HRP a écrit :Désolé, j'ai un peu la flemme pour ce poste et ne sais pas vraiment trop quoi dire.
Une nuit à Seattle
Re: Une nuit à Seattle
Mael passa simplement ses ordres à la "conductrice" :les emmener dans un hôtel tranquille un peu excentré et propre.
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PJ: [OdE] Arthwr (aka Garn Faernor) ** en pause **, [Mekton Z] Elbert "Storm" Falck - Jeune psionique & métalleu
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Re: Une nuit à Seattle
Ozidan ne connaissait plus assez bien Seattle pour donner une adresse correcte, affalé dans le siège, il tenait toujours contre lui Karen, sans pour autant ne rien faire. Tandis que la voiture avançait dans les ruelles de la conurb, il jetait des coups d’œils réguliers par la vitre, espérant qu'ils ne tomberaient pas sur un quelconque Gang Urbain. Ils avaient beau être tout deux des Elfes, les Ancients ne faisaient pas la distinction lorsqu'ils chassaient la nuit.
Il essayait en même temps de remettre ses esprits en place, cherchant à savoir ce qui avait bien pu merder avec Verbinsen mais aussi comment ils s'étaient attachés aussi vite à ces filles sans savoir rien de plus d'elles que le strict nécessaire.
Il essayait en même temps de remettre ses esprits en place, cherchant à savoir ce qui avait bien pu merder avec Verbinsen mais aussi comment ils s'étaient attachés aussi vite à ces filles sans savoir rien de plus d'elles que le strict nécessaire.
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Re: Une nuit à Seattle
"Navrée, monsieur. Votre demande et beaucoup trop vague. Veuillez nommer un point précis s'il vous plait?" Répondit la femme.
Dans les bras d'Ozidan, la posture lâche de Karen, sa respiration lente et tranquille, lui révélaient que la jeune femme s'était endormie.
Dans les bras d'Ozidan, la posture lâche de Karen, sa respiration lente et tranquille, lui révélaient que la jeune femme s'était endormie.
"C'est dans ces rêves que l'homme trouve sa liberté..."
William Kitting, Le Cercles des poètes disparus
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Re: Une nuit à Seattle
L'elfe pris son comlink et cherche rapidement des hôtels correspondants a ses critères.
Il donne ensuite les instructions nécessaires au conducteur (a la conductrice ?) du taxi : ce soir ce sera le Blue Parrot Motel.
Il donne ensuite les instructions nécessaires au conducteur (a la conductrice ?) du taxi : ce soir ce sera le Blue Parrot Motel.
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Re: Une nuit à Seattle
"Merci, monsieur. Les coordonnées sont calculées.Pour toute information, n'hésitez à me solliciter." Répondit la voix féminine alors que le taxi s'engageait enfin dans la circulation. Lucy accorda un sourire suggestif à Mael. Renny Préféra s'assoire du coté d'Ozidan face à Mael. Après quelques secondes où elle sembla hésiter, elle lui adressa, visage vers le sol: "Je m'excuse pour l'aréoport. J'ai toujours peur au début, quand je connais pas les gens." Elle avait la voix cassée. Comme si elle avait intensément pleuré quelques minutes plus tôt. Sauf que quelques minutes plus tôt, et même avant, elle n'avait pas pleuré une seule seconde. De son coté, Lucy cessa son manège pour aller prendre son amie dans ses bras, mais Renny l'arrêta en lui faisant signe que tout allez bien. Quelque chose, cependant, l'avait bouleversée.
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William Kitting, Le Cercles des poètes disparus
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Re: Une nuit à Seattle
Ozidan ce soir n'avait pas envie de se prendre la tête, trop de stress, trop d'embrouilles, et une flemme énorme d'aviser. Il indiqua un vieil hôtel dans un quartier pas trop démodé, ni trop classe ni dangereux comme peuvent l'être les tanières à junkies et autres gangbangers des Barrens.
C'était une vieille bâtisse sombre, en perma béton couleur brique qui par endroit aurait mérité un bon ravalement. L'entrée était éclairée par des lumières, ce qui était bon signe pour qui connaissait Seattle. Poussant la porte à tambour antique, l'elfe conduisit Karen qui se reposait entièrement sur lui jusqu'à un vieux comptoir en simili bois Ikea lustré et patiné par les ans, les brûlures de cigarettes et ça et là quelques tâches qui n'était pas que de la cire d'abeille.
