Helefrt 2.2 - Initiations et découvertes
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Eozen, toujours pressé
D'un rire cristallin Ambre commente au troisième larron : "Eozen est vraiment pressé je crois !" Mais elle ne semble pas spécialement mal le prendre, et répond avec plus de lenteur à son baiser fougueux. Taquine, elle fait durer un peu, caresse avec détermination sa virilité impatiente, puis plonge, ôte sa chemise (avec l'assistance complice d'Elwin ?) glisse tout contre Eozen et se faufile sous sa chemise pour l'aider à l'ôter, ce qui probablement ne fera pas si pratique en fait.
Le chevalier n'en est pas à une nouvelle sensation près, entre étreintes brûlantes et baisers enivrants, elle lui glisse un "Viens" et l'entraîne un peu plus près du bord, pour l'enlacer et si son instinct ne lui dit pas quoi faire, sous le regard possiblement amusé et / ou attendri d'Elwin, il sera le tronc enveloppé d'un lierre vivace qui s'agrippe et prend les choses en main pour initier le mouvement. Oui, parce que voilà, Ambre n'aime pas faire les choses à moitié, on y va carrément ou pas du tout. Et donc là, elle encourage et facilite le départ hésitant du beau jeune homme dont les tatouages sont désormais animés et clairement visible, l'eau qui glisse sur sa peau la rendant brillante, reflétant la lumière de la lanterne et des astres.
... des sortes de feux follets aussi ... des c'maogh, en vadrouille hors de la Forêt des Esprits, lueurs enchanteresses et silencieuses qui dansent tandis que les fleurs s'ouvrent dans l'herbe autours de l'eau, que des liserons, belles de nuit et autres plantes grimpantes aux coroles colorées et merveilleuses poussent tout autour des arbres et dégagent à leur tour une douce clarté colorée....
Bien sûr, pour s'en apercevoir, il faut tout de même ne pas être complètement emporté dans le feu de l'action, sinon la découverte est pour "après" !
Le chevalier n'en est pas à une nouvelle sensation près, entre étreintes brûlantes et baisers enivrants, elle lui glisse un "Viens" et l'entraîne un peu plus près du bord, pour l'enlacer et si son instinct ne lui dit pas quoi faire, sous le regard possiblement amusé et / ou attendri d'Elwin, il sera le tronc enveloppé d'un lierre vivace qui s'agrippe et prend les choses en main pour initier le mouvement. Oui, parce que voilà, Ambre n'aime pas faire les choses à moitié, on y va carrément ou pas du tout. Et donc là, elle encourage et facilite le départ hésitant du beau jeune homme dont les tatouages sont désormais animés et clairement visible, l'eau qui glisse sur sa peau la rendant brillante, reflétant la lumière de la lanterne et des astres.
... des sortes de feux follets aussi ... des c'maogh, en vadrouille hors de la Forêt des Esprits, lueurs enchanteresses et silencieuses qui dansent tandis que les fleurs s'ouvrent dans l'herbe autours de l'eau, que des liserons, belles de nuit et autres plantes grimpantes aux coroles colorées et merveilleuses poussent tout autour des arbres et dégagent à leur tour une douce clarté colorée....
Bien sûr, pour s'en apercevoir, il faut tout de même ne pas être complètement emporté dans le feu de l'action, sinon la découverte est pour "après" !
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Re: Helefrt 2.2 - Initiations et découvertes
Les nageurs ont partagés caresses et frôlements. Baisers langoureux et d’autres plus rapides. Les gestes d’Elwins sont plus lents, moins precipités que ceux d’Eozen, et pourtant tout autant que lui il est réveillé. Mais pourquoi presser les choses. ? Si cette nuit est celle du plaisir, de l’erotisme, ils ont tout leur temps. Il la désire, Mais pourtant, il desire la découvrir par petits morceaux. Gouter à la chair de sa gorge, aux deux petits mamelons roses qui doivent maintenant fièrement se dresser –eux aussi. Tracer de braisers le chemin jusqu’à un grain de beauté qu’il devine. Tenter de trouver ses zones les plus sensibles.
