[Livre des Morts] Chap.1-Déranger les certitudes | Saison 1
Re: [Artland - Livre des Morts] Chap.1 - Déranger les certit
"Disposez-vous d'un revolver?
Je n'ai pas le mien sur moi."
Matthew préférait ne pas prendre de risque, une arme à feu c'est utile parfois.
Et même si il aime la boxe, il n'est pas non plus un homme des plus dangereux.
Enfin il lui reste ses tranquillisants.
Je n'ai pas le mien sur moi."
Matthew préférait ne pas prendre de risque, une arme à feu c'est utile parfois.
Et même si il aime la boxe, il n'est pas non plus un homme des plus dangereux.
Enfin il lui reste ses tranquillisants.
CHAMPI VAINCRA !!!!
car il est légion!!!!!
enfin presque ......
car il est légion!!!!!
enfin presque ......
- Iris
- Grand Ancien
- Messages : 16881
- Inscription : 14 févr. 2011, 17:31
- Localisation : Nord-Est de Lyon
- Contact :
Re: [Artland - Livre des Morts] Chap.1 - Déranger les certit
Alfred, en l'absence de réponse de son honorable patron, répondit :
" Certaines armes sont bien enregistrées au nom de M. Emsley."
En l'occurrence fusil de chasse et revolver Lachésis (?)... Mais Walter qui renonçait à venir avec une canne (canne-épée ?), prêterait-il un revolver à Matthew, sachant que l'arme étant à son nom et en principe strictement personnelle, elle n'était a priori pas destinée à être prêtée.
" Certaines armes sont bien enregistrées au nom de M. Emsley."
En l'occurrence fusil de chasse et revolver Lachésis (?)... Mais Walter qui renonçait à venir avec une canne (canne-épée ?), prêterait-il un revolver à Matthew, sachant que l'arme étant à son nom et en principe strictement personnelle, elle n'était a priori pas destinée à être prêtée.
État actuel sur les armes en Artland, ouvert à modification & développements a écrit :Les principales marques d'armes à feu
Jaegermeister : abrégé en « Jaeger » dans les conversations entre connaisseurs ou JM dans les nomenclatures des différents modèles de la marque. Le nom vient du fondateur, Hermann Guts qui était un garde-chasse dans un domaine des Westwaelder et qui avait pris l’habitude de bricoler et réparer les armes dans son atelier. La légende de l’entreprise prétend qu’il aurait eu une liaison avec l’épouse du maître du domaine et qu’il fut pour cela renvoyé et s’en alla tenter sa chance à Espérance puis Dôme où il démarra son affaire en 1162. Il se consola de son aventure en épousant une fois sa fortune faite une jeune fille issue d’une famille d’industriels et depuis lors l’entreprise est restée entre les mains de ses héritiers. Jaegermeister est spécialisée dans la conception et fabrication de fusils de chasse et de précision, avec des calibres et munitions adaptés tant à la chasse au canard qu’à celle du rhinocéros dans la lointaine Jaya. Les armes les moins courantes sont fabriquées à la commande. La société chercherait à se développer en s’introduisant sur le marché de l’industrie de la guerre.
Marquise : abrégé en MQ dans les nomenclatures de modèles, l’entreprise fut fondée en 1116 par l’héritière de la maison Ter-rade. Le personnage d’Élisabeth de Terrade marqua son époque et inspira d’ailleurs une série de romans d’aventures « Mylady Lise » dont les différents volets ont été écrits par plusieurs auteurs successifs sans nécessairement de souci de cohérence d’ensemble. Ils sont encore beaucoup lus par les adolescents des deux sexes qui ont là leur comptant d’amours passionnelles, d’érotisme léger et d’action trépidante, exotique autant qu’invraisemblable. La marque est spécialisée dans les armes de duel, pistolets luxueux à crosse en ivoire par exemple, mais surtout des armes blanches telles que des épées légères, rapières assassines, et armes d’entraînement en escrime. S’appuyant sur son image, le Conseil de direction de Marquise a décidé de développer une gamme de maroquinerie, sacs, ceintures et autres accessoires en cuir. La marque est notamment bien connue du grand public citadin par son « firmament d’argent sur fond de violine marquise », un motif récurrent et typé. Certains articles dans la presse mondaine évoquent l’intérêt de l’entreprise pour la parfumerie afin de diversifier ses activités et de poursuivre son développement dans le marché du luxe.
