Val de blessure au crépuscule.jpg
Grirav est sans doute un des combattants les plus prudents, les autres sont partagés entre le fait de guetter l'ennemi et discuter de la situation avec leur plus proche voisin. Possible que le chasseur trouvât à pester que le fortin était peut-être solide mais bien bas par rapport à la forêt...
Les créatures étaient actuellement hors de vue, elles grouillaient dans les bois, en hauteur. Il faisait sombre, dans le meilleur des cas on discernait un mouvement durant cette nuit sans lune. Il était possible de tirer ces formes mouvantes, mais il fallait être réaliste : tant qu'elles ne s'engageaient pas sur le pont en bois, elles n'étaient qu'à peine visible.
Le plan de Garn visant à incendier un ou plusieurs chariot ne pose pas de problème technique particulier à mettre en œuvre. Au pire il lui faudrait tirer une première flèche enflammée pour éclairer sa cible et donc mieux préparer le second tir.
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Pendant ce temps, Elwin qui cherchait les voix en lui devinait la relique qui susurrait quelque chose comme : "
Bientôt, tu vas voir ! L'aube sera rouge !! Mouhahahahaha !!" (comme un méchant de fiction, oui). L'hérétique pourrait sans doute plonger et chercher plus loin dans ses sensations, mais ça impliquait de devenir plutôt "distrait" à ce qui se passait au présent, concrètement.
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Soudain (enfin ?) des choses hurlèrent et se décidèrent à dévaler la falaise, de la forêt jusqu'au chemin à flanc de paroi où étaient stationnés les chariots. Combien étaient-ils ? Beaucoup !
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