OdE - 5.1 - Entourés de murs

[keborn]

Un jour, c'était court. Vraisemblablement, il ne pourrait raisonnablement pas trouver le moyen de s'échapper de la ville... restait à trouver le moyen de se planquer. C'était ce à quoi il allait s'atteler. Via les renseignements qu'il pourrait peut-être trouver à la bibliothèque.

Fallait-il trouver du réconfort dans les "non-nouvelles" des Corvusiens ?
Oui diraient certains, car moins ils seront là rapidement, plus l'espérance de vie à l'intérieur de la cité augmentait.
Non diraient d'autres, car leur "disparition" aux alentours de ce lieu d'Ancien Pouvoir que sont les Pierres Brisées ne pouvait qu'augmenter l'angoisse de voir surgir des horreurs inommables contre lesquels les compétences tout humaines n'avaient que peu d'efficacité...

"Dégustant" son brouet, avant d'aller prendre ses "nouvelle fonctions" - en tout cas passer ce fameux entretien d'embauche - Dwyfaël attendait l'arrivée de ses "compagnons" d'infortune

[Maëlys]

Alors pour faire le point ! Pour savoir si on est bien d'accord
Jour 1 = le matin où on se réveille dans l'auberge, allocution du nouveau chef, recherche de travail ...
Jour 2 = Maëlys et Dwyfaël dans le même service, prise de bec toussa toussa
Jour 3 = Maëlys et Dwyfaël de nouveau ensemble au travail et il y a en plus l'excursion de nuit
Jour 4 = Dwyfaël apprend sa nouvelle affectation pour le lendemain, soir Garn et Maëlys parlent
Jour 5 = Entretien pour Dwyfaël

Donc pour l'heure, Dwyfaël reste patiemment en train de manger pendant que l'on parle la veille au soir

[keborn]

Dwyfaël voyant qu'il avait en fait plusieurs heures d'avance à l'Universal Calendar of Esteren remonta se coucher pour bien profiter de sa nuit. Lorsque les montres à cadran solaire de tous seraient raccord, il descendrait à nouveau pour devancer de quelques minutes ses compères et ne pas rater leur descente, alors qu'il en sera à la moitié de son bol de brouet

[Avrock]

Une fois dans la chambre et que la jeune femme se confie a lui, Garn lui répond de façon a éluder la première question. Il ne laisse aucun doute planer dans sa réponse.
"- Seul l'Unique le sait. Si nous n'en sortons pas physiquement, c'est alors que l'Unique nous accordera une place a ses cotés. Tu ne devrais pas t'inquiéter de cela pour le moment. Prie, croie, espère que tout aille pour le mieux, mais prépare toi au pire.
Tu devrais apprendre a dompter cette peur, cette une amie qui peut t'éviter les excès de témérité mais aussi l'ennemie qui va te paralyser si tu la laisse agir a sa guise."

Lorsque arrivent les interrogations sur leurs compagnons de route, le sigire est pour le moment désarmé. Il se contente, avec l'assurance de l'idéaliste (ou du naïf, qui sait) de répondre :
"- Je ne sais pas encore, j'avais l'intention de trouver Elwin cette nuit et de lui poser les questions. Ensuite, en fonction de ses réponses, j'irai chercher cet objet maudit ou qu'il se trouvera, que ce soit sous une latte du plancher de la chambre d’à coté ou sur le bureau même d'Haldrid Firdh ! Je dois le faire quoi qu'il m'en coute."

[Maëlys]

Maëlys resta quelques secondes dubitatives devant les paroles du Sigire. Rien que pour une seule raison, il disait qu'il fallait s'en remettre à l'Unique mais c'était ce même dieu que ses parents n'avaient pas trouvé, une fois morts il ne pouvaient qu'errer dans un monde qui les terrifiaient.
De même, pourquoi cet Unique n'avait-il pas sauvé des personnes ayant foi en lui, ces pauvres hommes, femmes et enfants qui avaient été exécutés sur la place publique, pourquoi permettait-il que des personnes s'entre-tue en son nom ?

Puis elle releva la tête et parla à Garn tout en éludant la première partie de ce qu'il avait dit :
"Comment ça le trouver ? D'après ce qu'on sait il doit être dans les prisons de la ville, tu ne comptes pas quand même y aller, surtout en pleine nuit ?!"

Sur son visage pouvait se lire très facilement une note d'interrogation. Comme si elle cherchait à comprendre si l'homme n'était pas devenu fou d'un coup.

[Avrock]

Garn est assez satisfait de sa réponse en remarquant la réaction de la jeune femme. Au moins il n'aurait pas a se justifier ou a chercher les bons mots pour essayer de calmer Maëlys. Il n'avait d'ailleurs pas envie de réfléchir ou de s'étendre sur le sujet, préférant croire que tout ira pour le mieux le moment venu.

Arrive alors la question qu'il attendait... Comment trouver Elwin ? Une petite lueur de malice brille alors dans ses yeux :
"- Le corps d'Elwin est prisonnier, mais je suppose que son âme est libre... Il ne me reste qu'a le trouver dans les limbes, comme il me l'a appris, et ensuite lui parler."

