier
Voies :
• Combativité : 5
• Empathie : 4
• Créativité : 2
• Raison : 3
• Idéal : 1
Compétences :
• Combat au Contact 5
• Érudition 2
• Milieu Naturel 3
• Mystères Demorthèn 3
• Perception 1
• Prouesses 3
• Relation 2
• Voyage 5
Avantages :
• Magnifique (45pts)
• Magnétique (45pts)
• Art de combat – cavalerie (20pts)
Désavantages :
• Ennemi – Frère Caedrig ap Caernaferon, sigire du Temple (30pts)
• Effet Kryptonite : Malus de -3 en présence de nimheil, certaines reliques, les morcaìls, les occultistes… (30pts)
Traits de caractère (qualité et défaut) :
Intuitif : Sans savoir pourquoi, Eozen sent les choses, les gens. Ce n’est pas un pouvoir magique, mais cela déjà sorti de situations délicates. Mais peut-être est-ce simplement dû à son apparence étrange et son charisme sans égal…
Immoral : Eozen ne se sent pas lié au bien ou au mal, malgré son éducation de chevalier ; ces valeurs lui sont totalement abstraites. Il n’agit donc pas en conséquence, et cela peut paraître très dérangeant pour les autres…
Expression des travers (pour les scores majeurs) :
Passion : Eozen doit savoir d’où il vient, pourquoi on l’a abandonné dès sa naissance. Pour cela, il sera prêt à prendre tous les risques, parfois même trop de risques.
Influence : Eozen ne se sent pas de ce monde ; toutefois, il a été élevé parmi les humains, dans la pauvreté, et n'est pas étranger aux réalités de Tri-Kazel. Il lui arrive parfois d'être submergé par les émotions fortes autour de lui, s'en imprégner et agir à cause d'elles au détriment des siennes propres.
Revers : /
Santé mentale :
• Résistance mentale : 6
• Orientation : instinctive (Conscience 4 - Instinct 7)
• Trauma : 3
• Désordre : Mysticisme
Combat :
• Attaque au contact : 10
• Attaque à distance : 5
• Défense : 12
• Rapidité : 9
• Potentiel : 3
• Art de combat : Cavalerie
Santé : 19
Vigueur : 10
Points de survie : 3
Équipement :
Chemise de lin, Tunique de laine, Braies de lin, Cape en laine, Bottes de cavalier, Ceinture de cuir
Épée longue
Dague
Bouclier rond
Cotte de cuir
Besace avec : Bol, assiettes, couverts en bois, duvet
Outre en peau
Cheval avec selle et étriers
140 DdB
Histoire :
Eozen Gerwan est le fils du seigneur Erwann Gerwan, Barronet du village de Trehonteg, au nord du duché de Salann-Tir, et de Goulvena Gerwan, sa femme. Noble, il était donc destiné à être chevalier, comme son père, pour prendre sa suite.
Néanmoins, rapidement des rumeurs ont couru à travers tout le village : Eozen n’est pas le fils naturel du seigneur ; il suffit des les comparer pour s’en rendre compte. De là, la superstition paysanne a fait le reste, s’approchant étrangement très près de la réalité : selon les villageois, c’est le fils d’un C’maogh (voire d’un Feond) et d’une demorthèn décriée comme morcaìl par la plupart de ses confrères. Pour la mère, c’est exact, mais pour le père, cela reste un mystère. Quand au pourquoi il fut adopté... malgré tous leurs efforts, Erwan et Goulvena n'ont pas réussi à avoir d'enfants, et ils commençaient déjà à devenir âgés, désespérant d'avoir d'autres fils qu'adoptés.
