Ray restait admiratif de la création, même sans être parfaitement au point le concept était très intéressant.
"Désolé professeur, j'étais en pleine réflexion, votre création est surprenante. Nous venons de la part du professeur charpentier, vous le connaissez ? Il aurait besoin d'un régulateur d'énergie. "
Son atelier, Ray avait hâte de le voir. Mentalement il prenait des notes, il y avait matière à discuter...
"J'oublie les convenances, je me nomme Ray Campbell, quand à mon ami ici présent je lui laisse le soin de se présenter."
[BC] La Dernière Guerre
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Maëlys
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Re: [BC] La Dernière Guerre 1.1: Le portail dimensionnel
Calvin était en train d'imaginer la phrase qu'il allait prononcer lorsque Ray le prit de court, répondant en premier.
Lorsqu'il lui permit de se présenter, il considéra que vu la situation actuelle l'homme de Paris ne pourrait plus vivre tellement longtemps, donc quitte à se désagréger, autant le faire sans se soucier de ce qu'il pourrait semer derrière lui.
"Calvin Reese, un plaisir de vous rencontrer professeur. Comme le disait mon collègue, nous venons en tant que mandataires du Professeur Charpentier afin de lui procurer ce régulateur d'onde dont Ray vous parle, objet que vous devez sûrement avoir selon lui."
Lorsqu'il lui permit de se présenter, il considéra que vu la situation actuelle l'homme de Paris ne pourrait plus vivre tellement longtemps, donc quitte à se désagréger, autant le faire sans se soucier de ce qu'il pourrait semer derrière lui.
"Calvin Reese, un plaisir de vous rencontrer professeur. Comme le disait mon collègue, nous venons en tant que mandataires du Professeur Charpentier afin de lui procurer ce régulateur d'onde dont Ray vous parle, objet que vous devez sûrement avoir selon lui."
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Iris
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Suite de la réponse !
Du côté des médecins
Du côté du gentil médecin qui avait tant de charme...
Il parait que si elle ne l'avait pas soigné, il serait mort... elle avait du mal à s'en rendre compte et intégrer le fait qu'elle lui avait sauvé la vie... même si du même coup, elle avait dû être "grillée" auprès du CID...
" Pour le laboratoire... il était en piteux état, mais le Pr. Charpentier vous racontera les détails mieux que moi. En revanche, j'ai pour vous, du chocolat !"
Le mot "Chocolat" dans la bouche de Leilith a quelque chose de magique. De son point de vue, cette invention est bien plus merveilleuse que toutes les machineries "Steam" ou "Radium". CHO-CO-LAT ! ... fondant... parfumé... des formes rigolotes...
" Et des romans et des revues ! Tout ce qu'il faut pour ne pas mourir d'ennui !"
Et de présenter le tout au patient, en étalant joliment les paquets, en lui tendant le paquet de chocolat... des meilleurs bien sûr...
" Voulez-vous que j'aille demander si l'on peut avoir un peu de thé ?"
Si oui, elle sortirait pour voir si c'était possible avant de retrouver les deux chercheurs, sans doute encore au milieu de nombreux détails techniques...
Du côté du gentil médecin qui avait tant de charme...
Leilith étant d'un naturel curieux, pour peu qu'en plus plus on l'invite avec le sourire... : "Volontiers ! Je ne connais pas du tout ce domaine de recherche ! ... Je serais ravie d'en savoir plus, en particulier sur une approche moins ... brutale... Les lieux que j'ai vu étaient si tristes que j'ai du mal à croire qu'on puisse guérir de quoi que ce soit dans un tel contexte ! "Dr. ... a écrit :« L’âme humaine se doit d’être étudiée au moyen des émotions. C’est une gageure de penser le contraire. En effet, certains médecins présents ici sont un peu trop procéduriers à mon goût. Je pourrais peut être vous expliquer les techniques que j’utilise après votre visite auprès de Mr Fortune ? »
Eeeeeek ! ... Leilith se demandait ce qui était le pire... Enterrée vivante dans un état entre veille et sommeil ou ça ?... mais à la réflexion... elle avait eu plus ou moins la double dose : enfermement étroit à rêver ou cauchemarder et presque se réveiller, toujours dans le noir, toujours sans pouvoir bouger... c'était ... finalement la même chose... à tout prendre presque plus doux que ce qu'elle avait traversé... Enfin, il lui restait quand même une appréciation plutôt négative des formes d'enfermement... elle craignait les abus... et la trop grande perfection d'une mécanique bien huilée lui rappelait d'autres systèmes trop parfaits... ça ne la convainquait pas plus que ça... " Le mieux est l'ennemi du bien", un proverbe de ce temps présent qui lui paraissait juste.Visite touristique a écrit :Une infirmière était occupée à faire avaler à un homme en pyjama blanc une bonne dizaine de pilules multicolores. A défaut de pouvoir contrôler physiquement un surhomme, les médecins employaient donc avec détermination la camisole chimique…
" C'est surtout à vous qu'il faut demander si ça va bien ! Vous avez encore mal ?... "Chambre de Balthazar a écrit :Ils entrèrent dans un petit pavillon chichement décoré de meubles blancs et composé de quelques pièces vide de décoration. L’assistant du professeur Charpentier était alité dans la chambre. Partiellement recouvert de bandages conséquents, il les accueillit avec joie malgré certaines blessures encore visibles.
