- Hum... "vous vous promeniez ?" et ben si tu veux mon avis mon cher Asch, dame Séraphine, vous me cachez quelque chose. Sinon voyez-vous, Asch n'aurait pas cherché le consentement de sa dulciné en la regardant avant de me répondre et vous, dame Séraphine, vous n'auriez pas répondu du tac au tac aussi rapidement pour essayer de noyer tout soupson.
- Il était un temps où on se disait tout Asch... de l'eau à couler sur les ponts depuis certes, mais bon, si tu as un soucis, tu sais que tu peux compter sur moi, n'est-ce pas ?
- Et puis si je suffis pas, Mabrouck aussi sera ravi de t'aider, pas vrai Mabrouck ?
Mabrouck se met au pied et exclame un wouf d'approbation !
- Tu vois, il comprend toujours tout, je l'adore ce chien !
[Artland 1.1] Chemins du Destin - I - Le rêve
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Iris
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Séraphine, à toi l'initiative ! Asch ne pipera mot
Comme Séraphine s'en doutait, Asch ne gardait pas de très bons souvenirs de son "séjour" chez les Orkîses. Il avait beaucoup souffert là-bas, mais était également devenu "différent" là-bas : la douleur et l'horreur faisaient parti de lui. En le touchant elle sentit comme un frémissement, de l'énergie, rien qu'à se rappeler ... il y avait quelque chose qui l'avait suffisamment marqué pour que le seul fait de l'amener à y penser rappelât la bête à la surface. Il se maîtrisait, mais était assez crispé...
... Mabrouk le sentait et eut un mouvement de recul, oreilles baissées, ... D'ailleurs même si son chien répondait vaillamment à ses encouragements, Pieter Lester notait que son fidèle compagnon n'était pas tout à fait comme d'habitude, il y avait quelque chose chez Asch qui produisait ... qui effrayait, inquiétait l'animal...
...
A la déduction "brillante" de son ancien compagnon d'armes qui comprenait que leur promenade n'était pas que touristique, Asch leva les yeux au ciel. Il avait besoin d'air. Trop de gens. Trop de provocations. Il savait qu'il ne devait pas se mettre en colère ni s'énerver, rester maître de lui... "J'ai besoin d'air. Séraphine je sors."
Il n'attendit même pas la réponse, quittant le café d'un pas vif.
...
Manifestement Asch était revenu "changé" de la guerre, de sa captivité. Là-bas avait dû se passer quelque chose qui avait réussi à pousser un jeune homme toujours au cœur de l'action, à rester plus à l'écart, à prendre appui sur une femme, à éviter la foule... et ayant une étrange influence sur Mabrouk qui se détendait de nouveau à présent que Asch était sorti.
... Mabrouk le sentait et eut un mouvement de recul, oreilles baissées, ... D'ailleurs même si son chien répondait vaillamment à ses encouragements, Pieter Lester notait que son fidèle compagnon n'était pas tout à fait comme d'habitude, il y avait quelque chose chez Asch qui produisait ... qui effrayait, inquiétait l'animal...
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A la déduction "brillante" de son ancien compagnon d'armes qui comprenait que leur promenade n'était pas que touristique, Asch leva les yeux au ciel. Il avait besoin d'air. Trop de gens. Trop de provocations. Il savait qu'il ne devait pas se mettre en colère ni s'énerver, rester maître de lui... "J'ai besoin d'air. Séraphine je sors."
Il n'attendit même pas la réponse, quittant le café d'un pas vif.
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Manifestement Asch était revenu "changé" de la guerre, de sa captivité. Là-bas avait dû se passer quelque chose qui avait réussi à pousser un jeune homme toujours au cœur de l'action, à rester plus à l'écart, à prendre appui sur une femme, à éviter la foule... et ayant une étrange influence sur Mabrouk qui se détendait de nouveau à présent que Asch était sorti.
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Re: Chemins du Destin (Artland)
Peter regardait Asch s'éloigner et nota l'attitude de son chien.
- Aïe... il faut croire que j'ai touché une corde sensible. Il faut m'excuser Dame Séraphine, je ne suis pas du genre à tergiverser et généralement je vais toujours droit au but. C'est la raison pour laquelle, je vais me permettre de vous poser quelques questions maintenant que Asch est parti.
- Asch est du genre à ne jamais admettre qu'il a besoin d'aide. Aussi, je me vois obliger de vous poser la question à vous : est-ce le cas ?
- Mabrouck semble très intimidé par Asch... C'est la première fois que je vois ça à vrai dire et cela m'inquiète un peu. Est-ce juste du aux sequelles de la guerre, ou bien y-a-t-il autre chose là dessous ?
