Il montre donc l'exemple ou conseille les autres recrues lorsque cela lui semble nécessaire.
De plus plutot que d'avoir un bouclier, le jeune homme essaie de se faire confier une épée courte en plus de son épée habituelle, ceci afin de pouvoir exploiter au maximum son potentiel de combat.
Il profite aussi de l'aprés-midi et d'être au contact d'autres pour se renseigner sur les forces en présence : ennemies et amies...
En fin de journée, avant de rentrer à l'auberge, il demande à son suppérieur hierarchique s'ils ont besoin d'aide pour les gardes de nuit dans les prochains jours. Garn espère ainsi pouvoir visiter la ville et connaitre le terrain sans avoir les gènes diurnes habituelles.
Sur le chemin du retour à l'auberge, il se demande vraiment quoi faire avec sa livrée. L'une de meilleures solution serait de la brulée, et cela tombe bien, il y a un poêle dans la chambre...
Lorsque Grirav lui fait part de ses impressions : "- Bon, nous allons pouvoir travailler, mais franchement, je ne sais pas si il est bon que nous restions, ici, à participer à cette guerre, elle ne nous concerne pas vraiment."
Garn lui rétorque : "- Faire partie de la garde nous donne quelques avantages, quand à la guerre, j'espère que nous ne seront plus là lorsqu'elle arrivera. Je pense qu'il faut employé la semaine qui vient à faire des reconnaissances en ville, en apprendre sur ce qui se passe vraiment ici et faire un bon plan d'évasion..."
Quand à la soirée, Garn ne traine pas trop dans la salle commune, arguant que l'aprés-midi fu dure et qu'il a besoin de se reposer. Il rejoind donc sa chambre rapidement, et utilise le poêle pour faire un petit feu. Une fois que ce dernier est fait, il se saisi de son couteau et aprés une longue inspiration (cherche-t-il le courrage ou l'inspiration pour le faire ?!), il coupe sa livrée noire et blanche en pièces et jette morceau aprés morceau celle-ci dans la brasier.
Aprés tout, que ce soit son mentor ou le prophète, beaucoup lui ont dit que ce qui compte ce n'est pas ce qu'il parait être mais ce que l'on est dedans.
Le homme une fois sa besogne terminée, il se couche sur le lit, ferme les yeux et prie l'Unique. Ses lèvres bougent à peine et aucun son ne sort de sa bouche.
Petit à petit, il laisse son esprit suivre ses prières. Peu à peu, à demi conscient, il se laisse entrainer dans les limbes et cherche à voir "autrement" ce qui se passe ici. Instinctivement, il cherche la cathédrale, se disant qu'il y aurait là un sanctuaire ou prison, certainnement quelque chose...
HRP a écrit :Je suppose qu'ils fournissaient de belles livrées aux couleurs de la ville lorsque l'on s'est fait recruter. Non ? Sinon, Garn a-t-il réussi à avoir une seconde épée ? D'ailleurs, j'espère que sa belle "sainte lame" dont le pommeau est orné d'un flocon ne va pas lui jouer des tours...