[BC] La Dernière Guerre
Re: [BC] La Dernière Guerre 1.1: Le portail dimensionnel
"Tu penses que les capacités des membres du club sont un secret ? De la meme manière que le CID savait pour elle, Mabuse le sait. Ne me demande pas comment, il le sait. Au sein du club certains savent pour elle et moi, partant de là... Quand au Baron, ça dois faire près de dix mois que cette histoire est en route, je l'ai connu le jour où il a voulu me descendre en vol. Je veux bien essayer de tirer ça au clair, mais ça veut dire entrer dans le véhicule de ces chers messieurs. Et ça, c'est une autre paire de manche."
"Pour ce qui est du Baron Rouge lui-meme, il dispose d'un triplan rouge supercientifique. Un avion rapide, maniable, e avec une très bonne puissance de feu. Il a aussi des pouvoirs : une agilité accrue, et vu ses tirs il doit avoir quelque chose lié aux armes. Je soupçonne qu'il a d'autres atouts en manche mais je ne sais pas lesquels. Il est aussi très bien informé, mon armure peut aller sous l'eau, c'es un élément que peu connaissent, a priori il le savait. Pourtant il n'existe pas de plans... Il faudrait identifier leur réseau d'information."
"Pour ce qui est du Baron Rouge lui-meme, il dispose d'un triplan rouge supercientifique. Un avion rapide, maniable, e avec une très bonne puissance de feu. Il a aussi des pouvoirs : une agilité accrue, et vu ses tirs il doit avoir quelque chose lié aux armes. Je soupçonne qu'il a d'autres atouts en manche mais je ne sais pas lesquels. Il est aussi très bien informé, mon armure peut aller sous l'eau, c'es un élément que peu connaissent, a priori il le savait. Pourtant il n'existe pas de plans... Il faudrait identifier leur réseau d'information."
Rouages amoureux
Les deux surhommes discutaient de la meilleure marche à suivre concernant le « cadeau » du baron rouge tout en traversant les différents jardins résidentiels des pavillons que Shelley avait visiblement traversés. Au loin le soleil commençait doucement à décliner sur la campagne environnante, rayonnant de mille feux sur les gros nuages paresseux du ciel de la banlieue parisienne. Le crépitement du radiomètre les fit traverser un champ de blé secoué par le vent frais de la fin d’après-midi. Dans le lointain, les éleveurs de Rosny faisaient rentrer leurs bovins dans un tintement de cloches bucoliques.
Tout d’un coup, l’appareil de mesure de la radioactivité se mit à s’exciter et la flèche de mesure monta en flèche.
Sur une petite colline boisée surplombant le champ trônait une vieille grange à moitié délabrée. Les deux héros super scientifiques s’en approchèrent par un petit chemin rocailleux et rapidement une voix métallique vaguement féminine se fit entendre.
« Menteur, menteur, menteur ! »
Discrètement, ils arrivèrent jusqu’à la paroi du vieux bâtiment agricole et observèrent l’intérieur entre deux planches de bois pourries ornées de clous rouillées. L’intérieur était sombre et rempli de ballots de foin. Malgré la pénombre, Shelley était parfaitement visible. Assise dans un tas de fourrage, elle semblait se lamenter. Ses yeux d’un jaune luminescent éclairaient ses mains mécaniques. Fébrilement, elle tordait en tous sens un vieux fer à cheval.
« Mélancolie, dépression, abattement, accablement, affliction, spleen, amertume, chagrin, peine, souffrance, désolation, deuil, douleur, nostalgie, cafard »
« Je ne suis pas elle, tu m’as menti … Je croyais que tout venait de moi… »
« Et pourtant je t’aime : menteur, menteur, menteur ! »
L’être mécanique avait fini de tordre la pièce de métal et lâcha au sol un cœur vaguement dessiné dans un lourd « klong ». A un rythme lent, de petits nuages de vapeur sortaient par intermittence de ses deux pots d’échappement dorsaux.
Un craquement se fit entendre. Ray par inadvertance venait de briser un vieux morceau de bois qui jonchait le sol.