Ces rumeurs ont toujours mis mal à l’aise le père comme le fils, et ont empoisonné leurs rapports et détruit une grande partie de l’autorité parentale. Néanmoins, au début, tout se passait bien. Eozen était trop jeune pour comprendre ce que cela voulait dire tout ce bruit autour de lui, malgré la sensation qui commençait à l’habiter. Dès qu’il en eut l’âge, il prit une épée de bois et s’entraîna contre un ami de son père qui avait le rôle de maître d’armes. Avec quelques apprentissages en lecture et en écriture, et beaucoup de cheval, ce furent les seuls cours suivis par Eozen, et peu.
Encore jeune, cet environnement fermé, guindé, embêta le garçon plus qu’autre chose, et il profita de sa petite taille et de son agilité relative – et surtout de l’absence de vrais gardes – pour filer parfois toute la journée, aller dans la forêt qui s’étendait derrière la motte castrale, autour d’un lac encaissé où nul souffle de vent ne pénétrait : le Val Perdu, lieu de mythes et de légendes à Trehonteg ; sans le savoir, il rejoignait les lieux de ses premiers jours, là où sa mère biologique le mit au jour.
Cela fait que même s’il est bon cavalier, il est très peu lettré, et moins bon que ce qu’on pouvait s’attendre à l’épée ; plus le temps passait, plus il délaissait ses apprentissages pour rejoindre le seul lieu où il se sentait… chez lui, et se promener seul, en apprendre les moindres coins et recoins, les moindres détours. Il gagna donc en agilité, apprit à grimper plus aisément, et sa musculature se sculpta.
Son père se désespérait de ces actions indignes de son fils, qui délaissait apprentissage et valeurs pour de simples promenades en forêt. Heureusement, ce fut le temps du service d’ost, et Erwann Gerwan espérait que son rejeton y apprenne tout ce qui lui manquait, c'est-à-dire pas mal de choses ! Mais, dans les faits, Eozen fut davantage une source de conflits au sein de sa petite garnison, car il s’était rapidement mis à agir comme un chef, poussé par ses camarades, alors que la hiérarchie tenait à sa préséance par rapport à un novice ! Au final, une année ressentie comme gâchée par Eozen, sans aucune action, juste des prises de bec de plus en plus fréquentes avec ses supérieurs, parfois avec les autres jeunes en service d’ost.
Puis ce fut le retour chez lui, désormais pleinement vu comme un adulte. Son père l’adouba, lui remit une épée et un cheval, nommé Ankou, un superbe étalon noir âgé – à l’époque – de cinq ans, soit un jeune adulte lui aussi. Mais le service d’ost ne remplit pas le rôle recherché par le barronet ; Eozen n’était pas plus occupé qu’auparavant, et ce cheval avec le même caractère que son maître ne faisait qu’augmenter le rayon de ses pérégrinations, permettant même parfois de partir dans la forêt sur plusieurs jours, au-delà des risques.
C’est au cours de ces voyages lointains que le chevalier connut la première rencontre qui changea réellement sa vie : celle avec un C’maogh. Enfin, ce n’était pas exactement une rencontre. Plus exactement, c’était la communion avec un endroit, une sensation de plénitude, de compréhension, autour d’une petite fontaine maçonnée mystérieuse.
On peut dire que c’est à ce moment-là qu’Eozen prit réellement conscience de ce qu’il était, une créature à la limite du surnaturel, quelque chose d’unique – non, quelqu’un. Lorsqu’il retourna à Trehonteg, il prévint son père adoptif qu’il comptait partir, trouver qui il était exactement, retrouver son père biologique puis revenir ici pour prendre la place qui lui était destinée, quelle qu’elle soit.
La discussion fut orageuse, et tourna presque aussitôt à la dispute. Le jeune chevalier prit juste le temps de récupérer un peu d’argent, des vivres, reprendre sa besace, et il claqua la porte de la motte castrale – et, jusqu’à l’heure actuelle, il n’y a pas remis les pieds.