« Professeur ! Mademoiselle Leilith ! Comment allez vous ? Que s’est il passé au laboratoire ? Le portail est il détruit ? Les agents du CID et les médecins ont refusé de me donner la moindre information »
Il parait que si elle ne l'avait pas soigné, il serait mort... elle avait du mal à s'en rendre compte et intégrer le fait qu'elle lui avait sauvé la vie... même si du même coup, elle avait dû être "grillée" auprès du CID...
" Pour le laboratoire... il était en piteux état, mais le Pr. Charpentier vous racontera les détails mieux que moi. En revanche, j'ai pour vous, du chocolat !"
Le mot "Chocolat" dans la bouche de Leilith a quelque chose de magique. De son point de vue, cette invention est bien plus merveilleuse que toutes les machineries "Steam" ou "Radium". CHO-CO-LAT ! ... fondant... parfumé... des formes rigolotes...
" Et des romans et des revues ! Tout ce qu'il faut pour ne pas mourir d'ennui !"
Et de présenter le tout au patient, en étalant joliment les paquets, en lui tendant le paquet de chocolat... des meilleurs bien sûr...
" Voulez-vous que j'aille demander si l'on peut avoir un peu de thé ?"
Si oui, elle sortirait pour voir si c'était possible avant de retrouver les deux chercheurs, sans doute encore au milieu de nombreux détails techniques...
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I.A.
Nos deux surhommes traversèrent le terrain vague empli de résidus d’inventions, passèrent devant la bicoque branlante à l’air sinistre et entrèrent dans ce qui tenait lieu de laboratoire au professeur Stein.
Ray : "Désolé professeur, j'étais en pleine réflexion, votre création est surprenante. Nous venons de la part du professeur charpentier, vous le connaissez ? Il aurait besoin d'un régulateur d'énergie. "
"J'oublie les convenances, je me nomme Ray Campbell, quand à mon ami ici présent je lui laisse le soin de se présenter."
Calvin : "Calvin Reese, un plaisir de vous rencontrer professeur. Comme le disait mon collègue, nous venons en tant que mandataires du Professeur Charpentier afin de lui procurer ce régulateur d'onde dont Ray vous parle, objet que vous devez sûrement avoir selon lui."
« Hector n’est que l’une de mes créations. Je les nomme des Homoncules. Il s’agit du cœur de mes recherches sur les applications du radium. Mon ambition est de créer des êtres autonomes capables d’accomplir sans faiblir les travaux les plus contraignants. Une aide appréciable pour toute l’humanité en somme… Mais j’ai encore quelques problèmes à régler sur mes derniers prototypes. »
Le très rondouillard professeur ouvrit la porte de son étrange lieu de travail. Plutôt que de découvrir un atelier disposant de toutes les dernières innovations, Ray et Calvin furent surpris de découvrir une veille serre aux panneaux de verres noircis, graisseux et dont les côtés avant été renforcés au moyen de vieilles tôles ondulées cabossées.
L’intérieur recélait un véritable capharnaüm d’établis divers et de pièces métalliques aux formes toutes plus étranges les unes que les autres. De nombreux homoncules en cours de construction étaient posés sur les plans de travaux, partiellement ouverts et branchés à des génératrices d’énergie. Certains d’entre eux étaient pendus au moyen de câbles sur les anciens profilés de maintien de cette roseraie en fer forgé rouillé reconvertie.
Ils avaient tous des formes étranges et des dimensions variées : humanoïde, animale, insectoïde, de la taille d’un homme à celle d’un poing… Certains d’entre eux s’agitaient, dansants, répétant des phrases lancinantes ou effectuant des gestes désordonnés à un rythme soutenu… d’autres semblaient endormis…
« Je connais en effet ce vieux briscard de Charpentier… Va-t-il bien ? Malheureusement, je ne puis lui apporter mon aide, je viens d’utiliser mon dernier régulateur sur mon ultime conception… »
Les dirigeants vers le fond de son établi, l’obèse essuya le cambouis qu’il avait sur les mains sur son plastron de cuir et attrapa une théière stridente qui chauffait sur un réchaud à gaz.
« Sucre ? »
En le rejoignant, les deux héros passèrent devant un homoncule pendu comme un pantin au plafond. Celui-ci trembla et proféra des paroles incompréhensibles, dans une langue bien étrange aux accents exotiques. Le gros inventeur ne sembla pas y prêter attention.
« Mon homoncule le plus abouti, tout du moins en ce qui concerne les facultés cognitives, a en effet disparu hier matin. Je suis en train de la remplacer et cette pièce est indispensable à ma construction. Il va m’être très dur de remplacer Shelley, elle était vraiment différente… »
Ray : "Désolé professeur, j'étais en pleine réflexion, votre création est surprenante. Nous venons de la part du professeur charpentier, vous le connaissez ? Il aurait besoin d'un régulateur d'énergie. "
"J'oublie les convenances, je me nomme Ray Campbell, quand à mon ami ici présent je lui laisse le soin de se présenter."
Calvin : "Calvin Reese, un plaisir de vous rencontrer professeur. Comme le disait mon collègue, nous venons en tant que mandataires du Professeur Charpentier afin de lui procurer ce régulateur d'onde dont Ray vous parle, objet que vous devez sûrement avoir selon lui."
« Hector n’est que l’une de mes créations. Je les nomme des Homoncules. Il s’agit du cœur de mes recherches sur les applications du radium. Mon ambition est de créer des êtres autonomes capables d’accomplir sans faiblir les travaux les plus contraignants. Une aide appréciable pour toute l’humanité en somme… Mais j’ai encore quelques problèmes à régler sur mes derniers prototypes. »
Le très rondouillard professeur ouvrit la porte de son étrange lieu de travail. Plutôt que de découvrir un atelier disposant de toutes les dernières innovations, Ray et Calvin furent surpris de découvrir une veille serre aux panneaux de verres noircis, graisseux et dont les côtés avant été renforcés au moyen de vieilles tôles ondulées cabossées.
