[Les 5 Supplices] Chapitre 0 : L'arcanes des Supplicés.
Publié : 11 août 2020, 17:12
Samedi 29 août 1931, dans un petit théâtre au fond d'une impasse dans le quartier chaussée d'Autin. 22h.
La soirée avait pourtant bien commencé. L'ambiance, quoi que lourde en cet fin d'été, était dépaysante. Et ce n'était pas pour déplaire aux époux DUPONT.
Fernand était de retour à Paris depuis moins d'un mois et il était de notoriété publique qu'il n'y resterait pas longtemps avant une future affectation lointaine.
Ils avaient donc bien l’intention de profiter de cette pause ensemble.
Marguerite avait entendu parlé d'un nouveau type de divertissement, le théâtre d'ombre qui faisait sensation en ce moment. Peut être alléché par la perspective d'en faire un article, elle avait tiré son mari pour assister à l'une des représentations les plus en vogue.
Les raisons qui amenèrent Evans O'Reilly a fréquenté ce théâtre, cette soirée sont plus troubles. Malheureusement, elles ne sont pas connues, mais dès fois, le hasard fait bien les choses. Ou pas.
Le théâtre accueille une cinquaintaine de personnes, les murs sont couverts d'estampes et de lampions rougeâtres d'où pendent des liernes dorées.
Il flotte dans l'air des effluves d'encens inconnus.
Devant la scène, on a tendu une large toile blanche. Par transparence, un artiste donne vie à des silhouettes.
L'ambiance, un peu moite, le jeu de lumière entre ombre et lumière, entre couleur froide de l'obscurité et chaudes des différentes flammèches, l'acoustique particulière de la salle, donnant un effet cathédrale accentue encore l'immersion dans cette histoire, inconnue de l'ensembles des spectateurs.
https://www.youtube.com/watch?v=ht-TKLxAD_E
Ce que les spectateurs retenurent de cette histoire... Personnes ne le sut vraiment.
La dernière scène venait à peine de s'achever que le rideau de la scène s’effondra, entraînant avec lui bon nombres de lanternes et de lampes à huile qui se brisèrent dans la chute. Instantanément, le bois sec de l'extrade s'enflamma. Les accessoires présents sur scène prirent rapidement feu également dégageant une après fumées toxique.
Déjà la panique, s'empare des spectateurs qui cherchent tous a s'enfuir par la petite porte situé à l'arrière de la salle. On se bouscule, on s’empoigne, si bien que peu de personnes parviennent à sortir. La confusion est s'accentue encore lorsque la cohue heurte du mobilier entraînant également un début d'incendie prêt de la sorti.
Par bonheur, ni Marguerite, ni Fernand, ni Evans, assis dans les premiers rang ne sont touché par les éclats de verres ou d'huiles
Alors qu'on se demande quoi faire, une personne tombe sur scène depuis des chemins techniques. Sonné il a du mal à se relever et se trouve près des flammes.
Habituée à gerer le stress, et a garder la tête froide dans des situations extrêmes, les Duponts et Evans ne sont pas contaminé par l'hystérie et la panique qui a gagné le théâtre.
Cependant, il faut agir vite, la fumée étant le principal danger à cours terme... avec celui d'être piétiner.
La soirée avait pourtant bien commencé. L'ambiance, quoi que lourde en cet fin d'été, était dépaysante. Et ce n'était pas pour déplaire aux époux DUPONT.
Fernand était de retour à Paris depuis moins d'un mois et il était de notoriété publique qu'il n'y resterait pas longtemps avant une future affectation lointaine.
Ils avaient donc bien l’intention de profiter de cette pause ensemble.
Marguerite avait entendu parlé d'un nouveau type de divertissement, le théâtre d'ombre qui faisait sensation en ce moment. Peut être alléché par la perspective d'en faire un article, elle avait tiré son mari pour assister à l'une des représentations les plus en vogue.
Les raisons qui amenèrent Evans O'Reilly a fréquenté ce théâtre, cette soirée sont plus troubles. Malheureusement, elles ne sont pas connues, mais dès fois, le hasard fait bien les choses. Ou pas.
Le théâtre accueille une cinquaintaine de personnes, les murs sont couverts d'estampes et de lampions rougeâtres d'où pendent des liernes dorées.
Il flotte dans l'air des effluves d'encens inconnus.
Devant la scène, on a tendu une large toile blanche. Par transparence, un artiste donne vie à des silhouettes.
L'ambiance, un peu moite, le jeu de lumière entre ombre et lumière, entre couleur froide de l'obscurité et chaudes des différentes flammèches, l'acoustique particulière de la salle, donnant un effet cathédrale accentue encore l'immersion dans cette histoire, inconnue de l'ensembles des spectateurs.
https://www.youtube.com/watch?v=ht-TKLxAD_E
Ce que les spectateurs retenurent de cette histoire... Personnes ne le sut vraiment.
La dernière scène venait à peine de s'achever que le rideau de la scène s’effondra, entraînant avec lui bon nombres de lanternes et de lampes à huile qui se brisèrent dans la chute. Instantanément, le bois sec de l'extrade s'enflamma. Les accessoires présents sur scène prirent rapidement feu également dégageant une après fumées toxique.
Déjà la panique, s'empare des spectateurs qui cherchent tous a s'enfuir par la petite porte situé à l'arrière de la salle. On se bouscule, on s’empoigne, si bien que peu de personnes parviennent à sortir. La confusion est s'accentue encore lorsque la cohue heurte du mobilier entraînant également un début d'incendie prêt de la sorti.
Par bonheur, ni Marguerite, ni Fernand, ni Evans, assis dans les premiers rang ne sont touché par les éclats de verres ou d'huiles
Alors qu'on se demande quoi faire, une personne tombe sur scène depuis des chemins techniques. Sonné il a du mal à se relever et se trouve près des flammes.
Habituée à gerer le stress, et a garder la tête froide dans des situations extrêmes, les Duponts et Evans ne sont pas contaminé par l'hystérie et la panique qui a gagné le théâtre.
Cependant, il faut agir vite, la fumée étant le principal danger à cours terme... avec celui d'être piétiner.