Lachésis : abrégé en LC dans les nomenclatures de modèles, est une entreprise assez discrète par rapport à son importance. Elle fut fondée en 1193 par Lucius Carvel, un farseeren de Port Ouadjourat qui revenait en métropole avec son épouse Agidô, une melytaine capturée par des pirates et réduite en esclavage avant qu’il ne la rachète pour la libérer. Beaucoup ignorent que le nom de l’entreprise fut choisi en hommage à une déesse melytaine, croyant que le sigle est LC pour Lucius Carvel. Lachésis est le nom d’une espèce de grandes vipères hautement venimeuses, mais aussi celui d’une des trois Moires ou « Destinées », ces déesses qui filent le destin des humains. Lachésis décide de sa longueur et de sa qualité, elle est la répar-titrice, le sort, celle qui tire au sort, marquant par là un aspect de choix qui se trouve entre les mains du tireur : laisser continuer la vie, blesser ou tuer. L’entreprise est spécialisée dans la fabrication de revolvers qui portent tous une sentence différente gravée sur le canon de l’arme. Il peut s’agir d’un vers de poème artlandais ou non, d’une prière, d’une devise, d’un vœu… La gravure a lieu obligatoirement avant la vente, à la commande, et répond à une demande explicite du client. Pas de sentence, pas d’arme, et cela indépendamment de la somme que l’acheteur est prêt à débourser. Ce rituel assez peu commercial est attribué à Agidô, mais aucune explication n’est donnée par l’entreprise. Certains supposent qu’il s’agit d’un moyen d’impliquer personnellement l’utilisateur d’une arme, qu’il la considère sérieusement, tout comme l’acte de s’en servir. D’un point de vue pratique, il est assez facile, une fois une Lachésis retrouvée, d’identifier son propriétaire initial, l’entreprise ayant des registres complets des achats effectués et accessible sur requête motivée. Les détectives et investigateurs peuvent faire une demande qui sera acceptée si elle reçoit un aval officiel d’un juge considérant l’enquête privée comme légitime, tamponnée et signée. Étrangement certaines demandes pourtant motivées se heurtent à des résistances courtoises et des réponses polies mais floues. Il paraît que Lachésis est en contrat avec le gouvernement pour armer les services secrets et les noms des agents ne peuvent être révélés pour des raisons évidentes. Une légende urbaine rapporte que la « section Hellsing » serait équipée par Lachésis, mais la plupart des gens qui le disent n’ont aucune idée des activités que peut bien avoir ladite section dont le nom évoque le lieu mythique de l’Enfer.
Armes courantes
Pistolet de duel. Contrairement aux actuels pistolets artlandais semi-automatiques, le pistolet de duel est assez puissant et précis et s’enraille rarement quand il est bien entretenu. Le pistolet se distingue du revolver en disposant d'une chambre intégrée au canon.
MQ-98 « Larme ». Élégante arme au long canon, remarquablement précise et équilibrée. Il faut presque faire exprès pour manquer une cible à moins de 20m. N’est chargé que d’une seule cartouche à la fois. Vendu par paire dans un coffret en bois laqué pour 5000 deniers.
Revolver. Première arme de poing permettant le rechargement automatique, le revolver est caractérisé par son barillet contenant des chambres pour des cartouches individuelles, généralement au nombre de six. Il est assez lent à recharger et assez lourd par rapport à un pistolet. Le tir est précis mais d’une puissance réduite par la perte d’une partie des gaz entre le barillet et le canon.
LC-18 « Résolution ». Modèle le plus courant. Arme à six coups qui chambre du moyen calibre normal et tolère les petits calibres. Son recul est moyen et sa précision bonne, faisant de lui une arme polyvalente adaptée à la ville. Coûte autours de 1000 deniers.
LC-30 « Destructeur ». Revolver à six coups qui admet du très gros calibre. Cette arme est lourde et demande pour la plupart des gens d’être tenue à deux mains et vaut un sévère recul. Coûte autours de 2000 deniers
L’achat d’une arme ou d’un produit dangereux
La législation sur l’achat d’une arme est la même que pour tous les produits dangereux dont font parti par exemple les composés chimiques toxiques.