- Est-ce que je suis trop indiscret ? Si c'est le cas, veuillez m'en excuser, mais comprenez que si dans la vie, on ne peut même pas se fier à ses amis... à qui peut-on se fier ?
- Aïe... il faut croire que j'ai touché une corde sensible. Il faut m'excuser Dame Séraphine, je ne suis pas du genre à tergiverser et généralement je vais toujours droit au but. C'est la raison pour laquelle, je vais me permettre de vous poser quelques questions maintenant que Asch est parti.
- Asch est du genre à ne jamais admettre qu'il a besoin d'aide. Aussi, je me vois obliger de vous poser la question à vous : est-ce le cas ?
- Mabrouck semble très intimidé par Asch... C'est la première fois que je vois ça à vrai dire et cela m'inquiète un peu. Est-ce juste du aux sequelles de la guerre, ou bien y-a-t-il autre chose là dessous ?
- Est-ce que je suis trop indiscret ? Si c'est le cas, veuillez m'en excuser, mais comprenez que si dans la vie, on ne peut même pas se fier à ses amis... à qui peut-on se fier ?
Re: Chemins du Destin (Artland)
Séraphine usa de tout le tac qu'elle pouvait faire face à l'inquiétude grandissante pour Asch.
"Ne vous inquiétez pas trop." Autant pour Peter que pour elle-même..
"Je pense qu'il a effectivement trop souffert de la guerre pour revivre cela même en pensée. Pour l'instant je ne crois pas avoir besoin d'aide, mais il est bon de savoir que si nous avions besoin de vous vous pourriez intervenir. Je ne peux pas trop vous en dire plus, cela reviendrait à de l'indiscrétion." Esquissant un sourire.
"Peut-être voulez-vous venir manger un soir ? Cela me ferait plaisir si vous arrivez à ne plus reparler de la guerre évidemment. Mabrouck s'entend bien avec les chats ? J'espère..., sinon il va falloir mettre notre cher Cassis dans la chambre de ma fille Annie."
"Ne vous inquiétez pas trop." Autant pour Peter que pour elle-même..
"Je pense qu'il a effectivement trop souffert de la guerre pour revivre cela même en pensée. Pour l'instant je ne crois pas avoir besoin d'aide, mais il est bon de savoir que si nous avions besoin de vous vous pourriez intervenir. Je ne peux pas trop vous en dire plus, cela reviendrait à de l'indiscrétion." Esquissant un sourire.
"Peut-être voulez-vous venir manger un soir ? Cela me ferait plaisir si vous arrivez à ne plus reparler de la guerre évidemment. Mabrouck s'entend bien avec les chats ? J'espère..., sinon il va falloir mettre notre cher Cassis dans la chambre de ma fille Annie."
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Re: Chemins du Destin (Artland)
- Votre... fille ? Alors comme ça Asch est papa ? Ah ben ça cela en est une bonne nouvelle *sourit*. Et bien j'accepte votre invitation avec grand plaisir gente dame. Et ne vous inquiétez pas pour votre chat : Mabrouck a l'habitude d'en voir des tas au chenil et il n'a jamais bronché pour autant. Il en a même sauvé la vie de quelques uns, c'est dire !
Peter demande à un serveur d'apporter l'addition et règle comme promis. Il convient d'une date avec Séraphine pour le dîner puis tout deux se lève pour rejoindre Asch. Peter serre alors la main d'Asch, fait du baise-main à Séraphine (c'est comme cela qu'on faisait avant non ?).
- Et bien, je vous souhaite bonne continuation à vous deux. On se revoit prochainement Asch, ta femme m'a gentillement invité à dîner. Je vais à présent continuer ma route. A bientôt !
Et Peter de s'éloigner, pour rentrer chez lui.
Peter demande à un serveur d'apporter l'addition et règle comme promis. Il convient d'une date avec Séraphine pour le dîner puis tout deux se lève pour rejoindre Asch. Peter serre alors la main d'Asch, fait du baise-main à Séraphine (c'est comme cela qu'on faisait avant non ?).
- Et bien, je vous souhaite bonne continuation à vous deux. On se revoit prochainement Asch, ta femme m'a gentillement invité à dîner. Je vais à présent continuer ma route. A bientôt !
Et Peter de s'éloigner, pour rentrer chez lui.
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Iris
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Perche !
