[Artland 1.1] Chemins du Destin - I - Le rêve

Retour sur les aventures achevées en Artland
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Iris
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Message : # 3511Message Iris
16 juin 2011, 10:21

L'intérêt d'aller d'un lieu public à un autre était la certitude d'avoir un arrêt de tramway à proximité. Dans l'ensemble la ville de Liberté était bien desservie, moins peut-être que Dôme qui avait un métro en plus, mais sans doute autant qu'Espérance et plus que Brillante.

Entre le long déjeuner à midi, la discussion en prenant le thé, le crochet par l'université... Il n'était pas possible d'arriver au Commissariat Central avant la fin d'après-midi... donc l'heure où les gars (est-il besoin de préciser qu'il y a aussi des femmes ? :P ) étaient sur le point de quitter de travail pour céder la place à l'équipe du soir, vers 18h pour la transition de ceux qui étaient de garde, et pour les enquêteurs, ceux qui n'avaient pas trop de travail partaient vers 17h-18h, certains faisaient des heures supplémentaires sur une affaire difficile jusqu'à 21h ou 22h (parfois une partie de la nuit sur un cas grave et urgent, mais c'était tout de même rare).

En ce bel été, il y avait surtout des soucis de vol à la tire et le renforcement de la surveillance des lieux de festivité occupait la plupart des policiers en uniforme. En dehors de ce problème, les enquêteurs avaient affaire avec des paris sportifs illégaux, et puis dans des proportions moindres, les inévitables meurtres, agressions, escroqueries...

...

Accueil central, un bâtiment monumental, comme tous les bâtiments publics de Liberté, dans des ton beiges, brique, brun, cuivres. L'intérieur était surtout fonctionnel et accusait l'usure des allées et venues.

...
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rolender
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Re: Chemins du Destin (Artland)

Message : # 3520Message rolender
16 juin 2011, 22:49

Peter et Séraphine entrèrent dans l'hôtel de police, et se dirigèrent vers l'accueil. L'hotesse semblait occuper à trier des dossiers.

- Bonjour Brigitte

L'interessée, jolie blonde coiffée d'un chignon, releva la tête et reconnu son interlocuteur.

Image

- Tiens salut Peter. Que nous vaut cette surprise ? *sourire émail diamant*

- Je suis venue faire une visite de courtoisie. sais-tu où se trouve cette fripouille de Jean-Marc ?

- Et qui est donc ce va-nu-pieds qui me traite de fripouille ?

Se présente un homme grand en uniforme accompagné d'un chien qui était le portrait craché de Mabrouck !

Image

- Ah bonjour Jean-Marc ! Comment vas-tu ?

Après une poignée de main énergique, il répondit :

- Je vais bien merci. Tu nous présentes ? *regardant Séraphine*

- Oui, bien sûr... Séraphine, permettez moi de vous présenter Brigitte Serra, secrétaire, Jean-Marc Gautier, maître-chien et son chien Duke. Séraphine est une amie. J'aurais souhaiter te parler un peu, est-ce possible ?

- Ah, ben c'est que je venais de terminer ma journée...

- Oui, pardon je n'avais pas vu l'heure...Euh... du coup souhaites-tu que l'on remette cela à demain ? Ou bien, peut-être puis-je t'inviter au restaurant ? Séraphine, pouvez-vous vous le permettre vous-même ? ...

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Iris
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Message : # 3540Message Iris
18 juin 2011, 14:52

A priori puisque Jean-Marc était un ami amoureux des chiens, il ne pouvait qu'être ravi de causer avec son camarade également amoureux des chiens... En revanche, trouver un établissement qui tolèrerait DEUX chiens dans ses murs, ça risquait d'être difficile, il faudrait donc opter pour un repas en terrasse, ce qui, vu la saison, restait dans le domaine du faisable et supportable.

...