Depuis quatre années maintenant, il erre sur les routes de Taol-Kaer, passant de préférence parmi les forêts. A Fearìl, il a rencontré un sigire avec qui il parla un instant, cherchant une solution dans le Temple, dans leur vision des choses ; il ne la trouva pas, mais depuis, comme il a raconté son histoire et les rumeurs le concernant au sigire, ce dernier est convaincu de l’aberration de l’existence d’Eozen et a décidé de le traquer, le retrouver et le tuer.
A Melwan, il a aidé un groupe de marchands à se défaire de brigands, gagnant ainsi le remerciement de chevaliers-ronces, souvenir qu'il chérit, même si cela ne l'incite toujours pas à entrer dans un ordre ; il s'en sent trop loin. Eozen a pensé aller aider à Caiginn, mais l'hiver l'en a empêché, ainsi qu'un peu de crainte, il fallait l'avouer.
C’est ainsi qu’Eozen Gerwan, simple chevalier errant, s’est retrouvé à Helefrt, en cherchant sa voie et son père…
Description physique :
Eozen Gerwan est un homme jeune, d’un peu moins de vingt ans. Sa grande taille montrerait une lointaine origine Osag, pour ceux qui ne connaissent pas les légendes de ses origines, mais il reste très mince, presque émacié.
Il est vêtu d’une longue tunique de laine violette délavée avec des motifs celtiques au bas des manches, fendue sur les côtés sur une chemise de lin grise. La seule armure qu’il porte est constituée de brassards de cuir avec des motifs celtiques également. Il porte des braies noires et des bottes de cavalier de cuir marron foncé. Enfin, par-dessus le tout, une cape violette et maintenue à l’épaule par une fibule sans fioritures. Une ceinture de cuir simple à la taille retient une épée longue au fourreau, au pommeau et à la garde ornementés, seuls signe d’une dépense d’argent dans son équipement. Son bouclier rond est noir, avec une hermine en motifs celtiques blancs autour de l’umbo, prenant au final l’ensemble de la surface disponible.
Il a un visage sublime, aux pommettes hautes, la bouche mince au sourire facile, des yeux à l’iris d’un gris presque blanc entouré d’une ligne noire, un nez bien dessiné, et un front haut surmonté de cheveux châtains coupés courts, ébouriffés.
Sur sa peau couleur ivoire, aux muscles sculptés, ciselés, court une hermine noire, tatouée sur l’épaule gauche. Les motifs, pareils à ceux de son bouclier, remontent sur l’épaule, sur le sein gauche et descendent sur la gauche de son dos, le long du flanc.
Son regard, sa peau d’une couleur très peu commune, ses traits presque parfaits, le rendent d’une beauté et d’un charisme presque sans égaux, attirant, voire intimidant, le rendant pratiquement d’un autre monde.
Description mentale :
Eozen Gerwan est un homme incertain. Il ne se sent pas totalement de ce monde, ne se reconnait pas parmi les Tri-kazéliens, ni dans aucune religion, bien qu’il soit proche, de par son éducation, des mystères demorthèns.
Malgré son adoption et le fait qu’il soit élevé par le barronet de Trehonteg, tout petit village du nord du duché de Salann-Tir, jamais le jeune homme ne s’est senti à l’aise parmi les siens, et les rumeurs qui ont très vite couru sur lui n’aidaient en rien. En fait, Eozen ne se sent vraiment à l’aise que dans les forêts, au bord des lacs, en voyage, solitaire.
Il n’est pas pour autant misanthrope : le jeune chevalier a le sourire facile, parle aisément et bien, sait – et aime – mener les hommes et les femmes, les organiser. Il peut même presque parfois paraître social, conscient qu’avec ses atouts, sa place est celle d’un chef. Mais il y a toujours, au fond de lui, un malaise, le sentiment de ne pas être à sa place.
Edité avec les 23 pex, reste 3px.