Concernant le baise-main, c'est surtout dans la haute société, en pleine rue, c'est un peu affecté et "à l'ancienne", donc ça peut se faire, mais ça donne un "genre". Séraphine est habillée en femme moderne, avec des vêtements chics mais confortables, il est probable qu'elle travaille et qu'elle ait plutôt l'habitude qu'on lui serre la main. Ensuite, il y a "serrer la main" et "serrer la main", la grâce, le style, tant de choses peuvent entrer en compte ! ...
Depuis dehors un fracas et des cris leur parvinrent, la foule eut des mouvements de vagues, s'approchant, s'écartant et rendant très difficile tout déplacement.
Où était Asch ? Séraphine l'avait perdu de vue, mais elle avait comme l'intuition qu'il était lié à ce chaos... Peter était encore avec elle, n'ayant pu prendre congé d'Asch. En cherchant le coeur de la foule rassemblée, ils voyaient une voiture à cheval, il y avait eu un accident, des cris, des pleurs... Quelqu'un disait avec affolement "Monsieur, ça va ?" ...
...
Le seul moyen pour arriver était de donner des coudes...
...
Asch était à terre, grimaçant de douleur, sans un mot, se tenant le bras gauche contre lui. Non loin un enfant en pleurs se réfugiait dans les bras de sa mère atterrée et le cocher de la voiture était tout prêt : "Je vous assure, je ne pouvais pas faire autrement, il a déboulé sous les chevaux"... Suivi des suppliques de l'enfant : "Mon balloooonnnn !" ... Asch se relevait péniblement et trouvait le moyen de vaguement grogner un "C'est rien, ça va." ... et d'autres disaient tout de même qu'il fallait qu'il voie un médecin.
...
Depuis dehors un fracas et des cris leur parvinrent, la foule eut des mouvements de vagues, s'approchant, s'écartant et rendant très difficile tout déplacement.
Où était Asch ? Séraphine l'avait perdu de vue, mais elle avait comme l'intuition qu'il était lié à ce chaos... Peter était encore avec elle, n'ayant pu prendre congé d'Asch. En cherchant le coeur de la foule rassemblée, ils voyaient une voiture à cheval, il y avait eu un accident, des cris, des pleurs... Quelqu'un disait avec affolement "Monsieur, ça va ?" ...
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Le seul moyen pour arriver était de donner des coudes...
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Asch était à terre, grimaçant de douleur, sans un mot, se tenant le bras gauche contre lui. Non loin un enfant en pleurs se réfugiait dans les bras de sa mère atterrée et le cocher de la voiture était tout prêt : "Je vous assure, je ne pouvais pas faire autrement, il a déboulé sous les chevaux"... Suivi des suppliques de l'enfant : "Mon balloooonnnn !" ... Asch se relevait péniblement et trouvait le moyen de vaguement grogner un "C'est rien, ça va." ... et d'autres disaient tout de même qu'il fallait qu'il voie un médecin.
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Re: Chemins du Destin (Artland)
Séraphine s'attendait à un bon serrage de main et fut très confuse de voir le baise-main de Peter, peut être que c'est à cette occasion que Séraphine trouva un lien particulier avec Peter ? Un sorte de malaise se serait peut être installer quelques petites secondes le temps de comprendre qu'il était différent ? Comme un lien télépathique ou autre, où elle aurait pensé au baise-main en se disant "houla, le coup du baise-main, je l'avait pas vu venir..." et sinon le "Oh !" de surprise de sentir une personne avec un fort potentiel psychique ???
Lors de l'accident, Séraphine eut surement un choc, comme si elle recevait un coup, ce que pouvait voir Peter sans comprendre ce qu'il s'était passé...
Elle se tenait le ventre d'une main et cherchait du regard d'où provenait tous ses sentiments extrêmes qui lui vrillaient les entrailles comme si elle les ressentait vraiment...
Jouant donc des coudes pour atteindre son amoureux, elle arriva vers Asch un peu décoiffé et le regard de l'inquiétude mêlé à de l'incompréhension...Siagnait-il ? Où avait-il mal ? D'autres personnes souffraient ? Mais que fait la police ? Que font tous ces gens autour ?
Séraphine inspira et expira profondément pour ne pas céder à la panique et reprendre un raisonnement clair et surtout trier les informations visuelle, auditive (et extrasensorielle ^^)....
Lors de l'accident, Séraphine eut surement un choc, comme si elle recevait un coup, ce que pouvait voir Peter sans comprendre ce qu'il s'était passé...
Elle se tenait le ventre d'une main et cherchait du regard d'où provenait tous ses sentiments extrêmes qui lui vrillaient les entrailles comme si elle les ressentait vraiment...