L’acheteur se présente auprès d’un vendeur dont l’activité est déclarée et qui a l’obligation de tenir un inventaire précis de ses stocks. Le simple fait de se fournir auprès d’un individu dont on sait pertinemment qu’il ne respecte pas ces formalités est un délit qui laisse par ailleurs craindre la préméditation d’une action criminelle.
Au moment de l’achat ou de la commande si l’objet ou le pro-duit n’est pas en stock, le client doit décliner son identité, son adresse, sa profession et le motif de sa course. Il s’agit généra-lement d’une formalité. N’importe quel chimiste amateur n’a aucun mal à se fournir en substance toxique auprès d’une pharmacie par exemple. Cependant en cas d’enquête, les registres d’achat de produits dangereux peuvent être consultés par la police et par des enquêteurs privés justifiant d’une raison légitime de mener leur enquête.
Meneuse : Ombres d'Esteren | Dragons
Joueuse : /
Joueuse : /
Re: [Artland - Livre des Morts] Chap.1 - Déranger les certit
"J'ai bien des armes à mon nom mais je ne peux vous les prêter la législation est telle qu'en cas de problème cela nous retomberait dessus. Vous devriez faire comme moi, toujours sortir couvert."
Walter ouvrit un battant de sa veste laissant apparaître son arme. Il était paranoïaque c'était un fait, une arme ne le quittait jamais.
"Il est cependant possible de vendre des armes dans la mesure où l'on respecte un certain schéma et où les informations sont remontées à qui de droit. Alfred vous me confirmez ?"
Si c'est bien le cas, un contrat de vente sera établi entre Walter et Matthew, contrat portant sur un revolver Jaegermeister tout ce qu'il y a de plus simple. Le seul achat hors Lachésis de Walter lorsqu'il cherchait une arme lui convenant. Depuis qu'il avait trouvé il ne se procurait que chez Lachésis.
Pour sa part Walter portait un Résolution, mais le modèle Destructeur dans son labo ne tarderait pas à le rejoindre lors des missions "spéciales" dès lors que l'implantation des sillons serait terminée.
Walter ouvrit un battant de sa veste laissant apparaître son arme. Il était paranoïaque c'était un fait, une arme ne le quittait jamais.
"Il est cependant possible de vendre des armes dans la mesure où l'on respecte un certain schéma et où les informations sont remontées à qui de droit. Alfred vous me confirmez ?"
Si c'est bien le cas, un contrat de vente sera établi entre Walter et Matthew, contrat portant sur un revolver Jaegermeister tout ce qu'il y a de plus simple. Le seul achat hors Lachésis de Walter lorsqu'il cherchait une arme lui convenant. Depuis qu'il avait trouvé il ne se procurait que chez Lachésis.
Pour sa part Walter portait un Résolution, mais le modèle Destructeur dans son labo ne tarderait pas à le rejoindre lors des missions "spéciales" dès lors que l'implantation des sillons serait terminée.
- Iris
- Grand Ancien
- Messages : 16881
- Inscription : 14 févr. 2011, 17:31
- Localisation : Nord-Est de Lyon
- Contact :
Armes
La firme Jaegermeister était spécialisée en fusils. Il était possible d'en obtenir d'assez courts et aisément transportables sur commande, mais point de revolver en vue. Les armes de poing en Artland peuvent avoir comme origine :
Autre facteur à considérer : bon nombre de paranoïaques ont un revolver, et le portent ; en revanche, les gens qui ont sur eux des fusils sont plus rares.
" Monsieur, la vente d'arme est bien sûr possible, mais il me semble que votre fusil court Jaegermeister reste une arme assez volumineuse. Il faudra a minima un manteau long pour le dissimuler et l'usage dans les clubs et cabarets est d'ôter son manteau au vestiaire. "
" Si je puis me permettre, il n'est peut-être pas vital que vous portiez tous une arme à feu. Si des personnes observatrices remarquent un porteur de revolver, elles songeront à un excentrique prudent, mais deux ou trois personnes ensemble et armées ne pourront manquer de susciter une vive inquiétude."
Adresse bien sûre récupérée par Juste, sans quoi la seule mention du club ne suffirait pas pour le trouver rapidement.