Age : 19 ans
Sexe : Masculin
Peuple : Tri-kazélien
Métier : Chevalier
Voies :
• Combativité : 5
• Empathie : 4
• Créativité : 2
• Raison : 3
• Idéal : 1
Compétences :
• Combat au Contact 5
• Érudition 2
• Milieu Naturel 3
• Mystères Demorthèn 3
• Perception 1
• Prouesses 3
• Relation 2
• Voyage 5
Avantages :
• Magnifique (45pts)
• Magnétique (45pts)
• Art de combat – cavalerie (20pts)
Désavantages :
• Ennemi – Frère Caedrig ap Caernaferon, sigire du Temple (30pts)
• Effet Kryptonite : Malus de -3 en présence de nimheil, certaines reliques, les morcaìls, les occultistes… (30pts)
Traits de caractère (qualité et défaut) :
Intuitif : Sans savoir pourquoi, Eozen sent les choses, les gens. Ce n’est pas un pouvoir magique, mais cela déjà sorti de situations délicates. Mais peut-être est-ce simplement dû à son apparence étrange et son charisme sans égal…
Immoral : Eozen ne se sent pas lié au bien ou au mal, malgré son éducation de chevalier ; ces valeurs lui sont totalement abstraites. Il n’agit donc pas en conséquence, et cela peut paraître très dérangeant pour les autres…
Expression des travers (pour les scores majeurs) :
Passion : Eozen doit savoir d’où il vient, pourquoi on l’a abandonné dès sa naissance. Pour cela, il sera prêt à prendre tous les risques, parfois même trop de risques.
Influence : Eozen ne se sent pas de ce monde ; toutefois, il a été élevé parmi les humains, dans la pauvreté, et n'est pas étranger aux réalités de Tri-Kazel. Il lui arrive parfois d'être submergé par les émotions fortes autour de lui, s'en imprégner et agir à cause d'elles au détriment des siennes propres.
Revers : /
Santé mentale :
• Résistance mentale : 6
• Orientation : instinctive (Conscience 4 - Instinct 7)
• Trauma : 3
• Désordre : Mysticisme
Combat :
• Attaque au contact : 10
• Attaque à distance : 5
• Défense : 12
• Rapidité : 9
• Potentiel : 3
• Art de combat : Cavalerie
Santé : 19
Vigueur : 10
Points de survie : 3
Équipement :
Chemise de lin, Tunique de laine, Braies de lin, Cape en laine, Bottes de cavalier, Ceinture de cuir
Épée longue
Dague
Bouclier rond
Cotte de cuir
Besace avec : Bol, assiettes, couverts en bois, duvet
Outre en peau
Cheval avec selle et étriers
140 DdB
Histoire :
Eozen Gerwan est le fils du seigneur Erwann Gerwan, Barronet du village de Trehonteg, au nord du duché de Salann-Tir, et de Goulvena Gerwan, sa femme. Noble, il était donc destiné à être chevalier, comme son père, pour prendre sa suite.
Néanmoins, rapidement des rumeurs ont couru à travers tout le village : Eozen n’est pas le fils naturel du seigneur ; il suffit des les comparer pour s’en rendre compte. De là, la superstition paysanne a fait le reste, s’approchant étrangement très près de la réalité : selon les villageois, c’est le fils d’un C’maogh (voire d’un Feond) et d’une demorthèn décriée comme morcaìl par la plupart de ses confrères. Pour la mère, c’est exact, mais pour le père, cela reste un mystère. Quand au pourquoi il fut adopté... malgré tous leurs efforts, Erwan et Goulvena n'ont pas réussi à avoir d'enfants, et ils commençaient déjà à devenir âgés, désespérant d'avoir d'autres fils qu'adoptés.
Ces rumeurs ont toujours mis mal à l’aise le père comme le fils, et ont empoisonné leurs rapports et détruit une grande partie de l’autorité parentale. Néanmoins, au début, tout se passait bien. Eozen était trop jeune pour comprendre ce que cela voulait dire tout ce bruit autour de lui, malgré la sensation qui commençait à l’habiter. Dès qu’il en eut l’âge, il prit une épée de bois et s’entraîna contre un ami de son père qui avait le rôle de maître d’armes. Avec quelques apprentissages en lecture et en écriture, et beaucoup de cheval, ce furent les seuls cours suivis par Eozen, et peu.
