OdE - 5.1 - Entourés de murs

Rassemblement des parties achevées de la chronique d'Iris dans l'univers des Ombres d'Esteren.

Une relique maléfique est convoitée par le Temple et un groupe de rebelles cherche à la détruire autant qu'à en apprendre plus sur ses pouvoirs dans un climat de guerre civile sur le point d'éclater en Gwidre.
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Iris
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??? Protestations ? Tu préfères être seule ? ...

Message : # 9361Message Iris
19 sept. 2012, 11:49

Métajeu a écrit :Mais ?! :shock: ... qu'est-ce que c'est que ces PJs autistes qui préfèrent être loin d'une figure familière dans une situation de crise ?...

... rhoo... quand même ;) ...

T'inquiète, tu auras de quoi réparer des armes à l'air libre... mais plus tard : pour l'instant Grande MJ cherche à favoriser le développement de liens entre vos persos pour ne pas avoir à gérer un paquet de SOLO simultanément... ;)

... je précise également que vos chances de survie seront bien meilleures si vous collaborez et développez vos complémentarité... je dis ça, je dis rien... ah si, il risque d'y avoir sinon du nettoyage par le vide :P

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Avrock
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Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs

Message : # 9365Message Avrock
19 sept. 2012, 14:29

Garn fini sa journée en broyant du noir... Il n'est plus aussi causant qu'il a pu l’être durant la journée.
* Mais comment font les gens pour s'entendre ? Comment font ils pour discuter et lier des relations ? J'ai l'impression que quoi que je dise ça fini mal... *

Le jeune homme avait une soudaine envie d'oublier sa journée, de faire autre chose, d’être ailleurs... Étrangement, il se sent une certaine attirance pour le cidre ou l'ale locale. Peut être que s'il boit assez, il pourra peut être oublier. Malheureusement, une petite voix dans sa tête, sa conscience peut être, lui déconseille fortement cette expérience. Quoi qu'il en soit, ici, a la caserne, il n'y a pas d'alcool.

Il avait aperçu l'Homme et Demi, mais son état d'esprit lui interdisait d'aller le voir. D'ailleurs ce dernier l'ignorait complètement. Est-ce bon ou mauvais signe... ?

L'heure étant venue, Garn quitte les casernes. Il ne rentre pas directement a l'auberge. Il déambule dans les rues de Deh'Ad, perdu dans ses pensées. Passant dans le quartier marchand, il s’arrête chez un tailleur, a la recherche d'un manteau/cape de voyage de couleur sombre, ample et laissant une bonne liberté de mouvement. Le noir lui va si bien, et puis l'automne étant la, il faut penser a se retrouver quelques vêtement de saison.

De retour a la Carpe Dorée, il salue ses camarades va déposer ses affaires dans sa chambre avant de redescendre dans la salle commune. Il en profite pour cacher son exelsis d'argent dans ses affaires, le rangeant avec le matériel d'écriture. Il le troc contre le simple symbole en bois qu'il avait acheté et fait bénir a Amliu. Au moins comme cela, il paraitrai moins suspect. Enfin le croit-il.
Essayant de faire fit de sa journée catastrophique, il s'enquiert de la journée qu'a passer chacun d'entre eux.
><((((°>
........><((((°>
...><((((°>


MJ: Conan D6
PJ: [OdE] Arthwr (aka Garn Faernor) ** en pause **, [Mekton Z] Elbert "Storm" Falck - Jeune psionique & métalleu

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Maëlys
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Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs

Message : # 9366Message Maëlys
19 sept. 2012, 14:32

Métajeu a écrit : PJ autistes?! J'y peux rien moi si tu me mets avec un PJ que j'ai du rencontrer pendant tout au plus trois minutes il y a une journée ! :p
Et puis, j'essaye de faire des efforts tu vois !

keborn
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Alors, on cause ?

Message : # 9372Message keborn
19 sept. 2012, 18:48

Ironie du sort ou machiavélique fatalité ?

L'apparente sensible jeune femme, qui l'avait royalement ignoré lors de sa tentative d'approche du groupe hétéroclite le premier matin, était là, seule avec lui, comme acculée dans cette cave glauque où le seul son audible, en dehors du propre écho de leurs pas et du fer de sa canne martelant le sol, étaient les horribles couinements de ces quelques affreux rats qu'ils dérangeaient au milieu de leur lugubre festoiement.

