OdE - Chap. 6.2 - Laboratoire d'analyse
Publié : 22 juil. 2013, 23:06
Finalement la réponse ne devais jamais venir... c'était une question rhétorique... J'avais été bête de ne pas m'en apercevoir...
On était tous crever, fatigué... Et la journée avait eut son lot d'interrogations bizarre... La mort ou pseudo mort de l'autre réformé, notre enfermement, la cause de la fermeture de l'usine... Ces éventuels habitants tous cela été déjà bien assez sans avoir à assumer les frasques d'une gamine incapable de se gérer. Je savais pertinemment que mon temps était compté... Mais jusqu'ici je n'avais vraiment rien fait pour m'économiser... Peut être parce que je voulais paraître à leur hauteur... En tous cas une chose était sûr : Je pouvais au moins leurs épargner mes état d'âmes... Aussi je le laisser fumer tranquillement et retombais dans un semi-coma...
A un moment, je vis s'approcher Maëlys, qui pour quelques instants avait quitter les bras protecteurs et réconfortant de son amour... Elle venait m'apporter de l'eau... Je fus sincèrement touchée par son geste. On était pas vraiment partie du bon pied elle et moi... Alors, je ne m'attendais pas vraiment à une telle réaction de sa part. Cela pouvait signifier deux choses... Soit s'était un geste d'apaisement de sa part... Soit je devais franchement pas être belle à voir... De tout mon cœur je souhaitais pour la première solution...
Je lui souris devant son geste hésitant... Et pressais fermement sa main... D'une voie faible, je la remerciais...
Puis, je retombais dans un sommeil agité de quinte de toux et d'éclat de sang... Je restais de long moment éveillée dans la pénombre... à remuer des pensées encore plus sombre... L'avenir n'avait jamais, allez soyons un peu honnête disons rarement, était très clair, mais en ce
moment il n'avait rien de très joyeux... La seule pensée positive que je voyais c'étais qu'avec tous cela, en finissant ici dans un boyau d'une usine magientiste, comme lorsque tout à commencer... Elle aurait une bonne excuse pour ne pas avoir tenue sa parole auprès de Van... La seule valable dans l'au delà, la seul qui fasse que l'on puisse reprendre sa parole à un mort... C'est que Aingeal l'avait rappelé avant...
Drôle de pensée positive... Je me consolais en écoutant les ronflements de Corentin qui dormait tranquillement sur mes genoux sa grosse tête attendrissante sur ma poitrine comme un gros bébé...
Combien de temps je restais dans cet état de somnolence... Honnêtement, je ne saurais le dire... lorsque je revins à moi, de la lumière inondait la salle... Cependant tout était calme... Les autre dormais ou se reposait... pas envie de les déranger...J'essayer de comptais... 1,2,3,4,5,6,7... Il manque quelqu'un je crois... Kevan... Le magientiste n'était pas là... Est ce qu'il lui était arrivé malheur... Est ce que lui aussi il était du style à ne pas tenir parole... Il avait dis qu'on s'en sortirais tous... Tous... Pas tous sauf Amy... Pas tous sauf lui... Je ne sais pas pourquoi mais cette idée m'affola... Pour une fois, je voulais qu'on s'en sorte tous... tous ensemble... Même Erwan...Même moi... Même Kevan... Qui aurait cru qu'un jour je puisse me faire du soucis pour un deamorthis... J'essayais de me relever déposant délicatement les pattes de mon chien sur le sol. Niveau délicatesse ca pouvait aller... mais question tenir sur mes deux patte à moi c'était déjà moins probant.... c'est à quatre patte que je me trainais jusqu'au feu... pour pendre les restes du repas que Maëlys avait du nous cuisiner... Je devais au moins lui reconnaitre cela... Elle était doué pour faire de la cuisine... Cela changer des racines dont j'avais l'habitude de me nourrir en période de vache... maigres... Pourquoi tant de précaution... Je ne savais pas... Peut être simplement parce que je ne pouvais admettre que je m'inquiétais pour eux... malgré le fait que tout autre réaction de ma part aurait été bien plus que de l'ingratitude... Mais ce n'était pas mon style vivre...seule.. mourir seule... C'était un de me plus grands regrets... de ne jamais avoir trouvé le moyen d'arrêter mon cerveau lorsqu'il partais complétement en vrille comme ce soir...
