OdE - 5.1 - Entourés de murs
Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs
Arzhel passa la tête par l’encadrement de la porte mais fut ébloui par le soleil rasant. Ses yeux se remettaient lentement des six jours d'obscurité pratiquement totale de la prison. Il ne put apercevoir que le reflet métallique des armures des hommes d'armes qui se tenaient près des montures parquées.
Par prudence, il se recula et la pression de son dos fit ouvrir doucement la porte derrière lui. A pas de velours, il s'aventura dans la masure. Tout était froid, silencieux et en désordre. L'évacuation avait due être rapide et les habitants ne semblaient pas avoir eu beaucoup de temps pour faire un éventuel baluchon. Dans la pièce principale se tenait une grande table massive où des restes de repas étaient encore étalés. Sur un des tabourets, Arzhel trouva une besace et machinalement l'enfila. Il y engouffra quelques morceaux de pains rassis et de viandes séchées qui trainaient puis s'intéressa aux ustensiles de cuisine qui se trouvaient près de l'âtre de la cheminée. Après quelques instants de fouille, il tomba sur ce qu'il cherchait : un long couteau de boucher au fil bien affuté. Cela n'était pas aussi efficace que son arme fétiche, le glaive de forme continentale, mais il s'en contenterait pour le moment.
Il se lava le visage au moyen d'eau contenu dans un tonneau calé dans un coin de la pièce. Cela ne suffisait pas, l'odeur de mort et d’excrément des geôles avait imprégné les loques qu'il portait. Il gravit deux par deux les marches de l'escalier qui menait aux chambres et commença à chercher des vêtements qui pouvaient lui convenir. Rapidement, il se vêtit au moyen de braies et d'une tunique en laine de couleur sombre. Une cape à capuche de lin noir et une écharpe en laine lui permettraient de se protéger du froid et de la fumée qui régnaient dans toutes la cité. Des bottes de marche remplacèrent les galoches défoncées qu'il avait aux pieds.
Une maison de marchand visiblement. Pas une arme, pas une armure. C'était bien sa vaine. Il avait l'air à présent d'un parfait citadin préparé aux rigueurs automnales et pouvait enfin se fondre dans la masse.
Un hurlement inhumain se fit entendre dans le lointain. S'approchant de la fenêtre, il tenta d'en apercevoir la source. Y arrivait il ? Qu'en était il des chevaux entraperçus toute à l'heure ? Étaient ils gardés ? Qu'en était il des toits ? Arzhel commença à penser qu'il s'agissait certainement du chemin le plus sûr. Dans quelques temps, les portes de la cité s'ouvriraient et le carnage allait commencer.
Par prudence, il se recula et la pression de son dos fit ouvrir doucement la porte derrière lui. A pas de velours, il s'aventura dans la masure. Tout était froid, silencieux et en désordre. L'évacuation avait due être rapide et les habitants ne semblaient pas avoir eu beaucoup de temps pour faire un éventuel baluchon. Dans la pièce principale se tenait une grande table massive où des restes de repas étaient encore étalés. Sur un des tabourets, Arzhel trouva une besace et machinalement l'enfila. Il y engouffra quelques morceaux de pains rassis et de viandes séchées qui trainaient puis s'intéressa aux ustensiles de cuisine qui se trouvaient près de l'âtre de la cheminée. Après quelques instants de fouille, il tomba sur ce qu'il cherchait : un long couteau de boucher au fil bien affuté. Cela n'était pas aussi efficace que son arme fétiche, le glaive de forme continentale, mais il s'en contenterait pour le moment.
Il se lava le visage au moyen d'eau contenu dans un tonneau calé dans un coin de la pièce. Cela ne suffisait pas, l'odeur de mort et d’excrément des geôles avait imprégné les loques qu'il portait. Il gravit deux par deux les marches de l'escalier qui menait aux chambres et commença à chercher des vêtements qui pouvaient lui convenir. Rapidement, il se vêtit au moyen de braies et d'une tunique en laine de couleur sombre. Une cape à capuche de lin noir et une écharpe en laine lui permettraient de se protéger du froid et de la fumée qui régnaient dans toutes la cité. Des bottes de marche remplacèrent les galoches défoncées qu'il avait aux pieds.
