... oui, même si ta fiche n'est pas finie

Ok je vais reprendre la fiche.Iris a écrit :
- Voies : empathie 5, pour un assassin... ça fleure bon la mise à l'épreuve des émotions
- Compétences
- Artisanat 0 = bon à rien
(ça colle pour un fils de noble)
- Érudition 0 = ni lire ni écrire
- Science 2 = t'as appris comment si tu sais pas lire
?
- Voyage 0 = du mal avec l'endurance et orientation incertaine... et ne monte pas à cheval... t'as rien regardé pendant que tu voyageais à travers Tri-Kazel
?
- Atouts / handicaps
- Attaque sournoise ?...
il a l'air méchamment violent cet art de combat... suis un peu réticente... je pense qu'on peut faire mieux... tiens, limite, je préfère une discipline "assassinat" ou "combat sournois", ce sera plus souple, et on pourra faire des jets sur la même table que les demorthèn / élus du temple (ex : tirer pour voir à quel point tu manies bien ta discipline, et bonus liés à la qualité du jet, donc évolutif et pas fixe...) ça t'irait ?
- Ennemi : arf, j'ai l'impression que tous les PJ ont des ennemis
... j'arrive même plus à les gérer... ben... je vais pas te l'interdire, je vais l'ajouter sur la pile
- Pauvre ? ... si tu es fils de noble qui ne tient pas son rang, tu veux pas plutôt des trucs sur mesure : "Infâme" (malus honneur / réputation), "Honni par les siens" (hop, pas d'héritage, et puis parfois le blues ?
)... Je dis ça comme ça, la liste des handicaps est courte, on peut sûrement trouver des choses qui collent mieux au perso !
- Revers : j'ai cessé de les tirer (trop d'ennemi, trop d'amours tragiques), donc tu peux t'en passer... sauf s'ils te plaisent et t'aident à construire un historique savoureux
FIM a écrit :Dissonance Ombre | Marionnettiste - Perversion narcissique
Contrôle, vanité, plaisir
Entre les mains du marionnettiste, les individus ne sont que des jouets, lui servant tour à tour de faire-valoir, de « machine à plaisir », d’instruments de vengeance et de victimes sacrifiées à sa cruauté et à sa vanité.
Archétypes : Les liaisons dangereuses, par Choderlos de Laclos, décrivent le vicomte de Valmont et la marquise de Merteuil, deux pervers narcissiques qui vont méthodiquement détruire la vie de ceux qui les entourent. Quand toutes les victimes sont anéanties, les tourmenteurs n’ont plus qu’à se retourner l’un contre l’autre. Des secrets sont révélés, les trahisons éclatent au grand jour, les masques tombent. |
Selon certaines lectures du mythe du surhomme de Nietzsche, le criminel est au-dessus de la masse, il crée ses propres normes et rejette celles de la société. Dans une telle perspective, qui est également proche de celle de la pensée de Sade, tuer, violer, torturer, ne sont que des étapes initiatiques pour devenir une créature supérieure à une humanité méprisée. Il est aisé dans un univers fictionnel d’imaginer que les sectes adoratrices de démons ont cette même idéologie et l’appliquent au premier degré.|
Incompatible : Harmonique Eau (empathie) ; Harmonique Lumière (bien commun). |
Implique : Dissonance Air (narcissisme) ; Dissonance Feu (violence).
Joueur (4 à 5) : Le Joueur aime à montrer sa verve, son ironie, sa virtuosité. Il a besoin de séduire et de jouer, de se mettre à l’épreuve. Il se donne des principes hors normes, qui lui per-mettent de se déclarer différent et meilleur que le troupeau de moutons faibles et stupides. De là découlent des défis qui pourraient paraître vains, immoraux ou stupides à d’autres, mais le but profond est d’être absolument maître de soi, de surmonter la difficulté pour se prouver à soi-même sa valeur.
Exemple : le libertin refuse de tomber amoureux ou d’être jaloux, or ces deux inter-dits peuvent être difficiles à respecter à forces d’intrigues de séduction et de manigances mensongères où le manipulateur peut se prendre à son propre jeu…
En même temps, ces paris audacieux sont un moyen de tromper l’ennui qui menace sans cesse le Joueur. Il lui faut en permanence se divertir et s’occuper, de préférence aux dépens d’autrui.
Exemple : le jeu peut consister à séduire une personne qui a prononcé des vœux de chasteté ou de fidélité et les a toujours respectés. Le plaisir cruel consiste à savourer la chute inéluc-table, infliger la honte et la souffrance à la victime vouée à se livrer, finalement détruite.
Tourmenteur (6 à 7) : Les défis personnels ne suffisent plus, il y a un besoin perverti d’autrui. Dès lors le tourmenteur ressent le besoin de s’immiscer dans la vie des autres uniquement pour les dominer et les manipuler. Il en retire du plaisir et cette activité devient le moteur de son image personnelle. Le besoin d’être obéi remplace celui d’être aimé. Le tourmenteur se met à l’abri des conflits internes en se faisant valoir au détriment de l’autre qui ne devient qu’un instrument. Toute relation sociale est un rapport de force, un défi ou une menace. L’autre doit être dominé et écrasé. Tous les moyens sont bons : humiliation, harcèlement, mensonge, manipulation.
