OdE - 5.1 - Entourés de murs

[Avrock]

"- Je suis du sud de Gwidre. A ma majorité j'ai voulu faire mes preuves et voir le monde par mes propres moyens, je suis parti en Taol Kaer a la recherche d'autres choses que mon village natal."

Quand au nouvel interlocuteur, Garn se tourne vers lui et lui répond séchement, sans pourtant se montrer hostile :
"- Je suis parti en Taol Kaer avec la foie et ne l'ai pas abandonnée. Par contre je me demande qui prétends-tu etre pour juger de ma foie ?
Pour avoir rencontré beaucoup de monde dans ma courte existence, je peux te dire qu'il y a autant de facon de croire que de croyant, autant de facon de pratiquer que de pratiquant. Ce qui est important, c'est de rendre hommage a l'Unique et au(x) Prophete(s). Juges-tu quelqu'un sur sa facon de vivre sa foie et sa facon de la pratiquer ? Je suis certains que nous ne pratiquons pas de la meme maniere : j'ai voyagé, j'ai servi dans un corps armé... dans ces deux cas, tu ne peux pas toujours prier ou et quand tu en a envie, tu ne peux parfois que te recueillir un court instant durant ta journée. Cela fait il de moi un vrai ou un faux croyant ?"

Jetant un coup d'oeil a Grirav et Maelys, le jeune homme continue :
"- Je serai bien mal placé pour parler en nom et place de mes compagnons de route, mais sache qu'en temps que voyageurs coincés dans une cité par des événements qui les dépassent et pour une durée inderterminée, nous devons trouver un moyen de nous rendre utile pour gagner notre pains quotidiens. Y-vois-tu un probleme ?"

Bien sur a l'oral, 'au' ou 'aux' se dit de la meme maniere Je joue un peu sur les mots...

[Iris]

Voilà donc que Garn décide de jouer au plus fin ? ... en enchaînant les mensonges ? En prenant à parti un intégriste à qui il ne manque ... rien en fait ! Il a la bonne sale tête du gars qui décide pour les autres et discute de points de détails pour savoir qui est avec lui ou contre lui...

• Eloquence de Garn : Mensonge donc Créativité (1) + Relations (3) + D10 (5) = 9
• Chance de Garn (pour déterminer l'importance sociale de l'intégriste : simple gars du peuple, ou...) : 2. Il ne peut donc que te dénoncer, mais il faudrait être mis une seconde fois sous la pression pour que tu risques quelque chose.
• Relation de l'Intégriste : Empathie (1) + Relations (4) + D10 (3) = 8, mais du genre obsessionnel / méfiant

Réponse de l'intégriste : " Tout le monde est en droit de chercher les traîtres ! Et tu as beau user de belles paroles, je pense surtout que tu es un impudent sans foi ni loi, du genre à changer de camp quand ça t'arrange ! "

Mais le sergent calma le jeu : "Bah, l'Unique reconnaîtra les siens, et s'il n'est pas sincère, il mourra sur les murailles de Deh'ag, pas vrai ?"

Cependant l'intervention du sergent ne signalait nullement qu'il croyait vraiment Garn sur le plan de sa sincérité religieuse, il voulait juste éviter de gérer une bagarre, et invita les querelleurs à se disperser. Au moindre faux pas, si l'intégriste le savait, Garn aurait à se justifier de propos ambigus auprès de gens potentiellement plus intelligent et méfiants... et puissants...

[Maëlys]

Finalement, les deux hommes avaient acceptés de la prendre avec eux. Elle était donc bien accompagnée pour trouver un travail.
Au début, elle avait pensé qu'elle pouvait directement travailler auprès d'un menuisier mais après deux refus directs accompagnés par des regards de travers elle s'avoua vaincue.