Une maison de marchand visiblement. Pas une arme, pas une armure. C'était bien sa vaine. Il avait l'air à présent d'un parfait citadin préparé aux rigueurs automnales et pouvait enfin se fondre dans la masse.
Un hurlement inhumain se fit entendre dans le lointain. S'approchant de la fenêtre, il tenta d'en apercevoir la source. Y arrivait il ? Qu'en était il des chevaux entraperçus toute à l'heure ? Étaient ils gardés ? Qu'en était il des toits ? Arzhel commença à penser qu'il s'agissait certainement du chemin le plus sûr. Dans quelques temps, les portes de la cité s'ouvriraient et le carnage allait commencer.
- Iris
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Soleil rasant ?
A vrai dire... la nuit était tombé depuis un moment... il faisait noir et l'éclairage venait surtout des incendies !...
... une seconde le pauvre Arzhel avait dû avoir comme une hallucination...
... Évacuation ?... il n'y avait pas eu d'ordre ou d'organisation : les gens avaient été réveillés dans la nuit par le monstre ... d'autres étaient déjà près des murailles, pour assurer les défenses de la ville...
En regardant par la fenêtre, il eut l'impression de deviner un mouvement en hauteur... c'était le geste de l'abomination géante... elle hurlait par moment, et se "promenait"... Arzhel avait de quoi se dire qu'il continuait d'halluciner... un immeuble qui bougeait, rugissait... non, ça ne pouvait pas exister !
Les chevaux étaient conduits par des gens de la ville qui se pressaient, apparemment quelque chose, un plan ou autre, était en cours. Les animaux étaient effrayés.
Concernant les toits, ils étaient libres, pas forcément l'idéal, ça demandait de l'agilité, et certaines pentes étaient assez raides... mais Arzhel, en étant précautionneux, pouvait prendre de la distance par rapport à l'agitation des rues. Il faudrait toutefois faire attention à ne pas tomber en bas pour cause de tuiles qui dégringolent (nouveau tremblement de terre ou effondrement)...
... une seconde le pauvre Arzhel avait dû avoir comme une hallucination...
... Évacuation ?... il n'y avait pas eu d'ordre ou d'organisation : les gens avaient été réveillés dans la nuit par le monstre ... d'autres étaient déjà près des murailles, pour assurer les défenses de la ville...
En regardant par la fenêtre, il eut l'impression de deviner un mouvement en hauteur... c'était le geste de l'abomination géante... elle hurlait par moment, et se "promenait"... Arzhel avait de quoi se dire qu'il continuait d'halluciner... un immeuble qui bougeait, rugissait... non, ça ne pouvait pas exister !
Les chevaux étaient conduits par des gens de la ville qui se pressaient, apparemment quelque chose, un plan ou autre, était en cours. Les animaux étaient effrayés.
Concernant les toits, ils étaient libres, pas forcément l'idéal, ça demandait de l'agilité, et certaines pentes étaient assez raides... mais Arzhel, en étant précautionneux, pouvait prendre de la distance par rapport à l'agitation des rues. Il faudrait toutefois faire attention à ne pas tomber en bas pour cause de tuiles qui dégringolent (nouveau tremblement de terre ou effondrement)...
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Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs
Voyant les tuiles dégringoler du toit surplombant la fenêtre et sentant les secousses sous ses semelles, Arzhel préféra changer de stratégie et descendit dans la rue se mêler à la foule apeurée. L'ombre gigantesque qu'il avait entraperçu lui avait glacé le sang. Les épreuves qu'il avait subit au fond du cachot auraient elles plus atteint son esprit qu'il ne le pensait ? Une fois dans la rue pavée, il se dirigea vers les montures et les villageois qui les menaient. Il fallait qu'il sorte de cette cité maudite. En cas de rupture des portes, être proche de chevaux rapides serait la meilleure option pour sauver sa peau. Il attrapa le premier venu :
"Puis je vous aider citoyen ? Quel est le plan dans cette partie de la ville ? Qui dirige ?"
