I - Fiches de personnage :
Nom : Spartacos
Race : Humain
Sexe : Masculin
Age : 24 ans
Métier : Gladiateur
Divinité : Adathie (Justice et Saucisson)
EV : 35
Points de Destin : 3 - 1 = 2
Caractéristiques :
Jet de dés : 6, 2, 5, 1, 5
Répartition des caractéristiques :
Courage : 5 + 7 = 12
Intelligence : 1 + 7 = 8
Charisme : 6 + 7 = 13
Adresse : 2 + 7 = 9
Force : 5 + 7 = 12
Compétences de classe :
- Armes de Bourrin
- Bourre-Pif
Compétences optionnelles (2 choix pour Humain) :
- Fariboles (hors-classe, lié au Background du perso)
- Intimidation (compétence de classe)
Compétences Bonus (cadeaux de Nowel, pardon, de background) :
- Chef de groupe (possède plus de poids dans les choix de l'équipe)
- Comprendre les animaux (parle avec les animaux sur épreuve INT)
- Naïveté touchante (CHA +5 pour séduire dans un conflit, MAIS il faut trouver une excuse bidon)
[PJ] Spartacos, le gladiateur blond platine
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[PJ] Spartacos, le gladiateur blond platine
Dernière modification par Etmer_Fachronies le 13 sept. 2016, 22:52, modifié 1 fois.
La Tour vous accueille, voyageur. Bienvenue en mon blog des Fachronies.
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II - Background :
S’il y a bien une chose qu’on connait en Terre de Fangh, c’est que c’était dans les vieux pots qu’on faisait les meilleures soupes. La ville de Waldorg, en fière cité sempiternelle, n’échappait pas à la règle. Dans certains lieux connus des amateurs du genre, on trouvait des endroits avec des gens assez soupe-au-lait pour bien faire le café. Et comme on a du pot, c’est dans un de ces endroits que celui qui nous intéresse se trouvait.
L’arène de Morzyloeil était connue des amateurs de gnons en tout genre, ainsi que des parieurs de tout poil. Et bien qu’elle soit totalement clandestine, on y trouvait pas mal d’officiels qui venaient officieusement s’en mettre plein les mirettes pour quelques sous. Si on ajoutait à ça que la bière qu’on y servait n’était que moyenne pour un prix presque honnête, inutile de dire que l’établissement faisait carton plein.
Parmi la pelleté des pauvres hères destinés à se faire boulotter ou à mourir de la façon la plus divertissante possible, il y en avait un qui retenait les faveurs du public : Spartacos, le gladiateur blond platine. Avec une bande de collègues pas trop bras cassés, il s’était débrouillé pour survivre depuis l’adolescence. Ou plus exactement, depuis que la bande de bandits qui avaient collé la misère à ses ménestrels de parents l’avait refourgué aux gérants de la boutique comme esclave combattant.
Normalement, un fils de ménestrel, ça amuse une fois le public avec les fauves, et après on en jette les restes dans les égouts. Mais pas celui-là, le bougre avait résisté aux premiers duels, et depuis le temps c’était lui qui collait des baffes désormais. Avec ses discours enflammés sur la Justice et la « lutte classe » pour renverser les gérants de l’arène avant chaque combat, il faisait un tabac auprès des afficionados.
Il devint la coqueluche de l’arène pendant un temps, mais il finit par en avoir marre de rester en cage. Les fauves et la baston, c’était cool, mais ça manquait de filles et de causes perdues à défendre. Un beau jour, alors qu’un prêtre d’Adathie faisait les sermons d’avant match, Spartacos eut une révélation. Lui aussi, il était un héros, et il devait faire la lutte classe pour aider les faibles et les opprimés, au nom de la justice et du saucisson. C’était comme dans les contes que ses parents servaient aux chalands en tournée, sauf que là, c’était de lui qu’on parlerait, plus tard.
Ni une ni deux, il se mit en devoir de rectifier les premières injustices. Haranguant ses collègues esclaves lorsque la nuit vint, il organisa sa première révolte désorganisée lors de la collation du soir. La bagarre mis l’arène sans-dessus-dessous, et laissa beaucoup de gnons sur les figures médusées des gérants. Pour faire bonne mesure, Spartacos libéra aussi les fauves, parce que les animaux aussi avaient droit à leur lutte classe. L’idée, aussi généreuse qu’elle eut été, ne fut pas du goût des voisins de l’arène, qui se firent boulotter dans la soirée. Une chose était sûre en revanche, les voisins furent bien du goût des fauves.
