Robert Merlier

MJ Obsidian - Campagne officielle. | Meneur porté disparu (snif)
darkbaron
Vénérable
Messages : 3971
Inscription : 07 déc. 2012, 22:27
Contact :

Robert Merlier

Message : # 26048Message darkbaron
21 sept. 2013, 12:43

Nom : Robert Merlier
Âge : 41 ans en 1934

Robustesse (puissance physique), 3
Prestesse (rapidité, agilité, dextérité...), 4
Ténacité (endurance, résistance, santé...), 4
Cognition (mémoire, concentration, volonté...), 2
Sensibilité (sens, empathie, inspiration...), 2
Allure (charme, prestance, aura...) 3

Profils :
Militaire 3 (+3 en Réserve combat)
Aventurier 2 (+2 en Réserve combat)
Policier 5 (+3 en Réserve combat, +2 en Ressources)

Réserve Radium : 5
Réserve combat : 11
Ressources : 2

Pouvoirs et gadgets :
- Sens du combat lié à un fétiche magique (puissance 2, personnel 0, dure une scène 1) : 3
- Tir automatique (bonus 2, personnel 0, une scène 1) : 3
- Fusil radium-punk : rayonnement (personnel,
Dernière modification par darkbaron le 06 oct. 2013, 23:21, modifié 3 fois.

darkbaron
Vénérable
Messages : 3971
Inscription : 07 déc. 2012, 22:27
Contact :

Historique

Message : # 26049Message darkbaron
21 sept. 2013, 12:43

Chapitre I : La Grande Guerre

La guerre change tout. Elle change aussi les hommes. Dans le cas de Robert, elle a bouleversé sa vie. Fils de paysans pratiquant la chasse et lisant des récits d'aventure quand il ne travaillait pas dans les champs, sa vie s'annonçait quelconque et lui-même n'imaginait pas vivre autre chose qu'une vie de paysan. Sans être un cancre, il n'avait pas été assez bon à l'école pour imaginer poursuivre des études et n'avait jamais eu tellement d'ambition.

La guerre est passée par là. Il avait tout juste 21 ans quand la mobilisation a eu lieu et il rejoignit donc l'armée comme tout homme en âge de combattre à son époque. Elle a fait de lui l'homme qu'il est : elle lui a permis de découvrir son principal talent, de faire la connaissance d'hommes merveilleux et de découvrir la plus belle femme du monde. Surtout, elle a bouleversé sa vision de la vie. "La guerre change son homme", il ne le répètera jamais assez.

D'abord, il découvrit qu'il avait un véritable talent avec les armes à feu. Avec un fusil entre les mains, le paysan devenait un as. Sa précision était exceptionnelle. Certes, il avait toujours été bon, mais il ne pensait pas qu'il était si bon... Cela lui permit d'être bien vu auprès de sa hiérarchie.

Durant la guerre, il eut également l'occasion de fréquenter des hommes qui, comme lui, venaient verser le sang pour la patrie, mais ces hommes ne venaient pas de la campagne française comme lui. Non, ils venaient d'Afrique et venaient pourtant combattre tout comme lui. Il vit bien des amis mourir durant la guerre, même parmi ces derniers. C'est là qu'il comprit : si tous les hommes étaient tous égaux dans la mort, il ne devait en être différent dans la vie.

Il avait tant partagé avec ces hommes qu'il finit par louer des liens d'amitié avec certains venus d'entre eux, notamment l'un d'eux qui refusa toujours de lui donner son nom. Ce dernier lui révéla juste qu'il était issu d'un peuple qui avait résisté à de nombreuses tentatives de conversion et était resté fidèle à la religion animiste de ses ancêtres. Il portait toujours sur lui un objet de sa tribu, une ancienne statuette qu'il chérissait car, disait-il, elle lui portait chance. L'homme émerveillait Robert : lorsqu'ils avaient du temps libre, il le divertissait avec ses histoires. Il lui promit même de lui faire un jour visiter son pays et de l'accueillir comme un frère parmi les siens. Ce jour-là, disait-il, il lui révélerait le nom qu'on lui avait donné.