Tous ces petits riens qui font d’une etreinte autre chose qu’un simple acte physique purement animal mais au contraire l’epreignent d’une sensualité.
Par moments il sent sur sa peau une main un poil hesitante. Le rouquin ne s’y dérobe pas. Rendant la caresse même si son attention est clairement centrée sur la jeune femme. Le brun est la seule touche sombre dans le spectacle des trois chevelures. Touche reposante dans tout ce roux.
Apres un rire il a aidé Ambre à se débarasser de sa chemise, savourant encore d’une caresse de la main le ventre musclé de la jeune femme, sa peau fine et douce, et plus bas effleurant son intimité. Puis, Elwin s’eloigne quelques brasses pour rejoindre le bord, y recuperer une bouteille dont il goute encore quelques gorgées avant de se hisser sur la berge. Et d’y poser quelques instants, le regard perdu vers les étoiles.
Un bruit le rappel à la scene et c’est clairement amusé qu’il assiste aux débuts… maladroits (?) d’Eozen… Avant de detourner pudiquement le regard du spectacle de Ambre, plus sensuelle encore dans l’acte qu’auparavant si c’est possible pour l’envoyer à nouveau sur l’onde.
Et d’assister au l’illumination de la clairiere avec émerveillement.
Par l'Unique... laisse il s'échapper dans un murmure.
C’est un lieu béni par Lui… c’est… c’est obligé !
Tous ces petits riens qui font d’une etreinte autre chose qu’un simple acte physique purement animal mais au contraire l’epreignent d’une sensualité.
Par moments il sent sur sa peau une main un poil hesitante. Le rouquin ne s’y dérobe pas. Rendant la caresse même si son attention est clairement centrée sur la jeune femme. Le brun est la seule touche sombre dans le spectacle des trois chevelures. Touche reposante dans tout ce roux.
Apres un rire il a aidé Ambre à se débarasser de sa chemise, savourant encore d’une caresse de la main le ventre musclé de la jeune femme, sa peau fine et douce, et plus bas effleurant son intimité. Puis, Elwin s’eloigne quelques brasses pour rejoindre le bord, y recuperer une bouteille dont il goute encore quelques gorgées avant de se hisser sur la berge. Et d’y poser quelques instants, le regard perdu vers les étoiles.
Un bruit le rappel à la scene et c’est clairement amusé qu’il assiste aux débuts… maladroits (?) d’Eozen… Avant de detourner pudiquement le regard du spectacle de Ambre, plus sensuelle encore dans l’acte qu’auparavant si c’est possible pour l’envoyer à nouveau sur l’onde.
Et d’assister au l’illumination de la clairiere avec émerveillement.
Par l'Unique... laisse il s'échapper dans un murmure.
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Ne te fie pas à tes yeux mon vieux. Tout ce qu'ils te montrent ce sont des limites: les tiennes.
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Pendant ce temps...
Elwin moins pressé et impatient, sachant à peu près où il voulait aller et prenait son temps était ainsi le témoin de la scène étrange et véritablement magique qui prenait vie, ces changements dans la végétation, comme si une pluie d'étoiles infimes dansaient et se fondaient dans les couleurs de la nature environnante, dégageant un léger souffle parfumé, et ces formes empreintes de beauté qui dansaient et se faufilaient, disparaissaient, réapparaissaient... Il n'y avait aucune peur à ressentir, c'était là une évidence, un don étrange qui venait à eux en cette nuit de célébrations.