La garde de Waldorg mis un frein définitif à la révolte des esclaves qui enflait rapidement, parce que ça faisait désordre à quelques temps des prochaines consultations populaires. Spartacos s’en tira cependant indemne, parce qu’il avait déjà passé les rênes de la révolte à ses compagnons d’arènes. Et alors que les esclaves qu’il laissait derrière se faisaient massacrer par la garde, il était déjà sur les routes. Lui, son destin de héros l’appelait ailleurs, il devait désormais partir mener la lutte classe partout où le devoir l’appelait. Sûr de lui, il avançait vers son Destin. Désormais, son charisme ravageur gravé dans son sourire n’égalait plus que la bêtise qui flamboyait dans ses yeux vides. C’était écrit, il allait devenir… un aventurier.
S’il y a bien une chose qu’on connait en Terre de Fangh, c’est que c’était dans les vieux pots qu’on faisait les meilleures soupes. La ville de Waldorg, en fière cité sempiternelle, n’échappait pas à la règle. Dans certains lieux connus des amateurs du genre, on trouvait des endroits avec des gens assez soupe-au-lait pour bien faire le café. Et comme on a du pot, c’est dans un de ces endroits que celui qui nous intéresse se trouvait.
L’arène de Morzyloeil était connue des amateurs de gnons en tout genre, ainsi que des parieurs de tout poil. Et bien qu’elle soit totalement clandestine, on y trouvait pas mal d’officiels qui venaient officieusement s’en mettre plein les mirettes pour quelques sous. Si on ajoutait à ça que la bière qu’on y servait n’était que moyenne pour un prix presque honnête, inutile de dire que l’établissement faisait carton plein.
Parmi la pelleté des pauvres hères destinés à se faire boulotter ou à mourir de la façon la plus divertissante possible, il y en avait un qui retenait les faveurs du public : Spartacos, le gladiateur blond platine. Avec une bande de collègues pas trop bras cassés, il s’était débrouillé pour survivre depuis l’adolescence. Ou plus exactement, depuis que la bande de bandits qui avaient collé la misère à ses ménestrels de parents l’avait refourgué aux gérants de la boutique comme esclave combattant.
Normalement, un fils de ménestrel, ça amuse une fois le public avec les fauves, et après on en jette les restes dans les égouts. Mais pas celui-là, le bougre avait résisté aux premiers duels, et depuis le temps c’était lui qui collait des baffes désormais. Avec ses discours enflammés sur la Justice et la « lutte classe » pour renverser les gérants de l’arène avant chaque combat, il faisait un tabac auprès des afficionados.
Il devint la coqueluche de l’arène pendant un temps, mais il finit par en avoir marre de rester en cage. Les fauves et la baston, c’était cool, mais ça manquait de filles et de causes perdues à défendre. Un beau jour, alors qu’un prêtre d’Adathie faisait les sermons d’avant match, Spartacos eut une révélation. Lui aussi, il était un héros, et il devait faire la lutte classe pour aider les faibles et les opprimés, au nom de la justice et du saucisson. C’était comme dans les contes que ses parents servaient aux chalands en tournée, sauf que là, c’était de lui qu’on parlerait, plus tard.
Ni une ni deux, il se mit en devoir de rectifier les premières injustices. Haranguant ses collègues esclaves lorsque la nuit vint, il organisa sa première révolte désorganisée lors de la collation du soir. La bagarre mis l’arène sans-dessus-dessous, et laissa beaucoup de gnons sur les figures médusées des gérants. Pour faire bonne mesure, Spartacos libéra aussi les fauves, parce que les animaux aussi avaient droit à leur lutte classe. L’idée, aussi généreuse qu’elle eut été, ne fut pas du goût des voisins de l’arène, qui se firent boulotter dans la soirée. Une chose était sûre en revanche, les voisins furent bien du goût des fauves.
La garde de Waldorg mis un frein définitif à la révolte des esclaves qui enflait rapidement, parce que ça faisait désordre à quelques temps des prochaines consultations populaires. Spartacos s’en tira cependant indemne, parce qu’il avait déjà passé les rênes de la révolte à ses compagnons d’arènes. Et alors que les esclaves qu’il laissait derrière se faisaient massacrer par la garde, il était déjà sur les routes. Lui, son destin de héros l’appelait ailleurs, il devait désormais partir mener la lutte classe partout où le devoir l’appelait. Sûr de lui, il avançait vers son Destin. Désormais, son charisme ravageur gravé dans son sourire n’égalait plus que la bêtise qui flamboyait dans ses yeux vides. C’était écrit, il allait devenir… un aventurier.
La Tour vous accueille, voyageur. Bienvenue en mon blog des Fachronies.
