Lucrèce franchit donc la première porte donnant sur le couloir où se trouvait l'ascenseur et les escaliers principaux et continua au delà de la porte opposée, pénétrant dans les quartiers de l'équipage. Au delà le changement de déco est flagrant, partes en métal coulissant dans les parois, murs justes peints en blanc, tout y est simple et utile sans fioritures esthétiques. Le couloir contourne une pièce avant d'arriver devant une autre porte coulissante fermée. Le long du couloir il a plusieurs portes fermées et pas un bruit à par celui des machineries plus distinct ici que dans la partie 'publique'.
La pulsion ne s'est pas reproduite une troisième fois. De mémoire de ce qu'elle a ressenti, il lui semble que ça venait probablement d'un peu plus loin, mais difficile d'estimer vraiment l'endroit exacte. Elle entend cependant une porte coulisser doucement un peu plus loin au delà de la porte au bout du couloir tandis qu'au même moment , elle entend une porte s'ouvrir de là d'où elle vient, quelqu'un râlant quelques mots, en américain probablement, il lui semble distinguer un "Fucking rats" ou quelque chose se rapprochant.
Rappel : Si vous voulez, ya les plans du bateau dans un lien sur le premier post du chapitre. Le niveau où vous vous trouvez (celui de l'infirmerie et des chambres des invités hors chambres prestige (donc hors Grayson, Lucrèce et Luther), des quartiers de l'équipage et de la salle à manger principale) est celui oui est dessiné le petit hors-bord, le deuxième niveau en partant du bas. Ces plans sont affichés au niveau des escaliers en autres avec les passages a emprunter en cas d'incident grave.
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Il était clair à la manière faste dont elle arracha presque leurs vêtements qu'elle ne souhaitait pas qu'il parle mais qu'il passe à l'acte, leurs corps presquent aimantés l'un vers l'autre. Son comportement pouvait être comparé à celui d'une molécule qui aurait accumulée trop d'énergie et changerait d'état pour l'évacuer et retourner à l'équilibre, mais il est peut probable que Grayson ait ce jour de réflexion à cet instant.
A l'approche de l'apogée de leur ébat, Amanda devint de plus en plus ... électrique, stimulant son compagnon par quelques petites décharges et bientôt même, de petits éclairs électriques partirent d'elle la reliant ça et là à des éléments métalliques de la chambre, les ampoules entre autres eclatèrent. De son côté, à chaque décharge, à chaque sacade, Grayson sentait l'énergie le parcourir, s'accumuler en lui et il pouvait ressentir tout ce qui se trouvait dans la pièce grâce à son nouveau sens et tout particulièrement son amante, la percevant intégralement d'une manière inédite. Il sentait cependant que toute cette énergie emmagasinée, il allait falloir la libérer, la transformer ou autre chose sans quoi elle trouverait un moyen seule, incontrôlé, pour se décharger. Au milieu de toutes ces sensations à donner le vertige se mélangeant à l'approche de l'extase, il sentit de nouveau cette sensation de vide dans le bracelet.