Après tous ce qu'il avait fait pour moi, il était normale que je témoigne de la gratitude à Kevan... Depuis le début de cet histoire, bien que sorti de nul par il s'était impliqué pour la survie du groupe... Il avait pris les choses en mains a tel points que depuis qu'il était là, je n'avais eu qu'à me reposer sur ses épaules et à me contenter de suivre... Et c'est vraiment reposant de suivre... Comme à l'époque avec Van...
... Stop arrête de penser...
Je prenais quelques denrées comestible et me dirigeais vers le labo... J'avais parier que c'était là bas qu'il se trouverais... Oh je méritais pas une médaille pour ma déduction... Il y avait de la lumière ce qui signifiait que forcement l'usine avait été remise en route et que donc quelqu'un était aller au labo de commande. Comme c'était le seul qui manquer et le seul à pouvoir remettre en route la machine... Le rapprochement m'avait semblé logique...
Lentement, péniblement, je m'enfonçais donc dans les tunnels... Chaque pas me coutais un peu plus... Pas tant physiquement que moralement... Plus j'avançais plus je haïssais l'ambiance... Bien trop familière du lieux... Du métal, des tubes, des engrenage prêt à t'emportait au moindre faux pas... C'est pour cela que j'aimais la foret... Il n'y avait de ce métal froid et inhumain... Impérieux et indestructible... Mes ongles gardait encore les séquelles de ces nuits passées à essayer, en dépit de toute raison et de toute douleur, d'altérer ces barreaux qui me retenais prisonnière... Victime de volontaire en quelque sortes de la folie des hommes et de la science... Mais jamais ils n'avaient cédé... Tous comme ces scalpels d'acier demeuré sourd à toutes mes suppliques, à tous mes hurlements... Si seulement, il avait juste pu me tuer... je haïssais le noir, le métal, et l'ambiance de cet usine... trop de souvenirs, vainement enfouis, remontaient à la surface...
Aujourd'hui... Bien des gens me trouvait bizarre, voir probablement folle à lier... mais à personne je ne souhaitais de passer par les casses par lesquelles j'étais passé... mais ce n'était pas leur fautes... Ce n'était donc pas à eux d'en subir les conséquences...
Je marchais lentement... Mais surement... L'avantage, probablement de savoir jusqu'à quel nerf donne quel ordre tellement tu as mal... L'avantage c'est qu'on fini par s'y habituer... Et puis dans le principe, avoir mal c'est être en vie... Faudrait quand même un jour, ou un soir, je ne suis pas regardante trouver un autre mode de fonctionnement... Le son de chaque pas allait se perdre dans le lointain... L'écho que me renvoyais la roche semblais venir de partout... J'avais de plus en plus l'impression d'être suivie... Je voulais forcé l'allure mais pour aller où... de toute façon tous cela n'était probablement que la création que mon cerveau fatigué... probablement... Était-ce des hurlements que j'entendais... non c'était des plaintes, des râles...être intellectuellement limité m'avait souvent jouer des tours... mais ce soir, ou cet après midi... en fait je n'avais aucune idée de l'heure qu'il était, je regrettais sincèrement de ne pas être tout simplement complètement abrutie... Cela m'aurait évité de penser ... En plus, peu être en raison de la fatigue, ou de la douleur... mais ma vison commençait à se brouiller... Finalement, j'aurais pas dû venir... Comme semblait me dire une des voix que j'entendais dans mon délire... J'aurais mieux fait de rester chez moi...
L'ennui c'est que j'ai pas de chez moi.