Cette union qu'il devinait du coin de l’œil, entre le feu et l'eau, les cieux et la terre, c'était comme une prière, à laquelle répondrait le murmure du vent, un doux alizé aux parfums enivrants, plein de senteurs fleuries dont il ignorait jusqu'à l'existence auparavant, il ne les imaginait même pas. Il y avait comme un chant, dans les soupirs abandonnés d'Ambre qui répondait d'ondulations de ses hanches pour accompagner les mouvements du chevalier, mais aussi dans les frémissements des feuillages, quelque chose de joyeux et de bienveillant.
... Une bénédiction de l'Unique ? ... sans doute, en tous cas, c'était trop beau, trop intensément vivant pour venir des Limbes ! Le seul fait d'y penser était une insulte à cette splendeur, cette grâce de vision qui lui était faite... Mais tout de même, c'était ... pour le moins éloigné du culte du froid ! et que dire de la condamnation des croyances païennes ? ...
Cette union qu'il devinait du coin de l’œil, entre le feu et l'eau, les cieux et la terre, c'était comme une prière, à laquelle répondrait le murmure du vent, un doux alizé aux parfums enivrants, plein de senteurs fleuries dont il ignorait jusqu'à l'existence auparavant, il ne les imaginait même pas. Il y avait comme un chant, dans les soupirs abandonnés d'Ambre qui répondait d'ondulations de ses hanches pour accompagner les mouvements du chevalier, mais aussi dans les frémissements des feuillages, quelque chose de joyeux et de bienveillant.
... Une bénédiction de l'Unique ? ... sans doute, en tous cas, c'était trop beau, trop intensément vivant pour venir des Limbes ! Le seul fait d'y penser était une insulte à cette splendeur, cette grâce de vision qui lui était faite... Mais tout de même, c'était ... pour le moins éloigné du culte du froid ! et que dire de la condamnation des croyances païennes ? ...
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Re: Helefrt 2.2 - Initiations et découvertes
La chemise, collant au torse du jeune homme, ne céda pas facilement le passage à Ambre, mais à force de contorsions, ils parvinrent à s'y tenir à deux et à l'enlever - intacte. Cela ne fait que les rapprocher davantage, dans une étreinte qui devient passionnée, les baisers plus brûlants, plus envieux.
Le chevalier se sépare à regrets des lèvres pleines, du corps souple, chaud, mais suit la jeune femme sans mot dire, la bouche sèche, les sens en feu. Il se doutait de ce qui allait se passer, sans oser encore en rêver, la plaqua doucement contre le bord du lac. Encore debouts, et cela ne le gênait pas, son instinct parla tranquillement, car il était humain après tout !
Aidant Ambre à l'enserrer entre ses jambes, il la laissa le guider en elle, lentement. Il dévorait la belle des yeux, se laissant envahir par la douceur de ses cuisses sur sa taille, des bras dans son cou, alors qu'elle redescendait à son rythme, délicieusement, l'enveloppant de sa chaleur, dans une sensation nouvelle mais exquise, jusqu'au bout. Il lâcha un soupir en fermant les yeux, les rouvrit alors qu'ils restaient immobiles quelques secondes, le temps pour lui de s'y habituer, et chercha les lèvres d'Ambre pour un long baiser. Soutenant les cuisses de ses mains, il l'aida à remonter, lentement, savourant chaque instant, chaque sensation qui traversait son corps, remontait le long de son épine dorsale, nourrissait son baiser fiévreux, accéléraient peu à peu le rythme.
Involontairement, tout à ce qu'il ressentit, il se cambra, aida leur union de déhanchés presque fébriles, ses mains devenant caressantes, joueuses ; il frotta sa poitrine contre celle de son amante, juste leurs extrémités, pour augmenter les sensations, plus que leur union, le frottement juste au-dessus de là où ils ne faisaient qu'un.
Il était encore loin de la libération, étrangement, mais ses soupirs, ses gémissements, ses tremblements parlaient pour lui : c'était sa première fois, et il se demandait comment il avait fait pour vivre sans... D'une main, il saisit la nuque d'Ambre, mêlant ses doigts aux cheveux flamboyants, et appuya légèrement pur sceller à nouveau leurs lèvres...