Les yeux de Shelley s’éteignirent et l’automate s’enfonça rapidement dans le gros tas de foin. Laissant la moitié de son corps encore apparaitre, c’était une tentative grossière de dissimulation parmi ce vieux décor qui empestait l’herbe, les graminées séchées et la poussière de bois…
Tout d’un coup, l’appareil de mesure de la radioactivité se mit à s’exciter et la flèche de mesure monta en flèche.
Sur une petite colline boisée surplombant le champ trônait une vieille grange à moitié délabrée. Les deux héros super scientifiques s’en approchèrent par un petit chemin rocailleux et rapidement une voix métallique vaguement féminine se fit entendre.
« Menteur, menteur, menteur ! »
Discrètement, ils arrivèrent jusqu’à la paroi du vieux bâtiment agricole et observèrent l’intérieur entre deux planches de bois pourries ornées de clous rouillées. L’intérieur était sombre et rempli de ballots de foin. Malgré la pénombre, Shelley était parfaitement visible. Assise dans un tas de fourrage, elle semblait se lamenter. Ses yeux d’un jaune luminescent éclairaient ses mains mécaniques. Fébrilement, elle tordait en tous sens un vieux fer à cheval.
« Mélancolie, dépression, abattement, accablement, affliction, spleen, amertume, chagrin, peine, souffrance, désolation, deuil, douleur, nostalgie, cafard »
« Je ne suis pas elle, tu m’as menti … Je croyais que tout venait de moi… »
« Et pourtant je t’aime : menteur, menteur, menteur ! »
L’être mécanique avait fini de tordre la pièce de métal et lâcha au sol un cœur vaguement dessiné dans un lourd « klong ». A un rythme lent, de petits nuages de vapeur sortaient par intermittence de ses deux pots d’échappement dorsaux.
Un craquement se fit entendre. Ray par inadvertance venait de briser un vieux morceau de bois qui jonchait le sol.
Les yeux de Shelley s’éteignirent et l’automate s’enfonça rapidement dans le gros tas de foin. Laissant la moitié de son corps encore apparaitre, c’était une tentative grossière de dissimulation parmi ce vieux décor qui empestait l’herbe, les graminées séchées et la poussière de bois…
- Maëlys
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Re: [BC] La Dernière Guerre 1.1: Le portail dimensionnel
Alors que Ray et Calvin étaient en pleine discussion, le radiomètre s'excita d'un seul coup, passant d'un faible bruit de fond à un crépitement effréné.
En orientant l'outil de détection, il semblait réagir bien plus vers une grange délabrée non loin de là.
Déduction qui se confirma lors qu'ils entendirent une voix métallique, ils s'approchèrent tout les deux jusqu'au bâtiment où ils purent observer à travers quelques planches vermoulues l'homoncule correspondant à Shelley.
Parlant à voix basse, il dit à Ray :
"Je vais aller la voir, si jamais quelque chose se passe pas bien, je compte sur toi."
Puis alors qu'il allait bouger pour la rejoindre, Ray fit craquer un morceau de bois juste à côté, suite à quoi Shelley alla se cacher. Soupirant un instant, il bougea puis alla ouvrir la porte de la grange afin de rentrer à l'intérieur.
Se postant à plusieurs mètres de Shelley qui sa cachait piteusement dans un tas, jetant un coup d’œil sur le fer à cheval tordu, il posa son regard sur l'homoncule avant de lui dire :
"Bonjour Shelley. Je m'appelle Calvin, tu voudrais qu'on parle un petit peu ? "
Avant de parler plus, il préférait tâter un peu le terrain pour ne pas énerver. Qui sait ce que le professeur a pu faire de sa machine.
En orientant l'outil de détection, il semblait réagir bien plus vers une grange délabrée non loin de là.
Déduction qui se confirma lors qu'ils entendirent une voix métallique, ils s'approchèrent tout les deux jusqu'au bâtiment où ils purent observer à travers quelques planches vermoulues l'homoncule correspondant à Shelley.
Parlant à voix basse, il dit à Ray :
"Je vais aller la voir, si jamais quelque chose se passe pas bien, je compte sur toi."