C'est avec un grand soulagement que je vis enfin.. la porte du labo... Je couru presque pour l'atteindre manquant de m'effondrer... Elle s'ouvrit dans un hurlement strident et glaçant... On eut dis que l'on égorgé quelqu'un...
Mais ou est l'interrupteur? On voit rien dans ce labo... Avant de pénétrer dedans, je pose ce que j'avais apportais pour Kevan à l'entrée... Inutile de tous renverser... A tâtons, j'avance dans cette obscurité... Par la force des choses je n'ai jamais eu peur du noir... mais je dois vous avouer que je ne l'ais jamais aimé non plus... Mon genou heurte quelque chose... je tombe ... et percute une console de plein fouet... La douleur n'est plus qu'une information parmi tous les endroits que me font mal...
Et j'aurai aimé pouvoir dire "Et la lumière fut"
Mais si l'obscurité effectivement cessa... Ce ne fut pas vraiment la lumière qui la remplaça... Ma première réaction fut complétement instinctive... Je hurlais... Je hurlais aussi fort que je pouvais aussi longtemps que mon souflle me le permis... Avec cet espoir insensé que quelqu'un viendrai m'aider, viendrai me protéger... Mais nul n'était jamais venu jusqu'à aujourd'hui... et cela n'allait changer aujourd'hui... Devant moi il n'y avait rien d'autre que l'horreur... l'horreur absolu et indicible... Des tables de torture, partout, à perte de vue... Avec ces instruments inhumains... ces sangles de maintient qui t'immobilise pendant que tu supplie pour que cela s'arrête... d'une façon ou d'une autre... Même de l'autre tu es d 'accord tu prends... Devant moi, je me revis toutes ces heures passées à prier... le regard soulagé de mes amis lorsqu'enfin la mort s'emparait d'eux...
Tétanisée, je hurlais incapable de bouger....
C'est alors que je le vis...endormi sur une table... Serin malgré toute la souffrance qu'il avait pu causé... Cette fois c'était lui ou moi... Et sans chercher à réfléchir d'avantage, je me précipitais sur lui, tentant d'attraper sa gorge pour l'étouffer... Je l'ai déjà fais je savais que moi aussi j'étais capable de tuer de mes propres mains...
On était tous crever, fatigué... Et la journée avait eut son lot d'interrogations bizarre... La mort ou pseudo mort de l'autre réformé, notre enfermement, la cause de la fermeture de l'usine... Ces éventuels habitants tous cela été déjà bien assez sans avoir à assumer les frasques d'une gamine incapable de se gérer. Je savais pertinemment que mon temps était compté... Mais jusqu'ici je n'avais vraiment rien fait pour m'économiser... Peut être parce que je voulais paraître à leur hauteur... En tous cas une chose était sûr : Je pouvais au moins leurs épargner mes état d'âmes... Aussi je le laisser fumer tranquillement et retombais dans un semi-coma...
A un moment, je vis s'approcher Maëlys, qui pour quelques instants avait quitter les bras protecteurs et réconfortant de son amour... Elle venait m'apporter de l'eau... Je fus sincèrement touchée par son geste. On était pas vraiment partie du bon pied elle et moi... Alors, je ne m'attendais pas vraiment à une telle réaction de sa part. Cela pouvait signifier deux choses... Soit s'était un geste d'apaisement de sa part... Soit je devais franchement pas être belle à voir... De tout mon cœur je souhaitais pour la première solution...
Je lui souris devant son geste hésitant... Et pressais fermement sa main... D'une voie faible, je la remerciais...
Puis, je retombais dans un sommeil agité de quinte de toux et d'éclat de sang... Je restais de long moment éveillée dans la pénombre... à remuer des pensées encore plus sombre... L'avenir n'avait jamais, allez soyons un peu honnête disons rarement, était très clair, mais en ce
moment il n'avait rien de très joyeux... La seule pensée positive que je voyais c'étais qu'avec tous cela, en finissant ici dans un boyau d'une usine magientiste, comme lorsque tout à commencer... Elle aurait une bonne excuse pour ne pas avoir tenue sa parole auprès de Van... La seule valable dans l'au delà, la seul qui fasse que l'on puisse reprendre sa parole à un mort... C'est que Aingeal l'avait rappelé avant...