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- Iris
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Le plan ? Quel plan ?
Un homme d'âge moyen accompagnés de ses enfants répondit :
" La porte Saint Helm risque de céder, nous encombrons les rues pour que les Lames qui entreront ne puissent que foncer vers cette abomination de l'Aergerwin !"
" C'est la jeune femme rousse, là-bas, qui donne les instructions."
Arzhel pourra sous peu voir une jeune femme... rousse... vêtue de noire et armée comme si elle faisait parti de la milice ou en tous cas qu'elle avait une fonction militaire quelconque. Le costume noir étant assez rare dans les troupes régulières, on peut supposer qu'elle a servi récemment d'éclaireur ou quelque chose d'approchant à l'extérieur des murs de la ville.
... et voici... Maëlys... dans toute sa grandeur de femme d'action improvisée !
" La porte Saint Helm risque de céder, nous encombrons les rues pour que les Lames qui entreront ne puissent que foncer vers cette abomination de l'Aergerwin !"
" C'est la jeune femme rousse, là-bas, qui donne les instructions."
Arzhel pourra sous peu voir une jeune femme... rousse... vêtue de noire et armée comme si elle faisait parti de la milice ou en tous cas qu'elle avait une fonction militaire quelconque. Le costume noir étant assez rare dans les troupes régulières, on peut supposer qu'elle a servi récemment d'éclaireur ou quelque chose d'approchant à l'extérieur des murs de la ville.
... et voici... Maëlys... dans toute sa grandeur de femme d'action improvisée !
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Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs
Le plan de l'Homme qui doit changer de Nom:
- Donner ses dernières instructions aux artilleurs, à savoir tirer des projectiles enflammés une fois qu'ils auront reçu l'huile et essayer au maximum de coordonner leurs tirs. Et bien sûr, tirer sur le monstre dès qu'il sera à portée.
- S'approcher à porté de tir du monstre.... soit une douzaine de mètres pour lui et ses compagnons armés de javeline, tandis que les archers peuvent être encore quelques mètres en retrait
- Attendre que les machines de guerres (au moins 2, c'est pas grave si les autres se lancent dans la combat ensuite) soient prêtes à tirer (c'est à dire bien orienté et chargée)
- Ordonner à ses hommes de tirer sur le monstre (et tirer lui même évidemment), là encore en coordonnant au maximum le tir, partant de principe que 10 piqures de moustiques simultanées avaient plus de chance d'attirer son attention
- Si le monstre réagit et s'avance, reculer avec discipline. Sinon recommencer jusqu'à ce qu'il réagisse
- Si durant la retraite, le monstre commence à se désintéresser de l'HeD et de ses hommes, lui rebalancer un tir groupé pour l'aider à se concentrer
- Une fois que le monstre arrive à portée des machines de guerres (donc en gros quand il se prendra les premiers tirs de baliste ou catapulte, vu que l'HeD ignore la portée de ces engins), le colosse ordonnera à ses hommes de reculer et de se disperser, puis de se trouver des postes de tir pour continuer à harceler le monstre (cette fois-ci, plus besoin de tir groupé, le but est juste de s'assurer que tout le monde combatte). Lui même restera relativement proche du monstre, à la fois pour montrer l'exemple et pour avoir une chance de voir l'impact que les projectiles ont sur lui et éventuellement repérer un point faible
- Amnèsya
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Re: OdE - 5.1 -
"Mais parfois quoi que l'on fasse, les choses tournent mal"...