Concernant les connaissances du Maître Chien sur la Grande Criminalité, ça n'allait probablement pas très loin. Il pouvait expliquer que la plupart des affaires courantes de meurtre et vol étaient traitées par la brigade criminelle et / ou par les sections de police qui s'occupaient (tant bien que mal) des Bas Canaux. Il y avait également des unités de police plus discrètes qui avaient en charge la lutte contre les réseaux de trafiquants en tous genre, mais pour des raisons de sécurité, ils étaient difficiles à joindre. Pour prendre contact avec leurs services, il fallait passer par l'administration et avec un peu de chance, un Inspecteur-chef accorderait une entrevue à Séraphine Uriel & Peter Lester, mais là, il était clair que ce n'était pas la piétaille, or Jean-Marc Gauthier, comme tout policier en uniforme était plutôt en "bas" et n'avait donc pas vraiment de connaissances ni relations qui pouvaient servir pour être sûr d'avoir un rendez-vous. Au mieux il pourrait donner un nom d'Inspecteur-Chef qui s'occupait d'affaires sérieuses et il faudrait espérer que le bonhomme serait motivé.

...

A noter que la police n'est pas le seul endroit où s'informer sur les parcours des criminels, leurs modes d'actions etc. ... sauf que là, ni Jean-Marc Gaultier le Maître Chien ni la magnifique Brigitte Serra ne sont qualifiés pour vous orienter ailleurs :lol:

...
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rolender
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Re: Chemins du Destin (Artland)

Message : # 3559Message rolender
19 juin 2011, 21:23

Peter expliqua à Séraphine comment il avait rencontré Jean-Marc.

- C'était il y a 3 ans, on avait été appelé pour l'incendie d'un immeuble désaffecté. Les bâtiments alentours avait du être évacué à cause du risque d'écroulement. J'ai alors remarqué par hasard que 2 brigands semblaient en avoir profité pour tenter de dévaliser une bijouterie, et j'en ai parlé à Jean-Marc qui était le premier policier que j'avais pu trouvé. Il est alors partit les interpeler seul.

- Au bout d'un moment, j'ai entendu un échange de coup de feu et l'un des brigants avait visiblement réussi à s'échapper. Quand j'ai vu qu'il avait décidé de lui tendre un piège, près à tirer dès que Jean-Marc sortirait de la boutique, j'ai demandé à mon chien de l'époque, Brutus, de l'attaquer. Ce fut une décision lourde de conséquence, puisqu'il se fit abattre, mais son acte héroïque avait sauvé Jean-Marc qui réussit à s'en sortir indemne et à arrêter le cambrioleur.

- C'est depuis ce jour que Jean-Marc s'est interessé à travailler avec des chiens, en hommage au chien qui l'avait sauvé. Je lui au donc offert un chiot qui se trouve être le fils de Brutus et le frère de Mabrouck.


Une fois la discussion terminée, Peter remercia son ami.

- Et bien cela m'a fait plaisir de te revoir vieux. Merci pour ton aide, et à la prochaine !



Une fois partit, Peter s'entretient avec Séraphine :

- Bon, cela n'a malheureusement pas donné grand chose. Si on doit compter sur l'administration, on risque d'en avoir pour un moment... Peut-être devrait-on essayer un moyen plus conventionel ? La bibliothèque par exemple ?

Il était de tout de façon trop tard pour faire autre chose. Peter ramena donc Séraphine chez elle avant de rentrer chez lui à son tour. Sur le chemin, ils ont pu discuter du plan d'action pour le lendemain.

Kenny
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Re: Chemins du Destin (Artland)

Message : # 3561Message Kenny
20 juin 2011, 10:52

Séraphine en femme bien élevée était toujours à même de se présenter cordialement.
"Enchantée de vous connaitre."

Concernant le repas du soir :
"Désolée de devoir refuser votre offre, je ne peux pas laisser Annie et Asch, ils seraient capables de faire bruler la cuisine ou de manger n'importe quoi."

Séraphine mit de côté l'historie de Brutus, pour en parler à Annie, mais Peter aurait pu entrapercevoir toute la compassion de Séraphine quand elle lui posa une main sur son bras. "Vous m'en voyez très peinée d'apprendre cette tragédie."


Plus tard : "Merci de m'avoir accompagné. Je dois passer demain à mon entreprise. Si cela vous est possible, voulez-vous bien me rejoindre là bas vers 10h30 ?" Elle lui donna donc l'adresse... Séraphine était la patronne d'une entreprise d'offices funéraires de qualité et même assez luxueux pour qui avait les moyens..."Nous nous occupons de tout pour soulager la famille."

