13.7.Ténèbres sur Kalvernach - Chez Nold (2)
Re: 13.7.Ténèbres sur Kalvernach - Chez Nold (2)
Jabbock sourit dans sa moustache et cligne de l’œil vers Tindur :
- Ah, il y a quelqu'un qui vous attend à l'auberge ? Vous avez raison, il faut en profiter tant qu'on est jeune. Tenez, je vous accompagne dehors, ça me permettra de fumer une pipe sans me faire disputer par les femmes.
Et il ajoute, en faisant signe à Roan :
- Tu viens, Roan ? J'ai encore un ou deux trucs à raconter qui pourront te servir.
Jabbock a l'air d'humeur bavarde et c'est peut-être l'occasion d'en apprendre plus long.
- Ah, il y a quelqu'un qui vous attend à l'auberge ? Vous avez raison, il faut en profiter tant qu'on est jeune. Tenez, je vous accompagne dehors, ça me permettra de fumer une pipe sans me faire disputer par les femmes.
Et il ajoute, en faisant signe à Roan :
- Tu viens, Roan ? J'ai encore un ou deux trucs à raconter qui pourront te servir.
Jabbock a l'air d'humeur bavarde et c'est peut-être l'occasion d'en apprendre plus long.
Joueur: Deucalion, garde de patrouille (Légendes de la garde). Iontaise Sul, chasseuse/guide (Ombres d'Esteren). Eccomar fils de Lucterios, druide (Oikoumenè). Haytham, voleur/soldat déserteur (Conan d6). Nakajima Koebi, mechapsychologue (Mekton Z).
Re: 13.7.Ténèbres sur Kalvernach - Chez Nold (2)
Elhine attend patiemment que le repas finisse et débarrasse son couvert vers la bassine de lavage, relève ses manches, plonge assiette et couverts dedans, frotte le tout, les rince dans le bac propre, puis les sèches avec un torchon déjà pas mal trempé et range le tout dans les piles associées d'une étagère de fortune posée près du "poste de cuisine" improvisé là.
Puis Elhine remercie en passant les cuisinières avec un gentil sourire, refait le tour de la table.
- Je vous attend dans le laboratoire de Jolinar - en passant devant Aslinn et le professeur.
Puis Elhine remercie en passant les cuisinières avec un gentil sourire, refait le tour de la table.
- Je vous attend dans le laboratoire de Jolinar - en passant devant Aslinn et le professeur.
joueur: Ombres d'Esteren (Ténèbres à Kalvernach - Elhine) / Donjon de Naheulbeuk (l'affaire INB - Ilda)
Re: 13.7.Ténèbres sur Kalvernach - Chez Nold (2)
Roan s'essuie la bouche avec sa serviette, prend une gorgée d'eau, et suit Jabbock au dehors. Il regarde Alda en sortant, en signifiant qu'il ne voit pas de quoi il retourne.
C'est donc assez étonné que Roan se retrouve dehors...
C'est donc assez étonné que Roan se retrouve dehors...
Joueur : [Artland] Eulalie | [Oikouménè] Lame rouge et Démétrios | [Mekton] Théon | [Warhammer] Ulfang et Unien Ulgarys
Re: 13.7.Ténèbres sur Kalvernach - Chez Nold (2)
- Ah, il y a quelqu'un qui vous attend à l'auberge ? Vous avez raison, il faut en profiter tant qu'on est jeune. Tenez, je vous accompagne dehors, ça me permettra de fumer une pipe sans me faire disputer par les femmes.
Eh bien ! Jabbock s'ouvre de plus en plus, finalement son côté menaçant et froid n'est qu'une façade ou bien cela est du au statut de varigal de Tindur.
- J'arrive, je vous suis, répondit Tindur en raclant la fin de son bol.
Puis il se lève, dépose son bol et ses couverts dans la bassine et s'empresse de rejoindre Jabbock, suivi de près par Roan.
- Prendre l'air va me faire du bien même si celui de la ville n'a rien à voir avec celui de la campagne, lança-t-il !
Eh bien ! Jabbock s'ouvre de plus en plus, finalement son côté menaçant et froid n'est qu'une façade ou bien cela est du au statut de varigal de Tindur.
- J'arrive, je vous suis, répondit Tindur en raclant la fin de son bol.
Puis il se lève, dépose son bol et ses couverts dans la bassine et s'empresse de rejoindre Jabbock, suivi de près par Roan.
- Prendre l'air va me faire du bien même si celui de la ville n'a rien à voir avec celui de la campagne, lança-t-il !