Encore jeune, cet environnement fermé, guindé, embêta le garçon plus qu’autre chose, et il profita de sa petite taille et de son agilité relative – et surtout de l’absence de vrais gardes – pour filer parfois toute la journée, aller dans la forêt qui s’étendait derrière la motte castrale, autour d’un lac encaissé où nul souffle de vent ne pénétrait : le Val Perdu, lieu de mythes et de légendes à Trehonteg ; sans le savoir, il rejoignait les lieux de ses premiers jours, là où sa mère biologique le mit au jour.
Cela fait que même s’il est bon cavalier, il est très peu lettré, et moins bon que ce qu’on pouvait s’attendre à l’épée ; plus le temps passait, plus il délaissait ses apprentissages pour rejoindre le seul lieu où il se sentait… chez lui, et se promener seul, en apprendre les moindres coins et recoins, les moindres détours. Il gagna donc en agilité, apprit à grimper plus aisément, et sa musculature se sculpta.
Son père se désespérait de ces actions indignes de son fils, qui délaissait apprentissage et valeurs pour de simples promenades en forêt. Heureusement, ce fut le temps du service d’ost, et Erwann Gerwan espérait que son rejeton y apprenne tout ce qui lui manquait, c'est-à-dire pas mal de choses ! Mais, dans les faits, Eozen fut davantage une source de conflits au sein de sa petite garnison, car il s’était rapidement mis à agir comme un chef, poussé par ses camarades, alors que la hiérarchie tenait à sa préséance par rapport à un novice ! Au final, une année ressentie comme gâchée par Eozen, sans aucune action, juste des prises de bec de plus en plus fréquentes avec ses supérieurs, parfois avec les autres jeunes en service d’ost.
Puis ce fut le retour chez lui, désormais pleinement vu comme un adulte. Son père l’adouba, lui remit une épée et un cheval, nommé Ankou, un superbe étalon noir âgé – à l’époque – de cinq ans, soit un jeune adulte lui aussi. Mais le service d’ost ne remplit pas le rôle recherché par le barronet ; Eozen n’était pas plus occupé qu’auparavant, et ce cheval avec le même caractère que son maître ne faisait qu’augmenter le rayon de ses pérégrinations, permettant même parfois de partir dans la forêt sur plusieurs jours, au-delà des risques.
C’est au cours de ces voyages lointains que le chevalier connut la première rencontre qui changea réellement sa vie : celle avec un C’maogh. Enfin, ce n’était pas exactement une rencontre. Plus exactement, c’était la communion avec un endroit, une sensation de plénitude, de compréhension, autour d’une petite fontaine maçonnée mystérieuse.
On peut dire que c’est à ce moment-là qu’Eozen prit réellement conscience de ce qu’il était, une créature à la limite du surnaturel, quelque chose d’unique – non, quelqu’un. Lorsqu’il retourna à Trehonteg, il prévint son père adoptif qu’il comptait partir, trouver qui il était exactement, retrouver son père biologique puis revenir ici pour prendre la place qui lui était destinée, quelle qu’elle soit.
La discussion fut orageuse, et tourna presque aussitôt à la dispute. Le jeune chevalier prit juste le temps de récupérer un peu d’argent, des vivres, reprendre sa besace, et il claqua la porte de la motte castrale – et, jusqu’à l’heure actuelle, il n’y a pas remis les pieds.
Depuis quatre années maintenant, il erre sur les routes de Taol-Kaer, passant de préférence parmi les forêts. A Fearìl, il a rencontré un sigire avec qui il parla un instant, cherchant une solution dans le Temple, dans leur vision des choses ; il ne la trouva pas, mais depuis, comme il a raconté son histoire et les rumeurs le concernant au sigire, ce dernier est convaincu de l’aberration de l’existence d’Eozen et a décidé de le traquer, le retrouver et le tuer.
