Poussé par des vents favorables, l’Intrépide fendait l’écume à une vitesse prodigieuse. Le voilier ne rencontrant pas d’opposition de vagues de tribord ou de bâbord, Jolan pouvait tenir la barre de façon détendue et maitrisée. Les Sept avait donc entendu sa prière muette et c’est ainsi que le soir tombé, ils avaient déjà bien dépassé les falaises de Bandallon et son triste château vu d’en bas.Connaissance navigation 3D+1B bonus : 3+4+6(+2) = 13
Là où les voyageurs étaient moins chanceux, c’est la maigreur manifeste d'un quartier de lune avec pour conséquence une visibilité très limitée. Que faire, mouiller pour passer la nuit, confier la barre au marin ou garder la barre soi-même?