L’intérieur recélait un véritable capharnaüm d’établis divers et de pièces métalliques aux formes toutes plus étranges les unes que les autres. De nombreux homoncules en cours de construction étaient posés sur les plans de travaux, partiellement ouverts et branchés à des génératrices d’énergie. Certains d’entre eux étaient pendus au moyen de câbles sur les anciens profilés de maintien de cette roseraie en fer forgé rouillé reconvertie.
Ils avaient tous des formes étranges et des dimensions variées : humanoïde, animale, insectoïde, de la taille d’un homme à celle d’un poing… Certains d’entre eux s’agitaient, dansants, répétant des phrases lancinantes ou effectuant des gestes désordonnés à un rythme soutenu… d’autres semblaient endormis…
« Je connais en effet ce vieux briscard de Charpentier… Va-t-il bien ? Malheureusement, je ne puis lui apporter mon aide, je viens d’utiliser mon dernier régulateur sur mon ultime conception… »
Les dirigeants vers le fond de son établi, l’obèse essuya le cambouis qu’il avait sur les mains sur son plastron de cuir et attrapa une théière stridente qui chauffait sur un réchaud à gaz.
« Sucre ? »
En le rejoignant, les deux héros passèrent devant un homoncule pendu comme un pantin au plafond. Celui-ci trembla et proféra des paroles incompréhensibles, dans une langue bien étrange aux accents exotiques. Le gros inventeur ne sembla pas y prêter attention.
« Mon homoncule le plus abouti, tout du moins en ce qui concerne les facultés cognitives, a en effet disparu hier matin. Je suis en train de la remplacer et cette pièce est indispensable à ma construction. Il va m’être très dur de remplacer Shelley, elle était vraiment différente… »
métajeu a écrit : C'est le moment de poser des questions ou de demander des jetsLundi, je vous mettrais des images des homoncules. Au cas, où une des créations de Stein vous intéresse
Invitations, chocolats et trou de mémoire
Discussion avec l’agent Guillaume :
Leilith : " Vous entendez à combien de mètres ?"
« Je ne peux malheureusement pas trop échanger avec vous sur ce sujet, ma chère. Secret professionnel oblige. Vous savez déjà que je peux entendre ce que pensent les personnes présentes autour de moi. Je suis également capable de créer un lien avec une personne… »
Pensées de Leilith : " Je consacre tout mon temps à mon travail... c'est ce que disent les gens qui pensent ne pas avoir le choix et qui essaient de ne pas penser qu'ils sont malheureux... et puis n'avoir que le travail dans la vie, ce n'est pas sain. "
« Il s’agit d’un sacerdoce plus que d’un travail, mademoiselle. Nous protégeons Paris et sommes fier d’avoir le Nyctalope comme représentant. La capitale serait déjà tombée aux mains de certaines crapules sans nos actions. »
Leilith : " Agent Guillaume, que diriez-vous d'une sortie au musée dans les heures creuses ? ... et un dîner, composé en passant par des traiteurs, pour vous éviter le restaurant ?"
« Je ne puis accepter du fait de mes fonctions. Il y a toujours une enquête sur le portail du professeur et ses éventuelles répercussions… Je ne peux entretenir de liens avec des « témoins ».
Pensées de Leilith : " Très précisément ? ... Comment fait-il ?... Et de quels conseils parle-t-il ?... Ray a surtout parlé de menaces... Y'aurait-il eu un souci dans la communication ?... "
« Steamboy sait ce qu’il doit faire. Votre camarade a toutefois une certaine fougue à calmer. Sinon cela va lui coûter cher en décoration… »
Un début de cour ? :
Leilith : "Volontiers ! Je ne connais pas du tout ce domaine de recherche ! ... Je serais ravie d'en savoir plus, en particulier sur une approche moins ... brutale... Les lieux que j'ai vu étaient si tristes que j'ai du mal à croire qu'on puisse guérir de quoi que ce soit dans un tel contexte ! "
« Nous pourrions peut être justement en discuter dans un autre contexte. Vous connaissez la Tour d’Argent ? »
Au pavillon de Balthazar :
Leilith : "C'est surtout à vous qu'il faut demander si ça va bien ! Vous avez encore mal ?... "
Le pauvre géant africain, bras plâtré en écharpe et gigantesque bandage lui couvrant la tête et l’œil droit, ne semblait pas au mieux de sa forme.
« Je souffre encore un peu mais le Docteur Bloomberg me soigne bien et tente par tous les moyens de réduire mes douleurs. Il m’a dit que je pourrais sortir d’ici quelques jours lorsqu’il n’y aura plus de risque d’infection. Mais et vous Professeur ? Vous connaissant, pensez-vous à correctement manger et dormir ? Je vous ai dit plusieurs fois qu’il fallait réduire vos heures de travail… Mademoiselle Leilith, que s’est il passé après que je sois tombé inconscient? Votre ami a-t-il pu arrêter cette chose venue de ce décor dantesque ? Ce que j’ai vu à travers le portail m’empêche parfois de dormir… »
Leilith : " Pour le laboratoire... il était en piteux état, mais le Pr. Charpentier vous racontera les détails mieux que moi. En revanche, j'ai pour vous, du chocolat !"