Re: 13.7.Ténèbres sur Kalvernach - Chez Nold (2)
[Il y a une étrange communication mentale entre Roan et Alda car il n'arrête pas de la voir et de l'entendre alors qu'elle est dans sa chambre à l'autre bout de l'étage. Ce serait à approfondir]
Jabbock va ouvrir la serrure de la grande porte et se plante dans la rue, sur le pavé humide. La nuit finit de tomber, une unique lanterne allonge des ombres à demi avalées par la brume et les derniers passants se hâtent en regardant derrière leur épaule. Le vieux routier sort sa tabatière de sa poche et se prépare lentement une bouffarde. Il regarde du coin de l’œil si Tindur est bien avec eux.
- Voilà... Vous vous en doutez, c'était au temps où j'étais un jeune soldat. Pas mal naïf, je dois dire.
"Nous étions en expédition quelque part dans le nord, à la poursuite d'une des bandes de la Scatach qui pillait les baronnies de la frontière. Nous étions trois ou quatre régiments à les traquer et ils nous glissaient tout le temps entre les doigts.
"Nous sommes arrivés à un endroit qui s'appelle le Pic du Corbeau. Peut-être que vous en entendrez parler dans vos voyages. Je ne vous conseille pas d'y faire une visite. Les sauvages de la Scatach, eux, ne connaissaient pas du tout cette région. Un étrange endroit. On passait sous les sapins, on n'y voyait pas à dix pas devant soi, et tout d'un coup, on se trouvait nez à nez avec un pic de roche noire surmonté d'un bizarre château tout en pointes, pignons et nichoirs... Pas des pigeonniers, comme il y en a dans les châteaux bien tenus, mais des perchoirs de gros corbeaux noirs qui tournaient en bandes dans le ciel.
"Les guerriers de la Scatach ne devaient pas être très loin devant nous. Tout à coup, ils se sont mis à hurler leur cri de guerre, vous n'avez peut-être jamais entendu le cri de la Scatach, tous les gars qui ont été sur la frontière vous diront que c'est à vous glacer le sang...
Et puis le cri est parti en désordre dans tous les sens, ça ressemblait de plus en plus à des cris de terreur. On a vu un sauvage qui courait à travers bois, droit vers nous, tellement terrifié qu'il ne faisait même pas attention aux gars qui l'attendaient avec des lances... Ils l'ont embroché direct mais quand ils ont vu ce qui arrivait derrière...
Moi, j'étais assez loin en arrière, avec les bagages. Nold était avec moi. Il ne craint ni C'Maogh ni Feond quand il y a des daols à gagner, sacré Nold! Mais même pour lui, il y a des limites... Il m'a pris par le bras et m'a dit : "On décampe !"
"Nous avons filé en abandonnant les bagages, et les bêtes de somme, les sauvages et les animaux de la forêt galopaient avec nous. Je ne sais pas jusqu'où ils sont allés mais Nold et moi, nous ne nous sommes pas arrêtés avant le pont des Trois Piliers.
"Les jours suivants, nous sommes revenus dans les parages pour chercher le butin abandonné par la bande de la Scatach. Nous avons ramassé... Oh, c'est dépensé depuis longtemps. Mais je me souviens encore des cadavres que nous avons trouvés. Ils n'étaient pas dans un bel état.
"Plus tard, nous en avons appris un peu plus sur le château du Pic du Corbeau. Une famille habite là-bas, les Nevermore. Des gens du Continent qui ont une drôle de réputation, ils ne se battent jamais mais ceux qui ont voulu attaquer leur château ont toujours mal fini. Le genre à coucher avec leur mère et enterrer vivante leur sœur... Je ne sais pas si c'est vrai, mais ça fait partie des choses qu'on raconte.
"Alors, si on vous propose de fricoter avec un Nevermore, un conseil : faites gaffe. Et vous pouvez dire à votre amie Elhine qu'elle ne sait pas dans quoi elle met les pieds.
.......
Elhine, de son côté, finit d'essuyer la vaisselle en fredonnant joyeusement. Aslinn n'a pas l'air enchantée par la proposition de se retrouver chez Jolinar :
- Si tu crois que je vais...
Elle est visiblement partagée entre sa fierté naturelle et la crainte que lui inspire cet endroit. C'est la fierté qui l'emporte :
- D'accord. Allons-y.
Jabbock va ouvrir la serrure de la grande porte et se plante dans la rue, sur le pavé humide. La nuit finit de tomber, une unique lanterne allonge des ombres à demi avalées par la brume et les derniers passants se hâtent en regardant derrière leur épaule. Le vieux routier sort sa tabatière de sa poche et se prépare lentement une bouffarde. Il regarde du coin de l’œil si Tindur est bien avec eux.