Drôle de pensée positive... Je me consolais en écoutant les ronflements de Corentin qui dormait tranquillement sur mes genoux sa grosse tête attendrissante sur ma poitrine comme un gros bébé...
Combien de temps je restais dans cet état de somnolence... Honnêtement, je ne saurais le dire... lorsque je revins à moi, de la lumière inondait la salle... Cependant tout était calme... Les autre dormais ou se reposait... pas envie de les déranger...J'essayer de comptais... 1,2,3,4,5,6,7... Il manque quelqu'un je crois... Kevan... Le magientiste n'était pas là... Est ce qu'il lui était arrivé malheur... Est ce que lui aussi il était du style à ne pas tenir parole... Il avait dis qu'on s'en sortirais tous... Tous... Pas tous sauf Amy... Pas tous sauf lui... Je ne sais pas pourquoi mais cette idée m'affola... Pour une fois, je voulais qu'on s'en sorte tous... tous ensemble... Même Erwan...Même moi... Même Kevan... Qui aurait cru qu'un jour je puisse me faire du soucis pour un deamorthis... J'essayais de me relever déposant délicatement les pattes de mon chien sur le sol. Niveau délicatesse ca pouvait aller... mais question tenir sur mes deux patte à moi c'était déjà moins probant.... c'est à quatre patte que je me trainais jusqu'au feu... pour pendre les restes du repas que Maëlys avait du nous cuisiner... Je devais au moins lui reconnaitre cela... Elle était doué pour faire de la cuisine... Cela changer des racines dont j'avais l'habitude de me nourrir en période de vache... maigres... Pourquoi tant de précaution... Je ne savais pas... Peut être simplement parce que je ne pouvais admettre que je m'inquiétais pour eux... malgré le fait que tout autre réaction de ma part aurait été bien plus que de l'ingratitude... Mais ce n'était pas mon style vivre...seule.. mourir seule... C'était un de me plus grands regrets... de ne jamais avoir trouvé le moyen d'arrêter mon cerveau lorsqu'il partais complétement en vrille comme ce soir...
Après tous ce qu'il avait fait pour moi, il était normale que je témoigne de la gratitude à Kevan... Depuis le début de cet histoire, bien que sorti de nul par il s'était impliqué pour la survie du groupe... Il avait pris les choses en mains a tel points que depuis qu'il était là, je n'avais eu qu'à me reposer sur ses épaules et à me contenter de suivre... Et c'est vraiment reposant de suivre... Comme à l'époque avec Van...
... Stop arrête de penser...
Je prenais quelques denrées comestible et me dirigeais vers le labo... J'avais parier que c'était là bas qu'il se trouverais... Oh je méritais pas une médaille pour ma déduction... Il y avait de la lumière ce qui signifiait que forcement l'usine avait été remise en route et que donc quelqu'un était aller au labo de commande. Comme c'était le seul qui manquer et le seul à pouvoir remettre en route la machine... Le rapprochement m'avait semblé logique...
Lentement, péniblement, je m'enfonçais donc dans les tunnels... Chaque pas me coutais un peu plus... Pas tant physiquement que moralement... Plus j'avançais plus je haïssais l'ambiance... Bien trop familière du lieux... Du métal, des tubes, des engrenage prêt à t'emportait au moindre faux pas... C'est pour cela que j'aimais la foret... Il n'y avait de ce métal froid et inhumain... Impérieux et indestructible... Mes ongles gardait encore les séquelles de ces nuits passées à essayer, en dépit de toute raison et de toute douleur, d'altérer ces barreaux qui me retenais prisonnière... Victime de volontaire en quelque sortes de la folie des hommes et de la science... Mais jamais ils n'avaient cédé... Tous comme ces scalpels d'acier demeuré sourd à toutes mes suppliques, à tous mes hurlements... Si seulement, il avait juste pu me tuer... je haïssais le noir, le métal, et l'ambiance de cet usine... trop de souvenirs, vainement enfouis, remontaient à la surface...