La jeune femme lui adressa alors la parole
"Dwyfaël, c'est bien ça? Vu qu'on a un petit peu de temps à occuper *dit-elle en regardant les piles de sac restantes* autant parler un petit peu.
D'où est-ce que vous venez ? Si mes souvenirs sont bon, vous êtes marchand c'est bien ça?"
S'assurant une fois encore qu'ils étaient bien seuls et que les premières oreilles se trouvaient à bien des mètres, le bouquiniste s'approcha de la jeune femme. La flammèche verdâtre de sa lanterne, qu'il tenait à une demie coudée de son visage, faisait courir des ombres inquiétantes sur ses traits émaciés. Pourtant la lueur d'évidente intelligence qui pétillait dans ses yeux, et son petit sourire moqueur lui donnait malgré tout un air affable.
A voix relativement basse, s'assurant de la discrétion de leur conversation il lui souffla :
"- Il semblait écrit quelque part qu'il nous faille nous rencontrer, Maëlys." Si la jeune femme avait feint de ne pas être sûr se rappeler du nom du marchand, ce dernier avait prononcé le sien avec une assurance déconcertante, bien qu'ils n'aient guère échanger plus que quelques amabilités au cours de ces dernières 24 heures. Cette dernière ne s'étant d'ailleurs jamais présentée à lui directement. Il enchaîna toutefois, naturellement, sans pause, toujours à voix feutrée.
"- Oui, c'est bien cela, je me nomme Dwyfaël. Dit le bouquiniste. Puisque de marchand, je le suis pour l'essentiel de mon activité, de livres. Toutefois, je pense ne pas en faire état en le criant sur les toits, puisqu'en temps de "renouveau spirituel" il semble de bon ton de détruire tout ce qui a rapport à la Culture et aux sources hétérodoxes de Savoir.
D'itinérant que je suis, je parcours la grande région depuis plusieurs années, ayant ici ou là quelques contacts et clients. D'ailleurs, je ne pensais pas devoir rester à De'hag un jour de plus, ayant réglé les affaires qui m'ont amenées à faire halte ici.

Au vu de votre équipe ... étonnamment bigarrée... De'hag doit seulement être une étape pour vous. J'avais dans l'idée que vous étiez dans la même situation que moi, et que vous auriez aussi cherché à fui**... partir le plus rapidement possible d'ici. Ai-je tort ? "


La langue du Beau-Parleur avait fourchée. Intentionnellement ? En tout cas, ses yeux étaient rivés sur son interlocutrice, cherchant à décrypter le moindre de ses battements de cils, le moindre de ses détournements de regards, la moindre de ses mimiques corporelles...

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Maëlys
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Parlons donc !

Message : # 9375Message Maëlys
19 sept. 2012, 21:55

"Il semblait écrit quelque part qu'il nous faille nous rencontrer, Maëlys."

La jeune femme se retrouva surprise l'espace d'un instant en entendant l'homme la nommer avec tant d'assurance. Elle ne se souvenait même pas lui avoir donné son prénom ou que l'un de ses compagnons l'ai prononcé.
Elle se reprit bien vite en lui souriant gentiment même si le fait de le voir s'approcher aussi près pouvait le nuancer.

Il enchaîna immédiatement :
"Oui, c'est bien cela, je me nomme Dwyfaël. Dit le bouquiniste. Puisque de marchand, je le suis pour l'essentiel de mon activité, de livres. Toutefois, je pense ne pas en faire état en le criant sur les toits, puisqu'en temps de "renouveau spirituel" il semble de bon ton de détruire tout ce qui a rapport à la Culture et aux sources hétérodoxes de Savoir.
D'itinérant que je suis, je parcours la grande région depuis plusieurs années, ayant ici ou là quelques contacts et clients. D'ailleurs, je ne pensais pas devoir rester à De'hag un jour de plus, ayant réglé les affaires qui m'ont amenées à faire halte ici.

Au vu de votre équipe ... étonnamment bigarrée... De'hag doit seulement être une étape pour vous. J'avais dans l'idée que vous étiez dans la même situation que moi, et que vous auriez aussi cherché à fui**... partir le plus rapidement possible d'ici. Ai-je tort ?
"

Une fois de plus, elle se retrouva surprise d'entendre quelqu'un parler ainsi. Ce n'était clairement pas chez à Lorgain qu'elle aurait pu l'entendre.
Elle attendit quelques secondes avant de lui répondre d'une voix aussi basse :

"Écrit, je ne sais pas, disons que le hasard peut bien faire les choses par instant !" avec un sourire
Décidément, je ne pensais pas qu'un tel métier était si passionnant. Pouvoir se retrouver ainsi en contact avec la connaissance même.
Quand à mon "équipe", je ne dirais pas ça, juste que nous avons fait route ensemble depuis Lendach car cela est plus simple et plus sûr, surtout pour moi je dois avouer...
"

Elle s'arrêta un instant puis reprit d'une voix encore plus faible en se penchant en avant :
"Et quitter cette ville, je pense que tout le monde le cherche, cela n'a rien d'étonnant, personne ne voudrait, et moi en particulier, rester dans cette ville..."