- Voilà... Vous vous en doutez, c'était au temps où j'étais un jeune soldat. Pas mal naïf, je dois dire.
"Nous étions en expédition quelque part dans le nord, à la poursuite d'une des bandes de la Scatach qui pillait les baronnies de la frontière. Nous étions trois ou quatre régiments à les traquer et ils nous glissaient tout le temps entre les doigts.
"Nous sommes arrivés à un endroit qui s'appelle le Pic du Corbeau. Peut-être que vous en entendrez parler dans vos voyages. Je ne vous conseille pas d'y faire une visite. Les sauvages de la Scatach, eux, ne connaissaient pas du tout cette région. Un étrange endroit. On passait sous les sapins, on n'y voyait pas à dix pas devant soi, et tout d'un coup, on se trouvait nez à nez avec un pic de roche noire surmonté d'un bizarre château tout en pointes, pignons et nichoirs... Pas des pigeonniers, comme il y en a dans les châteaux bien tenus, mais des perchoirs de gros corbeaux noirs qui tournaient en bandes dans le ciel.
"Les guerriers de la Scatach ne devaient pas être très loin devant nous. Tout à coup, ils se sont mis à hurler leur cri de guerre, vous n'avez peut-être jamais entendu le cri de la Scatach, tous les gars qui ont été sur la frontière vous diront que c'est à vous glacer le sang...
Et puis le cri est parti en désordre dans tous les sens, ça ressemblait de plus en plus à des cris de terreur. On a vu un sauvage qui courait à travers bois, droit vers nous, tellement terrifié qu'il ne faisait même pas attention aux gars qui l'attendaient avec des lances... Ils l'ont embroché direct mais quand ils ont vu ce qui arrivait derrière...
Moi, j'étais assez loin en arrière, avec les bagages. Nold était avec moi. Il ne craint ni C'Maogh ni Feond quand il y a des daols à gagner, sacré Nold! Mais même pour lui, il y a des limites... Il m'a pris par le bras et m'a dit : "On décampe !"
"Nous avons filé en abandonnant les bagages, et les bêtes de somme, les sauvages et les animaux de la forêt galopaient avec nous. Je ne sais pas jusqu'où ils sont allés mais Nold et moi, nous ne nous sommes pas arrêtés avant le pont des Trois Piliers.
"Les jours suivants, nous sommes revenus dans les parages pour chercher le butin abandonné par la bande de la Scatach. Nous avons ramassé... Oh, c'est dépensé depuis longtemps. Mais je me souviens encore des cadavres que nous avons trouvés. Ils n'étaient pas dans un bel état.
"Plus tard, nous en avons appris un peu plus sur le château du Pic du Corbeau. Une famille habite là-bas, les Nevermore. Des gens du Continent qui ont une drôle de réputation, ils ne se battent jamais mais ceux qui ont voulu attaquer leur château ont toujours mal fini. Le genre à coucher avec leur mère et enterrer vivante leur sœur... Je ne sais pas si c'est vrai, mais ça fait partie des choses qu'on raconte.
"Alors, si on vous propose de fricoter avec un Nevermore, un conseil : faites gaffe. Et vous pouvez dire à votre amie Elhine qu'elle ne sait pas dans quoi elle met les pieds.
.......
Elhine, de son côté, finit d'essuyer la vaisselle en fredonnant joyeusement. Aslinn n'a pas l'air enchantée par la proposition de se retrouver chez Jolinar :
- Si tu crois que je vais...
Elle est visiblement partagée entre sa fierté naturelle et la crainte que lui inspire cet endroit. C'est la fierté qui l'emporte :
- D'accord. Allons-y.
Joueur: Deucalion, garde de patrouille (Légendes de la garde). Iontaise Sul, chasseuse/guide (Ombres d'Esteren). Eccomar fils de Lucterios, druide (Oikoumenè). Haytham, voleur/soldat déserteur (Conan d6). Nakajima Koebi, mechapsychologue (Mekton Z).
Re: 13.7.Ténèbres sur Kalvernach - Chez Nold (2)
Roan a du mal à en croire ses oreilles : "Mais c'est quoi le problème avec ces Nevermores ? J'ai l'impression que tout le monde a une appréhension à en parler comme s'ils pouvaient nous entendre et nous sauter dessus pour nous faire du mal. Comment étaient les cadavres ? Ils n'étaient pas beau à voir dans quelle proportion ? "
Joueur : [Artland] Eulalie | [Oikouménè] Lame rouge et Démétrios | [Mekton] Théon | [Warhammer] Ulfang et Unien Ulgarys
Re: 13.7.Ténèbres sur Kalvernach - Chez Nold (2)
Ayant finalement terminé son repas, Caules se lève à son tour pour le nettoyer. Roan et Tindur ont accompagné Jabbock à l'extérieur (est-ce que l'homme a vraiment souri ? Non, ce devait être un reflet de lumière) et Elhine a demandé à Aslinn de la rejoindre dans la chambre de Jolinar. Ne reste plus que lui, seul.