Un vieil Ork édenté regarda le groupe arrivé, arqua un sourcil brûlé des années auparavant, avant de grogner quelque chose d'incompréhensible. Ozidan lui expliqua en quelques mots ce qu'ils cherchaient, des chambres. Un coup d’œil aux demoiselles pour voir si elles en souhaitaient des particulières, Karen resserra à cet instant la veste du magicien et se colla plus près de lui. Sans savoir que faire, il enroula un bras protecteur autour de la demoiselle, tout en jetant un créditube sur le comptoir.
L'ork lui donna une clé maglock, signe que ce bâtiment n'était pas ce qu'il paraissait être, mais au moins, ils auraient la paix pour quelques heures, à moins que les Cyber Swat n'aient une envie pressante de fracasser la porte de la chambre 651.
Ils entrèrent dans un ascenseur qui sentait fort le tabac, le synthé alcool et le parfum bon marché des corpos de classe moyenne. Une lénifiante petite chanson les entraine jusqu'au sixième étage.
Tout était calme dans cet hôtel, c'était somme toute un bon choix. Entrant dans la piaule qu'il s'était choisi, Ozidan poussa Karen gentiment devant lui. Elle était amorphe, sous le coup et complétement choqué. Rien de bon à tirer d'elle ce soir, si ce n'était l'entrainer sous la douche après l'avoir désapée, la frotter vigoureusement, comme une enfant, avant de l’emmitoufler dans un peignoir éponge rose bonbon. Elle tremblait malgré la chaleur de l'eau et de la chambre, saisissant sa main, Ozidan l'emmena sur le lit et la coucha en la berçant.
Il attendit longtemps qu'elle s'endorme, puis délicatement il enleva son bras, et, la laissant prostrée en position fœtale, Ozidan s'en grilla une à la fenêtre, prêt à revenir au moins geste de la belle endormie, qui marmonnait dans son douloureux sommeil.
Encore une super journée à Seattle qui s'achevait...
C'était une vieille bâtisse sombre, en perma béton couleur brique qui par endroit aurait mérité un bon ravalement. L'entrée était éclairée par des lumières, ce qui était bon signe pour qui connaissait Seattle. Poussant la porte à tambour antique, l'elfe conduisit Karen qui se reposait entièrement sur lui jusqu'à un vieux comptoir en simili bois Ikea lustré et patiné par les ans, les brûlures de cigarettes et ça et là quelques tâches qui n'était pas que de la cire d'abeille.
Un vieil Ork édenté regarda le groupe arrivé, arqua un sourcil brûlé des années auparavant, avant de grogner quelque chose d'incompréhensible. Ozidan lui expliqua en quelques mots ce qu'ils cherchaient, des chambres. Un coup d’œil aux demoiselles pour voir si elles en souhaitaient des particulières, Karen resserra à cet instant la veste du magicien et se colla plus près de lui. Sans savoir que faire, il enroula un bras protecteur autour de la demoiselle, tout en jetant un créditube sur le comptoir.
L'ork lui donna une clé maglock, signe que ce bâtiment n'était pas ce qu'il paraissait être, mais au moins, ils auraient la paix pour quelques heures, à moins que les Cyber Swat n'aient une envie pressante de fracasser la porte de la chambre 651.
Ils entrèrent dans un ascenseur qui sentait fort le tabac, le synthé alcool et le parfum bon marché des corpos de classe moyenne. Une lénifiante petite chanson les entraine jusqu'au sixième étage.
Tout était calme dans cet hôtel, c'était somme toute un bon choix. Entrant dans la piaule qu'il s'était choisi, Ozidan poussa Karen gentiment devant lui. Elle était amorphe, sous le coup et complétement choqué. Rien de bon à tirer d'elle ce soir, si ce n'était l'entrainer sous la douche après l'avoir désapée, la frotter vigoureusement, comme une enfant, avant de l’emmitoufler dans un peignoir éponge rose bonbon. Elle tremblait malgré la chaleur de l'eau et de la chambre, saisissant sa main, Ozidan l'emmena sur le lit et la coucha en la berçant.
Il attendit longtemps qu'elle s'endorme, puis délicatement il enleva son bras, et, la laissant prostrée en position fœtale, Ozidan s'en grilla une à la fenêtre, prêt à revenir au moins geste de la belle endormie, qui marmonnait dans son douloureux sommeil.
Encore une super journée à Seattle qui s'achevait...