Le chevalier se sépare à regrets des lèvres pleines, du corps souple, chaud, mais suit la jeune femme sans mot dire, la bouche sèche, les sens en feu. Il se doutait de ce qui allait se passer, sans oser encore en rêver, la plaqua doucement contre le bord du lac. Encore debouts, et cela ne le gênait pas, son instinct parla tranquillement, car il était humain après tout !
Aidant Ambre à l'enserrer entre ses jambes, il la laissa le guider en elle, lentement. Il dévorait la belle des yeux, se laissant envahir par la douceur de ses cuisses sur sa taille, des bras dans son cou, alors qu'elle redescendait à son rythme, délicieusement, l'enveloppant de sa chaleur, dans une sensation nouvelle mais exquise, jusqu'au bout. Il lâcha un soupir en fermant les yeux, les rouvrit alors qu'ils restaient immobiles quelques secondes, le temps pour lui de s'y habituer, et chercha les lèvres d'Ambre pour un long baiser. Soutenant les cuisses de ses mains, il l'aida à remonter, lentement, savourant chaque instant, chaque sensation qui traversait son corps, remontait le long de son épine dorsale, nourrissait son baiser fiévreux, accéléraient peu à peu le rythme.
Involontairement, tout à ce qu'il ressentit, il se cambra, aida leur union de déhanchés presque fébriles, ses mains devenant caressantes, joueuses ; il frotta sa poitrine contre celle de son amante, juste leurs extrémités, pour augmenter les sensations, plus que leur union, le frottement juste au-dessus de là où ils ne faisaient qu'un.
Il était encore loin de la libération, étrangement, mais ses soupirs, ses gémissements, ses tremblements parlaient pour lui : c'était sa première fois, et il se demandait comment il avait fait pour vivre sans... D'une main, il saisit la nuque d'Ambre, mêlant ses doigts aux cheveux flamboyants, et appuya légèrement pur sceller à nouveau leurs lèvres...
"Trois cents hommes au torques d'or attaquèrent :
La lutte pour le pays était farouche.
Bien qu'ils fussent massacrés, ils tuèrent,
Jusqu'à la fin du monde, ils seront honorés."
-- Aneirin Y Gododdin XC
La lutte pour le pays était farouche.
Bien qu'ils fussent massacrés, ils tuèrent,
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Ah, maintenant il ne peut plus vivre sans ? :-P
Ambre avait complètement perdu prise, elle se laissait aller, emporter, encore et encore, l'embrassant comme s'ils étaient seuls au monde, comme s'il n'y avait qu'Eozen, comme s'il n'y avait jamais eu de passé et que l'avenir n'existerait pas, une sorte de présent perpétuel d'une intensité exaltante, presque transcendante, sacrée. Et tout à la fois un plaisir qui la consumait, aux soupirs succédaient les gémissements, puis les cris d'extase, au point de ne même plus être sûre d'exister, d'être, un vertige délicieux aux sommets de l'abandon...
... désormais, elle n'était plus que sensation pure, et s'il y avait là l'ivresse du corps, son esprit aussi était comme enchanté. Elle n'avait pas perçu consciemment ce qui se jouait autour d'eux, mais c'était comme si elle frôlait une réalité, des visions de couleurs intenses, de formes magnifiques, la vie de toute part et elle en faisait parti, Eozen en était, Elwin aussi, une magie de la musique, du mouvement, de la vie, de l'espoir...
...
Puis elle reprit conscience de son corps essoufflé, chaud, du contact d'Eozen, de la plénitude, d'une joie étourdissante, une euphorie qui la transportait, encore un peu étourdie...