Les pensées du jeune homme se tournent vers Maître Eliflam qui semblait plutôt calme, malgré le vol de daols dont il vient d'être la cible. A-t-il si peu voyagé pour ne pas connaître les prix habituels ? Même Caules sait qu'une chambre coûte moitié moins dans n'importe quelle auberge. A moins qu'un salaire de professeur permette ce genre de folie sans sourciller.
-Peut-être que je devrais envisager une reconversion, dit-il pour lui-même.
Mais non. Être médecin, c'est son but depuis toujours, et ce n'est pas une histoire de daols qui va le faire changer d'avis.
Mais pour le moment, c'est autre chose qui dérange Caules. Toute cette histoire pue autant que la chambre de Jolinar. Il n'aime pas ça du tout. Sa raison lui hurlede laisser tomber, d'oublier cette histoire, de se remettre au travail et d'attendre que l'Université soit de nouveau debout. Mais Jolinar est impliqué. Et impossible pour le jeune homme de se résoudre à abandonner son ami.
-Tant pis. Puisque le destin veut que je me plonge là-dedans...
Le jeune homme repose ses couverts propres et se dirige vers la chambre de Jolinar. Elhine, Aslinn et Maître Eliflam sont devant la chambre de Jolinar. Caules ira les voir après, pour en apprendre plus sur cette histoire de barrage. Mais d'abord, il se dirige vers la chambre de Kolka, pour voir si Uriell va bien. Peut-être est-elle réveillée.
Les pensées du jeune homme se tournent vers Maître Eliflam qui semblait plutôt calme, malgré le vol de daols dont il vient d'être la cible. A-t-il si peu voyagé pour ne pas connaître les prix habituels ? Même Caules sait qu'une chambre coûte moitié moins dans n'importe quelle auberge. A moins qu'un salaire de professeur permette ce genre de folie sans sourciller.
-Peut-être que je devrais envisager une reconversion, dit-il pour lui-même.
Mais non. Être médecin, c'est son but depuis toujours, et ce n'est pas une histoire de daols qui va le faire changer d'avis.
Mais pour le moment, c'est autre chose qui dérange Caules. Toute cette histoire pue autant que la chambre de Jolinar. Il n'aime pas ça du tout. Sa raison lui hurlede laisser tomber, d'oublier cette histoire, de se remettre au travail et d'attendre que l'Université soit de nouveau debout. Mais Jolinar est impliqué. Et impossible pour le jeune homme de se résoudre à abandonner son ami.
-Tant pis. Puisque le destin veut que je me plonge là-dedans...
Le jeune homme repose ses couverts propres et se dirige vers la chambre de Jolinar. Elhine, Aslinn et Maître Eliflam sont devant la chambre de Jolinar. Caules ira les voir après, pour en apprendre plus sur cette histoire de barrage. Mais d'abord, il se dirige vers la chambre de Kolka, pour voir si Uriell va bien. Peut-être est-elle réveillée.
Re: 13.7.Ténèbres sur Kalvernach - Chez Nold (2)
Aslinn, le professeur et Elhine se retrouvent devant la porte de la chambre de Jolinar. Nold, plus rapide que sa masse ne le laisse croire, a déjà déposé sur une planche devant la porte un jeu de draps épais, rugueux mais propres. Comme c'est Elhine qui a la clé, elle n'a plus qu'à ouvrir.
La chambre a toujours cette odeur indéfinissable et elle n'est même plus éclairée par ce reste de jour qui tombait par le puits central. Elhine met un certain temps à retrouver les lampes, comme si elles avaient bougé depuis son dernier passage. Les affaires de Jolinar sont toujours étalées en vrac, sauf là où Elhine a fait un peu de rangement en fouillant.
Le professeur, indifférent, semble-t-il, à l'atmosphère torpide de ces lieux, s'assied sur un banc et observe la pièce avec un sourire subtil :
- Eh bien, Aslinn, que disions-nous ?
........
Caules trouve Uriell assise sur son lit, les yeux comme des fleurs ouvertes :
- Caules, si tu savais... Cette maison est...