Mais avant cela, il faut connaître la cible afin de mieux exploiter ses points faibles, ce qui implique de l’observer discrètement et de façon approfondie pendant un temps. Obtenir la confiance de sa victime est le plus sûr moyen d’obtenir de précieuses confidences ainsi que des leviers pour user du chantage affectif, se faisant passer pour la victime. Tout refus d’obéissance sera qualifié de trahison indigne, les faits étant travestis. Tout est fait pour plonger la victime dans la détresse et la souffrance, l’amener à être qualifiée d’hystérique ou d’injuste tandis que le bourreau paraît calme, mesuré, dévoué et patient…
Le langage et les idées sont une arme qu’il faut maîtriser totalement, ce qui implique un soin tout particulier à développer la compétence de Négociation et ses disciplines. Des masques sont portés en permanence, changés à volonté et d’autant plus aisément qu’ils sont rarement trahis par leurs propres émotions tout en sachant lire celles des autres avec un grand intérêt pour l’analyse du langage corporel via Altérité.
Marionnettiste (8 à 9) : Il y a une disproportion flagrante entre les actes et le supposé besoin de vengeance qui en découle. Les démarches entreprises sont froides et les manœuvres cruelles constituent la seule source de plaisir que connaît le sujet. Les remords et la compassion sont désormais totalement absents. En dépit de la profondeur de son dérangement, le marionnettiste a l’air tout à fait normal, mais sous un charme superficiel et purement instrumental, se dissimulent froideur, absence d’empathie, égocentrisme, parasitisme et mythomanie.
Le marionnettiste se sent semblable à une divinité, recevant les vœux opposés des mortels, mais ne changeant rien à ses décrets immuables. La démesure, l’hybris, s’ajoute à la vanité et l’orgueil.
Ou bien 2.2.3.3.5... ou n'importe quelle variante comprenant un 5 et / ou un 1Obsidian a écrit : Répartition 5,4,3,2,1 ou règle optionnelle applicable ?
Aucun souci ! ... perso, je pense que les disciplines sont plus versatile et qu'on peut remplacer les arts de combat par des disciplines... je trouve ça plus souple, riche et ... un peu amusant aussiObsidian a écrit :Attaque sournoise : Oui pas de problème. Ca sera plus fun. J'avais mis ça pour refléter sa formation pas pour l'opti.
Attends, c'est pas parce que tout le monde en a que je vais te l'interdire ! Au contraire, limite, je devrais en filer à tout le monde, parce que c'est l'inconvénient le plus utile pour une création de perso ! C'est pas parce que je n'ai pas trouvé le moyen de bien le gérer qu'il faut y renoncer ! ça m'oblige à réfléchir !Obsidian a écrit :Ennemi : Ok je change. Une petite addiction ? Y a t'il une drogue légère qui permet de calmer les tourments, les cauchemars ? Style herbe aux rêves ?
Si ça te parle, pour moi c'est bon ! Je voulais juste dire que tu n'étais PAS obligé si justement, tu n'avais pas d'idée !Revers : J'avais imaginé que celui-ci avait été pendu pour un crime ignoble et laissé pour mort puis récupéré par les fameux "moines". Ca collait donc bien et je le voulais un peu. Je shoote si tu veux ainsi que les points associés. As u want.
Yep sauf que je le voyais plus comme un capteur d'émotions, schizo à ses heures (à force de changer d'identité) et à tendance légèrement coupable (un adepte de la flagellation après ses actes ?). Du coup, je le voulais peu créatif (il a tendance à obéir aveuglement aux ordres de son maitre), hargneux lorsque nécessaire (sorte de haine qui s'allume d'un seul coup), possédant de l'empathie à la manière dont je l'ai précisé plus haut, un peu calculateur dans la réalisation de ses missions, peu en idéal afin de refléter qu'il mets son recteur sur un trône, obéti à ses codes mais au final n'est que peu croyant au vu de ce qu'il voit et fait. Quizz de se qu'il pourrait se passe si il était libre ou son maitre mort.Iris a écrit :Coucou !
1. Empathie : crois-moi, les jets de mise à l'épreuve de l'influence, y'en a régulièrement... et s'ils portent, j'enchaîne souvent sur un jet de résistance mentale... être ému par ta victime... c'est pas la joie ! ... Se délecter de la souffrance, ça s'appelle être un psychopathe... ou un pervers narcissique...ci-dessous mes notes à ce propos... pour FIM, mais ça te donne ma ligne directrice documentée... donc... tu peux tuer avec des émotions... mais tu devras assumer les cauchemars, les subites faiblesses et montées d'émotions...
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Pour un assassin intuitif... y'a... l'avantage "intuitif"... (ou un atout fait sur mesure... ou des disciplines liées à la perception... ou aux relations...
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