Malheureusement, c'était avant Verdun. Ce seul nom fait encore frissonner Robert. Bien des hommes bons perdirent la vie ce jour-là, aussi bien dans le camp allemand que dans le camp français. Des hommes de toute religion, de toute origine, de toute couleur de peau. Des hommes qui avaient une famille et aimaient sans doute comme lui chasser, pêcher ou simplement passer un bon moment auprès de leurs proches. Tous désormais unis, dans la boue et le sang. Tombés au champ d'honneur, comme on dit... Un profond gâchis, d'après lui. Son ami, la poitrine en sang, lui fit jurer de ramener son fétiche chez lui à défaut de son corps. Robert le serra dans ses bras et le lui promit avant d'être lui-même blessé par un éclat d'obus peu après. Après cela... Le noir. Tout s'était passé si vite.

Avait-il lui-même perdu la vie durant la bataille ? C'était ce qu'il avait cru en ouvrant les yeux, en voyant le plus joli visage du monde et d'agréables cheveux roux. Sans doute un ange, à n'en point douter... En vérité, l'"ange" se nommait Agnès et était une infirmière d'origine polonaise à peine plus âgée que lui. Elle était à ses yeux la plus belle femme du monde et l'est toujours aujourd'hui, même avec quelques rides qui ne la rendent pas moins charmante. La jeune femme l'avait soignée et avait soigneusement conservé l'objet qu'il avait entre les mains quand on l'avait amené : l'unique souvenir de son ami, dont on ne retrouva jamais le corps. Un ange, définitivement, pour être aussi attentionnée... Il passa bien des jours avec elle lors de sa convalescence et partagea avec elle ce qu'il avait sur le coeur après tant de batailles et tant d'amis perdus. Elle l'aida à soulager son corps et son âme. Néanmoins, il dût repartir au front.

Quelque chose avait changé en Robert après Verdun. Déjà bon tireur, il devint un bien meilleur soldat, comme s'il était animé d'une énergie nouvelle. Il attribua cela à l'influence positive de sa bien-aimée et à sa volonté de survivre pour vivre en paix à ses côtés, mais il était évident qu'il y avait autre chose... Quelque chose qui le rendait bien meilleur que n'importe quel autre soldat. La guerre suivit son cours et les horreurs faisaient désormais partie de son quotidien. La guerre aurait dû être courte... C'était ce qu'ils disaient au début. Quelle plaisanterie ! Quatre ans...

Enfin, la grande guerre s'acheva. À 25 ans, tout juste sorti de la guerre, il décida de tenir la promesse faite à son ami, dont il n'avait pu apprendre le nom : des disparus parmi les troupes africaines, il y en avait plusieurs... Il ne pouvait piocher un nom au hasard parmi ces défunts en espérant trouver le bon. Il prit donc la décision de se rendre dans son pays et de trouver sa tribu afin de lui présenter ses condoléances et d'enfin découvrir le nom de son ami. En outre, il devait leur rendre ce fétiche car il ne se pensait pas digne de la conserver. C'était bien là le seul hommage qu'il pouvait rendre à son ami : on pouvait décerner une médaille à titre posthume, mais comment quand on ne disposait ni du nom, ni du corps ?

II La renaissance en Afrique

Robert ne voulait pas partir sans avoir auparavant accompli ce qui lui tenait le plus à coeur. Il revit Agnès lors d'une cérémonie commémorative et la trouva encore plus belle qu'auparavant. Elle vint même la première vers lui et il comprit qu'il n'était pas qu'un patient parmi d'autres à ses yeux. Ils profitèrent de leurs retrouvailles pour se promener à Paris ou dans les environs de la capitale durant des jours. Ce fut au cours d'une de ces promenades qu'il la demanda en mariage et elle accepta. Ce jour-là, Robert fut le plus heureux des hommes : la "der des der" était passée et il avait trouvé la femme de sa vie, celle avec qui il comptait finir ses jours. Ils se marièrent quelques mois plus tard. En même temps que les préparatifs du mariage, il avait effectué des recherches sur le pays de son ami et organisé son voyage. Sa femme, plus instruite, l'aida dans ses recherches : elle comprenait amplement son époux.

