Métajeu a écrit :Je vous laisse rédiger votre méga post tranquillement, sans stress
Puis, c'est le week-end, il y a typiquement moins d'activité aussi ! Bref, vous arrivez quand vous voulez à la bibliothèque et une fois que vous y serez, sonnez moi
OdE - 5.1 - Entourés de murs
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Iris
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Effectivement Maëlys a tout compris :-P
Les charrettes comme tout l'équipement pour le transport des réquisitions se trouve du côté de la caserne.
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Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs
Le contrebandier avait froidement soutenu le regard plein de désapprobation du Sigire sans sourciller.
* Il fallait bien que quelqu'un lui dise la vérité*
L'étrange équipée s'était ensuite engouffrée dans l'obscurité crépusculaire des ruelles de la cité. Il avait fallu péniblement s'expliquer à diverses reprises avec les patrouilleurs un peu trop zélés. Faire le dos rond. Montrer qu'on était pas réjouis de faire ces heures sup', ça permettait de pas éveiller de suspicion quant à une activité parallèle. Il avait fallu aussi subir les quolibets, les gentilles moqueries des gardes. Se raviser aussi à un moment donné, et aller récupérer une charrette à bras. C'était effectivement plus judicieux.
"- T'inquiète pas, on va pas t'le piquer ton quartier, on n'est pas patrouilleurs, on est réquisitionneurs ... vl'à notre ordre de mission (...)
(...)
Ben oué, c'est une drôle d'heure ... c'est parce que tu vas pas bouffer des bouquins ! Alors la journée, c'est réquisition de céréales, le soir, c'est les bouquins... tiens, v'la le laisser-passer...
(...) "
Dans les différentes maisons, Dwyfaël avait organisé le ramassage méthodique des livres. Il en avait redéposer quelques-uns dans la dernière demeure qu'ils avaient perquisitionnée. Des livres de bonne valeur. Des livres qui mériterait de repasser le lendemain. La charette était déjà bien chargée. Deux ouvrages avaient aussi fini dans sa besace.
Le bouquiniste en avait profité pour récupérer deux tenues de bonne manufacture. Quelque argenterie peut encombrante et échangeable aussi. Les morts n'en auraient plus besoin. D'autres finiraient aussi par se servir. Autant que cela lui soit utile à lui.
Il avait aussi proposé - sans trop y croire, leur code moral devant certainement les en empêcher - à Garn et Maëlys de récupérer un vêtement ou deux. La jeune femme n'ayant pas de tenue de rechange, elle avait là tout loisir de s'en procurer une. La providence pourvoyait. Ce serait stupide de ne pas en profiter... mais libre à chacun de voir midi à sa porte...
Dans l'une des maisons vides, la plus facilement "rejoignables", il avait laissé ouvert la trappe du "trou à ordure" et entreprit d'en mémoriser la position. S'ils devaient parcourir les égouts, ou trouver une solution de repli, cette maison pourrait leur servir de "planque". Si ils arrivaient à en retrouver le chemin par les méandres du cloaque souterrain. Il fit part de son idée à ses "compagnons". Ceux-ci, s'ils le souhaitaient, pourraient aussi tenter d'en retrouver l'accès.
C'est ainsi, cahin-cahan qu'ils finirent par arriver aux abords de la bibliothèque
* Il fallait bien que quelqu'un lui dise la vérité*
L'étrange équipée s'était ensuite engouffrée dans l'obscurité crépusculaire des ruelles de la cité. Il avait fallu péniblement s'expliquer à diverses reprises avec les patrouilleurs un peu trop zélés. Faire le dos rond. Montrer qu'on était pas réjouis de faire ces heures sup', ça permettait de pas éveiller de suspicion quant à une activité parallèle. Il avait fallu aussi subir les quolibets, les gentilles moqueries des gardes. Se raviser aussi à un moment donné, et aller récupérer une charrette à bras. C'était effectivement plus judicieux.
"- T'inquiète pas, on va pas t'le piquer ton quartier, on n'est pas patrouilleurs, on est réquisitionneurs ... vl'à notre ordre de mission (...)
(...)
Ben oué, c'est une drôle d'heure ... c'est parce que tu vas pas bouffer des bouquins ! Alors la journée, c'est réquisition de céréales, le soir, c'est les bouquins... tiens, v'la le laisser-passer...
(...) "
Dans les différentes maisons, Dwyfaël avait organisé le ramassage méthodique des livres. Il en avait redéposer quelques-uns dans la dernière demeure qu'ils avaient perquisitionnée. Des livres de bonne valeur. Des livres qui mériterait de repasser le lendemain. La charette était déjà bien chargée. Deux ouvrages avaient aussi fini dans sa besace.
