Madennig frappa à la porte, et attendit d'avoir un accord venant de l'autre coté pour ouvrir. Elle n'était pas seule, Pwyll et Kiddle (et son rat) entrèrent aussi.Description de la chambre a écrit : La pièce était dotée d'une petite annexe à mur en bois, avec vasque pour faire sa toilette et chaise percée. Dans la chambre proprement dite, il y avait un grand lit à baldaquin, une cheminée qui avait été allumée, mais dont le feu n'avait pas été entretenu, une fenêtre à vitraux en losange translucides, des cousièges, trois coffres au pied du lit et le long des murs, de part et d'autres de la cheminée.
La vue était plongeante, elle donnait sur le vide de la falaise, avec l'impression mélancolique et effrayante de plonger dans des limbes affamées.
"Nous venions, voir, la mer de, cette fenêtre, si ça, ne te dérange pas. Et puis, pas que cela... D'autres choses..."
Quand elle vit Ethel, elle lui dit :
"Ah.. Ethel, pourrais-tu encore, m'aider... ce soir...? Juste... Pour la toilette. Je suis, navrée."
En s'avançant vers la fenêtre, elle s'arrêta devant l'âtre chaleureux de la cheminée pour le regarder. Une fleur fraîche avait été ajouté au corsage de sa robe.
"...Comment vous, vous sentez, ce soir...?"