Puis alors qu'il allait bouger pour la rejoindre, Ray fit craquer un morceau de bois juste à côté, suite à quoi Shelley alla se cacher. Soupirant un instant, il bougea puis alla ouvrir la porte de la grange afin de rentrer à l'intérieur.
Se postant à plusieurs mètres de Shelley qui sa cachait piteusement dans un tas, jetant un coup d’œil sur le fer à cheval tordu, il posa son regard sur l'homoncule avant de lui dire :
"Bonjour Shelley. Je m'appelle Calvin, tu voudrais qu'on parle un petit peu ? "
Avant de parler plus, il préférait tâter un peu le terrain pour ne pas énerver. Qui sait ce que le professeur a pu faire de sa machine.
Re: [BC] La Dernière Guerre 1.1: Le portail dimensionnel
Ray demeura hors de la grange mais quand même sur le pas de la porte. Il ne chercha pas à se cacher car s'il était repéré elle prendrait peur ou pire deviendrait violente. Il ne fit donc rien de spécial. Il éteignit le détecteur, s'appuya contre la porte et attendit, laissant le soin à Calvin de s'occuper de tout ça.
Mentalement il notait ce qu'il observait de la créatures une idée germait dans sa tête... D'un simple aspect physique elle rejoignait certains points de son armure Mark I avant qu'il ne la passe sur une alimentation au radium. Elle avait elle aussi deux sorties dans le dos, et des teintes similaires. Avec les yeux si caractéristiques de sa tenue la boucle était bouclée.
Mentalement il notait ce qu'il observait de la créatures une idée germait dans sa tête... D'un simple aspect physique elle rejoignait certains points de son armure Mark I avant qu'il ne la passe sur une alimentation au radium. Elle avait elle aussi deux sorties dans le dos, et des teintes similaires. Avec les yeux si caractéristiques de sa tenue la boucle était bouclée.
situation délicate
Les yeux de l'homoncule illuminèrent l'intérieur de la vieille grange. Le pantin mécanique se déploya et sorti de sa cachette ridicule. Le petit humanoïde robotisé couvert de résidus de fourage, du haut de ses 1 mètre trente, émis deux gros panaches de vapeur de ses sorties dorsales. Visiblement cette attitude ne marquait pas sa joie d'avoir été découverte.
"Shelley, ne veut pas d'ami !Elle veut être seule pour comprendre ce qu'elle est. Les humains sont fous et méchants. Ils ne font que rendre tristes leurs pauvres enfants. Qui êtes vous ? Que me voulez vous ? Allez vous en !"
La voix du petit robot avait été monocorde mais puissante, claquant comme un avertissement. D'un coup de pied, elle envoya le lourd fer à cheval tordu en forme de cœur au niveau de Calvin, soulevant au passage un nuage de poussière dans toute la pièce.
"Shelley, ne veut pas d'ami !Elle veut être seule pour comprendre ce qu'elle est. Les humains sont fous et méchants. Ils ne font que rendre tristes leurs pauvres enfants. Qui êtes vous ? Que me voulez vous ? Allez vous en !"
La voix du petit robot avait été monocorde mais puissante, claquant comme un avertissement. D'un coup de pied, elle envoya le lourd fer à cheval tordu en forme de cœur au niveau de Calvin, soulevant au passage un nuage de poussière dans toute la pièce.
- Maëlys
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Re: [BC] La Dernière Guerre 1.1: Le portail dimensionnel
Calvin haussa un sourcil en entendant la réponse de l'homoncule, elle semblait humaine dans sa façon de réagir, bien trop humaine à son goût. Comment le Professeur pouvait-il obtenir un tel résultat avec juste des circuits électroniques et des cartes mémoires, il n'arrivait pas à le comprendre, les émotions humaines ne pouvaient pas être si bien copiées...
Reposant son regard sur la création du Professeur Stein, il lui parla d'une voix douce :
"Comme je te l'ai dit, je m'appelle Calvin. Et je ne cherche rien d'autre que de comprendre pourquoi tu es dans un tel état, certains humains sont peut-être fous et méchants, mais d'autres ne cherchent qu'à aider les personnes en ayant besoin."