« Je vous raconterais tous les détails techniques dans une minute, mon cher Balthazar. Heureusement, nos amis parisiens m’aident à reconstruire rapidement le portail avant le congrès… Messieurs Campbell et Reese doivent être aux côtés de ce fou de Stein en ce moment… »
Balthazar émit un petit rire nerveux en attendant le nom de l’inventeur.
« Espérons qu’il n’achète rien à cet hurluberlu… Des chocolats ? Quelle charmante intention ! »
L’assistant de Charpentier ouvrit fébrilement la boite et la dévora des yeux d’un air gourmand.
Leilith : " Et des romans et des revues ! Tout ce qu'il faut pour ne pas mourir d'ennui !"
« Vous me gâtez Mademoiselle. En effet, le temps est bien long ici. Vous êtes la première visite que je reçois, ma famille ne vit pas à Paris. »
Le professeur Charpentier regarda l’atlante d’un air surpris et interrogateur à cette dernière parole.
Leilith : " Voulez-vous que j'aille demander si l'on peut avoir un peu de thé ?"
« Volontiers »
Leilith allait sortir du pavillon lorsque le beau docteur Bloomberg entra, accompagné d’une charmante petite brune d’une vingtaine d’années habillée dans un costume d’infirmière saillant. En pleine discussion avec l’aliéniste humaniste, elle gloussa et présenta des joues empourprées et des yeux malicieux à l’assistance. Visiblement, le docteur faisait des ravages parmi le corps médical féminin…
"Je vous présente Mademoiselle Boussard..."
"Leilith, peut être devriez sortir discuter avec le docteur et l'infirmière Boussard pendant que je raconte à Balthazar les détails techniques de la destruction du portail ?"
Leilith : " Vous entendez à combien de mètres ?"
« Je ne peux malheureusement pas trop échanger avec vous sur ce sujet, ma chère. Secret professionnel oblige. Vous savez déjà que je peux entendre ce que pensent les personnes présentes autour de moi. Je suis également capable de créer un lien avec une personne… »
Pensées de Leilith : " Je consacre tout mon temps à mon travail... c'est ce que disent les gens qui pensent ne pas avoir le choix et qui essaient de ne pas penser qu'ils sont malheureux... et puis n'avoir que le travail dans la vie, ce n'est pas sain. "
« Il s’agit d’un sacerdoce plus que d’un travail, mademoiselle. Nous protégeons Paris et sommes fier d’avoir le Nyctalope comme représentant. La capitale serait déjà tombée aux mains de certaines crapules sans nos actions. »
Leilith : " Agent Guillaume, que diriez-vous d'une sortie au musée dans les heures creuses ? ... et un dîner, composé en passant par des traiteurs, pour vous éviter le restaurant ?"
« Je ne puis accepter du fait de mes fonctions. Il y a toujours une enquête sur le portail du professeur et ses éventuelles répercussions… Je ne peux entretenir de liens avec des « témoins ».
Pensées de Leilith : " Très précisément ? ... Comment fait-il ?... Et de quels conseils parle-t-il ?... Ray a surtout parlé de menaces... Y'aurait-il eu un souci dans la communication ?... "
« Steamboy sait ce qu’il doit faire. Votre camarade a toutefois une certaine fougue à calmer. Sinon cela va lui coûter cher en décoration… »
Un début de cour ? :
Leilith : "Volontiers ! Je ne connais pas du tout ce domaine de recherche ! ... Je serais ravie d'en savoir plus, en particulier sur une approche moins ... brutale... Les lieux que j'ai vu étaient si tristes que j'ai du mal à croire qu'on puisse guérir de quoi que ce soit dans un tel contexte ! "
« Nous pourrions peut être justement en discuter dans un autre contexte. Vous connaissez la Tour d’Argent ? »
Au pavillon de Balthazar :
Leilith : "C'est surtout à vous qu'il faut demander si ça va bien ! Vous avez encore mal ?... "
Le pauvre géant africain, bras plâtré en écharpe et gigantesque bandage lui couvrant la tête et l’œil droit, ne semblait pas au mieux de sa forme.
« Je souffre encore un peu mais le Docteur Bloomberg me soigne bien et tente par tous les moyens de réduire mes douleurs. Il m’a dit que je pourrais sortir d’ici quelques jours lorsqu’il n’y aura plus de risque d’infection. Mais et vous Professeur ? Vous connaissant, pensez-vous à correctement manger et dormir ? Je vous ai dit plusieurs fois qu’il fallait réduire vos heures de travail… Mademoiselle Leilith, que s’est il passé après que je sois tombé inconscient? Votre ami a-t-il pu arrêter cette chose venue de ce décor dantesque ? Ce que j’ai vu à travers le portail m’empêche parfois de dormir… »
Leilith : " Pour le laboratoire... il était en piteux état, mais le Pr. Charpentier vous racontera les détails mieux que moi. En revanche, j'ai pour vous, du chocolat !"
« Je vous raconterais tous les détails techniques dans une minute, mon cher Balthazar. Heureusement, nos amis parisiens m’aident à reconstruire rapidement le portail avant le congrès… Messieurs Campbell et Reese doivent être aux côtés de ce fou de Stein en ce moment… »
Balthazar émit un petit rire nerveux en attendant le nom de l’inventeur.
« Espérons qu’il n’achète rien à cet hurluberlu… Des chocolats ? Quelle charmante intention ! »
L’assistant de Charpentier ouvrit fébrilement la boite et la dévora des yeux d’un air gourmand.
Leilith : " Et des romans et des revues ! Tout ce qu'il faut pour ne pas mourir d'ennui !"