Elle se laissa donc emmenée jusqu'au poste de garde le plus proche, là où ses deux compagnons comptaient trouver du travail. En chemin, l'artisane reste bien discrète et peu bavarde, écoutant avec une oreille attentive toutes les rumeurs qui se propageaient dans la ville. Elle n'en percevait que quelques bribes mais c'était néanmoins suffisant pour savoir que ce n'était que le commencement et que tout ce qu'ils avaient entendu jusque là n'était rien en comparaison de ce qui allait se passer.
Alors qu'ils arrivaient en vue du poste, Maëlys commença réellement à craindre tout ces évènements. Des familles entières étaient attachés, la population se faisait joie de leur jeter des projectiles, de les injurier, etc... Ses compagnons purent sans doute remarquer un mouvement brusque en direction de cette humiliation publique. Mais tout aussi rapidement, elle s'apaisa, se souvenant que si elle s'interposait d'une façon ou d'une autre, ce serai sûrement elle qui prendrait leur place ou qui se joindrait à eux.

Dans le poste en lui-même, Garn eu une altercation assez directe avec un intégriste. C'est en écoutant ses paroles que la jeune fille se souvint qu'il faudrait peut-être lui conseiller de ne pas trop mentir car il le faisait aussi bien qu'un arracheur de dent.
Elle resta en retrait, se faisant oublier, écoutant seulement ce qui se disait. Du travail serai sûrement disponible dans la logistique, ce qui lui conviendrai parfaitement et lui permettrai de ne pas rester inactive.

Juste en ressortant, son attention fut capté par un crieur publique non loin annonçant qu'il fallait se rendre sur la place devant l'hôtel de ville où le nouveau maître de la cité, Haldrid Firdh allait s'exprimer.

Elle regarda ses deux compagnons puis leur conseilla de se rendre là-bas afin d'au moins être mis au courant. Ils auraient sûrement le temps de parler plus tard, quand la foule se sera un peu dispersée.

[Avrock]

*Les choses sont bien plus tendues que je ne le pensais, et sans doute beaucoup plus virulente... Quand a lui, il verra ce qui l'attend cette nuit !*

Garn se contente de fixer l'intégriste, mémorisant le visage de l'homme. Il attend qu'il passe sont chemin sans rien ajouter.

Lorsque ce dernier part, le jeune homme remercie simplement le sergent: "- Merci de votre intervention. La situation est sans dout plus compliquée que ce que j'avais pensé.
Nous allons vous laisser et nous rendre a la place de l'hotel de ville pour prendre connaissance des déclarations d'Haldrid Firdh. Bonne journée a vous."

[Iris]

Les uns et les autres avaient encore un peu de temps pour discuter, partager leurs impressions, ... avant d'entendre le discours du nouveau maître de la ville... et se faire une idée sur la suite probable des événements subis...

Je vous laisse encore un jour ou deux pour faire le point, que tous les Joueurs disponibles puissent se manifester et méditer sur la situation...

[ramb]

Une fois à l'écarts

"On peu dire qu'on à rencontré le prophète, avec une description de lui et de ce qu'il nous as dit.
En cas de capture ça peut être un bon argument de soutien, et puis comme défense on ne fait pas mieux.
La plupart des intégriste ne doivent même pas le connaitre, seul les plus haut dignitaire de la ville doivent savoir des choses sur lui."

[Maëlys]

Alors qu'ils étaient un peu à l'écart, le chasseur Grirav se mit à parler :

"On peut dire qu'on à rencontrer le prophète, avec une description de lui et de ce qu'il nous a dit.
En cas de capture, ça peut être un bon argument de soutien, et puis comme défense on ne fait pas mieux.
La plupart des intégriste ne doivent même pas le connaitre, seul les plus haut dignitaire de la ville doivent savoir des choses sur lui."