- Firme Lachésis
- Marquise (pistolets essentiellement)
- Marque AA (armée artlandaise), fournit également les forces de police. Bien sûr, cet équipement est normalement destiné exclusivement aux forces de l'ordre, trouver un "AA" ailleurs signale une anomalie dans l'historique de l'arme. Possibilité de se procurer ponctuellement des surplus militaires, AAS (cette dernière lettre étant ajoutée). Toutes les armes AA ou AAS présentent un numéro devant permettre de l'identifier et savoir quel soldat ou policier se l'est vue attribuer (ou si elle est restée dans les caisses). Les modèles AAS font figure d'arme "quelconque", les moins chères.
- Armuriers indépendants (il en existe quelques uns qui conçoivent des armes sur mesure)
Autre facteur à considérer : bon nombre de paranoïaques ont un revolver, et le portent ; en revanche, les gens qui ont sur eux des fusils sont plus rares.
" Monsieur, la vente d'arme est bien sûr possible, mais il me semble que votre fusil court Jaegermeister reste une arme assez volumineuse. Il faudra a minima un manteau long pour le dissimuler et l'usage dans les clubs et cabarets est d'ôter son manteau au vestiaire. "
" Si je puis me permettre, il n'est peut-être pas vital que vous portiez tous une arme à feu. Si des personnes observatrices remarquent un porteur de revolver, elles songeront à un excentrique prudent, mais deux ou trois personnes ensemble et armées ne pourront manquer de susciter une vive inquiétude."
" Je me suis permis de vous faire appeler un fiacre qui vous permettra de joindre rapidement les alentours du cimetière de la Pitié qui se trouve assez près de l'adresse du club."Métajeu a écrit :Comme déjà précisé, l'armement est du WIP, donc si vous avez des idées / suggestions, on peut largement étoffer les options
Grosso modo, la législation et le mode de vente d'arme est conçu pour que vous ayez assez aisément accès à des armes à feu, mais pas au point qu'il soit courant de sortir de chez soi armé jusqu'aux dents. Côté pègre, pareil, en général, seuls les criminels qui ont un peu réussi ont des armes à feu, les autres se débrouillent principalement au couteau à cran ou à la matraque. Le fait que sur trois personnes, une seule ait une arme à feu et que les autres soient au poing ou au couteau est une situation "normale".
Adresse bien sûre récupérée par Juste, sans quoi la seule mention du club ne suffirait pas pour le trouver rapidement.
Meneuse : Ombres d'Esteren | Dragons
Joueuse : /
Joueuse : /
Re: [Artland - Livre des Morts] Chap.1 - Déranger les certit
"Je ferais sans j'ai d'autre ressource à ma disposition, nous aviserons sur place."
Matthew n'étant pas violant de nature, il préfère éviter le conflit.
Il verra bien plus tard.
Et puis il y a champi et ses fils.
Matthew n'étant pas violant de nature, il préfère éviter le conflit.
Il verra bien plus tard.
Et puis il y a champi et ses fils.
CHAMPI VAINCRA !!!!
car il est légion!!!!!
enfin presque ......
car il est légion!!!!!
enfin presque ......
- Iris
- Grand Ancien
- Messages : 16881
- Inscription : 14 févr. 2011, 17:31
- Localisation : Nord-Est de Lyon
- Contact :
Séquence narrative
Les trois hommes sortirent finalement du Club pour partir à la recherche de l'Enfer. Dehors il faisait nuit, un temps glacial avec des bourrasques portant une désagréable pluie fine. Le sol était froid et on pouvait s'attendre à ce qu'il gèle dans les heures prochaines. Les sabots des chevaux claquaient sur le pavé, et le souffle des bêtes se dessinait, entr'aperçu grâce aux lanternes du cocher. On distinguait à peine ses yeux, dissimulé qu'il était dans d'épais vêtements sombres. Il était difficile de ne pas penser aux récits sur ces héros mythiques qui se rendaient dans le monde des morts, guidés par un cheval noir, s'enfonçant dans les ténèbres, un charron sans visage leur faisant traverser les fleuves infernaux qui, ici, prenaient la forme de canaux inquiétants, qui charriaient les corps des victimes de meurtre et de suicide de la ville...
Ils descendirent de voiture à côté du grand cimetière de Liberté, discernant les silhouettes des cyprès, des saules et des ifs immortels, ces arbres des morts, de la douleur et de la renaissance.