« Vous me gâtez Mademoiselle. En effet, le temps est bien long ici. Vous êtes la première visite que je reçois, ma famille ne vit pas à Paris. »
Le professeur Charpentier regarda l’atlante d’un air surpris et interrogateur à cette dernière parole.
Leilith : " Voulez-vous que j'aille demander si l'on peut avoir un peu de thé ?"
« Volontiers »
Leilith allait sortir du pavillon lorsque le beau docteur Bloomberg entra, accompagné d’une charmante petite brune d’une vingtaine d’années habillée dans un costume d’infirmière saillant. En pleine discussion avec l’aliéniste humaniste, elle gloussa et présenta des joues empourprées et des yeux malicieux à l’assistance. Visiblement, le docteur faisait des ravages parmi le corps médical féminin…
"Je vous présente Mademoiselle Boussard..."
"Leilith, peut être devriez sortir discuter avec le docteur et l'infirmière Boussard pendant que je raconte à Balthazar les détails techniques de la destruction du portail ?"
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Iris
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Pas de liquéfaction de Ray & Calvin en vue ! ... dommage :-P
1. Avec l'Agent Guillaume
2. Le charmant (et louche ?) Dr. Bloomberg
" A quoi pensez vous au juste ? Je croyais qu'il fallait être ici pour voir vos méthodes en application ?... La Tour d'Argent, non ça ne me dit rien."
Bien sûr, Leilith, facile à vivre comme elle l'est et d'un naturel curieux en prime acceptera l'invitation qu'on pourrait lui soumettre... De quoi donner à Ray une nouvelle personne à détester, après le Baron Rouge et l'Agent Guillaume...
3. Auprès de Balthazar
A l'adresse du Dr. Bloomberg : " Il faudrait que je parle brièvement à l'Agent Guillaume, est-il encore là ?" ... elle se disait que peut-être... un télépathe, ça connaît un hypnotiseur ou les moyens de faire revenir la mémoire à quelqu'un qui l'a perdue ? ...
" Oh, et pour avoir du thé, à qui faut-il demander ? "
...
" Très bien, je ne vous poserais plus de question sur le sujet alors... même si provoquez ma curiosité avec la mention de la capacité à établir des liens ! " ... Et de compléter en pensée : "Ce n'est pas du jeu de donner des demi-informations avec points de suspension ! " ... suivi d'un soupir..Agent Guillaume a écrit :« Je ne peux malheureusement pas trop échanger avec vous sur ce sujet, ma chère. Secret professionnel oblige. Vous savez déjà que je peux entendre ce que pensent les personnes présentes autour de moi. Je suis également capable de créer un lien avec une personne… »
Pensée de Leilith : "Honnêtement, je n'y connais rien... du coup je n'ai pas d'avis... la situation politique actuelle est un tel panier de crabes ! "Agent Guillaume a écrit :« Il s’agit d’un sacerdoce plus que d’un travail, mademoiselle. Nous protégeons Paris et sommes fier d’avoir le Nyctalope comme représentant. La capitale serait déjà tombée aux mains de certaines crapules sans nos actions. »
" Oh... eh bien... tant pis... L'invitation est ouverte et sans date, si vous changez d'avis..."Agent Guillaume a écrit :« Je ne puis accepter du fait de mes fonctions. Il y a toujours une enquête sur le portail du professeur et ses éventuelles répercussions… Je ne peux entretenir de liens avec des « témoins ».
Soupir malheureux à l'idée de l'état du salon. Elle ne pouvait pas nier que c'était vraiment embêtant... Il se mettait parfois dans des états pas possible... La dernière fois c'était quoi ? Le Baron Rouge, non ? ... En même temps, si Ray n'était pas autant porté à s'emporter d'une certaine manière, elle serait probablement encore dans ce fichu sarcophage, elle ne pouvait donc pas vraiment lui en vouloir pour ce trait de caractère un peu incertain...Agent Guillaume a écrit :« Steamboy sait ce qu’il doit faire. Votre camarade a toutefois une certaine fougue à calmer. Sinon cela va lui coûter cher en décoration… »
2. Le charmant (et louche ?) Dr. Bloomberg
Leilith, parfois à ramer et avoir un temps de retard, quelque part dans ses pensées : "Autre contexte ?... De quoi il parle ?... Comment il veut me montrer ses traitements qui traitent de l'émotion ailleurs qu'ici ?... Tour d'Argent ?... Où est-ce qu'il veut en venir ?"... De quoi convaincre l'Agent Guillaume que Leilith a peut-être bien encore besoin d'un "Protecteur" pour lui expliquer deux - trois choses. En attendant, le plus innocemment et gentiment du monde, sans aucune note ironique ou sarcastique :Dr. Bloomberg a écrit :« Nous pourrions peut être justement en discuter dans un autre contexte. Vous connaissez la Tour d’Argent ? »
" A quoi pensez vous au juste ? Je croyais qu'il fallait être ici pour voir vos méthodes en application ?... La Tour d'Argent, non ça ne me dit rien."
Bien sûr, Leilith, facile à vivre comme elle l'est et d'un naturel curieux en prime acceptera l'invitation qu'on pourrait lui soumettre... De quoi donner à Ray une nouvelle personne à détester, après le Baron Rouge et l'Agent Guillaume...
