OdE - 5.5 - Mission de reconnaissance

[Iris]

Automne dans la campagne... le champ était couvert des vestiges des moissons avec des herbes qui commençaient à pousser, et autours, haies, chênes de belle taille, quelques pruniers sauvages, une ferme, un bois...

A vol d'oiseau, Deh'ad était "par là", c'est à dire de l'autre côté de la ferme...

Une route, enfin, un chemin allait dans la bonne direction, de même qu'il y avait un puits où s'abreuver si besoin était. La ferme était calme, un peu trop d'ailleurs. Il ne semblait pas y avoir de menace immédiate (archer embusqué, monstre sanguinaire...), mais tout était fermé.

...

Les survivants avaient-ils un plan qui consistait en autre chose que "à marche forcée vers Deh'ad" ? ... Si tel était le cas, ils allaient devoir avancer assez vite et Dorianthe allait peiner, fatiguer... et au prix d'une grande fatigue suivre le rythme des deux combattants aguerris. Ils avaient une nouvelle d'une importance cruciale à transmettre : les troupes corvusiennes n'arriveraient jamais, ou même si elles arrivaient, il n'en resterait pas grand chose ! ... et sans doute avec un décalage temporel imprévisible...

[Eariel]

enfin l'air libre se dit-il.

bon allon-y on dicutera sur la route. Pour ma part , pour la disparition des nôtres , on pourrait dire que c'est les corvusiens. Notre action a consisté a ammener la brume aux orvusiens et vis et versa. Pour se faire une petite baston avec un petit groupe de corvusien et d'un autre côtés avec un petit groupe de feondas ... Qui c'est terminé par la rencontre des deux ennemis. Et la mort héroïque de nos compagnons d'armes...... Qu'en pensez-vous?
Ah et pour toi dorianthe , bah tu était prisonnier des corvusiens .

[ramb]

"Dorianthe tu finis de te reposer, tu as encore 2 minutes et on repars, on va suivre un rythme soutenu, pour avancer vite, avec des pauses régulière afin de récupérer suffisamment."

Grirav rassemblait ses idées.

"Notre histoire doit tenir la route. Donc, Nous avons découvert le gros des troupes des Corvusiens ainsi qu'une horde de féonds. Nous avons donc exploité les deux en provoquant un affrontement entre les deux groupes. Une fois que les deux groupes se sont rencontrés nous avons fuis afin de prévenir la ville que nous avons réussit à ralentir les Corvusiens voir à les stopper longtemps (beaucoup de blesser).

Malheureusement le lieutenant et nos camarades tombèrent face aux féonds quand nous les attirâmes sur les Corvusiens. Nous nous sommes enfuis de justesse, et nous avons croisée Dorianthe sur le chemin, comme ça il ne lui poseront pas de question."

[Iris]

Gentille MJ ne sait pas exactement quand elle doit poster, si votre débat est clos ou pas...

Donc que vous le sachiez, la route est plutôt calme, la région désertée (les gens ont fui pour la plupart à l'annonce de l'arrivée des troupes, et ceux qui restent ont tendance à se cacher, donc de vous aussi parce que vous avez des sales têtes bien patibulaires qui indiquent votre métier).

Au bout de quatre heures de marche à bon rythme, tandis que Dorianthe crachera ses poumons et sera en train de se dire qu'il préfèrerait mourir que d'avancer encore, vous aurez une vue légèrement en hauteur vous permettant de voir les murs de De'had et les armées qui viennent du Sud-Ouest. Les ennemis seront au pied de la ville dans un jour au plus. Une fois le siège en cours d'installation, il risque d'être difficile d'entrer en ville ... sans être pris / torturé / supplicié...

[ramb]

Ben on attend la réponse du 3eme, et combien de temps il nous faut pour rentrer en ville?

[Yiriel]

Dorianthe, assis et peinant pour reprendre son souffle.

D'accord, d'accord. Les Corvusiens se sont retrouvés face aux feondas de par vos habiles manoeuvres tactiques, mais malheureusement au moment du repli, perte de camarades. Moi je me suis retrouvé face aux Corvusiens, par prudence j'ai préféré me diriger dans l'autre direction et c'est à ce moment que je vous ai croisé. Et vous m'avez sauvé des feondas. C'est bien cela ?

[Iris]

Je pensais que vous continuiez à discuter...

Pour rejoindre la ville au pas de course,... la visibilité est de l'ordre de 30 à 40 Km (temps clair & dégagé & en hauteur)... vu que vous voyez tout... logiquement, vous devriez être à 15 Km max de la ville et les troupes à 30-40Km... donc à moins de vous fouler la cheville et de soudainement marcher comme des escargots, en timing c'est bon...

Par contre, risque qu'il y ait une avant garde de cavaliers... ça expliquerait la poussière que vous devinez... et eux, par contre, risquent (pas sûr, mais possible) d'arriver dans les mêmes délais que vous.

Notez également que vous devriez vous rappeler, Nialan & Grirav, que le Chef Mac Dalean avait reçu des informations quant à des mots de passe et des passages secrets pour entrer tranquillement et sans risque dans la ville... dommage que le pauvre ne soit plus de ce monde... ( )

[ramb]

on rentre en ville avec prudence, on tente de rejoindre la porte principal sans croiser les cavaliers un max de temps, si il faut on cours sur la fin pour etre sur, on reste à couvert le plus souvent possible

[Iris]

Je n'ai aucune raison de vous compliquer beaucoup plus la vie, vous arriverez donc en bas des murailles... en évitant, autant que possible d'attirer l'attention des cavaliers... Là, vous faire rentrer... comme vous n'êtes que trois, sans chevaux, ce n'est pas insurmontable...

Tout cela signifie que vous allez revenir dans le sujet de jeu 5.1. ! ... Je vous laisse donc poster ici une dernière fois pour vos derniers dialogues et notes d'intentions, avant de vous catapulter à côté.

Loué soit le brouillard qui me permet automatiquement de justifier toutes les anomalies temporelles !

Grirav continuait d'assurer l'organisation des opérations, prenant bonne note des problèmes à venir, et mettant toute l'énergie du groupe dans une dernière marche rapide et à couvert... pour enfin se signaler aux sentinelles, de préférence d'un côté peu exposé aux tirs d'arbalète éventuels de l'avant-garde.

L'arrivée du trio suscita une indiscutable émotion du côté des remparts... et il fallut expliquer à un soldat qui n'était pas une lumière que voilà, il fallait les laisser entrer, non pas en ouvrant les portes aux ennemis... Par chance, un sous-officier plus logique et pragmatique prit les choses en main et fit lancer des cordes de sorte que les trois puissent grimper, ou à défaut se faire tirer jusqu'en haut dans le cas où la "Prouesse" n'était pas leur domaine de prédilection :

" Alors, vous êtes de la mission de reconnaissance, c'est ça ? ... Où sont les Corvusiens ? "...

Tout le monde était impatient de le savoir, et avec cette attente brûlante, même la présence incongrue et inattendue de Dorianthe était secondaire.

...

[ramb]

"Ils arriveront surement bientôt du moins ce qu'il en reste, ils ont croisés une horde de féonds"

"Nous devons rendre compte à nos supérieur immédiatement."

Grirav pars donc en direction de la caserne ou il à été briffer au départ (il emmène Dorianthe avec lui).