... désormais, elle n'était plus que sensation pure, et s'il y avait là l'ivresse du corps, son esprit aussi était comme enchanté. Elle n'avait pas perçu consciemment ce qui se jouait autour d'eux, mais c'était comme si elle frôlait une réalité, des visions de couleurs intenses, de formes magnifiques, la vie de toute part et elle en faisait parti, Eozen en était, Elwin aussi, une magie de la musique, du mouvement, de la vie, de l'espoir...
...
Puis elle reprit conscience de son corps essoufflé, chaud, du contact d'Eozen, de la plénitude, d'une joie étourdissante, une euphorie qui la transportait, encore un peu étourdie...
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Re: Helefrt 2.2 - Initiations et découvertes
Lui-même avait tout oublié, ne remarquait rien... Il était tout à Ambre, tout à ce qu'il ressentait, ce qu'elle ressentait, dans un mélange incroyable de sensations exquises, comme échangées dans ce baiser incroyable, fougueux, étouffant leurs soupirs et leurs gémissements. Totalement grisé, il accélérait involontairement, la dévorant des yeux ; ce devait être son plaisir qui trompait ses sens, mais Eozen n'avait plus l'impression d'être dans cette eau tiède, lui et son amante transportés dans un autre monde, environnés d'une lumière qui semblait venir de partout, debout dans une clairière, à côté d'une rivière... Ou au bord d'un lac peu profond, sans le moindre souffle de vent, protégés par une grande forêt... Oui, il avait l'impression d'être au Val sans Retour...
Néanmoins, jamais il n'avait l'impression de faire l'amour à une autre qu'Ambre, ne voyait qu'elle, ne sentait qu'elle en lui, offerte, ayant cessé le baiser pour crier délicieusement son plaisir, l'extase qui s’amorçait au creux de ses reins, en écho à celle en lui. C'était une sensation étrange, merveilleuse, et ils connurent la libération en même temps, au sommet de leur plaisir, Eozen apprenant une nouvelle sensation... délicieuse, hors du commun, inconnue, sans aucune comparaison possible avec ce qu'il avait pu faire auparavant. Dans leur extase, un dernier baiser fougueux, qui se calma progressivement, alors qu'il l'avait serré contre lui... Ils se détendaient progressivement, un dernier baiser, en sueur, et le jeune chevalier était prêt à céder sa place...
Il n'avait pas encore remarqué ce qui se passait autour de lui, mais cela ne tarderait sûrement plus...
Néanmoins, jamais il n'avait l'impression de faire l'amour à une autre qu'Ambre, ne voyait qu'elle, ne sentait qu'elle en lui, offerte, ayant cessé le baiser pour crier délicieusement son plaisir, l'extase qui s’amorçait au creux de ses reins, en écho à celle en lui. C'était une sensation étrange, merveilleuse, et ils connurent la libération en même temps, au sommet de leur plaisir, Eozen apprenant une nouvelle sensation... délicieuse, hors du commun, inconnue, sans aucune comparaison possible avec ce qu'il avait pu faire auparavant. Dans leur extase, un dernier baiser fougueux, qui se calma progressivement, alors qu'il l'avait serré contre lui... Ils se détendaient progressivement, un dernier baiser, en sueur, et le jeune chevalier était prêt à céder sa place...
Il n'avait pas encore remarqué ce qui se passait autour de lui, mais cela ne tarderait sûrement plus...
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Bien qu'ils fussent massacrés, ils tuèrent,
Jusqu'à la fin du monde, ils seront honorés."
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Transition
Encore un peu ailleurs, Ambre sourit tendrement à Eozen en se perdant encore un moment dans ses yeux en soupirant, et finit après quelques instants à s'asseoir au bord de l'eau, songeuse, doux sourire sur le visage, puis s'étira un peu et plongea doucement dans l'onde pour quelques brasses rafraîchissantes avant de venir s'asseoir à côté d'Elwin : " Tu as dû rester un peu tout seul, désolée." Sur quoi elle l'embrassa avec douceur sur la joue en le considérant avec un regard bleu lumineux, souriant.