3. Auprès de Balthazar
" Courage ! Le pire est passé ! Le Dr. Bloomberg a l'air vraiment charmant. Moi, tout va bien... Steamboy a réglé son compte à la créature... avec un peu de casse... d'où l'implication du CID, entre autre... Et le Professeur ... Pr. Charpentier, si vous passiez quelques jours chez nous ? Comme ça je pourrais rassurer Balthazar sur votre santé !"Balthazard a écrit :« Je souffre encore un peu mais le Docteur Bloomberg me soigne bien et tente par tous les moyens de réduire mes douleurs. Il m’a dit que je pourrais sortir d’ici quelques jours lorsqu’il n’y aura plus de risque d’infection. Mais et vous Professeur ? Vous connaissant, pensez-vous à correctement manger et dormir ? Je vous ai dit plusieurs fois qu’il fallait réduire vos heures de travail… Mademoiselle Leilith, que s’est il passé après que je sois tombé inconscient? Votre ami a-t-il pu arrêter cette chose venue de ce décor dantesque ? Ce que j’ai vu à travers le portail m’empêche parfois de dormir… »
Silence et léger froncement de sourcils... un peu inquiétant... mais pas la peine d'embêter un amnésique qui devait se remettre sur pied... Du moins pas tant qu'elle n'aurait pas un moyen de lui faire recouvrir la mémoire... et pas sûr qu'elle en trouve...Obsidian a écrit :« Vous me gâtez Mademoiselle. En effet, le temps est bien long ici. Vous êtes la première visite que je reçois, ma famille ne vit pas à Paris. »
Elle opina et sortit avec l'infirmière : " Bonjour Melle Boussard ! Où pourrions-nous discuter quelques instants ? "Dr. Bloomberg & Pr. Charpentier a écrit :Leilith allait sortir du pavillon lorsque le beau docteur Bloomberg entra, accompagné d’une charmante petite brune d’une vingtaine d’années habillée dans un costume d’infirmière saillant. En pleine discussion avec l’aliéniste humaniste, elle gloussa et présenta des joues empourprées et des yeux malicieux à l’assistance. Visiblement, le docteur faisait des ravages parmi le corps médical féminin…
"Je vous présente Mademoiselle Boussard..."
"Leilith, peut être devriez sortir discuter avec le docteur et l'infirmière Boussard pendant que je raconte à Balthazar les détails techniques de la destruction du portail ?"
A l'adresse du Dr. Bloomberg : " Il faudrait que je parle brièvement à l'Agent Guillaume, est-il encore là ?" ... elle se disait que peut-être... un télépathe, ça connaît un hypnotiseur ou les moyens de faire revenir la mémoire à quelqu'un qui l'a perdue ? ...
" Oh, et pour avoir du thé, à qui faut-il demander ? "
...
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Re: [BC] La Dernière Guerre 1.1: Le portail dimensionnel
Suivant le fil de la conversation, Calvin écouta les divers propos, à vrai dire cette histoire d'homoncules le dépassait un peu... il avait du mal à tout suivre.
"Le professeur Charpentier va bien en effet ... Et c'est regrettable que vous ne puissiez nous aider, il reposait énormément d'espoir sur vous."
"Du sucre en effet s'il vous plaît."
Puis lorsqu'il parla de cet homoncule nommé Shelley, un nom bizarre il faut avouer pour une machine... Calvin saisit l'opportunité :
"Vous voulez dire que vous êtes en train de construire un nouveau ... modèle ... car votre plus élaboré a disparu ?
Je puis vous proposer quelque chose professeur, si Ray et moi-même retrouvons cette Shelley, comme vous l'appelez, vous n'auriez donc pas à la remplacer et cette pièce vous serait plus aussi indispensable, non ?"
"Le professeur Charpentier va bien en effet ... Et c'est regrettable que vous ne puissiez nous aider, il reposait énormément d'espoir sur vous."
"Du sucre en effet s'il vous plaît."
Puis lorsqu'il parla de cet homoncule nommé Shelley, un nom bizarre il faut avouer pour une machine... Calvin saisit l'opportunité :
"Vous voulez dire que vous êtes en train de construire un nouveau ... modèle ... car votre plus élaboré a disparu ?
Je puis vous proposer quelque chose professeur, si Ray et moi-même retrouvons cette Shelley, comme vous l'appelez, vous n'auriez donc pas à la remplacer et cette pièce vous serait plus aussi indispensable, non ?"
A la poursuite de Shelley ?
L'étrange mélopée des homoncules continua en fond sonore alors que le Professeur Stein tendait les tasses de thé à ses deux invités.
"Cela pourrait être en effet une solution alternative envisageable. D'autant que je ne suis pas certain d'arriver à la même perfection que Shelley. Il pourrait être assez simple de la retrouver si vous disposez d'un radiomètre. En effet, le cœur de mon assistante est alimentée par une pile au radium. Il serait donc possible de suivre sa trace énergétique puisque Rosny sous bois ne dispose pas de beaucoup de machineries fonctionnant à cette énergie. "
"Shelley doit mesurer dans les 1m30 et a deux échappements derrière le dos. Ses yeux sont d'un jaune fluorescent caractéristique et elle a une voix synthétique vaguement féminine. Vous ne pourrez vous tromper, elle est entièrement dorée. Méfiance toutefois, malgré son aspect fragile, elle est douée d'une certaine force. Je ne sais pas ce qui peut se passer si son programme est défaillant..."