Le soir elle salua tout son petit monde et raconta sa journée, elle était impatiente d'entendre ce qu'ils avaient fait de leur côté.
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Iris
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Message : # 3575Message Iris
20 juin 2011, 14:55

Ainsi donc l'estimable et très polie Séraphine s'inquiétait de la manière dont Asch et Annie arriveraient à se nourrir ? ... Faire brûler la cuisine, c'était excessif, par contre, manger n'importe quoi, c'était plus probable.

... De fait, quand elle rentra, ce fut pour découvrir que les deux avaient acheté un assortiment de beignets dans une boutique de coin de rue, typique de la nourriture populaire, rapide et bon marché à manger. Il y avait dans le papier journal défroissé sur la table des beignets de morue avec des herbes et de l'ail (= des acras), des beignets de calamar, des beignets de crevette et une boîte en carton pleine de friture achetée sans doute dans la même boutique. Annie terminait de manger une barbe à Papa d'un rose doux tandis que Cassis lapait du lait crémeux. En guise de repas, Asch réchauffait un peu leurs achats et mettait les sauces dans de petits bols pour tremper dedans. En guise d'accompagnement, il s'évertuait à rapper une carotte et à mettre une salade (non lavée) dans un saladier.

" Bonsoir Souris ! Je savais pas à quelle heure tu rentrais alors avec Annie on a fait des courses pour un petit buffet chaud."

Quant au récit de la journée de ceux qu'elle avait laissé se débrouiller, ils étaient allés jusqu'au port pour trouver une fête foraine, Annie avait fait un tour de manège avec Cassis sur ses genoux, mais le chat n'était pas du tout convaincu par l'expérience... D'ailleurs à ce moment du récit, il lança un "maourrrwww !!" en commentaire pour confirmer que non, vraiment, plus jamais le manège ! Ensuite ils avaient vu une classe d'étudiants des beaux arts qui étaient installés sur les quais et qui peignaient la mer avec leur prof et là, Annie avait eu envie elle aussi d'avoir une boîte de peinture pour en faire autant, surtout qu'ils étaient ensuite passé devant un magasin d'art (peinture, dessin, pastels...) et qu'ils étaient entrés dedans pour voir, et Annie avait été ravie, mais Asch n'avait rien pu acheter : "Trop cher, j'avais pas assez d'argent sur moi. J'ai dit à Annie que vous iriez ensemble." ... Ensuite ils avaient encore vu des spectacles avec des acrobates et puis Asch avait acheté une barbe à papa à Annie pour la consoler de ne pas avoir sa boîte de couleur à l'eau elle aussi aujourd'hui et il avait ensuite proposé de faire un repas de "fête", sachant que les deux s'étaient rencontrés dans la rue, les beignets de poisson & fruits de mer étaient associés pour eux justement à une fête (abordable) : "Le truc, c'est de prendre un assortiment et plusieurs sauces et des accompagnements, et c'est sympa."

... Bien sûr Asch écouta avec attention les nouvelles de Séraphine :

" J'y pense, vous avez cherché à la police, mais pourquoi pas chez des criminologues ?"

... La criminologie étant une branche des sciences humaines, en particulier une forme de psychologie & sociologie & droit consacrée à l'étude des phénomènes criminels.


....

De son côté Peter Lester pouvait passer une agréable soirée au refuge ou en buvant un pot avec son ami Jean-Marc ;) ... à voir quand les Investigateurs se retrouvent... Le lendemain à l'Agence de Pompes funèbres, après que Séraphine ait un peu bossé ?
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Re: Chemins du Destin (Artland)

Message : # 3578Message Kenny
20 juin 2011, 15:39

Séraphine prit alors Annie dans les bras pour la mettre sur ces genoux afin qu'elle lui raconte ses impressions et sur ce qu'elle rêverait de dessiner, lui piquant un tout petit bout de barbe à papa pour la faire râler gentiment.

"Asch, il faut laver la salade avant, s'il te plait...Je ne savais pas que les criminologues n'étaient pas policiers, j'en toucherai 2 mot à Peter demain."

Mangeant dans la joie de cette belle fin de journée d'été...
Le soir avait été consacré à l'édification de la lettre qu'elle enverrait au plus tôt le lendemain à l'administration de la faculté.


