Il se rend compte que ce qu'il voit l'effraie, le met a mal autant dans ses convictions que dans son corps et pourtant cela l'attire.
Que se passe-t-il réellement ici ? Quel est cette chose ? Pourquoi a-t-il cette aura quasi-divine ? Est-ce un démon des lymbes ou un dieu ? L'Unique ne serait-il pas seul ?
Tant de questions. Cette réalité qui se dévoile. Ces fragments de vérité.
Garn ne sait pas trop ce qu'il fait, mais il avance. L'homme accroupi, le prophete, leur indique : "- Il a une sorte de dague, une écharde maléfique qui a été plantée dans sa chair, ça le rend fou, c'est lui qui appelle les féondas !"
Il cherche du regard. Ou est cette chose ?
Un fois localisée, Garn s'approche de la dague. Il doit libéré cet etre qui souffre, et par la meme occasion la région.
Pendant qu'il s'aproche, il murmure, il prie son Unique : "Oh Protecteur, createur et gardien, prete moi ta force et accorde moi ta protection afin d'aider cet etre qui souffre. Dieu ou demon, il a le droit au repos et a l'oubli, pour qu'il puisse laisser en paix tes enfants. Oh Unique, je t'en supplie, aide-nous..."
Ne prétant guere d'importance a ce qui se passe au tour de lui, le Sigire continue sa progression vers la dague, s'en saisi et essaie de la tirer de l'etre.
Est-ce du suicide ? Peut-etre... Est-ce de la folie ? Sans doute...
By the way, Garn essaie d'invoquer un miracle : le Cercle de Protection. Dans les faits, ce qui importe le plus est le bonus/malus accordé car la zone d'effet se résume a lui tout seul. Ce n'est pas l'égoisme, c'est juste qu'il pense y aller seul.
Si l'appel ne fonctionne pas, ce que je peux comprendre, car il vient de se rendre compte que l'Unique n'a pas l'air d'etre seul, il y va quand meme armée de ses seuls idéaux.