Jouant donc des coudes pour atteindre son amoureux, elle arriva vers Asch un peu décoiffé et le regard de l'inquiétude mêlé à de l'incompréhension...Siagnait-il ? Où avait-il mal ? D'autres personnes souffraient ? Mais que fait la police ? Que font tous ces gens autour ?
Séraphine inspira et expira profondément pour ne pas céder à la panique et reprendre un raisonnement clair et surtout trier les informations visuelle, auditive (et extrasensorielle ^^)....
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Séraphine... pouvait déjà s'interroger depuis un moment du lien entre Peter Lester et Mabrouk son chien, les deux étaient liés d'une manière particulièrement intense, comme si le chien comprenait tout ce que son maître voulait lui communiquer... cependant il ne s'agissait pas exactement du même genre d'intuition qu'elle, sa compréhension du phénomène est donc un peu floue, il faudrait qu'elle réfléchisse un peu à tête reposée pour finir par se dire "tiens... peut-être que... ?"
...
Arrivant sur le site de l'accident, elle vit effectivement que la manche d'Asch était déchirée et qu'il saignait, et vu la manière dont il se tenait le bras gauche, c'était là qu'il avait morflé. Quant à ce qui s'était passé, la mère de l'enfant pouvait l'expliquer : "Ce Monsieur s'est précipité quand mon Timmy a couru après son ballon sans regarder... Je t'avais pourtant bien dit de toujours regarder avant de traverser !" Et le Cocher de compléter : "Il est si petit, avec la foule, j'ai rien vu ! Il a déboulé si vite !"
Un bête accident.
Asch avait joué les bons samaritains en réagissant extraordinairement vite. D'ailleurs des témoins le disait déjà dans la foule : "Ce Monsieur a réagi si vite, c'est proprement prodigieux ! Un vrai miracle ! Je n'aurais jamais cru ça possible !"
Quant au héros du jour, il grimaçait vaguement un sourire et glissa à Séraphine, mâchoire crispée par la douleur : "T'inquiète, une fracture et des écorchures, presque rien." ... D'un point de vue rationnel, et pour quelqu'un comme lui, c'était vrai. Et puis elle l'avait vu déjà en plus mauvais état, quand il était venu l'aider à sauver Lysianas...
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Arrivant sur le site de l'accident, elle vit effectivement que la manche d'Asch était déchirée et qu'il saignait, et vu la manière dont il se tenait le bras gauche, c'était là qu'il avait morflé. Quant à ce qui s'était passé, la mère de l'enfant pouvait l'expliquer : "Ce Monsieur s'est précipité quand mon Timmy a couru après son ballon sans regarder... Je t'avais pourtant bien dit de toujours regarder avant de traverser !" Et le Cocher de compléter : "Il est si petit, avec la foule, j'ai rien vu ! Il a déboulé si vite !"
Un bête accident.
Asch avait joué les bons samaritains en réagissant extraordinairement vite. D'ailleurs des témoins le disait déjà dans la foule : "Ce Monsieur a réagi si vite, c'est proprement prodigieux ! Un vrai miracle ! Je n'aurais jamais cru ça possible !"
Quant au héros du jour, il grimaçait vaguement un sourire et glissa à Séraphine, mâchoire crispée par la douleur : "T'inquiète, une fracture et des écorchures, presque rien." ... D'un point de vue rationnel, et pour quelqu'un comme lui, c'était vrai. Et puis elle l'avait vu déjà en plus mauvais état, quand il était venu l'aider à sauver Lysianas...
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Re: Chemins du Destin (Artland)
Mince le contact physique avec Peter n'avait pas eu d'effet ? Tant pis ^^
Peut être bien qu'il et elle en avaient vu d'autre, mais c'était pas pour autant qu'elle ne se faisait pas du soucis et qu'elle ne ressentait pas la douleur de Asch...
En attendant la réaction de Peter, Séraphine essaye d'éloigner Asch des badauds...
Peut être bien qu'il et elle en avaient vu d'autre, mais c'était pas pour autant qu'elle ne se faisait pas du soucis et qu'elle ne ressentait pas la douleur de Asch...
En attendant la réaction de Peter, Séraphine essaye d'éloigner Asch des badauds...
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Re: Chemins du Destin (Artland)
- Bon sang, Asch !
Comme une mécanique bien huilée, Peter activa le mode "pompier/secours aux blessés".
- Laissez passer, messieux-dames, je suis pompier, pardon...
Peter n'hésita pas une seconde à user des coudes pour se faufiler avec son chien et Séraphine au niveau d'Asch.