Il ne fallut pas longtemps à Maëlys pour lui répondre :

"Je ne me risquerai pas à en parler. D'une part, je ne l'ai pas vu pour ma part, mais ensuite...
Certes ils ne doivent pas le connaître et à moins avis, tout ce qu'ils ne connaissent pas ne peut que nous nuire. Ils pourront croire que l'on ment exprès pour s'en sortir, je ne pense même pas qu'ils pourront le croire mais qu'ils le feront.
Et puis, si on se lance à parler de sujets comme ça, il faudra bien vite parler de ce qui nous a permis de le rencontrer et je n'ai pas trop envie de me lancer sur ce sujet là si tu vois ce que je veux dire.
Autant faire profil bas et surtout ne pas se faire remarquer."

[Avrock]

Une fois à l'écart avec Grirav et Maelys :
"- Ton idée est intéressante, mais je vois plusieurs problèmes... Comme Maelys l'a si bien fait remarquer cela ne nous protégeras pas de la vindicte populaire et d'autres part, je suppose que les problèmes de la cité sont tout autant politiques que religieux. Ces deux sphères de pouvoirs s'entremêlent pour parfois donner un cocktail explosif. Je te laisse imaginer si cet Haldrid Firdh se dit réformé pour la seule raison de profiter de l'élant populaire et ainsi se projeter au pouvoir de cette cité et sans doute du fief.
De plus avoir rencontré quelqu'un ne veut pas dire qu'il est de ton côté ou te connais suffisement pour t'épauler en cas de besoin.

Sinon, comme je viens de le constater, il va falloir faire trés attention à nos parôles. Nous marchons sur des oeufs trés fragile.
Le pire dans cette situation, c'est que j'ai l'impression que mon cathéchisme s'avère être plus une gène qu'un atout..."

[keborn]

Dwyfaël, au vu de l'étendue des connaissances sociales urbaines de l'Homme et Demi, avait bien entendu expliqué à celui-ci qu'une armure (ou pas d'armure) discrète et une épée ou une arme de poing plus modeste au fourreau seraient largement plus appropriées et moins sujets à attirer les problèmes, en espérant l'avoir dissuadé de sortir ainsi harnaché.

Le bouquiniste avait ensuite conduit ses nouvelles relations au sein du quartier marchand pour permettre à l'envoûtante Tarish d'enrichir sa garde de robe d'une pièce. Tout en laissant la musicienne se "dépêtrer" au milieu des diverses étoffes - au-dessus et dans ses moyens - le "Beau-Parleur", tenant son surnom d'une réelle langue bien pendue, ne cesse de parlementer, argumenter, marchander, commenter, se renseigner sur la provenance du tissu, le comparant à tel autre. Et ceci, non pas chez le premier marchand d'étoffe, mais chez plusieurs d'entre-eux. Tout ceci pour lui permettre de glisser, "innocemment", au milieu d'un flot interrompu de paroles (pour noyer le poisson), ici ou là, par petite touche, une question ou une autre concernant les derniers évènements en ville.

Il cherchera à :

• percevoir le degré d'inquiétude/optimisme/pessimisme des marchands quand à leur avenir proche et leur espérance de faire encore des affaires, se réapprovisionner...
• savoir comment pensent-ils se réapprovisionner ?
• savoir ce qu'ils pensent qu'il va se produire dans les prochaines heures/jours
• savoir s'ils ont une idée de la capacité militaire des nouveaux maîtres de la ville
• savoir un peu plus qui est le nouveau maître de la ville et comment est-il parvenu à s'en rendre maître ?
• savoir si il peut s'appuyer avec assurance sur la "fidélité" des habitants, ou si il risque d'avoir de sérieuses réticences (de la part de qui/quoi ?)
• savoir si ils ont eu vent d'arrestation de personnalités de la ville (et en savoir un peu plus sur ces personnes et les chefs d'inculpation)
• Savoir si certains lieux sont à éviter

