[PN] Chap 1.0 Un Espadon sous le soleil.

[Asdel]

"J'espère bien" répondit un Gui qui n'avait pas des envies de danser.

[Amnèsya]

Après bien des efforts, Lothar se permit de souffler un peu... Il était rassuré... La blessure était évidemment critique et mais ces jours n'étaient plus en danger... et il était transportable...
Mais il restait à définir ce qui était le plus sûr pour lui... Le transporter chez lui, le ramener à Brest pour qu'il soit soigner dans de meilleur condition...
Lothar était doué certes, mais il avait fait avec les moyens du bord...

Après, il s'occupa de finir Camille... et pensa qu'il pouvait encore s'occuper du cas de l'espagnol qui ne s'était pas ménagé jusqu'à maintenant...
Enfin, il pensa qu'il était tans que cela finissent... Il était à court de tous... et quelques chemises avaient déjà terminée en bandage provisoire...

Maintenant, ils étaient tous disponibles pour s'occuper du bandit qu'ils avaient capturé.... et que Malthèse tenait en respect de son pistolet.

Considérez Lothar vous a soigné, vous êtes fatigués, un peu endorloris, mais globalement ca va.

[Avrock]

Lothar finissait le dernier bandage, soulagé d'avoir pu faire quelque chose pour le capitaine. Néanmoins il allait falloir se dépêcher de l’aliter et de surveiller son état.

Malthèse tenait en joue le mécréant que les autres avait capturé. Et maintenant ? L'allemand n'est pas en position de poser des questions, il n'est même pas encore membre d'équipage, seulement aspirant.

" Und jetzt ? Qui pose les questions ? Qui l'exécute prestement ? "

[Asdel]

Gui, toujours prêt à secouer les puces des mécréants et à grogner, attendait qu'un "officier" prenne la relève de l'interrogatoire. C'est pas comme s'il leur était inférieur en grade, il savait prendre des initiatives, mais bon, passer l'autre clampin au fil de sa dague ne devrait pas faire plaisir à ces dames de la haute, même si l'envie ne lui en manquait guère.

[darkbaron]

Visiblement, Gwenaëlle avait parlé un peu trop vite : heureusement le capitaine allait survivre. Néanmoins, on ne pouvait pas dire qu'ils étaient tous tirés d'affaire pour autant... Surtout pas avec tout ce qu'il se passait ici.

Quand elle avait pris la décision de suivre les traces de son père, elle ne s'était pas imaginé une seule seconde qu'elle aurait à affronter autant de dangers si près de chez elle. Désormais, une question trottait à son esprit : la tempête était-elle passée ou le pire était-il encore à venir ? C'était malheureusement une question dont elle n'avait pas la réponse. D'ailleurs, peut-être valait-il mieux ne pas y penser...

La jeune femme observa le bandit capturé un moment, posant sur elle son regard bleu et dur. Finalement, elle s'approcha lentement et prit la parole sur un ton déterminé.

"Je peux l'interroger. Je ne suis pas une combattante, mais je sais parler."

[Amnèsya]

" Und jetzt ? Qui pose les questions ? Qui l'exécute prestement ? "

"Non, l'assassin de mon mari doit être jugé pas exécuté... C'est ce qu'il voudrait et je m'assurerait que cela soit le cas"...
C'était la femme du capitaine qui venait de parler d'un ton ferme...

En revanche, pour la première parti, il semblait que le fait d'avoir coupé la tête avait une fois de plus payé lorsque Gwenaëlle se fit entendre

Malthèse regarda la jeune bretonne qui tout d'un coup s'affirmait... et paru soulager... Il avait pas mal donné et maintenir son attention sur le voleur afin qu'il ne puisse profité d'un moment d'inattention pour se faire la belle, requérait le peu d'énergie qui lui restait. Aussi comme il avait vu le moment ou il devrait se charger lui même de l'interrogatoire, il préférait largement cette solution... Puis quelque part, il était curieux de voir, de tester cette femme... Après tout elle allait monter sur l'Espadon, c'était l'occasion de voir ce de quel bois elle était faite.

Il regarda la jeune femme et dans une expression d'encouragement, il dit :
"- Alors je vous en prie... essayons la voie de la sagesse avant celle de la vengeance..."
Et un regard à Gui qui signifiait : Reste en alerte...

Je suis malade je ne ferais pas de beau post mais je te tiendrai la réplique si cela vas à tous.