Aujourd'hui... Bien des gens me trouvait bizarre, voir probablement folle à lier... mais à personne je ne souhaitais de passer par les casses par lesquelles j'étais passé... mais ce n'était pas leur fautes... Ce n'était donc pas à eux d'en subir les conséquences...
Je marchais lentement... Mais surement... L'avantage, probablement de savoir jusqu'à quel nerf donne quel ordre tellement tu as mal... L'avantage c'est qu'on fini par s'y habituer... Et puis dans le principe, avoir mal c'est être en vie... Faudrait quand même un jour, ou un soir, je ne suis pas regardante trouver un autre mode de fonctionnement... Le son de chaque pas allait se perdre dans le lointain... L'écho que me renvoyais la roche semblais venir de partout... J'avais de plus en plus l'impression d'être suivie... Je voulais forcé l'allure mais pour aller où... de toute façon tous cela n'était probablement que la création que mon cerveau fatigué... probablement... Était-ce des hurlements que j'entendais... non c'était des plaintes, des râles...être intellectuellement limité m'avait souvent jouer des tours... mais ce soir, ou cet après midi... en fait je n'avais aucune idée de l'heure qu'il était, je regrettais sincèrement de ne pas être tout simplement complètement abrutie... Cela m'aurait évité de penser ... En plus, peu être en raison de la fatigue, ou de la douleur... mais ma vison commençait à se brouiller... Finalement, j'aurais pas dû venir... Comme semblait me dire une des voix que j'entendais dans mon délire... J'aurais mieux fait de rester chez moi...
L'ennui c'est que j'ai pas de chez moi.
C'est avec un grand soulagement que je vis enfin.. la porte du labo... Je couru presque pour l'atteindre manquant de m'effondrer... Elle s'ouvrit dans un hurlement strident et glaçant... On eut dis que l'on égorgé quelqu'un...
Mais ou est l'interrupteur? On voit rien dans ce labo... Avant de pénétrer dedans, je pose ce que j'avais apportais pour Kevan à l'entrée... Inutile de tous renverser... A tâtons, j'avance dans cette obscurité... Par la force des choses je n'ai jamais eu peur du noir... mais je dois vous avouer que je ne l'ais jamais aimé non plus... Mon genou heurte quelque chose... je tombe ... et percute une console de plein fouet... La douleur n'est plus qu'une information parmi tous les endroits que me font mal...
Et j'aurai aimé pouvoir dire "Et la lumière fut"
Mais si l'obscurité effectivement cessa... Ce ne fut pas vraiment la lumière qui la remplaça... Ma première réaction fut complétement instinctive... Je hurlais... Je hurlais aussi fort que je pouvais aussi longtemps que mon souflle me le permis... Avec cet espoir insensé que quelqu'un viendrai m'aider, viendrai me protéger... Mais nul n'était jamais venu jusqu'à aujourd'hui... et cela n'allait changer aujourd'hui... Devant moi il n'y avait rien d'autre que l'horreur... l'horreur absolu et indicible... Des tables de torture, partout, à perte de vue... Avec ces instruments inhumains... ces sangles de maintient qui t'immobilise pendant que tu supplie pour que cela s'arrête... d'une façon ou d'une autre... Même de l'autre tu es d 'accord tu prends... Devant moi, je me revis toutes ces heures passées à prier... le regard soulagé de mes amis lorsqu'enfin la mort s'emparait d'eux...
Tétanisée, je hurlais incapable de bouger....
C'est alors que je le vis...endormi sur une table... Serin malgré toute la souffrance qu'il avait pu causé... Cette fois c'était lui ou moi... Et sans chercher à réfléchir d'avantage, je me précipitais sur lui, tentant d'attraper sa gorge pour l'étouffer... Je l'ai déjà fais je savais que moi aussi j'étais capable de tuer de mes propres mains...