Tout en courant pour rejoindre le centre de l'action qui se préparait, c'était un peu qui se passait dans sa tête... Elle se demandait bien pourquoi elle qui ne considérait les choses que de manières pragmatiques, s'était décidée à entrer dans la danse... Ce n'était certainement pas parce que cela lui ralongerai hypothétiquement de sa durée de vie... Etant donnée toutes les idées qui passaient dans sa tête, aucune ne pouvait objectivement concourrir à cet objectif... Elles étaient toutes plus déconnante les unes que les autres... Elle se foutait bien de cette ville de malheur... Elle se fichait encore plus de cet révolution et de ces dieux... Alors pourquoi... Peut être pour la première fois de sa vie, elle n'avait pas de réponse claire à apporter... Peut être parce que tous avaient décidés et trouver leurs places, Peut être que finalement le discours du colosse à la hache avait réussi à raviver une flamme d'espoir... Peut être... Peut être parce ce soir elle avait décidé que si les étoiles lui refusaient leur lueurs, elle deviendrai cette luciole sur son chemin...
Elle avait pensait à plusieurs plans... Faire sauter les sous sols, mais elle n'avait pu se résoudre à prendre le risque de se retrouver prisionnières dans les entrailles de la terre, comme à la mauvaise époque de sa ville... Faire s'écrouler les bâtiments sur le monstre et les lames mais le risque de faire des domages collatéraux étaient finallement bien trop grands... Elle n'allait pas, elle, donner la mort à des gens qui voullaient tellement vivre...
Elle avait observé attentivement le monstre. Elle n'avait pas repéré de faiblesse dans sa défence, pas de lacunes à exploiter. En revanche, elle avait répéré à demi ébranlé un grand édifice qui montait presque à la hauteur du féond. Elle allait pouvoir mettre à exécution sa dernière idée... Enfin non pas la dernière dans ce sens, la dernière dans le sens qu'elle n'avait plus d'autre plans de rechange...
Dans la foule qui se préparait à combattre le monstre, elle retrouva son colosse préféré. Très vite elle lui dit :
- Je n'aime pas cela mais je vais avoir besoin d'aide. Pour ouvrir le bal contre notre abomination, je conte, lui faire ingurgité quelques dose de poudre pour lui dégager les voix digestives. Je suis sure que ce sera plus efficasse qu'un scorpion.
Donc si toi et tes hommes pouvaient faire diversion histoire que je puisse pénétrer dans la grande maison juste à coté et que j'ai le temps de bien viser pour lancer le grappin pour lui déposer le colis au bon endroit... Ba cela me serai utile... Et si aussi, on pourrais se cordonner histoire que je ne me prenne pas vos flèches je suis prenneuse... Déjà que j'ai pas réfléchi à un plan de retraite... Merci et bonne chance...
Elle se préparait à partir à l'escalade de l'édifice, mais elle ajouta:
Si par hasard, après l'explosion, cela tournait mal inutile de venir chercher mon corps... je ne vaux pas la peine qu'on prenne des risques.
Ce qui dans sa tête se traduisait : "Si je survis à tout cela, j'aurai gagner le droit de disparaitre... avant que la folie des hommes et des lames ne m'emporte..."
Un courant thermique fit s'envolé ses cheveux, découvrant largement son visage. Dans la lumière déformante de l'incendie, le tatouage d'ouroboros qu'elle portait sous l'oeil semblait s'animer. Elle avait toujours pris ce symbole comme une protection... Aujourd'hui ce serait l'épreuve de vérité...
[HRP On] Accéssoirement, c'est là aussi que l'on va voir si notre MJ est aussi bisounours qu'elle le prétent ^^ bonne soirée [HRP Off]
Tout en courant pour rejoindre le centre de l'action qui se préparait, c'était un peu qui se passait dans sa tête... Elle se demandait bien pourquoi elle qui ne considérait les choses que de manières pragmatiques, s'était décidée à entrer dans la danse... Ce n'était certainement pas parce que cela lui ralongerai hypothétiquement de sa durée de vie... Etant donnée toutes les idées qui passaient dans sa tête, aucune ne pouvait objectivement concourrir à cet objectif... Elles étaient toutes plus déconnante les unes que les autres... Elle se foutait bien de cette ville de malheur... Elle se fichait encore plus de cet révolution et de ces dieux... Alors pourquoi... Peut être pour la première fois de sa vie, elle n'avait pas de réponse claire à apporter... Peut être parce que tous avaient décidés et trouver leurs places, Peut être que finalement le discours du colosse à la hache avait réussi à raviver une flamme d'espoir... Peut être... Peut être parce ce soir elle avait décidé que si les étoiles lui refusaient leur lueurs, elle deviendrai cette luciole sur son chemin...