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III - Equipement :
Attaque (AT) : 8
Parade (PRD) : 10
Résistance à la magie : 11
Protections :
- Kilt de la Bravitude : "Un kilt court en lamelles de plaque, vachement classe et sexy, tombant jusqu'aux trois-quarts de cuisse, sponsorisé par la fédération de Bruteball." - PR 1 - AD-1, CHA+1 - Rupture 1-3
- Plastron de Tomberaide : "Un plastron moulant en cuir bouilli et lustré, les tétons sont bien sûr modelés ton sur ton pour le petit côté viril. L'article fait fureur auprès des elfes du Bourbier, un quartier très réputé à la capitale." - PR 3 - AD +1, CHA +1 - Rupture 1-3
Caractéristiques après modification d'armure :
Courage : 12
Intelligence : 8
Charisme : 13 +1 +1 = 15
Adresse : 9 -1 +1 = 9
Force : 12
Protection (PR) : 0 +1 +3 = 4
Armes :
- Épée à deux mains de Morzyloeil : "Une belle épée longue à deux mains rutilante, parce que c'est beau quand ça brille." - AT-1, PRD -4 - Dégâts 2d+2 - Rupture 1-3
- Épée de gladiateur du copain Fistus : "Une lame chargée d'histoire, gardée en souvenir de Fistus, l'ami de cellule bizarre qui comptait les globzoules invisibles. Le pauvre bougre a fini dans la panse d'un rat mutant violet, mais sa lame est restée comme neuve." - Dégâts 1d+4 - Rupture 1-3
Équipement, babioles et fringues :
- Flacon de shampooing Loreliane, pour garder une belle tignasse brillante et soilleuse (CHA+1/1 jour) - 10 utilisations
- Kit de l'aventurier débutant (un briquet, une couverture, des chaussettes, des vêtements, une gourde, un sac, une corde, des couverts, quelques rations de nourriture)
- Une paire de menotte cassées, qu'il a gardé depuis sa fuite des cellules de Morzyloeil.
Machins précieux :
- Une tresse de crin de poney-garou, un souvenir qu'il conserve de son premier combat livré au nom de la Justice et de la lutte classe. Il le sort souvent quand il cherche l'inspiration, l'odeur douce de foin lui rappelle des bons souvenirs avec ses amies de cellules.
Pièces d'or : 80 po.
Attaque (AT) : 8
Parade (PRD) : 10
Résistance à la magie : 11
Protections :
- Kilt de la Bravitude : "Un kilt court en lamelles de plaque, vachement classe et sexy, tombant jusqu'aux trois-quarts de cuisse, sponsorisé par la fédération de Bruteball." - PR 1 - AD-1, CHA+1 - Rupture 1-3
- Plastron de Tomberaide : "Un plastron moulant en cuir bouilli et lustré, les tétons sont bien sûr modelés ton sur ton pour le petit côté viril. L'article fait fureur auprès des elfes du Bourbier, un quartier très réputé à la capitale." - PR 3 - AD +1, CHA +1 - Rupture 1-3
Caractéristiques après modification d'armure :
Courage : 12
Intelligence : 8
Charisme : 13 +1 +1 = 15
Adresse : 9 -1 +1 = 9
Force : 12
Protection (PR) : 0 +1 +3 = 4
Armes :
- Épée à deux mains de Morzyloeil : "Une belle épée longue à deux mains rutilante, parce que c'est beau quand ça brille." - AT-1, PRD -4 - Dégâts 2d+2 - Rupture 1-3
- Épée de gladiateur du copain Fistus : "Une lame chargée d'histoire, gardée en souvenir de Fistus, l'ami de cellule bizarre qui comptait les globzoules invisibles. Le pauvre bougre a fini dans la panse d'un rat mutant violet, mais sa lame est restée comme neuve." - Dégâts 1d+4 - Rupture 1-3
Équipement, babioles et fringues :
- Flacon de shampooing Loreliane, pour garder une belle tignasse brillante et soilleuse (CHA+1/1 jour) - 10 utilisations
- Kit de l'aventurier débutant (un briquet, une couverture, des chaussettes, des vêtements, une gourde, un sac, une corde, des couverts, quelques rations de nourriture)
- Une paire de menotte cassées, qu'il a gardé depuis sa fuite des cellules de Morzyloeil.
Machins précieux :
- Une tresse de crin de poney-garou, un souvenir qu'il conserve de son premier combat livré au nom de la Justice et de la lutte classe. Il le sort souvent quand il cherche l'inspiration, l'odeur douce de foin lui rappelle des bons souvenirs avec ses amies de cellules.
Pièces d'or : 80 po.
La Tour vous accueille, voyageur. Bienvenue en mon blog des Fachronies.