Iris a écrit :e loup peut ne pas se tromper sans que vous soyez réveillés... le (les) problème (s) qu'il soulève n'impliquent pas automatiquement et nécessairement un danger de mort immédiat...
Personnellement, je pense plus à des ennuis futurs qu'un problème dans la nuit. La bête attaque de l'auberge me semble une solution trop simpliste pour notre MJ...
En règle, général la difficulté est dans trouver le choix avec le moins de conséquence négative pour résoudre l'action
Mais bon je peux me tromper...
Mais si vous êtes d'humeur à parier, je vois plus un problème demain que cette nuit...
Cialf a écrit :Une attaque du lapin ninja?
Elle viendra mais bon, il faut qu'il survive... Je ne torture que mes personnages pas les animaux de mes personnages
Cialf a écrit :Becuma n'a pas encore entendu parler des états d'âme du loup, et Léorah n'en est informée qu'après avoir disposé la chambre. Si les autres joueurs n'ont pas d'autre avis là-dessus, je dirais les deux sœurs côté fenêtre (c'est plus agréable) et Becuma côté porte puisqu'elle arrive en dernier.
Absolument sans opinion,
Si vraiment, je dois m'exprimer sur le sujet, je dirai que la seule chose à décider c'est le niveau de paranoia du groupe, c'est de savoir si on baricade la porte pour la nuit... (Nota même si je ne crois pas que cela soit le style d'Iris, en discutant avec Ben, lors d'une convention, j'ai souvenir qu'il racontait que dans une auberge en feu, ses joueurs, pourchassés par je ne sais plus quelle menace, avait barricadé l'entré de la pièce persuader que la pièce etait munie d'une autre sortie car il y avait une autre porte... Qui s'averra être un placard lorsqu'ils l'ouvrirent enfin après avoir barricader la seul issue de la pièce... Résultat Beaucoup de brûler au 3ème degré...)
J'ai répondu ce que pensait Serah, ont peu continuer sur cela
C’était compliqué alors j’ai tenté d’expliquer ce qu’était le Graal pour que tous comprenne. C’était difficile alors j’ai essayé de rigoler pour que personne ne s’ennuie. J’ai raté mais je veux pas qu’on dise que j’ai rien foutu parce que c’est pas vrai.