Le bouquiniste en avait profité pour récupérer deux tenues de bonne manufacture. Quelque argenterie peut encombrante et échangeable aussi. Les morts n'en auraient plus besoin. D'autres finiraient aussi par se servir. Autant que cela lui soit utile à lui.
Il avait aussi proposé - sans trop y croire, leur code moral devant certainement les en empêcher - à Garn et Maëlys de récupérer un vêtement ou deux. La jeune femme n'ayant pas de tenue de rechange, elle avait là tout loisir de s'en procurer une. La providence pourvoyait. Ce serait stupide de ne pas en profiter... mais libre à chacun de voir midi à sa porte...
Dans l'une des maisons vides, la plus facilement "rejoignables", il avait laissé ouvert la trappe du "trou à ordure" et entreprit d'en mémoriser la position. S'ils devaient parcourir les égouts, ou trouver une solution de repli, cette maison pourrait leur servir de "planque". Si ils arrivaient à en retrouver le chemin par les méandres du cloaque souterrain. Il fit part de son idée à ses "compagnons". Ceux-ci, s'ils le souhaitaient, pourraient aussi tenter d'en retrouver l'accès.
C'est ainsi, cahin-cahan qu'ils finirent par arriver aux abords de la bibliothèque
métajeu a écrit : Est-ce qu'il est possible d'avoir quelques noms d'ouvrages trouvés ?
Ou ce n'est pas "important" ?
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Iris
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Noms d'ouvrages
Métajeu a écrit :Je confirme que le nom des livres ne va pas changer la face du monde. Dans le lot, vu qu'il s'agit de maisons de bourgeois qui ont été arrêtés pour excès d'appartenance au Temple, il y aura des "Bibles" enfin, des pavés de 666 pages à la gloire de Soustraine et de l'Unique, des vies de saints, des recueils de prières, livres d'heures... et puis des encyclopédies ou assimilables, traités sur la chasse, la nature, les merveilles de la péninsules, les souvenirs de tel ou tel personnage historique...
Je laisse Maëlys et / ou Garn piller et culpabiliser. Rappelez-vous que la mise à l'épreuve de l'Idéal correspond à la culpabilité !... Tiens, je ne résiste pas à l'envie de vous faire part de mes dernières découvertes sur la culpabilité :
C'est du "FIM", mais c'est aisément transposable en Esteren : Lumière / Idéal, Feu / Combativité... vous ne serez pas trop dépaysés
- Idéal & Aptitude à la culpabilité : http://iris-d-automne.over-blog.fr/arti ... 74753.html
- Stratégies de déculpabilisation : http://iris-d-automne.over-blog.fr/arti ... 81827.html
Le groupe arrivait à la bibliothèque avec une charrette à bras chargée et un ordre de mission qui avait bien servi, ainsi que quelques "discrets" à côté qui faisaient gonfler sacoches, sacs ou fond de charrette. Dwyfaël avait pris le temps de mémoriser la position d'une maison en particulier. Pour vraiment confirmer qu'il la retrouverait, il faudrait forcément se promener dans les égouts et vérifier que tout était en ordre, mais rien d'insurmontable à première vue. Au pire ça prendrait plus de temps que prévu, voilà tout.
A la bibliothèque, ils trouvèrent deux femmes en poste de garde, une maigre et une grassouillette qui passaient le temps en jouant au bilboquet et en échangeant des commérages. Bien sûr elles s'interrompirent en voyant le trio arriver, mais rien ne laissait penser qu'elles étaient particulièrement zélées ou malveillantes.
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Maëlys
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Promenade nocturne
Maëlys suivit sans entrain les deux hommes. Elle avait ravalé ses larmes avec difficulté et tentait d'afficher une bonne mine mais elle n'avait pas la motivation...
Tout ce qu'elle désirait c'était retourner dans la chambre, se terrer quelque part seule et y rester.
Elle avait laissé Dwyfaël parler pour le groupe dès qu'ils rencontraient une patrouille ou bien d'autres gardes de faction. À chaque fois c'était les mêmes remarques et les mêmes quolibets.
Mais au bout d'un long moment, les trois compagnons (d'infortune) arrivèrent à leur fin. Les premières maisons furent vidées, les livres empaquetés dans la charrette à main qu'elle devait soutenir. Au passage, il se permit même de se servir dans les différentes demeures pour y trouver vêtements, argenteries et autres livres en tout genre.