[Maëlys]

Peu de temps après avoir déposé le prisonnier sans ménagement près de ses compagnons, d'infortune, le Basque s’affaissa à même le sol, fatigué et vidé par le combat.
Gardant néanmoins un oeil sur l'assaillant, il se laissa faire lorsque l'allemand vint pour le soigner, lâchant éventuellement un ou deux mots espagnols lorsque la douleur se réveillait brutalement. Après ces menus soins effectués, il le remercia :

"Merci bien. Heureux qu't'ai pas été blessé lors de l'attaque, quelques soucis de langue..."

Puis il se releva et alors qu'il s’apprêtait à interroger le couard, il vit la jeune fille prendre cette place. Il hésita à l'instant à lui dire d'aller se reposer et qu'il s'en occupait lui-même mais Malthèse approuva l'initiative et l'Espagnol ne chercha pas à le contredire.

Placé non loin, il se tenait prêt à prendre la relève si cela était nécessaire.

[darkbaron]

Gwenaëlle hocha la tête en direction de Malthèse, puis se pencha en regardant le brigand dans les yeux avant de prendre la parole sur un ton déterminé :

"Bien, maintenant, c'est entre vous et moi. J'espère que vous avez conscience de la chance que vous avez. Je vous épargne sans doute bien des souffrances. En fait, je suis même votre dernière chance de vous en sortir, mais ce ne sera pas sans conditions. Essayez quoi que ce soit et mon visage sera la dernière chose agréable que vous aurez vu de votre vivant. Compris ?

Maintenant, répondez à mes questions sans faire d'histoires : qui êtes-vous et qui vous a envoyés, vos compagnons et vous ?"

[Amnèsya]

Tentative d'intimidation de Gui : 3 sous charisme : 6,7,9 1 succès
Tentative d'intimidation de Manuel : 3 sous adapatation : 4,8,9 2 succès.
Marge de réussite pour Gwenaëlle : Plus 3 à la facitité de son test

Persuation Gwenaëlle : (difficile) 3 sous charisme : 4,6,8 2 succès...
Persuation Bandit : 1,5,5, 4 succès...

Le bandit considéra ce bout de femme... Et jugea sa situation... Pas fameux mais il avait des cartes à jouer...
Pour lui, le petit gros n'était qu'un mauvais garçon comme il en avait vu d'autre... et tuer bien d'avantage...
En revanche, il y avait dans le regard de l'étranger quelques choses de bien plus inquiétant... une sorte de raffinement subtil qui lui disait que ce dernier n'attendait que l'occasion de faire couler le sang... et que probablement le plaisir ne saurait pas fin...

Avant tous, il fallait gagner du temps...
"- Bien, maintenant, c'est entre vous et moi. J'espère que vous avez conscience de la chance que vous avez. Je vous épargne sans doute bien des souffrances. En fait, je suis même votre dernière chance de vous en sortir, mais ce ne sera pas sans conditions. Essayez quoi que ce soit et mon visage sera la dernière chose agréable que vous aurez vu de votre vivant. Compris ?

Il ne répondit rien...

Maintenant, répondez à mes questions sans faire d'histoires : qui êtes-vous et qui vous a envoyés, vos compagnons et vous ?"

Malgré la lame qui le tenait en respect, il parraissait confiant...

"Mademoiselle, le problème est le suivant : Qu'est que je gagnes à vous répondre? Me laisseriez vous partir si je vous dis ce que je sais?... C'est la seule et unique offre que je peux vous faire...
Mes réponses contre ma liberté...
A vous de faire votre choix..."

Cependant un cri déchira la nuit...
" NONNN !!! Votre crime ne restera pas impuni... Vous allez devoir répondre de vos actes."
C'était la femme du capitaine qui avait parlé...

[darkbaron]

Le bandit ne se laissait guère intimider. Cela n'arrangeait pas ses affaires... Ce qui les arrangeait encore moins, c'était la réaction, tout à fait compréhensible, de la femme du capitaine, qui était animée par la vengeance Elle compatissait sincèrement pour sa souffrance. Les victimes avaient toujours besoin de savoir que la justice était de leur côté. Malheureusement, ça ne pouvait pas être toujours le cas. On devait savoir qui avait ordonné une telle chose... Quelqu'un devait payer, oui, mais on devait savoir qui était à la tête de ces hommes. C'était l'individu à l'origine de tout, le véritable coupable de ces agissements.

Elle tenta de garder son calme et répondit au bandit :

"Je ne vous garantis rien, sinon bien moins de souffrances. C'est une offre que vous ne devriez pas refuser sous peine de le regretter..."