- Mabrouck, périmètre de sécurité !
Mabrouck se mit alors à aboyer et à tourner en cercle, faisant reculer la foule trop curieuse.
- Veuillez laisser de la place pour les secours, s'il-vous-plaît !
Une fois au niveau d'Asch :
- Laisses-moi voir ça, vieux.
Peter examina la blessure et conclut comme Asch à une fracture.
- Il faut que tu évites de bouger ton bras Asch : tu pourrais aggraver ta blessure en causant des lésions internes.
Peter repéra parmi la foule des serveurs du café en uniforme.
- Vous, *en pointant du doigt l'un des serveurs* appelez une ambulance !
- Et vous, *en pointant du doigt un autre des serveurs*, allez me chercher une nappe propre !
Les serveurs devaient se demander s'ils devaient s'exécuter un moment... Mais si l'attitude sûre de Peter ne les convainquaient pas, le regard lourd d'opprobres de la foule, signifiant "mais dépéchez-vous!", suffisait lui !
Ils apportèrent au bout d'un moment les élements demandés. Peter déchira un coin de la nappe pour l'utiliser comme tampon et nettoya la plaie avec l'alcool. Peter plia ensuite savamment la nappe (en hauteur afin qu'elle ne touche pas le sol bien sûr) afin de la transformer en écharpe triangulaire.
Peter plaça l'écharpe et la noua fermement au niveau du cou.
- Voilà, on ne peut rien faire de plus pour l'instant. Il ne reste plus qu'à attendre les secours. Je suis fier de toi Asch ! Si tu veux, il y a une place de pompier qui n'attend que toi à la caserne ! *clin d'oeil*
A Séraphine, pour la rassurer:
- Pas de quoi s'inquiéter, il s'en remettra vite ! *sourit*
Au vue des derniers événements, Peter décida de rester auprès d'Asch afin de l'accompagner jusqu'à l'hôpital avec l'ambulance pour ne pas laisser Séraphine s'angoisser seule.
Comme une mécanique bien huilée, Peter activa le mode "pompier/secours aux blessés".
- Laissez passer, messieux-dames, je suis pompier, pardon...
Peter n'hésita pas une seconde à user des coudes pour se faufiler avec son chien et Séraphine au niveau d'Asch.
- Mabrouck, périmètre de sécurité !
Mabrouck se mit alors à aboyer et à tourner en cercle, faisant reculer la foule trop curieuse.
- Veuillez laisser de la place pour les secours, s'il-vous-plaît !
Une fois au niveau d'Asch :
- Laisses-moi voir ça, vieux.
Peter examina la blessure et conclut comme Asch à une fracture.
- Il faut que tu évites de bouger ton bras Asch : tu pourrais aggraver ta blessure en causant des lésions internes.
Peter repéra parmi la foule des serveurs du café en uniforme.
- Vous, *en pointant du doigt l'un des serveurs* appelez une ambulance !
- Vous, *en pointant du doigt un autre des serveurs*, allez me chercher de l'alcool à brûler, si vous n'en avez pas, une bouteille de votre alcool le plus fort !HRP a écrit :(Le téléphone existait bien à l'époque, non ? Sinon remplacer "appelez" par "aller chercher")
- Et vous, *en pointant du doigt un autre des serveurs*, allez me chercher une nappe propre !
Les serveurs devaient se demander s'ils devaient s'exécuter un moment... Mais si l'attitude sûre de Peter ne les convainquaient pas, le regard lourd d'opprobres de la foule, signifiant "mais dépéchez-vous!", suffisait lui !
Ils apportèrent au bout d'un moment les élements demandés. Peter déchira un coin de la nappe pour l'utiliser comme tampon et nettoya la plaie avec l'alcool. Peter plia ensuite savamment la nappe (en hauteur afin qu'elle ne touche pas le sol bien sûr) afin de la transformer en écharpe triangulaire.
Peter plaça l'écharpe et la noua fermement au niveau du cou.
- Voilà, on ne peut rien faire de plus pour l'instant. Il ne reste plus qu'à attendre les secours. Je suis fier de toi Asch ! Si tu veux, il y a une place de pompier qui n'attend que toi à la caserne ! *clin d'oeil*
A Séraphine, pour la rassurer:
- Pas de quoi s'inquiéter, il s'en remettra vite ! *sourit*
Au vue des derniers événements, Peter décida de rester auprès d'Asch afin de l'accompagner jusqu'à l'hôpital avec l'ambulance pour ne pas laisser Séraphine s'angoisser seule.