Une nuit à Seattle
Re: Une nuit à Seattle
Ozidan s'en foutait qu'elle parle ou non, il n'était même pas au courant du pourquoi et du comment de son trouble, il connaissait seulement, à l'instinct, ce qu'il devait faire. Etre là, protéger et soutenir, ce n'était rien, et c'était déjà énormément. Ce n'était même pas une technique de drague, ou quelque chose qu'il avait appris dans les forces spéciales, non, c'était juste le contact avec l'autre, l'être humain...
Re: Une nuit à Seattle
Mael se contenta d'hausser les épaules et de sourire.
"- Je suggère que l'on laisse décanter cette nuit et que l'on commence l'enquête demain matin... Karen ne doit pas être en état de parler pour le moment."
"- Je suggère que l'on laisse décanter cette nuit et que l'on commence l'enquête demain matin... Karen ne doit pas être en état de parler pour le moment."
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- Jeune pousse
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Re: Une nuit à Seattle
Encore une fois, Renny répondit la première, laissant Lucy abasourdie:
"On devrait être quitter le club et rentrer avec elle, non? C'est pas plus sur Mael?"
Sur la scène, il sembla que la chanteuse de metal avait finie son mini concert, sous les applaudissement de plusieurs dizaines de clients, elle envoya un baiser à deux mains, dit quelque chose à la foule dans une langue qui ressemblait à du scandinave et quitta la salle. Le DJ de l'Ô envoya un son un peu plus rétro mais pourtant sympathique à sa façon: Voici ce qu'entende Mael et les filles à ce moment là.
"On devrait être quitter le club et rentrer avec elle, non? C'est pas plus sur Mael?"
Sur la scène, il sembla que la chanteuse de metal avait finie son mini concert, sous les applaudissement de plusieurs dizaines de clients, elle envoya un baiser à deux mains, dit quelque chose à la foule dans une langue qui ressemblait à du scandinave et quitta la salle. Le DJ de l'Ô envoya un son un peu plus rétro mais pourtant sympathique à sa façon: Voici ce qu'entende Mael et les filles à ce moment là.
"C'est dans ces rêves que l'homme trouve sa liberté..."
William Kitting, Le Cercles des poètes disparus
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Re: Une nuit à Seattle
Lorsque le petit groupe de Mael sorti, venait d'allumer une cigarette pour Karen qui tremblait, de froid ou de peur. L'elfe lui avait passé, gentiment mais avec fermeté, sa veste en cuir.
Lui même tira une nouvelle cigarette qu'il porta à ses lèvres, avant de la griller au bout de son zippo. Il tira une longue bouffée, puis regarda la compagnie:
"Que fais-t-on maintenant ?" dit il, recrachant la fumée dans un nuage.
Lui même tira une nouvelle cigarette qu'il porta à ses lèvres, avant de la griller au bout de son zippo. Il tira une longue bouffée, puis regarda la compagnie:
"Que fais-t-on maintenant ?" dit il, recrachant la fumée dans un nuage.
Re: Une nuit à Seattle
"- On récupère nos petites affaires, et on va passer une bonne nuit de repose tous ensemble. Il est peut être préférable de ne pas laisser les filles seules après ce qui vient de se passer. Quelqu'un à d'autres suggestions ?"
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Re: Une nuit à Seattle
Ozidan haussa les épaules. Pas même une journée à Seattle et ça commençait déjà de déconner sévère. Mais bon, il était habitué. Il tira une dernière bouffée de sa cigarette, avant de l'écraser sous son talon. Puis il regarda les jeunes filles, attendant de voir une possible suggestion de leur part. Lui, il s'en fichait, tant qu'il trouvait un toit pour dormir, calmer Karen et mettre tout ça au clair, ça serait parfait.
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- Jeune pousse
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Re: Une nuit à Seattle
Lucy haussa les épaules. "C'est vous les spécialistes, les beaux mecs. On vous suis. Comment on rentre? Les mecs qui ont tué le frère de Karen me font très peur. Vous pensez qu'ils vont s'en prendre à elle?"