Il attendit un instant avant de poser une question à laquelle il redoutait déjà la réaction de l'homoncule, ou la réponse en elle-même :
"Ce qui t'arrive a-t-il un rapport avec le Professeur Stein ? T'aurait-il fait quelque chose ?"
Reposant son regard sur la création du Professeur Stein, il lui parla d'une voix douce :
"Comme je te l'ai dit, je m'appelle Calvin. Et je ne cherche rien d'autre que de comprendre pourquoi tu es dans un tel état, certains humains sont peut-être fous et méchants, mais d'autres ne cherchent qu'à aider les personnes en ayant besoin."
Il attendit un instant avant de poser une question à laquelle il redoutait déjà la réaction de l'homoncule, ou la réponse en elle-même :
"Ce qui t'arrive a-t-il un rapport avec le Professeur Stein ? T'aurait-il fait quelque chose ?"
Re: [BC] La Dernière Guerre 1.1: Le portail dimensionnel
Shelley resta silencieuse un instant. Elle semblait observer cet interlocuteur inconnu. Se calmait elle ou était elle en train de le jauger ?
"Pourquoi Calvin veut il aider Shelley ? Pourquoi s'intéresse t'il à un "objet" ? Calvin est soit un humain bien étrange soit Calvin oublie de tout dire..."
A la prononciation du nom du professeur, deux nouveaux nuages de vapeur sortirent du dos de l'homoncule.
" Le professeur a menti alors Shelley est partie. Je ne suis pas unique, je ne suis qu'une copie !!!!"
"Pourquoi Calvin veut il aider Shelley ? Pourquoi s'intéresse t'il à un "objet" ? Calvin est soit un humain bien étrange soit Calvin oublie de tout dire..."
A la prononciation du nom du professeur, deux nouveaux nuages de vapeur sortirent du dos de l'homoncule.
" Le professeur a menti alors Shelley est partie. Je ne suis pas unique, je ne suis qu'une copie !!!!"
Les allemands rentrent dans la danse
" Demain à la même heure... donc chez vous 21h ? "
C’est exactement cela ma chère. Nous prendrons notre temps, les révélations de Montet pourraient être une bonne voie de recherche pour votre hypnose…
" Oh ! Je sais que j'abuse, mais il faudrait que vous fassiez également quelque chose pour le pauvre M. Boniface ! Je vous serais infiniment reconnaissante si vous pouviez l'aider lui aussi... "
Monsieur Boniface ? Si vous vous en portez garant auprès du CID, cela devrait être possible. Je vais en parler à l’agent Guillaume.
" Merci encore pour votre aide, elle a été très précieuse !"
« De rien, il est tout à fait normal de rendre service à une aussi charmante personne. Mais n’oubliez pas notre diner Madame Leilith … »
Sourcils relevés et air de tombeur façon roman photo.
« Sauvez vous à présent, à très bientôt. »
La princesse atlante, après avoir retrouvé le professeur Charpentier dans le hall de l’aile Est, était sortie précipitamment de l’asile Saint Anne afin d’éviter toutes questions trop dérangeantes. Après un rapide contrôle à l’entrée, elle était enfin revenu dans le monde civilisé et avait quittée cette atmosphère malsaine de pathologies psychiatriques et de traitements barbares.
C’était la fin de l’après midi, il devait être 17 h 30. Les rues étaient pleines de ménagères rentrant des courses et d’ouvriers attablés aux tables des cafés se reposant autour d’un bon petit blanc. Dans le ciel fourmillant d’aéronefs, un long cigare obscur frappé du symbole du M se déplaçait lentement.
Leilith, suivi de l’étrange inventeur, se dirigea vers un kiosque et acheta les différents quotidiens. Les nouvelles étaient variées et concernait pour certaines des surhommes.
En face du petit buraliste, un magasin de luxe était gardé par deux impressionnants mécanoïdes renforcés. Des armures de combat de Nous Autres ! Un délégataire du comité présent pour le congrès devait faire des courses à l’intérieur de l’échoppe.