La voiture les abandonnait ici, en ce lieu consacré au sommeil éternel et glacé des trépassés.
Les Artlandais ne s'encombrent pas de religion... mais n'en sont pas moins fascinés par cet absolu et cette mélancolie douce-amère qui se dégagent de ce terme inéluctable. Certains s'exercent à rédiger les testaments les plus élégants, les mieux conçus, les plus philosophes et moralement exemplaires, allant jusqu'à les lire à l'occasion de dîner. Ici ce bavardage était vain. Seul le silence, aussi pesant que les dalles de granit, demeurait.
...
Le trio se glissa dans les rues étroites des Bas Canaux, longeant les eaux sombres et silencieuse parfois vaguement éclairés d'un bec de gaz fantomatique, accroché à quelque support d'acier aux courbures gothique. On n'était qu'en bordure du quartier, il n'y avait que peu d'ombres à visage humain pour deviner leur passage.
...
Enfin, ils arrivèrent devant les marches menant en Enfer...
...
Ils descendirent de voiture à côté du grand cimetière de Liberté, discernant les silhouettes des cyprès, des saules et des ifs immortels, ces arbres des morts, de la douleur et de la renaissance.
La voiture les abandonnait ici, en ce lieu consacré au sommeil éternel et glacé des trépassés.
Les Artlandais ne s'encombrent pas de religion... mais n'en sont pas moins fascinés par cet absolu et cette mélancolie douce-amère qui se dégagent de ce terme inéluctable. Certains s'exercent à rédiger les testaments les plus élégants, les mieux conçus, les plus philosophes et moralement exemplaires, allant jusqu'à les lire à l'occasion de dîner. Ici ce bavardage était vain. Seul le silence, aussi pesant que les dalles de granit, demeurait.
...
Le trio se glissa dans les rues étroites des Bas Canaux, longeant les eaux sombres et silencieuse parfois vaguement éclairés d'un bec de gaz fantomatique, accroché à quelque support d'acier aux courbures gothique. On n'était qu'en bordure du quartier, il n'y avait que peu d'ombres à visage humain pour deviner leur passage.
...
Enfin, ils arrivèrent devant les marches menant en Enfer...
...
Meneuse : Ombres d'Esteren | Dragons
Joueuse : /
Joueuse : /
-
- Mathusalem
- Messages : 5917
- Inscription : 17 févr. 2011, 17:16
Re: [Artland - Livre des Morts] Chap.1 - Déranger les certit
Juste qui avait peu dormi la nuit dernière et qui plus est, compter aller accompagné aux Enfers le lendemain, préféra ne pas se joindre au patron et son compagnon.
Il justifia cela également au fait qu'il préférer garantir sa couverture en restant entre adolescent, en fonction des découvertes de ses amis, il pourra le lendemain orienter ses recherches avec une approche différente.
Après avoir grignoté et ramener quelques morceaux à Brigadier, il essaya un peu de réfléchir à la meilleure manière de peindre l'aura à la façon de la photographie mais ne tarda pas à s'assoupir sur son esquisse. Quelques heures plus tard, Brigadier réussi à lui faire rouvrir un œil et il alla se traîner jusqu'au lit.
Il attendra ses compagnons dans le salon après avoir effectué les tâches matinales confiées par Alfred.
Il justifia cela également au fait qu'il préférer garantir sa couverture en restant entre adolescent, en fonction des découvertes de ses amis, il pourra le lendemain orienter ses recherches avec une approche différente.
Après avoir grignoté et ramener quelques morceaux à Brigadier, il essaya un peu de réfléchir à la meilleure manière de peindre l'aura à la façon de la photographie mais ne tarda pas à s'assoupir sur son esquisse. Quelques heures plus tard, Brigadier réussi à lui faire rouvrir un œil et il alla se traîner jusqu'au lit.
Il attendra ses compagnons dans le salon après avoir effectué les tâches matinales confiées par Alfred.
MJ:Warhammer, MektonZ
PJ:[AdC] Agent Irish
Ainsi que d'innombrables PJ sacrifiés sur l'autel de la Fortune, Impératrice des Mondes ...
