Iris a écrit :Les examens prennent du temps et vu que les malheurs d'Amy incluent de la magience, vous pouvez partir du principe qu'elle a testé des infusions de flux et autres vu qu'à terme le but (réussi) était de lui faire développer un super pouvoir (ici la régénération des blessures, dont la jauge est à plat, car Amy n'a pas développé de rituel / méthode pour la remplir sur la base de quelque chose lié à l'espoir & volonté de vivre)... elle était donc un cobaye pour aller bien au-delà de ce que les mékônes peuvent permettre, ce qui a pu inclure d'en placer, enlever, bidouiller...
Cela veut dire qu'en RP on pourrait autant envisager de la guerrir que de lui apprendre à l'utiliser ?
Je reviens sur un élément que tu as écrit sur le forum OdE.
... figure-toi que ça fait un moment que je songe justement à la ressemblance de style possible entre Shadowrun et le Reizh des grandes villes (surtout Baldh-Ruoch à mon sens, et peut-être un ou deux autres sites)...
Au final je pense que les mékônes guerriers, c'est comme les oghams guerriers (boule de feu ...), c'est une question de style : soit on joue en basse intensité, peu spectaculaire... et dans ce cas, les mékônes sont encore largement expérimentaux et d'usage limité... Soit on part sur un potentiel de haute intensité, avec davantage d'héroïsme et d'application assez extraordinaire...
Perso, les deux me paraissent tout aussi acceptables... On peut aussi démarrer une chronique sur le mode "basse intensité" et du coup surprendre ensuite avec un twist "haute intensité"...
... et Witcher me paraît effectivement un style compatible, rapport à la manière dont l'alchimie et les mutations sont utilisées dans cet univers pour créer des combattants exceptionnels. Du coup ça permet d'avoir des problématiques contemporaines / SF (expérimentations scientifiques, savants-fous, éthique, super soldat...) dans un cadre médiéval par ailleurs low fantasy, ce qui évite les corpo / multinationales superpuissantes et donne du même coup une autre échelle d'action pour les PJ...
De ce que je retiens pour le moment, c'est que ce qu'ils ont mis en place serait plus "naturel" qu'un implant mécanique (donc un style bioimplant de shadowrun). Mais que ça suit la méthode logique d'un artefact, il a donc besoin de flux, sauf qu'ici point de cartouche, le flux provient d'Amy. Mais cette dernière ne sait pas comment l'alimenter. Du coup le bidule pompe toujours mais lui pompe finalement la vie.
Les solutions possibles :
- Garn arrive à prier tant bien que mal, et en plus de nous purifier l'eau soigne Amy.
- J'arrive à voir comment réparer les dégâts. Là encore sous réserve qu'ils aient rajouté un truc, même biologique, car si c'est une modification cellulaire par le flux je suis mal, ou alors je vais devoir utiliser du flux aussi mais ça signifie qu'Amy devra souffrir...
- J'apprend à Amy à alimenter son bidule, ça lui évite une nouvelle opération, la force à avoir une certaine discipline (bah oui on ne médite pas comme ça). Par contre demander à Kevan d'imaginer une méthode d'alimentation autre que lui coller une cartouche de flux dans le dos...
Si on envisage l'alimentation on peut cumuler les besoins :
- Alimentation. Déjà il faudrait qu'Amy mange un type d'aliment particulier régulièrement pour générer une sorte de réaction de ses cellules.
- Méditation / Relaxation. Amy est en doute constant, il faudrait donc lui apprendre à se calmer et à reposer son corps. Le doute, l'énervement, la peur, laissent le corps dans une activité non reposante, même en dormant il demeure quelque chose. Pourquoi pas une sorte de Tai Chi, les mouvements pouvant aussi avoir un impact musculaire qui aiderait à l'activation de tout le système.
Rollistiquement parlant les deuxièmes et troisièmes solutions sont plus intéressantes. Par contre la deuxième est clairement violente.