Elle alla s'allonger sur sa couverture étalée après avoir pris quelques gorgées de cidre, quelques fruits secs et en avoir proposé aux deux autres aussi : "C'est une nuit magnifique, je n'en reviens pas à quel point tout ici est merveilleux ! C'est comme un autre monde, ça donnerait presque envie que ça ne finisse jamais... les étoiles, les fleurs, l'eau..."
Alanguie, elle s'étira doucement, évoquant un peu un chat, des gestes intimes, en même temps gracieux et sensuels, et des regards aux deux hommes, quand elle ne se perdait pas dans les cieux...
...
Eozen cependant remarquerait peut-être à présent ce qu'il avait manqué tantôt... les plantes qui avaient poussé, les lueurs qui évoquaient cette sorte de vision durant leur extase, tout était familier, et pourtant tout était différent... des c'maogh ! Ils tournaient, se faufilaient, apparaissaient, disparaissaient, ... imprégnant l'atmosphère de poésie, de douceur, de vitalité...
...
Elle alla s'allonger sur sa couverture étalée après avoir pris quelques gorgées de cidre, quelques fruits secs et en avoir proposé aux deux autres aussi : "C'est une nuit magnifique, je n'en reviens pas à quel point tout ici est merveilleux ! C'est comme un autre monde, ça donnerait presque envie que ça ne finisse jamais... les étoiles, les fleurs, l'eau..."
Alanguie, elle s'étira doucement, évoquant un peu un chat, des gestes intimes, en même temps gracieux et sensuels, et des regards aux deux hommes, quand elle ne se perdait pas dans les cieux...
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Eozen cependant remarquerait peut-être à présent ce qu'il avait manqué tantôt... les plantes qui avaient poussé, les lueurs qui évoquaient cette sorte de vision durant leur extase, tout était familier, et pourtant tout était différent... des c'maogh ! Ils tournaient, se faufilaient, apparaissaient, disparaissaient, ... imprégnant l'atmosphère de poésie, de douceur, de vitalité...
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Re: Helefrt 2.2 - Initiations et découvertes
Eozen s'éloigna de la demoiselle en nageant à reculons, encore sous le charme de ce qu'il avait vécu, et cela se lisait sur son visage. L'eau, fraîche en comparaison de sa température corporelle, l'aida à reprendre ses esprits et à se nettoyer de sa sueur. Il plongea d'ailleurs quelques secondes pour que même ses cheveux soient relativement plus propres, puis revint au bord, sortit de l'eau. L'eau ruisselant sur son corps sculpté, il s'assit à côté d'Ambre, dans l'herbe, accepta le cidre et un fruit, pour reprendre des forces. Il était encore sur un nuage, son corps sensible à la moindre caresse du vent, à la douceur de l'herbe. Il caressait aussi doucement le corps de la jolie rouquine, du bout des doigts, savait qu'elle aussi avec encore les nerfs à fleur de peau, et rien n'était plus agréable que prolonger l'amour ainsi. Néanmoins, il la laissait maintenant totalement à Elwin, non pas par désintérêt, mais bien parce qu'il savait qu'elle l'intéressait aussi...
Ce n'était que maintenant qu'il voyait, sentait, ce qui se passait, et cela semblait prolonger son extase... Et cela lui rappelait un autre souvenir, quand il avait eu sa... révélation. Était-ce possible, comment cela se faisait-il ? Une étape sur sa compréhension de ses origines ? Il lui faudrait demander au demorthèn... Plus tard.
Là, il était bouche bée devant le spectacle, continuant juste ses caresses, son esprit résonnant de questions sans réponses... Peut-être qu'Ambre avait quelque chose à voir avec cet éveil des C'maogh, ou bien... lui, tout simplement ?
A Elwin maintenant, Eozen ne comptait pas monopoliser Ambre et le rendre trop jaloux...