[Avrock]

Je ne sais pas si on attend Maelys ou... Enfin bref, suite à la discussion, le plan de Garn est de courir les limbes à la recherche d'Elwin pour pouvoir échanger quelques mots avec lui :
"- Comment vas tu ? Et les autres ? Que peux tu me dire sur les geôles ? Je viendrai te sortir de là dés que possible... Ou est la relique ? As tu découvert quelque chose ?"

Après cela, j'ai bien peu que l'on passe au petit déjeuné avec Dwyfael... Maelys va être heureuse !

[Iris]

1. Dans la nuit

Garn se lançait dans les Limbes avec légèreté... en fait... il découvrait avec horreur que l'entassement de prisonniers, leurs détresses accordées et unies... était en train de créer dans les Limbes une sorte d'immense prison, un lieu oppressant... d'où il ne serait peut-être pas facile de sortir... en fait, Elwin était comme prisonnier physiquement et mentalement... alors peut-être que prudemment Garn tenterait le contact de loin, passablement assourdi par les murmures nombreux...

Marcheur des Limbes (11) + D10 (6), donc Garn atteint sa destination sans peine ; mais avant d'entrer ou seulement de s'approcher pour entendre Elwin dans cette abomination, hop, un test de Résistance mentale, 11+D10 (3) = 14...

Si tu restes à l'entrée, Difficulté 14, réussite de justesse ; sinon, on passe à 17...

Garn sentit qu'il risquait sa santé mentale à s'approcher, il se maîtrisait de justesse...

Jet de chance = 2... pour déterminer où se trouve la relique

Garn entendit quelques informations : " Ils l'ont trouvées sur moi, elle a été transmise aux officiers et doit être entre les mains d'un des nouveaux maître de la ville..."


2. Petit déjeuner

Dwyfaël voyant qu'il avait en fait plusieurs heures d'avance à l'Universal Calendar of Esteren remonta se coucher pour bien profiter de sa nuit. Lorsque les montres à cadran solaire de tous seraient raccord, il descendrait à nouveau pour devancer de quelques minutes ses compères et ne pas rater leur descente, alors qu'il en sera à la moitié de son bol de brouet

[keborn]

À l'arrivée de Garn et Maelys, Dwyfael les invite à se joindre à sa table pour partager le petit-déjeuner.
" Je dois passer un enretient ce matin pour rejoindre l'équipe quasi inexistante de la bibliothèque. Mon espoir est de réussir à pénétrer là où nous avons trouver porte close avant-hier soir.
Si jamais j'y arrive - s'adressant alors plus particulièrement à Garn - y a-t-il des informations que tu voudrais connaître ?
Et vous qu'allez vous faire ?"

Après avoir échanger le programme de leur journée respective, le bouquiniste s'en ira à son rendez-vous.

[Avrock]

L'excursion nocture a appris beaucoup à Garn, tant sur le fait que la relique se retrouve perdue aux mains d'un étranger sans doute puissant, mais aussi sur le dessespoir qui reigne dans la prison. Beaucoup d'inquiètudes et encore plus de questions...

Au petit matin, Garn se lève avec une certaine amertume. Les choses se compliquent et le temps joue en sa défaveur. Il glisse alors l'état de la situation à Maëlys lorsqu'ils sont encore dans la chambre:
"- J'ai des nouvelles, de mauvaises nouvelles... La relique est aux mains des autorités." Il cherche alors ses mots pour son autre découverte, mais trouvant que la chose serait trop ardue à expliquer, il abandonne l'idée de la mentionner.

Ils se lèvent et rencontre alors leur compagnon d'infortune, Dwyfael. Prennant leurs petit-déjeuner avec lui, ce dernier entame alors la conversation :
" Je dois passer un enretient ce matin pour rejoindre l'équipe quasi inexistante de la bibliothèque. Mon espoir est de réussir à pénétrer là où nous avons trouver porte close avant-hier soir.
Si jamais j'y arrive - s'adressant alors plus particulièrement à Garn - y a-t-il des informations que tu voudrais connaître ?
Et vous qu'allez vous faire ?"

Le sigire se réjouit intérieurement de la réussite du bouquiniste. Enfin quelqu'un qui arrive à tirer son épingle du jeu dans tous ce bordel.
"- Bien joué, il ne reste plus qu'à y rentrer. Cet entretien est déjà une bonne chose."
Les félicitations terminées, Garn enchaine sur les deux dernières questions, plutôt géne d'en parler en public :
"- Des informations... Il y aurait certaines choses, oui, mais d'abrod, ne faut il pas que tu soit pris, non ?
Quand au plan, je crois que l'on a du travail pour le moment. En ce qui me concerne, je n'ai pas envie de finir fouetter parceque j'ai manqué une journée ! Mais il y a d'autres affaires que je dois régler, seul, aujourd'hui. Je t'en parlerai ce soir."