Elle se lève, vacille et hésite pour trouver son équilibre. Puis elle passe la main devant ses yeux et retrouve ses esprits :
- Est-ce qu'il fait déjà jour ? Où est Kolka ? Est-ce que ce n'était pas sa chambre ?
La chambre a toujours cette odeur indéfinissable et elle n'est même plus éclairée par ce reste de jour qui tombait par le puits central. Elhine met un certain temps à retrouver les lampes, comme si elles avaient bougé depuis son dernier passage. Les affaires de Jolinar sont toujours étalées en vrac, sauf là où Elhine a fait un peu de rangement en fouillant.
Le professeur, indifférent, semble-t-il, à l'atmosphère torpide de ces lieux, s'assied sur un banc et observe la pièce avec un sourire subtil :
- Eh bien, Aslinn, que disions-nous ?
........
Caules trouve Uriell assise sur son lit, les yeux comme des fleurs ouvertes :
- Caules, si tu savais... Cette maison est...
Elle se lève, vacille et hésite pour trouver son équilibre. Puis elle passe la main devant ses yeux et retrouve ses esprits :
- Est-ce qu'il fait déjà jour ? Où est Kolka ? Est-ce que ce n'était pas sa chambre ?
Joueur: Deucalion, garde de patrouille (Légendes de la garde). Iontaise Sul, chasseuse/guide (Ombres d'Esteren). Eccomar fils de Lucterios, druide (Oikoumenè). Haytham, voleur/soldat déserteur (Conan d6). Nakajima Koebi, mechapsychologue (Mekton Z).
Re: 13.7.Ténèbres sur Kalvernach - Chez Nold (2)
Caules est surpris de trouver Uriell éveillée. Il entre dans la chambre, un sourire aux lèvres.
- Caules, si tu savais... Cette maison est...
Avant que le jeune homme ne puisse répondre, elle tente de se mettre debout. La voyant vaciller, Caules s'avance vers elle et, plus par réflexe qu'autre chose, lui maintient les bras pour qu'elle retrouve sa stabilité. Son amie passe un instant la main devant son visage avant de continuer :
- Est-ce qu'il fait déjà jour ? Où est Kolka ? Est-ce que ce n'était pas sa chambre ?
-Non, il fait toujours nuit, répond l'étudiant. A vrai dire, on vient juste de finir de dîner. Quant à Kolka, elle est restée à l'auberge où elle travaille, si j'ai bien compris.
Caules se rend compte qu'il lui tient toujours les épaules et les relâche, légèrement gêné.
-Tu n'as pas mangé, je crois ? Tu veux que je te rapporte quelque chose ? Ou tu préfère aller en cuisine ?
- Caules, si tu savais... Cette maison est...
Avant que le jeune homme ne puisse répondre, elle tente de se mettre debout. La voyant vaciller, Caules s'avance vers elle et, plus par réflexe qu'autre chose, lui maintient les bras pour qu'elle retrouve sa stabilité. Son amie passe un instant la main devant son visage avant de continuer :
- Est-ce qu'il fait déjà jour ? Où est Kolka ? Est-ce que ce n'était pas sa chambre ?
-Non, il fait toujours nuit, répond l'étudiant. A vrai dire, on vient juste de finir de dîner. Quant à Kolka, elle est restée à l'auberge où elle travaille, si j'ai bien compris.
Caules se rend compte qu'il lui tient toujours les épaules et les relâche, légèrement gêné.
-Tu n'as pas mangé, je crois ? Tu veux que je te rapporte quelque chose ? Ou tu préfère aller en cuisine ?
Re: 13.7.Ténèbres sur Kalvernach - Chez Nold (2)
- Elle travaille à l'auberge ? Ah, oui, c'est vrai, elle devait s'y rendre avec Elhine. Jefa disait que, disait que nous pouvions faire confiance à Elhine. Bien sûr, c'est vous deux qui l'avez retirée de la cavité. La terre souffre, il faut la soigner. Tout le monde a fini de dîner, alors ? Où est maître Eliflam ? Savez-vous ce qui est arrivé à Jolinar ?
Tout en parlant, elle se rhabille, met ses chaussures et se dirige vers le couloir.
Tout en parlant, elle se rhabille, met ses chaussures et se dirige vers le couloir.
Joueur: Deucalion, garde de patrouille (Légendes de la garde). Iontaise Sul, chasseuse/guide (Ombres d'Esteren). Eccomar fils de Lucterios, druide (Oikoumenè). Haytham, voleur/soldat déserteur (Conan d6). Nakajima Koebi, mechapsychologue (Mekton Z).