Au terme de ces "négoces", Dwyfaêl laissera Laeven acheter la robe qu'elle peut "s'offrir" avec ses moyens, mais lui en offrira une autre, d'une plus belle qualité (dans la limite des prix raisonnables), sur laquelle elle semblait s'arrêter avec envie, ainsi
Non seulement le bouquiniste n'est pas insensible au charme de la Demoiselle, et lui offrir une belle robe est tout de même la moindre des choses. Mais encore, avec la salive qu'il a dépensée avec ces divers marchands, sous couvert de "professionnalisme" du marchandage et en "fin connaisseur" des étoffes et des divers produits proposés, il ne voudrait pas se dé-crédibilisé auprès de ces marchands en repartant uniquement avec une transaction de "bas étage" (d'ailleurs il tentera de négocier au meilleur prix les divers articles !!). Une cape à capuchon standard fera aussi partie du lot.
"La "discrétion" sera certainement la bienvenue à un moment ou un autre, belle demoiselle. Ceci fera forcément injure à votre magnifique chevelure et à votre sublime visage, mais vous permettra de les garder attachés à vos si fluettes et ravissantes épaules, ma chère.", glissera-t-il, en aparté, à la "divine sirène".

Il profitera aussi de leurs déplacements d'une boutique à l'autre -pendant que la Demoiselle s’évertuera à trouver une robe à la hauteur de sa bourse - ainsi qu'au milieu des ruelles et rues de la ville, pour observer les mouvements de la foule, des passants ou des miliciens à l'égard des deux "étranges" personnes qui l'escortent. Il tentera de déceler d'ailleurs si un "coursier" (un gamin, un adolescent ou même un adulte) se précipite, après leur passage, pour aller colporter en bon "collabo" que la "sorcière Tarish" se trouve à tel ou tel endroit, ou s'ils sont suivis.

Il ne manquera pas non plus, d'une échoppe à l'autre, d'une ruelle à l'autre d'en savoir un peu plus sur ses deux acolytes.

[Iris]

L'inénarrable Beau Parleur alias Dwyfaël à la canne ou le bouquiniste, se promenait et l'air de rien, bien occupé à négocier et aider la belle tarish à faire ses modestes courses, il réussit à obtenir quelques réponses à ses questions.

percevoir le degré d'inquiétude/optimisme/pessimisme des marchands quand à leur avenir proche et leur espérance de faire encore des affaires, se réapprovisionner...

Les marchands sont inquiets et pas mécontents de vendre car ils craignent qu'en cas de guerre, il y ait des pillages et / ou des incendies, et là, ils perdront beaucoup... L'humeur est plutôt au pessimisme et à la recherche de solutions de secours. Le réapprovisionnement semble avoir été "nationalisé", confié à des fidèles qui s'occupent de s'assurer que les réserves de la ville sont aussi élevées que possible pour pouvoir organiser des soupes populaires et globalement le rationnement durant le probable siège.

savoir comment pensent-ils se réapprovisionner ?

Tout dépend de ce que l'on cherche. Les denrées alimentaires ou médicales ou militaires seront bientôt rares et coûteuses, le reste ne devrait pas manquer de suite. Pas impossible que des produits civils soient reconvertis, notamment en projectiles... des manufactures plus ou moins improvisées allaient dit-on être organisées pour pouvoir faire des machines, des catapultes, ce genre de choses. Du bois allait sans doute aussi être rentrés en ville, d'urgence... Tout était fait dans l'urgence. L'économie civile devenait une économie de guerre : munitions, projectiles, armes, protections...

savoir ce qu'ils pensent qu'il va se produire dans les prochaines heures/jours

Logiquement il va y avoir des mesures pour organiser la ville pour un siège, donc rationnement, fabrications de défenses, organisation d'entraînements... Il commençait à y avoir des purges des fidèles du Temple, considérés comme des traîtres potentiels. Toute personne qui était du clergé devait renier ou mourir... et ça valait pour les laïcs aussi. Cependant, les plus pragmatiques pensaient que l'effervescence intégriste se calmerait avec l'approche de la guerre et de vrais problèmes concrets. Tout le jeu était de ne pas être massacré avant...

savoir s'ils ont une idée de la capacité militaire des nouveaux maîtres de la ville

Apparemment la garde suivait, avec des officiers de la nouvelle Vraie Foi... et on recrutait en masse : combattants au contact, à distance et logistique. La garantie d'avoir à manger... et d'être en danger.

savoir un peu plus qui est le nouveau maître de la ville et comment est-il parvenu à s'en rendre maître ?

