Re: Artland Chap.2.1 - Le récupérateur de cadavre (5 nov. 12
Publié : 11 mars 2013, 15:19
Ce moment était assez curieux pour Lydia : elle était à peine dévêtue, portant toujours sa robe, et ne montrait finalement que ce que son amant avait bien voulu dévoiler, ce qui contrastait avec son amant, nu comme au premier jour. Elle conservait donc en quelque sorte une certaine décence jusque dans l'intimité de la chambre, tout en pratiquant avec son amant l'acte charnel. C'était à la fois étrange et plaisant car elle n'était pas (ou plus ?) habituée à ce genre de choses, son époux ayant été fort classique en amour. En outre, et c'était surtout ce qui lui plaisait dans cette situation, elle avait l'impression de dominer la situation, voire même même son partenaire. Au-dessus de lui, guidant leurs gestes, toujours vêtue de sa robe quand son amant était nue, elle se sentait telle une reine, à la fois belle et majestueuse, désirée et enviée. C'était un moment de pur bonheur qu'elle partageait avec lui et il ne s'acheva que quand l'extase s'empara totalement d'eux.
Quand ils eurent fini, Lydia s'allongea près de lui et, tout en caressant tendrement son torse, l'embrassa. Ce baiser était à la fois un geste de gratitude et d'amour car elle le remerciait pour tout ce qu'ils vivaient ensemble, mais exprimait également ainsi ses sentiments pour lui. Elle y mit elle-même fin après quelques instants afin de parler, ayant quelque chose à dire à son amant. Elle troublait certes un moment merveilleux en agissant de la sorte, mais elle en ressentait le besoin et pensait qu'il était dans leur intérêt d'évoquer de tels sujets avant de laisser le sommeil les prendre. Elle se sentait suffisamment sereine pour en parler.
"Thomas, je ne veux te gêner en aucune façon, mais... Je crois que notre relation doit être officielle. Je ne suis plus uniquement veuve, je suis aussi "mère adoptive" ou tutrice légale, ce qui implique des responsabilités et ne me permet pas de vivre ce genre de vie dissolue. C'est grisant de partager de tels moments avec toi, mais en tant que femme d'un certain rang et d'un certain âge, cela ne me suffit guère et je dois donc prendre une décision..."
Elle soupira, visiblement très sérieuse, avant de reprendre sur un ton presque grave :
"Je sais que nous ne nous connaissons pas depuis très longtemps, mais... Je veux que notre union soit officielle. Je veux que Juste soit à l'abri de tout. Je veux aussi être mère. J'aimerais aussi travailler sans craindre de me retrouver sans le sou. J'ai besoin d'une situation stable."
Elle se mordit la lèvre, gênée. Elle culpabilisait en agissant ainsi. Amener un tel sujet sur le tapis n'avait rien de très romantique...
Quand ils eurent fini, Lydia s'allongea près de lui et, tout en caressant tendrement son torse, l'embrassa. Ce baiser était à la fois un geste de gratitude et d'amour car elle le remerciait pour tout ce qu'ils vivaient ensemble, mais exprimait également ainsi ses sentiments pour lui. Elle y mit elle-même fin après quelques instants afin de parler, ayant quelque chose à dire à son amant. Elle troublait certes un moment merveilleux en agissant de la sorte, mais elle en ressentait le besoin et pensait qu'il était dans leur intérêt d'évoquer de tels sujets avant de laisser le sommeil les prendre. Elle se sentait suffisamment sereine pour en parler.
"Thomas, je ne veux te gêner en aucune façon, mais... Je crois que notre relation doit être officielle. Je ne suis plus uniquement veuve, je suis aussi "mère adoptive" ou tutrice légale, ce qui implique des responsabilités et ne me permet pas de vivre ce genre de vie dissolue. C'est grisant de partager de tels moments avec toi, mais en tant que femme d'un certain rang et d'un certain âge, cela ne me suffit guère et je dois donc prendre une décision..."
Elle soupira, visiblement très sérieuse, avant de reprendre sur un ton presque grave :
"Je sais que nous ne nous connaissons pas depuis très longtemps, mais... Je veux que notre union soit officielle. Je veux que Juste soit à l'abri de tout. Je veux aussi être mère. J'aimerais aussi travailler sans craindre de me retrouver sans le sou. J'ai besoin d'une situation stable."
Elle se mordit la lèvre, gênée. Elle culpabilisait en agissant ainsi. Amener un tel sujet sur le tapis n'avait rien de très romantique...