Environ deux ans après la fin de la guerre, le vétéran se rendit donc en Afrique et chercha la tribu isolée de son ami, l'une des dernières qui suivait encore une religion traditionnelle. Suffisamment armé pour résister aux dangers, il n'était pas encore habitué à un terrain hostile comme celui-là. C'était autre chose qu'un champ de bataille : sans doute moins dangereux, c'est vrai, mais on y trouvait des dangers inconnus pour un petit gars de la campagne comme lui. Heureusement, il avait trouvé un guide et il était suffisamment débrouillard pour apprendre comment survivre dans un tel milieu.

Un soir, il trouva enfin le village qu'il cherchait. Ce dernier était alors attaqué par des pillards ou il ne savait exactement qui, mais dans tous les cas, ce raid menaçait ceux qu'il était venu voir et ce seul détail lui suffisait amplement pour voir dans les assaillants des ennemis. N'écoutant que son courage, il s'empara de son arme et tira afin de les repousser. Ces derniers finirent par prendre la fuite après quelques tirs, ne s'attendant pas à une telle résistance. Les villageois remercièrent naturellement le sauveur étranger et l'accueillirent parmi les leurs. Robert ne comprenait pas un mot, mais il se trouvait parmi les villageois certains qui maîtrisaient plus ou moins sa langue, sans compter que les guides eux-mêmes pouvaient faire office d'interprètes.

Le vétéran rencontra donc le sage et lui présenta le fétiche en même temps que ses condoléances. À la grande surprise de Robert, l"homme refusa tout simplement de reprendre le fétiche. L'homme lui expliqua en effet que cet objet ne pouvait être porté que par un grand guerrier. Il méritait plus que tout autre individu de le conserver parce qu'il avait partagé les derniers instants du défunt de leur peuple et vécu les mêmes tourments que lui. D'ailleurs, il en apprit plus sur l'identité de son ami : ce dernier avait choisi de s'enrôler afin d'attirer l'attention de la France et de revendiquer plus de protection et de liberté pour les siens. En somme, il avait eu l'intention d'améliorer la situation des siens en montrant sa valeur. Néanmoins, sa mort était inutile car elle ne bénéficiait d'aucune reconnaissance. Il fallait donc un guerrier pour endosser son héritage. Robert ne faisait peut-être pas partie de leur famille, mais il avait montré qu'il était digne de la tribu à travers ses exploits.

Il ne resta que quelques mois en Afrique parce que ses racines et sa femme étaient chez lui, mais cela le marqua profondément. Il s'était imprégné de leurs coutumes, avait rencontré une culture totalement différente de la sienne et partagé avec ces gens des moments incroyables. Il avait connu les horreurs et les tourments de la guerre, mais rien de tout cela ne l'avait préparé à la vie en milieu hostile où les ennemis ne sont pas des hommes, mais des bêtes sauvages. Jamais il n'aurait cru vivre une telle expérience un jour. Cela lui ouvrit les yeux : leurs traditions et leur culture étaient différentes des siennes, mais au fond, ils aspiraient à la même tranquillité que lui et, comme lui, on avait envoyé certains d'entre eux à la guerre pour un conflit qui ne les concernait que peu. Son ami était mort pour une cause qu'il pensait juste et il comptait poursuivre ce qu'il avait commencé... Un nouvel homme était né.

III Un nouveau métier

Robert finit donc par rentrer chez les siens, partagé entre son amertume face aux injustices et son désir de changer le monde. Il eut la surprise de voir qu'Agnès avait désormais quelqu'un d'autre dans sa vie. Non, il n'y avait pas un autre homme, mais un heureux événement qui s'annonçait. Il accueillit cette nouvelle avec joie. Le voyage avait définitivement marqué une transition dans sa vie.

Les vieilles blessures de guerre faisaient encore souffrir son âme traumatisée, mais il désirait vivre et faire avancer ce monde. Au fond, il avait de la chance : il était encore en vie, n'était pas une gueule cassée et n'avait rien perdu. D'autres hommes avaient perdu un père, des fils ou des frères et d'autres étaient revenus pour voir qu'ils avaient été remplacés par un autre. Pas lui... Son village non plus n'avait pas été touché, mais il ne s'y sentait plus à sa place. Il n'imaginait plus reprendre la ferme après tant d'années et la laissa volontiers à sa sœur.