Ce n'était que maintenant qu'il voyait, sentait, ce qui se passait, et cela semblait prolonger son extase... Et cela lui rappelait un autre souvenir, quand il avait eu sa... révélation. Était-ce possible, comment cela se faisait-il ? Une étape sur sa compréhension de ses origines ? Il lui faudrait demander au demorthèn... Plus tard.
Là, il était bouche bée devant le spectacle, continuant juste ses caresses, son esprit résonnant de questions sans réponses... Peut-être qu'Ambre avait quelque chose à voir avec cet éveil des C'maogh, ou bien... lui, tout simplement ?
A Elwin maintenant, Eozen ne comptait pas monopoliser Ambre et le rendre trop jaloux...
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Il est drogué à l'Ambre desormais ^^
La chaleur... La chaleur a toujours été source de vie. Cet endroit est un lieu de naissance, de renaissance.
Feerique.
Il n'y a pas de malices. Aucun mal ne reside en ces êtres qui les visitent. Les Esprits Naturels... Creatures de la nature, libres par essense, non pas enfants de l'Unique, mais en aucun cas le mal. Il lui semble se souvenir que dans les croyances paiennes, ces esprits sont venerés.. ou quelque chose dans ce gout là... Il ne s'y est jamais suffisement interressé pour le savoir vraiment.
L'erreur est là qu'ils ne sont pas l'Unique, mais juste une de ses manifestations. Non? Venerer une statue ou un symbole n'a aucun interet, c'est ce qu'il represente qui est tout. Celendr'hil -parce que ce soir, il ne veut pas être 'juste' Elwin, il ne veut pas nier ce qu'il est- n'y voit pas de contradictions. Ces êtres ici, cet instant de grace qu'il lui est donné de vivre, sont bien la preuve que même les paiens qui le nient farouchement sont plus proches de l'Unique qu'ils ne le pensent. L'acceptation,...
Merveilleux.
Dans cette ambiance surealliste, entre les gemissements, les haletements et les bruits d'eau et de corps qui s'enlace accompagnant Ambre et Eozen, sa propre exitation qui n'a pas été arrangée par le son et lumiere, l'alcool qui parcourt ses veines, l'euphorie, l'adrenaline... il se sent veritablement dans un autre monde fantasmagorique.
Comment étaient donc les premieres prieres, quand tout l'arsenal religieux n'avait pas été erigé, figé, bloqué....
Comme dans un rêve, juste poussé par l'emerveillement, il leve une main, curieux de savoir si une des lucioles s'y posera. Luciole.... Tour à tour lumineuses puis disparaissant pour reapparaitre. Feux follets vivant intensements quelques instants precieux.
Dans ces senteurs qu'il decouvrait, le gwidrite avait le sentiment de gouter à un peu de paradis.
Derriere lui les cris se sont fait jouissance, plenitude. Nul besoin de se retourner pour le confirmer du regard, il le sait bien.
Il sourit tendrement à la jeune femme qui viens le rejoindre, plus tard...
Ne soit pas désolée Princesse, allons, ne t'inquiete pas...
Et avant qu'elle n'aille s'allonger, il la retient, encore un instant, le temps d'effleurer ses levres... juste les effleurer.
Non, Celendr'hil ne prendra pas son plaisir ce soir, pas ainsi du moins, ou pas tout de suite. Il n'a pas d'amertume, les sens un peu anesthesiés. Et puis avouons le, il apprecie un minimum d'intimité pour aimer une femme, ne serait ce que celle du sommeil. Il lui semblerait gacher la beauté du moment en aimant Ambre, là tout de suite...
Les pieds jouent avec l'eau, et les yeux vers les lueurs, et les étoiles.
Feerique.