Elle avait parlé sur un ton un peu bouleversé et sa voix tremblait. Elle affichait un air un peu perdu, comme si ses repères avaient volés en éclats. A sa manière de chercher le regard des deux elfes, on pouvait facilement deviner qu'elle chercher à être rassurer sans pour autant que la demande soit explicite. Renny, elle, avait l'air plutôt calme sans être sereine. Cependant, c'était clair qu'elle était inquiète. Karen, de son coté, avait tout simplement laissé tomber la cigarette offerte par Ozidan. Mais elle cherchait à présent à se blottir contre lui. Verbinsen reparu aussi brusquement qu'un fantôme dans un film d'épouvante. Mais, il se contenta, cette fois, de planter son regard très profondément dans celui d'Ozidan sans mot dire. Dans l'armée, ce geste faisait figure d'avertissement. Mais à l'intérieur d'une boite de nuit, adressé par un chien de guerre à la retraite, le message était différent...
Elle avait parlé sur un ton un peu bouleversé et sa voix tremblait. Elle affichait un air un peu perdu, comme si ses repères avaient volés en éclats. A sa manière de chercher le regard des deux elfes, on pouvait facilement deviner qu'elle chercher à être rassurer sans pour autant que la demande soit explicite. Renny, elle, avait l'air plutôt calme sans être sereine. Cependant, c'était clair qu'elle était inquiète. Karen, de son coté, avait tout simplement laissé tomber la cigarette offerte par Ozidan. Mais elle cherchait à présent à se blottir contre lui. Verbinsen reparu aussi brusquement qu'un fantôme dans un film d'épouvante. Mais, il se contenta, cette fois, de planter son regard très profondément dans celui d'Ozidan sans mot dire. Dans l'armée, ce geste faisait figure d'avertissement. Mais à l'intérieur d'une boite de nuit, adressé par un chien de guerre à la retraite, le message était différent...
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William Kitting, Le Cercles des poètes disparus
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Re: Une nuit à Seattle
- Parfait. Il ne nous reste plus qu'à prendre un taxi et trouver une piaule ou un hôtel tranquille.
Quand aux assassins, ne vous inquiétez pas, on a de quoi les recevoir, dit Mael en tapotant sur son sac de voyage. Puisqu'il était ingénieur, ça peut simplement être lié avec son travail. Karen ne risque donc rien. Quand aux réelles motivations, on les découvrira assez vite.
Le soldat s'éclipsa pour récupérer ses affaires et celles des autres membres du groupe. De retour avec les autres il appel un taxi passant dans la rue.
Quand aux assassins, ne vous inquiétez pas, on a de quoi les recevoir, dit Mael en tapotant sur son sac de voyage. Puisqu'il était ingénieur, ça peut simplement être lié avec son travail. Karen ne risque donc rien. Quand aux réelles motivations, on les découvrira assez vite.
Le soldat s'éclipsa pour récupérer ses affaires et celles des autres membres du groupe. De retour avec les autres il appel un taxi passant dans la rue.
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Re: Une nuit à Seattle
Ozidan suivit du regard son ami avant de jeter un coup d’œil à Verbinsen. Il n'avait pas envie de savoir ce qu'il voulait, il s'en moquait bien à vrai dire. Du boulot, il y en aurait toujours. Pour l'heure, il resserra sa prise autour des épaules de karen, la laissant se réchauffer contre sa poitrine. Le magicien un peu fou fou semblait pour l'heure plus enclin à servir de bouclier humain, conscient d'une certaine responsabilité envers le sexe faible, et il remerciait intérieurement Mael de faire toutes les démarches pour partir de cette maudite boîte de nuit...Enfin.
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- Jeune pousse
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Re: Une nuit à Seattle
Le taxi n'avait pas de chauffeur mais un système de pilotage par la matrice et surement piloté par immersion à l'heure ou il s'était arrêté car le véhicule avait vraiment réagit à la vitesse d'une personne en chair et en os. "Votre destination, je vous prie? Demanda une voix de femme dans les hauts parleurs.
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William Kitting, Le Cercles des poètes disparus
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