D'ailleurs, que désirait-il désormais faire de sa vie ? Il ne s'imaginait pas poursuivre une carrière militaire, pour lui source de souffrances, mais il n'avait jamais été rien d'autre que fermier et soldat. Or, il refusait ces deux professions et, de toute façon, vivait désormais à Paris avec Agnès. Il réfléchit donc et décida de choisir une voie lui permettant de servir la justice. Il n'y en a qu'une qui pouvait lui convenir : policier. Avec un peu de préparation, un homme comme lui n'eut aucun mal à entrer dans la police. Sa femme, comme toujours, l'avait aidé et soutenu. Le profil du vétéran impressionna suffisamment et on décida de l'introduire dans les brigades mobiles. Robert n'était pas le meilleur enquêteur du monde, mais son honnêteté et son sens de la justice étaient irréprochables. De plus, il n'avait jamais peur d'intervenir quand il le fallait. C'était donc un élément sur lequel on pouvait compter.

Quelques années passèrent et, même si ce qu'il voyait n'était pas toujours joyeux, il avait le sentiment d'être utile et de servir le bien. Il devint également un père de famille comblé, sa première fille, Victoire, ayant été suivie de peu par un fils, puis une autre fille. Au cours d'une sortie, il rencontra un Américain à Paris. Ce dernier, comme lui, avait participé à la première guerre mondiale, mais sur le front italien. Il était également tombé amoureux d'une infirmière plus âgée portant le même nom que sa femme, même si son histoire ne s'était pas aussi bien fini car elle était promise à un officier italien... La coïncidence amusa particulièrement le policier, qui évoqua également son voyage et ses aventures en Afrique. Il n'avait jamais eu l'occasion de vraiment partager son expérience jusqu'ici et cela lui fit un bien fou. L'homme le quitta au bout de quelques heures en lui donnant son nom : il s'appelait Ernest Hemingway.
Dernière modification par darkbaron le 25 sept. 2013, 16:00, modifié 11 fois.

Avatar de l’utilisateur
Obsidian
Vénérable
Messages : 2623
Inscription : 11 avr. 2013, 20:00
Localisation : Lyon 6 ème

Re: Robert Merlier

Message : # 26050Message Obsidian
21 sept. 2013, 12:48

Faudra peut être aussi prévoir un petit surnom pour les actions de nuit. Si il souhaite cacher son identité ou si il s'est déjà fait surnommer par la presse ;)

darkbaron
Vénérable
Messages : 3971
Inscription : 07 déc. 2012, 22:27
Contact :

Re: Robert Merlier

Message : # 26051Message darkbaron
21 sept. 2013, 13:08

Oui, et voir aussi par rapport aux règles sur les pouvoirs et la pétoire radium-punk... :)
Concernant les pouvoirs, je reste sur tir automatique et sens du combat, avec possibilité que le second soit lié au fétiche (donc magique).

En ce qui concerne le surnom, je pense qu'il faudrait quelque chose par rapport à son talent avec les armes à feu et sa précision.
Bon, "œil de faucon" est trop peu original. Il va falloir que je réfléchisse sérieusement à la question...

Avatar de l’utilisateur
Obsidian
Vénérable
Messages : 2623
Inscription : 11 avr. 2013, 20:00
Localisation : Lyon 6 ème

Re: Robert Merlier

Message : # 26648Message Obsidian
01 oct. 2013, 12:34

Ok ca me va. Il faudra que tu me dises si tu "interviens" en dehors de ton statut légal. Pour les pouvoirs, les deux sont en portée personnelle. Pour la pétoire, il faut calculer cela comme un rayonnement d'attaque avec la contrainte artificiel. Je pense qu'il te restera des points. Pense à prendre, le passe temps "fusil" pour le rajouter en combat ;)

darkbaron
Vénérable
Messages : 3971
Inscription : 07 déc. 2012, 22:27
Contact :

Re: Robert Merlier

Message : # 26649Message darkbaron
01 oct. 2013, 12:47

D'accord... Il faut voir si j'aurai 3 points libres pour le passe-temps alors. Cela dit, je suis déjà costaud en combat... :mrgreen:
Et je n'ai pas encore déterminé la fin. Donc, normalement, mon fusil est conçu par Ray Campbell.