À la première maison, elle se sentit mal à l'aise de piller ainsi ces maisons mais au fur et à mesure, elle prit conscience que désormais ces personnes étaient mortes ou qu'elles le seraient bientôt, ce qui fit naître une larme en repensant à Louve qui était actuellement dans les prisons. Si elle ne voulait pas finir ainsi, il fallait se débrouiller pour survivre dans la ville.
Elle se mit donc également à chercher quelques affaires pour elle de façon à avoir un change, surtout qu'une expédition dans les égouts qui ne la réjouissait guère était au programme de la soirée, ainsi que pièces de bois d'ornementation (des essences lourdes tels que du merisier, du chêne ou autre) afin de confectionner les pommeaux que Garn lui avait demandé.
Après plusieurs heures passées à gambader en joyeuse compagnie dans la ville, le groupe arriva finalement à la bibliothèque.
"Et maintenant, que doit-on faire?"
Tout ce qu'elle désirait c'était retourner dans la chambre, se terrer quelque part seule et y rester.
Elle avait laissé Dwyfaël parler pour le groupe dès qu'ils rencontraient une patrouille ou bien d'autres gardes de faction. À chaque fois c'était les mêmes remarques et les mêmes quolibets.
Mais au bout d'un long moment, les trois compagnons (d'infortune) arrivèrent à leur fin. Les premières maisons furent vidées, les livres empaquetés dans la charrette à main qu'elle devait soutenir. Au passage, il se permit même de se servir dans les différentes demeures pour y trouver vêtements, argenteries et autres livres en tout genre.
À la première maison, elle se sentit mal à l'aise de piller ainsi ces maisons mais au fur et à mesure, elle prit conscience que désormais ces personnes étaient mortes ou qu'elles le seraient bientôt, ce qui fit naître une larme en repensant à Louve qui était actuellement dans les prisons. Si elle ne voulait pas finir ainsi, il fallait se débrouiller pour survivre dans la ville.
Elle se mit donc également à chercher quelques affaires pour elle de façon à avoir un change, surtout qu'une expédition dans les égouts qui ne la réjouissait guère était au programme de la soirée, ainsi que pièces de bois d'ornementation (des essences lourdes tels que du merisier, du chêne ou autre) afin de confectionner les pommeaux que Garn lui avait demandé.
Après plusieurs heures passées à gambader en joyeuse compagnie dans la ville, le groupe arriva finalement à la bibliothèque.
"Et maintenant, que doit-on faire?"
Métajeu a écrit : Juste au niveau des tenues, elle cherchera en priorité des vêtements dans le style de ceux d'Yldiane pour vous illustrer, en gros des vêtements faits pour le voyage et qui sont bien résistants. Si elle ne trouve pas ceci, elle tâchera de trouver un vêtement correct qui lui servira de change et dépensera son argent un peu plus tard pour s'offrir une telle tenue.
De même, pour le bois, je pense à des pièces comme des pieds de table ou de chaise ornementé, ou les "boules" en haut des meubles. Quelque chose qui a une forme globalement similaire, dans un bois dense (plus il est riche en tanins mieux c'est !) de façon à avoir le minimum de travail pour former la pièce.
Eventuellement y'aura juste à bien redimensionner la boule puis l'évider à un endroit pour y mettre une quart en bois.
Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs
La visite des demeures vides mets mal a l'aise Garn. Par le passé cela avait été sous le couvert des ordres et souvent a la recherche d'éléments précis, mais la c'était différent. Une forme de regret étouffe Garn. * N'y avait il rien d'autre a faire pour sortir de cette crise ? La survie justifie-t-elle ces actes ? *
Autant le cadavre découvert dans la grotte n'avait pas posé de problème, autant les choses semblent beaucoup plus compliquées ici. Il avait suffit a Garn d'offrir une sépulture au corps avant de prendre les maigres affaires de l'homme, un échange de bon procédé entre le mort et les vivants. Mais la Garn ne trouve rien de moralement acceptable pour se servir en ces lieux.
C'est a contre cœur qu'il trouve et prend une paire de botte de voyage presque neuve et quelques vêtement inter-saison (chemises et braies).
Par contre, tout comme Dwyfael, Garn n'hésite pas a jeter un œil aux livres.
Lors des trajets, le jeune homme, laisse parler le bouquiniste. Si ce dernier a du bagout, autant qu'il l'utilise. Il en profite pour observer les méthodes de ce dernier et comprendre comment l'homme joue avec les tonalités et les mots.