Le lendemain, Séraphine voulait voir les factures, et les commandes en cours, renvoyer un messages aux fournisseurs en retard, et donner les directives à chacun sur le travail à faire durant la journée. Appeler un coursier pour la lettre...
Peter serait même tombé sur une Séraphine en pétard contre un de ces employés qui avait fait tout de travers, et donc elle avait donc du lui montrer encore une fois comment faire. Légèrement en retard, Séraphine arrivait à 10h44, en s'excusant. Elle ne criait pas comme certain patron, et tenait à montrer à ces employés qu'elle connaissait le travail et pouvait exécuter n'importe quelle tâche. Elle haussait le ton, un avertissement. Et ses employés savaient qu'au bout de 3 avertissements, ils étaient virés. Elle était carrée et savait reconnaitre le mérite. Ce matin là, elle était arrivé avant tout le monde et avait inspecté toutes les salles pour savoir si la propreté et le rangement avait été fait et malheureusement une personne été partie sans finir de ranger...
En attendant Séraphine, Peter aurait pu voir un bureau avec rien qui traine. Chaque chose avait une place et tout était organisé pour perdre le moins de temps possible. C'était assez impersonnel, décoré avec des couleurs douces et sans aucun superflu.

Séraphine était habillée d'une robe droite noire arrivant à mi-mollet, avec un col à jabot gris clair et un fin bord côte rouge, une veste sans col à manches longues et larges était assorti du même gris et bord côte. Elle arborait un chignon strict. Sur une petite table non loin, un chapeau en paille agrémenté de dentelle rouge et un sac gris en cuir assorti à ses ballerines à petit talon.

"Ah Peter, ravi de vous revoir." malgré les paroles Peter pouvait sentir la contrariété sur ses traits du visage.
"Vous voulez un thé ou un café avant de partir ?"
Séraphine avait bien besoin d'un thé avant de partir...
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Re: Chemins du Destin (Artland)

Message : # 3593Message rolender
20 juin 2011, 21:57

Le lendemain, Peter s'était pour sa part occupé des animaux du refuge avant de rejoindre Séraphine dans sa société.

- Bien le bonjour, dame Séraphine

- Je prendrais un café, merci

*une fois servit*

- Il reigne dans cette pièce une impression de calme et de sérénité, je trouve. Ce qui est étrange, c'est que Mabrouck me semble un peu tendu pour sa part...

Le chien avait les oreilles tombantes, le queue entre les pattes.

*hausse les épaules*

- Je n'ai malheureusement pas de bonnes nouvelles du côté de Jean-Marc : il ne connaît pas grand monde qui pourrait nous renseigner. Il faudrait donc passer par les voies officielles, avec la paperasserie... enfin bref, ça prendra un temps fou...

- J'ai peut-être une idée : on pourrait essayer de trouver des renseignements à la bibliothèque ?

Séraphine ne manquera pas de parler de l'idée de Asch à ce moment là.

- Demander à un criminologiste ? Ah ben oui tout simplement...

Peter récupéra d'un sac les brochures de l'université de Lettres et chercha à l'intérieur.

- Voilà. C'est le Dr Jonathan Hitsch qui s'occupe des cours de criminologie de l'Université. C'est bête, si on y avait pensé avant, on aurait pu faire d'une pierre, deux coups... Bon, ben il ne nous reste plus qu'à y retourner.

- Je pense que le plus simple, c'est que vous alliez le voir seule dans son bureau, et que vous lui expliquiez succintivement votre rêve : l'histoire d'un homme confronté à 3 destins différents, celui de baron du crime, d'employé anonyme ou de généreux promoteur. Vous diriez ensuite que cela vous a semblé une excellente idée de roman et que vous souhaitez son opinion professionnel pour trouver quel genre de passé pouvait avoir un tel homme pour l'écrire dans votre roman.

- Pendant ce temps, j'essairais de trouver des informations interessantes dans la bibliothèque de l'université sur la criminologie : je trouverais peut-être les noms d'autres éniments spécialistes à qui on pourrait poser également la question. Vous n'aurez qu'à me rejoindre à la bibliothèque quand vous aurez terminé.

- Qu'en pensez-vous ?

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Message : # 3601Message Iris
21 juin 2011, 08:54

La veille...