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Iris
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Erudition 1

Message : # 9378Message Iris
20 sept. 2012, 08:43

Encart technique a écrit :Avec Erudition 1, Maëlys est tout juste alphabétisée...

... alors les livres et la connaissance... ça doit être un peu exotique :P

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Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs

Message : # 9379Message Maëlys
20 sept. 2012, 10:07

Métajeu a écrit : Je sais bien, c'est ça qui les rend sûrement aussi intéressant du point de vue de Maëlys

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Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs

Message : # 9380Message keborn
20 sept. 2012, 12:28

"- Passionnant en effet. Et le "nomadisme" de mon métier lui donne ce piquant nécessaire pour se sentir en vie. Piquant que le cloisonnement des cellules monastiques ne prodigue guère.

- Ah ? vous n'êtes que compagnons de route de fortune ? Vers où vous dirigez-vous ?

- Vous me voyez malgré tout surpris que vous ne soyez que des "compagnons de route". Je doute fort que "l'enfant sauvage" que vous semblez avoir pris sous votre protection ait choisi de se joindre à vous, juste pour faire route avec vous ...

Vos messes basses et vos conciliabules privés à l'auberge, pour un observateur extérieur, paraissent dire que vous êtes bien plus que de simples voyageurs qui se voient forcés de faire route ensemble pour les circonstances d'un voyage. De tels voyageurs parlent de leur plan de route à voix haute, au cours d'un repas, sans se soucier des oreilles qui les écoutent. Vos attitudes disent plutôt que quelque chose vous unis et qu'il vous faille être discrets quand à vos identités, votre destination ou que sais-je ? Devoir cacher quelque chose, peut-être ? ...

- Vous devriez d'ailleurs dire à votre ami à la gueule d'ange qu'il ferait bien de se séparer de son épée rapidement. De l'abandonner, l'échanger contre une autre auprès de ceux qui ne posent pas de question, ou de la cacher. Beaucoup ne font pas attention à ceux qu'ils croisent ou qu'ils fréquentent. Ce n'est pas le cas de tout le monde. Certaines personnes sont exercées à scruter le moindre détail."


Le regard du bouquiniste se fait plus intense.

"- Le pommeau de son arme le trahi. Il va finir à la potence comme ceux que nous avons vu sur la place publique hier midi, s'il continue d’arborer ainsi son appartenance aux Sigires...
Et ce ne sera pas que lui.
Faites-lui savoir que certaines de mes connaissances ici peuvent mettre à l'abri - moyennant finances bien entendu - ce genre d’embarrassant colis.
Ce n'est peut-être d'ailleurs pas la seule chose qu'il vous faille mettre en lieu sûr ?"

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ramb
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Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs

Message : # 9391Message ramb
20 sept. 2012, 21:59

Grirav quand à lui, il s'était fait embaucher chez les archers, logique.
Il passait sa journée à chercher un endroits peu fréquenté près d'une porte, ou il pourrait cacher tout son barda, pour éviter les problèmes en cas de rafles dans l'auberge.

Il suivait aussi scrupuleusement les consignes de sont chef sur place, afin non pas de se faire trop bien voir, mais surtout de ne pas se faire mal voir, ni du chef, ni des autres

il propose à un moment :

"faudrait pas tester la porter de nos flèches, pour pas en gaspiller, à tirer dans le vide?"

si il se fait trop remarquer à cause de cette question, il n'en pose plus de la journée.
CHAMPI VAINCRA !!!!
car il est légion!!!!!
enfin presque ......

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Maëlys
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Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs

Message : # 9393Message Maëlys
21 sept. 2012, 01:30

L'homme qui était face à elle la mit mal à l'aise dès les premiers mots de sa réponse.

"Passionnant en effet. Et le "nomadisme" de mon métier lui donne ce piquant nécessaire pour se sentir en vie. Piquant que le cloisonnement des cellules monastiques ne prodigue guère.
Ah ? vous n'êtes que compagnons de route de fortune ? Vers où vous dirigez-vous ?
Vous me voyez malgré tout surpris que vous ne soyez que des "compagnons de route". Je doute fort que "l'enfant sauvage" que vous semblez avoir pris sous votre protection ait choisi de se joindre à vous, juste pour faire route avec vous ...
"

Elle le coupa directement pour lui répondre d'un ton aimable. Elle ne savait pourquoi mais il semblait être de ces hommes qui vous perdent dans leurs monologues interminables.

