Mais... bien joué, Oanell!
En effet, pour Roparz il y avait un mélange de syndrôme de Stokholm et de développement de respect mutuel. Sans compter que je trouvais cette évolution intéressante pour le développement de Blodwen ET de Roparz (qui aurait du coup pu sortir du cliché de brute épaisse, ce qu'il a encore le potentiel de faire). Je trouvais séduisante l'idée que Blodwen puisse "apprivoiser" Roparz en regardant au-delà des apparences, pour atteindre la couche sensible qu'il cache bien, mais qu'il a laissée entrevoir lors de leurs brefs entretiens en privé.
Sans oublier "la confrontation tragique", lorsque Roparz découvrirait ce qu'il a fait à Blodwen par le passé.
Le second en revanche n'est pas Leuferin.