A Melwan, il a aidé un groupe de marchands à se défaire de brigands, gagnant ainsi le remerciement de chevaliers-ronces, souvenir qu'il chérit, même si cela ne l'incite toujours pas à entrer dans un ordre ; il s'en sent trop loin. Eozen a pensé aller aider à Caiginn, mais l'hiver l'en a empêché, ainsi qu'un peu de crainte, il fallait l'avouer.
C’est ainsi qu’Eozen Gerwan, simple chevalier errant, s’est retrouvé à Helefrt, en cherchant sa voie et son père…
Description physique :
Eozen Gerwan est un homme jeune, d’un peu moins de vingt ans. Sa grande taille montrerait une lointaine origine Osag, pour ceux qui ne connaissent pas les légendes de ses origines, mais il reste très mince, presque émacié.
Il est vêtu d’une longue tunique de laine violette délavée avec des motifs celtiques au bas des manches, fendue sur les côtés sur une chemise de lin grise. La seule armure qu’il porte est constituée de brassards de cuir avec des motifs celtiques également. Il porte des braies noires et des bottes de cavalier de cuir marron foncé. Enfin, par-dessus le tout, une cape violette et maintenue à l’épaule par une fibule sans fioritures. Une ceinture de cuir simple à la taille retient une épée longue au fourreau, au pommeau et à la garde ornementés, seuls signe d’une dépense d’argent dans son équipement. Son bouclier rond est noir, avec une hermine en motifs celtiques blancs autour de l’umbo, prenant au final l’ensemble de la surface disponible.
Il a un visage sublime, aux pommettes hautes, la bouche mince au sourire facile, des yeux à l’iris d’un gris presque blanc entouré d’une ligne noire, un nez bien dessiné, et un front haut surmonté de cheveux châtains coupés courts, ébouriffés.
Sur sa peau couleur ivoire, aux muscles sculptés, ciselés, court une hermine noire, tatouée sur l’épaule gauche. Les motifs, pareils à ceux de son bouclier, remontent sur l’épaule, sur le sein gauche et descendent sur la gauche de son dos, le long du flanc.
Son regard, sa peau d’une couleur très peu commune, ses traits presque parfaits, le rendent d’une beauté et d’un charisme presque sans égaux, attirant, voire intimidant, le rendant pratiquement d’un autre monde.
Description mentale :
Eozen Gerwan est un homme incertain. Il ne se sent pas totalement de ce monde, ne se reconnait pas parmi les Tri-kazéliens, ni dans aucune religion, bien qu’il soit proche, de par son éducation, des mystères demorthèns.
Malgré son adoption et le fait qu’il soit élevé par le barronet de Trehonteg, tout petit village du nord du duché de Salann-Tir, jamais le jeune homme ne s’est senti à l’aise parmi les siens, et les rumeurs qui ont très vite couru sur lui n’aidaient en rien. En fait, Eozen ne se sent vraiment à l’aise que dans les forêts, au bord des lacs, en voyage, solitaire.
Il n’est pas pour autant misanthrope : le jeune chevalier a le sourire facile, parle aisément et bien, sait – et aime – mener les hommes et les femmes, les organiser. Il peut même presque parfois paraître social, conscient qu’avec ses atouts, sa place est celle d’un chef. Mais il y a toujours, au fond de lui, un malaise, le sentiment de ne pas être à sa place.
Edité avec les 23 pex, reste 3px.
"Trois cents hommes au torques d'or attaquèrent :
La lutte pour le pays était farouche.
Bien qu'ils fussent massacrés, ils tuèrent,
Jusqu'à la fin du monde, ils seront honorés."
-- Aneirin Y Gododdin XC
La lutte pour le pays était farouche.
Bien qu'ils fussent massacrés, ils tuèrent,
Jusqu'à la fin du monde, ils seront honorés."