Les détails étaient encore mal connus et quinze versions environ circulaient. Haldrid Firdh et ses fidèles étaient d'anciens notables et leur retour n'était sans doute pas exempt de liens avec un désir de vengeance personnelle suite à une obscure histoire de trahison et de spoliation. Ils étaient revenus... croyant aux nouveaux prophètes... quant à la rapidité et l'efficacité du coup de force... les uns disaient que ces gens étaient élus et dotés de capacités à accomplir des miracles glacés terrifiants... d'autres qu'il y avait quelque chose avec les souterrains de la ville...

Dwyfaël lui-même, ayant une curiosité pour les mystères et secrets avaient peut-être vaguement entendu parler de légendes circulant sur les profondeurs de la cité, des réseaux anciens, des prisons ou des refuges dont certains seraient paraît-il même aussi anciens que l'Aergerwin (âge mythique durant lequel les humains ont combattu des "choses" énormes, menés par des demorthèn surpuissants). Cependant il était difficile de faire des vérifications quant à ces souterrains car une entrée importante se situeraient sous les bâtiments du Temple, habituellement occupés par les fidèles du culte...

savoir si il peut s'appuyer avec assurance sur la "fidélité" des habitants, ou si il risque d'avoir de sérieuses réticences (de la part de qui/quoi ?)

Sujet sensible... actuellement tout le monde se méfiait plus ou moins de tout le monde, même s'il y avait de grands élans limite hystériques... C'était très étrange... dérangeant même... a priori les gens comptaient défendre leur cité par principe, car éviter une mise à sac était préférable, mais si les armées proposaient une alternative à la destruction... alors... difficile à dire... surtout que les Chevaliers Lames récemment recrutés étaient paraît-il des brutes de bas étage et autres repris de justice... seraient-ils vraiment disciplinés ? ... bref, actuellement, la part de combattants disciplinés risquait d'être un peu faible... et donc on craignait le pillage... et pire... restait tout de même les guerriers & moines venant de l'abbaye de Corvus. On les craignait autant qu'on les respectait...

savoir si ils ont eu vent d'arrestation de personnalités de la ville (et en savoir un peu plus sur ces personnes et les chefs d'inculpation)

Les arrestations étaient nombreuses, aussi bien de personnes importantes que de simples bourgeois connus pour être très pieux. Les chefs d'inculpations n'étaient pas clairs, mais ça ressemblait à de la "présomption de trahison future"... Autant dire qu'il n'était pas facile de se défendre contre une telle accusation. De manière générale, on criait volontiers "faux dévot" ou "mécréant" et toutes sortes de variantes de "chien d'hiérophantes" ou "laquais des sigires"... On disait qu'il y avait déjà eu pas mal de morts et que des exécutions publiques auraient lieu.

Savoir si certains lieux sont à éviter

La nouvelle cathédrale et les biens immobiliers du Temple étaient pour l'instant condamnés comme lieux maudits, donc s'y rendre et paraître vouloir prier serait mauvais. La bibliothèque faisait parti des sites désormais condamnés. La brûleraient-ils ? ... Comme dans la plupart des villes, le réseau d'égouts est dangereux... il est de manière générale déconseillé de sortir seul le soir car les petites rues formaient un dédale où les voyous se croyaient souvent les maîtres...


...

Quant à faire les courses pour la belle tarish et lui offrir une robe, compter entre 10 et 20 pour un beau lainage tombant bien et tout, avec sobriété... Mettons 15 pour un vêtement mi-saison qui fera l'automne et 10 pour celui qui ne fera que la fin de l'été... et 20 pour la tenue & accessoire pour faire le début de l'hiver. Le tout bien sûr, résultat d'âpres négociations.