Est-ce que j'interviens en dehors du statut "légal" ? Bien, on va dire que Robert agit ainsi quand il n'est pas en mesure d'agir autrement, donc quand un criminel échappe à la police en temps normal pour une raison ou une autre, qu'elle soit tout à fait banale ou surnaturelle.

Je le vois comme une sorte de vigilante avec des principes : il ne va pas traquer un voleur de pain.

Avatar de l’utilisateur
Iris
Grand Ancien
Messages : 16881
Inscription : 14 févr. 2011, 17:31
Localisation : Nord-Est de Lyon
Contact :

Re: Robert Merlier

Message : # 26650Message Iris
01 oct. 2013, 12:58

darkbaron a écrit : Donc, normalement, mon fusil est conçu par Ray Campbell.
Le Joueur est au courant ? :)
darkbaron a écrit :Est-ce que j'interviens en dehors du statut "légal" ?
Quelle est sa relation au CID ? ... mine de rien, vu le temps que je suis en train de passer avec eux et tout... Déjà que Calvin ne les aime pas... ça m'intéresse de savoir un peu l'équilibre des pro / anti CID ;)
darkbaron a écrit :il ne va pas traquer un voleur de pain.
Pas assez glorieux ? ... :mrgreen:
Meneuse : Ombres d'Esteren | Dragons
Joueuse : /

Avatar de l’utilisateur
Wolfen
Vénérable
Messages : 2635
Inscription : 01 mai 2013, 18:14

Re: Robert Merlier

Message : # 26652Message Wolfen
01 oct. 2013, 13:06

Oui je suis au courant, on calera le quoi et comment par contre et la relation qu'on a. Tu as une idée Dark ?

darkbaron
Vénérable
Messages : 3971
Inscription : 07 déc. 2012, 22:27
Contact :

Re: Robert Merlier

Message : # 26655Message darkbaron
01 oct. 2013, 13:14

Iris a écrit :Le Joueur est au courant ? :)
Sachant que c'est Wolfen lui-même qui me l'a proposé, j'espère bien ! :mrgreen:
Quelle est sa relation au CID ? ... mine de rien, vu le temps que je suis en train de passer avec eux et tout... Déjà que Calvin ne les aime pas... ça m'intéresse de savoir un peu l'équilibre des pro / anti CID ;)
CID ? Qu'est-ce donc ?
Pas assez glorieux ? ... :mrgreen:
Non, pas assez dangereux pour que ça lui pose un problème et il y a des circonstances atténuantes qu'il comprend.
En plus, la police est normalement en mesure de régler ce genre de choses sans trop de soucis...
Wolfen a écrit :Oui je suis au courant, on calera le quoi et comment par contre et la relation qu'on a. Tu as une idée Dark ?
Tu as dragué ma femme, j'ai menacé de te faire une tête au carré et tu m'as supplié de te laisser la vie sauve en me promettant de me fabriquer un super-fusil plasma (ou radium ou ce que vous voulez... La technologie, ce n'est pas la spécialité de Robert !) pour te faire pardonner ! :P

Rho, non, je plaisante ! :mrgreen: Je dois avouer que je n'ai jamais trop réfléchi à la question...

Tu as pu tomber sur Robert en pleine activité et te dire que ce serait mieux s'il n'avait pas une simple à arme à feu...
Enfin, ce serait quoi comme type de fusil, donc ? Quelle technologie ? Une arme à énergie ?

Avatar de l’utilisateur
Maëlys
Vénérable
Messages : 4615
Inscription : 11 sept. 2011, 12:03
Localisation : Caen - Basse Normandie

Re: Robert Merlier

Message : # 26658Message Maëlys
01 oct. 2013, 13:31

Le CID c'est le mal, c'est la déchéance de Paris, c'est la corruption incarnée et un mouvement totalement dictatorial rien d'autre ! Oops je suis en mode "Calvin" là. :)

Donc c'est le Comité d'Information et de Défense. Un organisme chapeauté (c'est le cas de le dire) par le Nyctalope qui est le protecteur de Paris, un sur-homme.
Il s'agit d'une "super-police" qui aide à la défense de Paris contre toute forme de menaces... y compris celle des sur-hommes.

Répondre