"Cela pourrait être en effet une solution alternative envisageable. D'autant que je ne suis pas certain d'arriver à la même perfection que Shelley. Il pourrait être assez simple de la retrouver si vous disposez d'un radiomètre. En effet, le cœur de mon assistante est alimentée par une pile au radium. Il serait donc possible de suivre sa trace énergétique puisque Rosny sous bois ne dispose pas de beaucoup de machineries fonctionnant à cette énergie. "
"Shelley doit mesurer dans les 1m30 et a deux échappements derrière le dos. Ses yeux sont d'un jaune fluorescent caractéristique et elle a une voix synthétique vaguement féminine. Vous ne pourrez vous tromper, elle est entièrement dorée. Méfiance toutefois, malgré son aspect fragile, elle est douée d'une certaine force. Je ne sais pas ce qui peut se passer si son programme est défaillant..."
métajeu a écrit : Il s'agit bien évidemment de l'homoncule en dessin avec Stein. Manque de bol, il me semble que c'est Leilith qui a le radiomètre. C'est ballot
L'homme au turban
Avec le charmant docteur :
Leilith : " A quoi pensez-vous au juste ? Je croyais qu'il fallait être ici pour voir vos méthodes en application ?... La Tour d'Argent, non ça ne me dit rien."
« Comme je vous le disais, je n’ai besoin d’aucun accessoire pour explorer l’âme humaine. Je peux donc exercer en dehors du contexte médical. Il s’agit du meilleur restaurant qui soit ma chère ! Mais nous en reparlerons à mon retour au pavillon. »
Dans les jardins bordant le pavillon de Balthazar :
Le petit groupe, composé du ténébreux médecin, de la coquine infirmière et de la magnifique atlante, était sorti de la chambre de Balthazar et se trouvait à présent sur un banc tout proche du petit bâtiment. L’aliéniste avait interpellé un gardien et lui avait gentiment demandé d’apporter du thé à son patient. Non loin de là, l’homme en noir faisait les cent pas, attendant courtoisement que l’entrevue soit finie. Un léger vent frais s’était levé, embaumant les visiteurs des senteurs florales du grand jardin du complexe Saint Anne.
« Mlle Boussard, je vous en prie, expliquez à Mademoiselle Leilith ce que vous m’avez raconté tout à l’heure. »
« Comme je l’ai dit au Docteur Bloomberg, Monsieur Fortune a reçu en fin de matinée la visite d’un étrange homme. Il m’a dit se nommer Yaksha et s’est montrer fort condescendant. Puisqu’il était dans le jardin, j’ai pensé qu’il avait passé le système de contrôle du CID. Visiblement, après vérification, ce ne fut pas le cas. Je pourrais le reconnaitre facilement : petite taille, tête ronde, peau mate et surtout il portait un turban étrange sur la tête. C’est une allure que j’aurais du mal à oublier ! Je n’étais pas très loin et leur entrevue m’a semblé peu courante. Cela a duré une dizaine de minutes. Je n’ai pas tout compris mais par inadvertance, j’ai entendu qu’il lui donnait des adresses situées un peu partout dans la capitale : des magasins, des laboratoires, ce genre de choses… Après, ils ont bien parlé d’autres sujets mais c’était bien peu intéressant. Des théories scientifiques, des expériences, je n’ai rien compris… Par la suite, lorsque j’ai voulu signalé à cet étrange homme que les visites étaient terminées, il s’était tout bonnement volatilisé… »
Leilith : " A quoi pensez-vous au juste ? Je croyais qu'il fallait être ici pour voir vos méthodes en application ?... La Tour d'Argent, non ça ne me dit rien."
« Comme je vous le disais, je n’ai besoin d’aucun accessoire pour explorer l’âme humaine. Je peux donc exercer en dehors du contexte médical. Il s’agit du meilleur restaurant qui soit ma chère ! Mais nous en reparlerons à mon retour au pavillon. »
Dans les jardins bordant le pavillon de Balthazar :
Le petit groupe, composé du ténébreux médecin, de la coquine infirmière et de la magnifique atlante, était sorti de la chambre de Balthazar et se trouvait à présent sur un banc tout proche du petit bâtiment. L’aliéniste avait interpellé un gardien et lui avait gentiment demandé d’apporter du thé à son patient. Non loin de là, l’homme en noir faisait les cent pas, attendant courtoisement que l’entrevue soit finie. Un léger vent frais s’était levé, embaumant les visiteurs des senteurs florales du grand jardin du complexe Saint Anne.
« Mlle Boussard, je vous en prie, expliquez à Mademoiselle Leilith ce que vous m’avez raconté tout à l’heure. »
« Comme je l’ai dit au Docteur Bloomberg, Monsieur Fortune a reçu en fin de matinée la visite d’un étrange homme. Il m’a dit se nommer Yaksha et s’est montrer fort condescendant. Puisqu’il était dans le jardin, j’ai pensé qu’il avait passé le système de contrôle du CID. Visiblement, après vérification, ce ne fut pas le cas. Je pourrais le reconnaitre facilement : petite taille, tête ronde, peau mate et surtout il portait un turban étrange sur la tête. C’est une allure que j’aurais du mal à oublier ! Je n’étais pas très loin et leur entrevue m’a semblé peu courante. Cela a duré une dizaine de minutes. Je n’ai pas tout compris mais par inadvertance, j’ai entendu qu’il lui donnait des adresses situées un peu partout dans la capitale : des magasins, des laboratoires, ce genre de choses… Après, ils ont bien parlé d’autres sujets mais c’était bien peu intéressant. Des théories scientifiques, des expériences, je n’ai rien compris… Par la suite, lorsque j’ai voulu signalé à cet étrange homme que les visites étaient terminées, il s’était tout bonnement volatilisé… »
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Iris
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Là, et pfouf ! Plus là !