Elle avait pensait à plusieurs plans... Faire sauter les sous sols, mais elle n'avait pu se résoudre à prendre le risque de se retrouver prisionnières dans les entrailles de la terre, comme à la mauvaise époque de sa ville... Faire s'écrouler les bâtiments sur le monstre et les lames mais le risque de faire des domages collatéraux étaient finallement bien trop grands... Elle n'allait pas, elle, donner la mort à des gens qui voullaient tellement vivre...
Elle avait observé attentivement le monstre. Elle n'avait pas repéré de faiblesse dans sa défence, pas de lacunes à exploiter. En revanche, elle avait répéré à demi ébranlé un grand édifice qui montait presque à la hauteur du féond. Elle allait pouvoir mettre à exécution sa dernière idée... Enfin non pas la dernière dans ce sens, la dernière dans le sens qu'elle n'avait plus d'autre plans de rechange...
Dans la foule qui se préparait à combattre le monstre, elle retrouva son colosse préféré. Très vite elle lui dit :
- Je n'aime pas cela mais je vais avoir besoin d'aide. Pour ouvrir le bal contre notre abomination, je conte, lui faire ingurgité quelques dose de poudre pour lui dégager les voix digestives. Je suis sure que ce sera plus efficasse qu'un scorpion.
Donc si toi et tes hommes pouvaient faire diversion histoire que je puisse pénétrer dans la grande maison juste à coté et que j'ai le temps de bien viser pour lancer le grappin pour lui déposer le colis au bon endroit... Ba cela me serai utile... Et si aussi, on pourrais se cordonner histoire que je ne me prenne pas vos flèches je suis prenneuse... Déjà que j'ai pas réfléchi à un plan de retraite... Merci et bonne chance...
Elle se préparait à partir à l'escalade de l'édifice, mais elle ajouta:
Si par hasard, après l'explosion, cela tournait mal inutile de venir chercher mon corps... je ne vaux pas la peine qu'on prenne des risques.
Ce qui dans sa tête se traduisait : "Si je survis à tout cela, j'aurai gagner le droit de disparaitre... avant que la folie des hommes et des lames ne m'emporte..."
Un courant thermique fit s'envolé ses cheveux, découvrant largement son visage. Dans la lumière déformante de l'incendie, le tatouage d'ouroboros qu'elle portait sous l'oeil semblait s'animer. Elle avait toujours pris ce symbole comme une protection... Aujourd'hui ce serait l'épreuve de vérité...
[HRP On] Accéssoirement, c'est là aussi que l'on va voir si notre MJ est aussi bisounours qu'elle le prétent ^^ bonne soirée [HRP Off]
Dernière modification par Amnèsya le 19 avr. 2013, 10:13, modifié 2 fois.
C’était compliqué alors j’ai tenté d’expliquer ce qu’était le Graal pour que tous comprenne. C’était difficile alors j’ai essayé de rigoler pour que personne ne s’ennuie. J’ai raté mais je veux pas qu’on dise que j’ai rien foutu parce que c’est pas vrai.
- Iris
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HeD & Amy
1. Discussion HeD & Amy
Le Colosse était en train de partir avec son groupe de "volontaire" armés de javelines, lances et arcs, quand Amy, la petite varigale tarishe au chien, dont il ignorait le nom (tout comme le futur sien d'ailleurs...) alla le voir pour lui proposer un plan héroïque, dangereux, improbable, mais qui, s'il fonctionnait, pourrait avoir un effet radical et expéditif...
Qu'en pensait donc le héros légendaire ? ...
2. Plan du glorieux héros
... Y'a-t-il des retouches du plan ?...
Le Colosse était en train de partir avec son groupe de "volontaire" armés de javelines, lances et arcs, quand Amy, la petite varigale tarishe au chien, dont il ignorait le nom (tout comme le futur sien d'ailleurs...) alla le voir pour lui proposer un plan héroïque, dangereux, improbable, mais qui, s'il fonctionnait, pourrait avoir un effet radical et expéditif...