-- Aneirin Y Gododdin XC
-
- Vétéran
- Messages : 869
- Inscription : 02 mai 2011, 01:48
Re: OdE (Iris) - Eozen Gerwan
Si on peut les dépenser maintenant (même si cela est compté après le soir, ce qui serait logique), je dépenserais mes 10px pour 1 point en Représentation !
"Trois cents hommes au torques d'or attaquèrent :
La lutte pour le pays était farouche.
Bien qu'ils fussent massacrés, ils tuèrent,
Jusqu'à la fin du monde, ils seront honorés."
-- Aneirin Y Gododdin XC
La lutte pour le pays était farouche.
Bien qu'ils fussent massacrés, ils tuèrent,
Jusqu'à la fin du monde, ils seront honorés."
-- Aneirin Y Gododdin XC
- Iris
- Grand Ancien
- Messages : 16881
- Inscription : 14 févr. 2011, 17:31
- Localisation : Nord-Est de Lyon
- Contact :
23 XP ?
Salut !
J'imagine que 23XP c'est {10 + Historique}, je confirme effectivement que tu peux gagner 1pt de Représentation à l'issue de cette journée pour le moins chargée en danses et en exploits associés !
En l'attente de la suite de vos aventures où la danse est devenue un enjeu tel qu'il justifie l'usage des points de survie ! Je rappelle que les points de survie coûtent "seulement" 3 XP chez moi, donc tu peux en racheter
I
J'imagine que 23XP c'est {10 + Historique}, je confirme effectivement que tu peux gagner 1pt de Représentation à l'issue de cette journée pour le moins chargée en danses et en exploits associés !
En l'attente de la suite de vos aventures où la danse est devenue un enjeu tel qu'il justifie l'usage des points de survie ! Je rappelle que les points de survie coûtent "seulement" 3 XP chez moi, donc tu peux en racheter
I
Meneuse : Ombres d'Esteren | Dragons
Joueuse : /
Joueuse : /
-
- Vétéran
- Messages : 869
- Inscription : 02 mai 2011, 01:48
Re: OdE (Iris) - Eozen Gerwan
Du coup j'hésite... j'ai quand même sorti un 9 sur le dé...
Un 18 vaut un 17+, il vaut plus, moins ?
edit : je précise qu'hier déjà, je pensais le dépenser ce point de survie !
Un 18 vaut un 17+, il vaut plus, moins ?
edit : je précise qu'hier déjà, je pensais le dépenser ce point de survie !
"Trois cents hommes au torques d'or attaquèrent :
La lutte pour le pays était farouche.
Bien qu'ils fussent massacrés, ils tuèrent,
Jusqu'à la fin du monde, ils seront honorés."
-- Aneirin Y Gododdin XC
La lutte pour le pays était farouche.
Bien qu'ils fussent massacrés, ils tuèrent,
Jusqu'à la fin du monde, ils seront honorés."
-- Aneirin Y Gododdin XC
- Iris
- Grand Ancien
- Messages : 16881
- Inscription : 14 févr. 2011, 17:31
- Localisation : Nord-Est de Lyon
- Contact :
Euh...
Hello !
Tu hésites sur quoi ? Parce que le 9 sur le D10 c'est pour danser avec Elwin APRES ta prestation avec Ambre
Et pour la comparaison entre 17+ et 18... euh ... ... Par défaut, vu que le point de Survie coûte cher, je considère qu'il donne un plus, il a une aura particulière pour les témoins. Mais bon, dans tous les cas, il faudrait être vraiment bon déjà pour vous départager en vous regardant... On sent quand même qu'Elwin y met tout son cœur et il doit se démarquer un brin (point de survie oblige), mais Eozen est loin d'être effacé ... C'est plus clair ?