Il n'y a pas de malices. Aucun mal ne reside en ces êtres qui les visitent. Les Esprits Naturels... Creatures de la nature, libres par essense, non pas enfants de l'Unique, mais en aucun cas le mal. Il lui semble se souvenir que dans les croyances paiennes, ces esprits sont venerés.. ou quelque chose dans ce gout là... Il ne s'y est jamais suffisement interressé pour le savoir vraiment.
L'erreur est là qu'ils ne sont pas l'Unique, mais juste une de ses manifestations. Non? Venerer une statue ou un symbole n'a aucun interet, c'est ce qu'il represente qui est tout. Celendr'hil -parce que ce soir, il ne veut pas être 'juste' Elwin, il ne veut pas nier ce qu'il est- n'y voit pas de contradictions. Ces êtres ici, cet instant de grace qu'il lui est donné de vivre, sont bien la preuve que même les paiens qui le nient farouchement sont plus proches de l'Unique qu'ils ne le pensent. L'acceptation,...
Merveilleux.
Dans cette ambiance surealliste, entre les gemissements, les haletements et les bruits d'eau et de corps qui s'enlace accompagnant Ambre et Eozen, sa propre exitation qui n'a pas été arrangée par le son et lumiere, l'alcool qui parcourt ses veines, l'euphorie, l'adrenaline... il se sent veritablement dans un autre monde fantasmagorique.
Comment étaient donc les premieres prieres, quand tout l'arsenal religieux n'avait pas été erigé, figé, bloqué....
Comme dans un rêve, juste poussé par l'emerveillement, il leve une main, curieux de savoir si une des lucioles s'y posera. Luciole.... Tour à tour lumineuses puis disparaissant pour reapparaitre. Feux follets vivant intensements quelques instants precieux.
Dans ces senteurs qu'il decouvrait, le gwidrite avait le sentiment de gouter à un peu de paradis.
Derriere lui les cris se sont fait jouissance, plenitude. Nul besoin de se retourner pour le confirmer du regard, il le sait bien.
Il sourit tendrement à la jeune femme qui viens le rejoindre, plus tard...
Ne soit pas désolée Princesse, allons, ne t'inquiete pas...
Et avant qu'elle n'aille s'allonger, il la retient, encore un instant, le temps d'effleurer ses levres... juste les effleurer.
Non, Celendr'hil ne prendra pas son plaisir ce soir, pas ainsi du moins, ou pas tout de suite. Il n'a pas d'amertume, les sens un peu anesthesiés. Et puis avouons le, il apprecie un minimum d'intimité pour aimer une femme, ne serait ce que celle du sommeil. Il lui semblerait gacher la beauté du moment en aimant Ambre, là tout de suite...
Les pieds jouent avec l'eau, et les yeux vers les lueurs, et les étoiles.
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Et Elwin ? Sûr qu'il va bien ?
S'il tendait le bras Elwin / Celendr'hil n'aurait aucune peine à voir des lucioles s'approcher voire se poser sur sa main. Il restait là, un peu ailleurs dans le calme de la nuit. Ambre le considérait avec un peu d'inquiétude quand même, mais elle ne savait qu'en penser ou qu'y faire. Perdue dans la contemplation des étoiles elle n'était pas loin de s'assoupir, sa respiration profonde et régulière, sa poitrine qui s'élevait et s'abaissait doucement, nymphe endormie, ses cheveux séchant lentement, bouclés en une parure éclatante, flamboyante à la lumière de la lanterne qui caressait ses formes et semblait la faire appartenir à ce monde sauvage et étrangement merveilleux, féerique tout autour.
Des lumières se promenaient dans la forêt, certaines proches, d'autres plus lointaines...
Tout était désormais calme dans la clairière où chantait seulement la cascade et le vent dans les feuillages.
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Des lumières se promenaient dans la forêt, certaines proches, d'autres plus lointaines...
Tout était désormais calme dans la clairière où chantait seulement la cascade et le vent dans les feuillages.
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Meneuse : Ombres d'Esteren | Dragons
Joueuse : /
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