Qu'en pensait donc le héros légendaire ? ...
2. Plan du glorieux héros
- Instructions des artilleurs : tirer projectiles enflammés ensemble... OK
- S'approcher du monstre : les suivants du héros sont prêts à le suivre à son signal.
- Tirer sur le monstre de manière coordonnée : d'accord... mais en se plaçant où ? ... Rappel : Porte de Helm (B), rue qui va au centre (O). Sur le trajet [BO] s'active Maëlys que rejoint Arzhel... La caserne (C) a les entrepôts et machines de guerre qui peuvent tirer en principe assez loin pour toucher jusqu'en (O), mais avec une précision forcément variable, surtout si un immeuble est sur le chemin... Il y une rue droite, étroite [B'C'] qui permet de joindre [BO] et [CO] environ aux 2/3 du segment (1/3 par rapport au centre).
- Machines bien orientées & armées : 3
... Y'a-t-il des retouches du plan ?...
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- Amnèsya
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Re: OdE - 5.1 - Hors Sujet graphique
Métajeu a écrit :Je ne sais pas comment vous faites vos bulles lorsque vous mettez des commentaire.
"Mais il y aura forcement des retouches... Sinon comment un plan pourrait-il se dérouller sans accros..."
Oki, je sort.
Iris a écrit :Tu fais "quote" et tu écris à l'intérieur...
Sinon option : tu fais "citer" une personne qui a une présentation qui te plait, et tu regarder comment c'est organiséLà, j'ai édité ton post avec mes super pouvoirs... en faisant "citer" tu verras ouverture et fin de "quote"
Dernière modification par Iris le 19 avr. 2013, 10:19, modifié 1 fois.
Raison : Cours de mise en page ;-)
Raison : Cours de mise en page ;-)
C’était compliqué alors j’ai tenté d’expliquer ce qu’était le Graal pour que tous comprenne. C’était difficile alors j’ai essayé de rigoler pour que personne ne s’ennuie. J’ai raté mais je veux pas qu’on dise que j’ai rien foutu parce que c’est pas vrai.
Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs
Arzhel observa la jeune femme en noir que lui avait désigné quelques minutes auparavant le citadin.
Sa tenue semblait désigner son rôle d'éclaireur. Peut être même que la garde de la ville avait recruté une varigale pour cette fonction... Elle devait connaitre les environs de la cité et les différentes entrées. Peut être connaissait elle une sortie discrète ? Restez proche de cette femme lorsque la bataille commencerait lui sembla la meilleure alternative.
Il se dirigea vers la jeune femme qui semblait fort affairée tout en observant la situation alentour et les éventuels stocks d'armes à sa disposition.
"Je me nomme Aelin, humble colporteur de la cité de Deh'ad, j'offre mon aide pour protéger notre sainte cité voué au prophète malgré mon dénuement le plus total. On m'a orienté vers vous, il semblerait que vous organisiez les défenses en prévision du moment où les portes vont céder. Puis je vous proposer mes bras et mon honneur ?"
Sa tenue semblait désigner son rôle d'éclaireur. Peut être même que la garde de la ville avait recruté une varigale pour cette fonction... Elle devait connaitre les environs de la cité et les différentes entrées. Peut être connaissait elle une sortie discrète ? Restez proche de cette femme lorsque la bataille commencerait lui sembla la meilleure alternative.
Il se dirigea vers la jeune femme qui semblait fort affairée tout en observant la situation alentour et les éventuels stocks d'armes à sa disposition.
"Je me nomme Aelin, humble colporteur de la cité de Deh'ad, j'offre mon aide pour protéger notre sainte cité voué au prophète malgré mon dénuement le plus total. On m'a orienté vers vous, il semblerait que vous organisiez les défenses en prévision du moment où les portes vont céder. Puis je vous proposer mes bras et mon honneur ?"
Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs
Salut je suis de retour ^^ bon peux tu m'éclairer s'il te plait , ou se trouve nialan dans toute cette pagaille????