PJ:[AdC] Agent Irish
Ainsi que d'innombrables PJ sacrifiés sur l'autel de la Fortune, Impératrice des Mondes ...
- Iris
- Grand Ancien
- Messages : 16881
- Inscription : 14 févr. 2011, 17:31
- Localisation : Nord-Est de Lyon
- Contact :
Sur Pause
Métajeu a écrit :La situation est telle que les PJ sont arrêtés à un moment auquel il n'est pas trop difficile de revenir / redémarrer. Je laisse donc les choses telles qu'elles sont en attendant le retour de Wolfen.
1. Du côté du Club
Juste était fatigué, avait peu dormi et devait s'adapter à une toute nouvelle vie qui, si tant était qu'elle fût intéressante, n'en demandait pas moins des efforts. Il plongea dans un sommeil profond d'où il ne garda aucun souvenir de rêves.
Métajeu a écrit :Mise à l'épreuve de la Sensibilité : RIEN. Donc pas de récit de rêve, juste un sommeil réparateur.
2. Du côté de l'Enfer
Walter Emsley et Matthew Rainhorm se tenaient désormais sur le seuil de l'Enfer. Il ne restait plus qu'à descendre les marches, notant que chacune était nommée d'après une "bonne intention" qui pouvait conduire à la damnation, ou bien qui aurait pu être dite par un accusé qui essaie d'amoindrir ses actes : "La fin justifie les moyens", "Je voulais bien faire", "Je voulais qu'elle reste avec moi", "C'était un accident", '"Il l'a bien cherché !", "Tout ça, c'est sa faute !", "C'était par amour" ...
Meneuse : Ombres d'Esteren | Dragons
Joueuse : /
Joueuse : /
Re: [Artland - Livre des Morts] Chap.1 - Déranger les certit
Matthew commence la descente en Enfer, sacré jeu de mots.
Il se prépare mentalement à ce qu'il pourrait voir.
"Allons-y, nous verrons bien."
Il se prépare mentalement à ce qu'il pourrait voir.
"Allons-y, nous verrons bien."
CHAMPI VAINCRA !!!!
car il est légion!!!!!
enfin presque ......
car il est légion!!!!!
enfin presque ......
- Iris
- Grand Ancien
- Messages : 16881
- Inscription : 14 févr. 2011, 17:31
- Localisation : Nord-Est de Lyon
- Contact :
Fin de saison 1
Les investigateurs du Club s'étaient vu confier une mission : retrouver Leslie Grisham, disparue depuis peu.
Les premiers indices signalaient :
Concernant l'homme mystérieux dont Leslie semblait amoureuse :
Parmi les éléments inquiétants et signalant que la situation pouvait être urgente :
Au cours de la nuit, un cadavre a été retrouvé... avec non loin un objet appartenant à Leslie, apparemment perdu sur les lieux ... Que s'est-il passé ? Quel est son lien avec ce meurtre ?
Les premiers indices signalaient :
- une fascination amoureuse pour un homme inquiétant
- la fréquentation du milieu "gothique" un peu sur le mode de la rébellion
- de même, un décrochage scolaire (enfin, universitaire)
Concernant l'homme mystérieux dont Leslie semblait amoureuse :
- il avait été vu à l'Enfer, mais n'y était pas présentement, et n'y avait pas été depuis quelques temps
- description : dans les 1m80, bien bâti, moustaches et cheveux brun sombre, yeux de même, élégant, se présentant sous une fausse identité mais supposé être issu d'une bonne famille
- il était connu pour être membre d'un club lié au "Cadran d'Or", établissement occulte chic
Parmi les éléments inquiétants et signalant que la situation pouvait être urgente :
- Leslie était épileptique, en quête de sens et d'émancipation : elle n'en pouvait plus d'être constamment couvée et traitée comme une pauvre petite chose fragile à cause de sa maladie
- Elle était également somnambule, mais durant ces crises, avaient tendance à des pulsions violentes qui avaient effrayé ses parents et les domestiques... serait-elle capable de tuer dans cet état ?
Au cours de la nuit, un cadavre a été retrouvé... avec non loin un objet appartenant à Leslie, apparemment perdu sur les lieux ... Que s'est-il passé ? Quel est son lien avec ce meurtre ?
Meneuse : Ombres d'Esteren | Dragons
Joueuse : /
Joueuse : /