Toujours intriguée par cette vision, elle avait levé machinalement la main pour appeler un taxi.
Une berline noire s’arrêta devant elle. A l’avant deux hommes en costume sombre, de forts gabarits et aux coupes blondes très courtes. La vitre arrière se baissa :
« Ma chère Leilith !!! Puis je vous déposer quelque part ? »
L’atlante eut un sursaut de recul. Son interlocuteur n’était autre que le fameux Baron Rouge…
C’est exactement cela ma chère. Nous prendrons notre temps, les révélations de Montet pourraient être une bonne voie de recherche pour votre hypnose…
" Oh ! Je sais que j'abuse, mais il faudrait que vous fassiez également quelque chose pour le pauvre M. Boniface ! Je vous serais infiniment reconnaissante si vous pouviez l'aider lui aussi... "
Monsieur Boniface ? Si vous vous en portez garant auprès du CID, cela devrait être possible. Je vais en parler à l’agent Guillaume.
" Merci encore pour votre aide, elle a été très précieuse !"
« De rien, il est tout à fait normal de rendre service à une aussi charmante personne. Mais n’oubliez pas notre diner Madame Leilith … »
Sourcils relevés et air de tombeur façon roman photo.
« Sauvez vous à présent, à très bientôt. »
La princesse atlante, après avoir retrouvé le professeur Charpentier dans le hall de l’aile Est, était sortie précipitamment de l’asile Saint Anne afin d’éviter toutes questions trop dérangeantes. Après un rapide contrôle à l’entrée, elle était enfin revenu dans le monde civilisé et avait quittée cette atmosphère malsaine de pathologies psychiatriques et de traitements barbares.
C’était la fin de l’après midi, il devait être 17 h 30. Les rues étaient pleines de ménagères rentrant des courses et d’ouvriers attablés aux tables des cafés se reposant autour d’un bon petit blanc. Dans le ciel fourmillant d’aéronefs, un long cigare obscur frappé du symbole du M se déplaçait lentement.
Leilith, suivi de l’étrange inventeur, se dirigea vers un kiosque et acheta les différents quotidiens. Les nouvelles étaient variées et concernait pour certaines des surhommes.
En face du petit buraliste, un magasin de luxe était gardé par deux impressionnants mécanoïdes renforcés. Des armures de combat de Nous Autres ! Un délégataire du comité présent pour le congrès devait faire des courses à l’intérieur de l’échoppe.
Toujours intriguée par cette vision, elle avait levé machinalement la main pour appeler un taxi.
Une berline noire s’arrêta devant elle. A l’avant deux hommes en costume sombre, de forts gabarits et aux coupes blondes très courtes. La vitre arrière se baissa :
« Ma chère Leilith !!! Puis je vous déposer quelque part ? »
L’atlante eut un sursaut de recul. Son interlocuteur n’était autre que le fameux Baron Rouge…
Re: [BC] La Dernière Guerre 1.1: Le portail dimensionnel
Ray regarde Calvin et Shelley discuter, Calvin est un scientifique bercé dans la génétique, mais qu'en est il de la psychologie. Le sujet humain/objet est un élément sensible, et mentir semble une chose à faire avec délicatesse, surtout si on prend en compte les capacités de Shelley qui ont put être observées.
"MIA il me faudra augmenter ton champ d'action avec de nouvelles fonctionnalités, un scan de Shelley aurait été utile. Tu en dis quoi ?"Je ne sais plus si on a donné un nom à la voix dans l'armure, JARVIS on va éviter ça n'a rien à voir quand on sait ce que ça signifie. Du coup je tablerais sur une : MIA "Meilleure Intelligence Artificielle" oui je n'ai rien trouvé d'autre et du coup ça serait un voix féminine.
- Iris
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Oh ben ça par exemple ! La fin de la famine !