I
Tu hésites sur quoi ? Parce que le 9 sur le D10 c'est pour danser avec Elwin APRES ta prestation avec Ambre
Et pour la comparaison entre 17+ et 18... euh ... ... Par défaut, vu que le point de Survie coûte cher, je considère qu'il donne un plus, il a une aura particulière pour les témoins. Mais bon, dans tous les cas, il faudrait être vraiment bon déjà pour vous départager en vous regardant... On sent quand même qu'Elwin y met tout son cœur et il doit se démarquer un brin (point de survie oblige), mais Eozen est loin d'être effacé ... C'est plus clair ?
I
Meneuse : Ombres d'Esteren | Dragons
Joueuse : /
Joueuse : /
-
- Vétéran
- Messages : 869
- Inscription : 02 mai 2011, 01:48
Re: OdE (Iris) - Eozen Gerwan
Je sais, j'ai bien lu ca. C'est juste pour être au-dessus malgré tout... Le côté combattif qui ressort, même si je ne l'utilise pas pour la danse (je ne juge pas cela approprié).
Donc je vais gratter ce point en plus, ca fera cher la séduction ! XD
Donc je vais gratter ce point en plus, ca fera cher la séduction ! XD
"Trois cents hommes au torques d'or attaquèrent :
La lutte pour le pays était farouche.
Bien qu'ils fussent massacrés, ils tuèrent,
Jusqu'à la fin du monde, ils seront honorés."
-- Aneirin Y Gododdin XC
La lutte pour le pays était farouche.
Bien qu'ils fussent massacrés, ils tuèrent,
Jusqu'à la fin du monde, ils seront honorés."
-- Aneirin Y Gododdin XC
- Iris
- Grand Ancien
- Messages : 16881
- Inscription : 14 févr. 2011, 17:31
- Localisation : Nord-Est de Lyon
- Contact :
Décidément, y'en a qui se compliquent la vie !
... Tu veux griller un deuxième point de survie ?!! ... ...
... Eh, le côté combattif, c'est une chose, le fairplay c'en est une autre !! t'as déjà un 9 sur le D10, c'est une insulte au dé que lui dire que c'est pas suffisant !
... Eh, le côté combattif, c'est une chose, le fairplay c'en est une autre !! t'as déjà un 9 sur le D10, c'est une insulte au dé que lui dire que c'est pas suffisant !
Meneuse : Ombres d'Esteren | Dragons
Joueuse : /
Joueuse : /
-
- Vétéran
- Messages : 869
- Inscription : 02 mai 2011, 01:48
Re: OdE (Iris) - Eozen Gerwan
Je suis comme ca avec les dés ^^
Mais déjà hier soir, je me disais que j'allais en griller un, de toutes façons (je ne savais pas combien allait faire Elwin avec anyway), et je calculais ce matin dans le bus comment m'en sortir avec les px, ce que j'allais faire avec, etc. Quelque part je me dis que rester fidèle à ma première intention est louable, de l'autre... C'est vrai que 9 ce n'est pas ridicule.
Je vais voir d'ici la fin de mon post, mais... à voir, à voir donc.
Mais déjà hier soir, je me disais que j'allais en griller un, de toutes façons (je ne savais pas combien allait faire Elwin avec anyway), et je calculais ce matin dans le bus comment m'en sortir avec les px, ce que j'allais faire avec, etc. Quelque part je me dis que rester fidèle à ma première intention est louable, de l'autre... C'est vrai que 9 ce n'est pas ridicule.
Je vais voir d'ici la fin de mon post, mais... à voir, à voir donc.
"Trois cents hommes au torques d'or attaquèrent :
La lutte pour le pays était farouche.
Bien qu'ils fussent massacrés, ils tuèrent,
Jusqu'à la fin du monde, ils seront honorés."
-- Aneirin Y Gododdin XC
La lutte pour le pays était farouche.
Bien qu'ils fussent massacrés, ils tuèrent,
Jusqu'à la fin du monde, ils seront honorés."
-- Aneirin Y Gododdin XC