Séraphine apprit qu'Annie avait envie de dessiner et peindre plein de choses, et même que "Cassis prendra la pause, il sera sage !", sur quoi Séraphine pouvait imaginer que la pause du chat risquait d'être un moment où il dormait, alors en somme, il promettait de dormir immobile, comme d'habitude, mais suite à la demande d'Annie de le dessiner, ... c'est tout de même une manifestation d'immense "bonne volonté" féline ! (:P) Mais Annie voulait aussi dessiner la mer, et puis Asch et puis Séraphine, et puis de belles robes et puis des fleurs...

Quant à Asch, il considéra la salade non lavée avec perplexité avant d'aller la laver, enfin la doucher surtout, et pour l'essorage, il faisait un éventail de feuilles de salades pour les secouer au-dessus de l'évier... scène qui fut suivie d'un éventail qu'il utilisait ostensiblement pour se rafraîchir des éclaboussures et bien sûr Annie finit par glousser de rire de toutes ses grimaces... avant que Cassis ne fuit la pièce poursuivi par des gouttes d'eau "Mais tu aimes te laver, pourquoi tu t'enfuis ! Reviiiiiienns !" (Asch).

...

Matinée et suite des investigations...
Organisation a écrit :Je n'ai pas de problème avec le fait que vous choisissiez votre niveau de vie, votre vie professionnelle, et tous les PNJs de votre historique passé comme présent (d'ailleurs, si vous pouviez en faire une liste dans le sujet de votre perso, en la mettant à jour régulièrement, des fois que je puisse m'en servir pour le meilleur et pour le pire (oui, créer des PNJs, ça doit s'assumer, hein !)

... en revanche, pour les PNJs liés à l'histoire, vous ne pouvez savoir à l'avance s'ils sont importants ou pas et par conséquent, ce n'est pas pratique pour moi qu'ils soient décidés, décrits et joués par vous. D'ailleurs d'un point de vue pratique, imaginons que je vous laisse le faire, vous auriez à les jouer complètement et à imaginer les informations qu'ils peuvent vous passer ! ... :lol: ... on arriverait à quelque chose d'un peu absurde et compliqué, ou complètement narrativiste, vous seriez condamnés à imaginer l'histoire pratiquement entière... là, faut sauter le pas et écrire un roman ;)
...

La criminologie bénéficiait d'un petit département à l'université et il comptait une petite vingtaine de membres, partagés entre doctorants et enseignants-chercheurs. Le Jonathan Hitsch repéré par le distrait Peter Lester était en fait un chargé de TD (Travaux Dirigés). En termes de cours proposés, il y avait pour ce semestre les séminaires suivants :
  • Sociologie de la prostitution,
  • La maltraitance infantile : douleurs et remèdes,
  • Rédemption, Réinsertion et Récidive,
  • L'exonération de responsabilité pour irresponsabilité
  • Introduction à la victimologie
  • Parricide et matricide : quand le meurtre prend la forme d'une thérapie
  • Le mythe du loup-garou : tueurs en série réels et fantasmés
  • La lutte contre la criminalité organisée : méthodes, moyens, paradoxes
  • Le migrant au travers de la criminologie
...
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Re: Chemins du Destin (Artland)

Message : # 3603Message Kenny
21 juin 2011, 09:39

La veille, Séraphine savourait ce moment intimité familiale en pensant qu'elle avait vraiment beaucoup de chance. Elle se serait surement endormie après un gros câlin à son cabot préféré...

Avec Peter concernant la pièce.
"Oui c'est ici que je reçois les familles, il faut que tout ici, inspire le calme, la confiance et la compassion. Arrivez-vous à sentir ce qui gène Mabrouk ? Essayez de vous concentrer sur lui et fermez les yeux..."


Puis tard..."Très bien, je m'en vais de ce pas rencontrer ce Dr Jonathan Hitsch. Venez prendre l'apéritif ce soir, nous pourrons discuter."

Séraphine comptait prendre l'après midi pour s'occuper d'Annie et de de ses envies de dessin... mais pour l'heure, il fallait reprendre le tram et direction l'université...
Si elle arrivait à voir Jonathan Hitsch :
"Bonjour Dr Hitsch, je me nomme Séraphine Uriel, je fais des recherche pour un roman. Puis-je vous poser quelques questions ou bien prendre rendez-vous pour plus tard afin que nous parlions quelques minutes ?"
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