"Compagnons d'infortune plutôt, ce ne sont pas les meilleurs nouvelles qui nous ont forcés à partir ensemble.
Nos routes devaient se séparer aux alentours de Nectan, après la direction qu'ils prendront, je n'en sais rien. Tout ce qui m'intéresse est d'arriver à ma destination le plus rapidement possible.


Elle s'arrêta un instant, pour reprendre sur un ton plus acerbe :

"Quand à l'enfant sauvage comme vous l'appelez, elle a un nom, mais sûrement que cela ne vous intéresse pas. Qui êtes vous pour juger ainsi les gens ?"

Mais l'instant d'après, il continua de parler, renforçant son malaise.

"Vos messes basses et vos conciliabules privés à l'auberge, pour un observateur extérieur, paraissent dire que vous êtes bien plus que de simples voyageurs qui se voient forcés de faire route ensemble pour les circonstances d'un voyage. De tels voyageurs parlent de leur plan de route à voix haute, au cours d'un repas, sans se soucier des oreilles qui les écoutent. Vos attitudes disent plutôt que quelque chose vous unis et qu'il vous faille être discrets quand à vos identités, votre destination ou que sais-je ? Devoir cacher quelque chose, peut-être ? ...

Vous devriez d'ailleurs dire à votre ami à la gueule d'ange qu'il ferait bien de se séparer de son épée rapidement. De l'abandonner, l'échanger contre une autre auprès de ceux qui ne posent pas de question, ou de la cacher. Beaucoup ne font pas attention à ceux qu'ils croisent ou qu'ils fréquentent. Ce n'est pas le cas de tout le monde. Certaines personnes sont exercées à scruter le moindre détail.

Le pommeau de son arme le trahi. Il va finir à la potence comme ceux que nous avons vu sur la place publique hier midi, s'il continue d’arborer ainsi son appartenance aux Sigires...
Et ce ne sera pas que lui.
Faites-lui savoir que certaines de mes connaissances ici peuvent mettre à l'abri - moyennant finances bien entendu - ce genre d’embarrassant colis.
Ce n'est peut-être d'ailleurs pas la seule chose qu'il vous faille mettre en lieu sûr ?
"

Maëlys contint difficilement un sursaut en entendant ces paroles. L'espace d'un instant, elle se demanda qui il était vraiment pour parler ainsi aux gens, les agresser par ses paroles. Elle lui haussa la voix sans s'en rendre compte en lui répondant directement :

"Ainsi vous nous espionnez pendant que l'on parle entre nous, qui êtes vous une fois de plus pour faire ça, tout ce que je vois ce n'est qu'un infirme qui se met sûrement à scruter chaque personne passant à sa portée car il est incapable de tisser des relations avec celles-ci.
Parler aux gens, ce n'est pas crier sur les toits ce que l'on compte faire, surtout par les temps qui courent. Mais après tout, cela ne doit pas être écrit dans vos précieux livres. Tout le monde n'apprécie pas que sa vie soit décriée à tort et à travers, surtout dans une auberge.
"

Elle laissa quelques secondes s'écouler, le temps pour elle de décortiquer la fin de son discours, de sentir cette menace à peine cachée qu'il proclamait.
Lorsqu'il parla de la potence sur ce ton, la main de l'artisane failli fuser, désirant plus que tout gifler cet homme qui parlait ainsi de personnes ayant souffert, mais elle se retint de justesse, amorçant seulement le geste. Elle n'avait même pas réfléchi à celui-ci.
Elle n'avait peut-être étudié, lu des livres comme lui, mais au moins la vie lui avait appris à montrer du respect à ceux qui avaient souffert ou qui étaient mort et de ne pas parler ainsi d'eux. Puis elle continua emportée par une colère peu commune chez elle :

"A votre place, je me tairai si vous ne voulez pas prendre la prochaine place disponible. Tu devrais plutôt essayer de garder ta vie en sûreté car tu ne risques pas de la garder longtemps."

Elle s'écarta ensuite immédiatement de l'homme.
Elle hésita un instant à quitter directement la cave mais la journée n'était pas encore finie et partir ainsi était le moyen le plus facile de se faire remarquer, tout ce qu'elle voulait éviter.
Métajeu a écrit : Je suis déçu, je réussi pas à donner le rendu que je voulais, pas encore habitué à jouer Maëlys en colère, choquée oui, mais cette émotion là non. Merci pour le travail ! :)

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