Avec le charmant docteur
Leilith était un peu perplexe par la formulation de la réponse... un instant elle se demandait s'il ne voulait pas faire une démonstration sur elle ?... Dans l'absolu, la curiosité la pousse à bien vouloir essayer plein de choses, mais si elle est l'objet de l'expérience, il sera difficile d'avoir le recul nécessaire pour se faire un avis... Non ?... Mais à court terme, pas de raison de refuser une courtoise invitation, même si elle comportait un aspect bizarre... Ray aurait peut-être un avis sur la question ?...
" Un restaurant ? ... eh bien... d'accord... je... à toute à l'heure alors."
Avec l'infirmière Boussard
" En effet, tout cela est très étrange... C'est une chance que vous ayez pu tendre l'oreille de la sorte ! Merci beaucoup ! Il faut maintenant que j'échange avec l'Agent Guillaume... pourriez-vous m'attendre juste quelques instants ? "
Après tout, en bon télépathe, il devait pouvoir récupérer le souvenir du visage de l'intrus, non ?...
Avec l'Agent Guillaume
Supposant que l'Agent Guillaume était fairplay, Leilith nota mentalement que la distance à laquelle il n'entendait plus les pensées était logiquement inférieure à la distance à laquelle il se tenait de la chambre de Balthazar... et le rejoignit d'un pas vif : " L'infirmière Boussard a remarqué un visiteur qui s'est... euh... téléporté ?... dans les jardins, sans autorisation, cela va sans dire. Il a interrogé Balthazar, et obtenu de lui un grand nombre de renseignements techniques qu'il n'aurait jamais dévoilé volontairement. A cela il faut ajouter qu'il a effacé sa venue de la mémoire de Balthazar... Sans la curiosité de l'infirmière, nous n'aurions jamais rien su."
" Pourriez-vous ... consulter la mémoire de l'infirmière Boussard et voir si l'homme est connu de vos services ? ... Un indien tout ce qu'il y a d'archétypal apparemment, avec turban et tout..."
A priori la sécurité des lieux devait importer au CID, donc logiquement l'Agent Guillaume allait prendre cette affaire au sérieux, enfin, encore plus au sérieux que ça n'était le cas... Mais comme elle avait une perception très floue du CID, elle ne savait pas trop ce que le fait de lui parler allait entraîner... Ses pensées étaient pleines de points d'interrogations qui faisaient "plop plop plop" (comme des bulles de savon).
" L'Inde, ce n'est pas de là que viennent les yogi ? J'ai encore du mal avec le monde présent... 10 000 ou 12 000 ans d'histoire mondiale à assimiler... il n'y avait pas une histoire avec des yogi et Mars ?... Mais même si c'est ça, je n'y connais rien et n'ai pas la moindre idée des motivations ou intentions..."
... au cas où l'Agent Guillaume aurait eu un doute, il est évident que Leilith était honnête, réglo, et transparente...
Leilith était un peu perplexe par la formulation de la réponse... un instant elle se demandait s'il ne voulait pas faire une démonstration sur elle ?... Dans l'absolu, la curiosité la pousse à bien vouloir essayer plein de choses, mais si elle est l'objet de l'expérience, il sera difficile d'avoir le recul nécessaire pour se faire un avis... Non ?... Mais à court terme, pas de raison de refuser une courtoise invitation, même si elle comportait un aspect bizarre... Ray aurait peut-être un avis sur la question ?...
" Un restaurant ? ... eh bien... d'accord... je... à toute à l'heure alors."
Avec l'infirmière Boussard
" En effet, tout cela est très étrange... C'est une chance que vous ayez pu tendre l'oreille de la sorte ! Merci beaucoup ! Il faut maintenant que j'échange avec l'Agent Guillaume... pourriez-vous m'attendre juste quelques instants ? "
Après tout, en bon télépathe, il devait pouvoir récupérer le souvenir du visage de l'intrus, non ?...
Avec l'Agent Guillaume
Supposant que l'Agent Guillaume était fairplay, Leilith nota mentalement que la distance à laquelle il n'entendait plus les pensées était logiquement inférieure à la distance à laquelle il se tenait de la chambre de Balthazar... et le rejoignit d'un pas vif : " L'infirmière Boussard a remarqué un visiteur qui s'est... euh... téléporté ?... dans les jardins, sans autorisation, cela va sans dire. Il a interrogé Balthazar, et obtenu de lui un grand nombre de renseignements techniques qu'il n'aurait jamais dévoilé volontairement. A cela il faut ajouter qu'il a effacé sa venue de la mémoire de Balthazar... Sans la curiosité de l'infirmière, nous n'aurions jamais rien su."
" Pourriez-vous ... consulter la mémoire de l'infirmière Boussard et voir si l'homme est connu de vos services ? ... Un indien tout ce qu'il y a d'archétypal apparemment, avec turban et tout..."
A priori la sécurité des lieux devait importer au CID, donc logiquement l'Agent Guillaume allait prendre cette affaire au sérieux, enfin, encore plus au sérieux que ça n'était le cas... Mais comme elle avait une perception très floue du CID, elle ne savait pas trop ce que le fait de lui parler allait entraîner... Ses pensées étaient pleines de points d'interrogations qui faisaient "plop plop plop" (comme des bulles de savon).
" L'Inde, ce n'est pas de là que viennent les yogi ? J'ai encore du mal avec le monde présent... 10 000 ou 12 000 ans d'histoire mondiale à assimiler... il n'y avait pas une histoire avec des yogi et Mars ?... Mais même si c'est ça, je n'y connais rien et n'ai pas la moindre idée des motivations ou intentions..."
... au cas où l'Agent Guillaume aurait eu un doute, il est évident que Leilith était honnête, réglo, et transparente...
Meneuse : Ombres d'Esteren | Dragons
Joueuse : /
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