A Sainte Anne avec le Dr. Bloomberg
Leilith acquiesça pour l'essentiel, assurant qu'elle se porterait garante pour le pauvre M. Boniface ... même si en pratique, elle ne savait pas trop à quoi elle s'engageait... est-ce que ça signifiait qu'il fallait jouer les garde-malades ? Le garder en permanence pas trop loin d'elle ou surveiller ses allées et venues...?... Elle aurait le temps d'en parler avec Ray et l'Agent Guillaume. L'essentiel était de le faire sortir.
Dans les rues
Leilith fit donc ses courses de journaux, en quête d'un journaliste militant des causes sociales qu'elle pourrait contacter... Elle en fut certainement rapidement surchargée, trottinant et flânant, notant un gros cigare noir qui volait ... un brin sinistre...
" Le Pr. Charpentier et moi-même retournions à la Sorbonne."
Si pas d'objection de l'inventeur, Leilith accepterait volontiers la proposition. N'étant pas paranoïaque ni même d'une nature anxieuse, elle estimait qu'un trajet en voiture n'était pas un problème. Et elle commença gentiment à babiller : " C'est très gentil. Je ne vous retarde pas dans vos affaires au moins ? Vous venez sans doute pour le congrès ? Cela fait longtemps que nous ne sommes pas vus... Que faites-vous ces temps-ci ? "
...
Leilith acquiesça pour l'essentiel, assurant qu'elle se porterait garante pour le pauvre M. Boniface ... même si en pratique, elle ne savait pas trop à quoi elle s'engageait... est-ce que ça signifiait qu'il fallait jouer les garde-malades ? Le garder en permanence pas trop loin d'elle ou surveiller ses allées et venues...?... Elle aurait le temps d'en parler avec Ray et l'Agent Guillaume. L'essentiel était de le faire sortir.
" Ne vous inquiétez pas." répondit-elle avec le sourire, tout en pensant surtout qu'elle avait envie d'ajouter pour plaisanter : "je n'oublie que ce qui s'est passé il y a plus de 10 000 ans, pour les rendez-vous pris deux jours à l'avance, je m'en sors !"Obsidian a écrit :Mais n’oubliez pas notre diner Madame Leilith
Dans les rues
Leilith fit donc ses courses de journaux, en quête d'un journaliste militant des causes sociales qu'elle pourrait contacter... Elle en fut certainement rapidement surchargée, trottinant et flânant, notant un gros cigare noir qui volait ... un brin sinistre...
Eh bien ! Leilith était presque tentée d'aller les voir de plus près, en pensant que Ray serait sûrement intéressé... mais elle se demandait aussi... déjà si ça se faisait de regarder des gens en armure sous toutes les coutures au milieu de la rue... ensuite si elle était vraiment capable d'en tirer quelque chose d'utile pour Ray... et comme elle doutait de la réponse à ces deux questions... il n'y avait plus qu'à rentrer à la Sorbonne avec le Pr. Charpentier.Obsidian a écrit :En face du petit buraliste, un magasin de luxe était gardé par deux impressionnants mécanoïdes renforcés. Des armures de combat de Nous Autres ! Un délégataire du comité présent pour le congrès devait faire des courses à l’intérieur de l’échoppe.
" Oh ! Si je m'attendais ... Oh, mais bien sûr, vous avez dû arriver avec la délégation allemande ? "Obsidian a écrit :Une berline noire s’arrêta devant elle. A l’avant deux hommes en costume sombre, de forts gabarits et aux coupes blondes très courtes. La vitre arrière se baissa :
« Ma chère Leilith !!! Puis je vous déposer quelque part ? »
" Le Pr. Charpentier et moi-même retournions à la Sorbonne."
Si pas d'objection de l'inventeur, Leilith accepterait volontiers la proposition. N'étant pas paranoïaque ni même d'une nature anxieuse, elle estimait qu'un trajet en voiture n'était pas un problème. Et elle commença gentiment à babiller : " C'est très gentil. Je ne vous retarde pas dans vos affaires au moins ? Vous venez sans doute pour le congrès ? Cela fait longtemps que nous ne sommes pas vus... Que faites-vous ces temps-ci ? "
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Meneuse : Ombres d'Esteren | Dragons
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