Autant le cadavre découvert dans la grotte n'avait pas posé de problème, autant les choses semblent beaucoup plus compliquées ici. Il avait suffit a Garn d'offrir une sépulture au corps avant de prendre les maigres affaires de l'homme, un échange de bon procédé entre le mort et les vivants. Mais la Garn ne trouve rien de moralement acceptable pour se servir en ces lieux.
C'est a contre cœur qu'il trouve et prend une paire de botte de voyage presque neuve et quelques vêtement inter-saison (chemises et braies).
Par contre, tout comme Dwyfael, Garn n'hésite pas a jeter un œil aux livres.
Lors des trajets, le jeune homme, laisse parler le bouquiniste. Si ce dernier a du bagout, autant qu'il l'utilise. Il en profite pour observer les méthodes de ce dernier et comprendre comment l'homme joue avec les tonalités et les mots.
Metajeu a écrit :Dur dur... Sauver la ville du monstre des égouts permettra au 'héro' de se sentir mieu, mais il lui reste beaucoup a faire entre temps: sauver Elwin et les autres, trouver la voie, etc...
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MJ: Conan D6
PJ: [OdE] Arthwr (aka Garn Faernor) ** en pause **, [Mekton Z] Elbert "Storm" Falck - Jeune psionique & métalleu
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Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs
Et maintenant, que doit-on faire?
Le bouquiniste fixe la bibliothèque qui se tient là au loin et les 2 commères qui servent de cerbères. Après une profonde inspiration, il glisse à Maëlys et Garn, alors que la convoi "livresque" se met à nouveau en branle pour aller affronter cette nouvelle épreuve Herculéenne.
On essaye de rentrer
A portée des deux femmes, maintenant, Dwyfaël, après avoir tenté de percevoir un quelconque signe distinctif pouvant renseigner sur leurs fonctions, leurs grades, leur titre, les salue.
" Bien le bonsoir mesdames [Métajeu / un autre mot s'il semble plus approprié pour le bouquiniste en fonction de qui il à affaire /métajeu] Les réquisitions allant bon train, et les pillages ne tardant pas à survenir, notre chef de patrouille à penser bon de faire mettre à l'abri - et d'enrichir le patrimoine de la ville - tous ces ouvrages laissés à l'abandon dans les demeures bourgeoises. Nous vous les livrons donc."
Le bouquiniste fixe la bibliothèque qui se tient là au loin et les 2 commères qui servent de cerbères. Après une profonde inspiration, il glisse à Maëlys et Garn, alors que la convoi "livresque" se met à nouveau en branle pour aller affronter cette nouvelle épreuve Herculéenne.
On essaye de rentrer
A portée des deux femmes, maintenant, Dwyfaël, après avoir tenté de percevoir un quelconque signe distinctif pouvant renseigner sur leurs fonctions, leurs grades, leur titre, les salue.
" Bien le bonsoir mesdames [Métajeu / un autre mot s'il semble plus approprié pour le bouquiniste en fonction de qui il à affaire /métajeu] Les réquisitions allant bon train, et les pillages ne tardant pas à survenir, notre chef de patrouille à penser bon de faire mettre à l'abri - et d'enrichir le patrimoine de la ville - tous ces ouvrages laissés à l'abandon dans les demeures bourgeoises. Nous vous les livrons donc."
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Les dames étaient étonnées et un peu curieuses...
... Dwyfaël en était bon pour une explication sur le pourquoi du comment... et à vrai dire... au fil des questions, il avait matière à se demander si son charme ténébreux n'avait pas un brin d'effet sur l'une des deux qui gloussait quand même beaucoup aux explications sur les sorties & réquisitions de nuit...
... a priori pas d'obstacle insurmontable...
... sauf...
... sauf qu'a priori les dames partaient du principe que le trio allait juste décharger sur un tas et repartir... comment justifier de rester et traîner ? ...
... Dwyfaël en était bon pour une explication sur le pourquoi du comment... et à vrai dire... au fil des questions, il avait matière à se demander si son charme ténébreux n'avait pas un brin d'effet sur l'une des deux qui gloussait quand même beaucoup aux explications sur les sorties & réquisitions de nuit...
... a priori pas d'obstacle insurmontable...
... sauf...
... sauf qu'a priori les dames partaient du principe que le trio allait juste décharger sur un tas et repartir... comment justifier de rester et traîner ? ...
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Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs
La chance semblait leur sourire. Si tant est que le sourire de l'une de ces commères puisse être une chance. Minaudant à son tour, souriant et alimentant les quelques amabilités qu'ils échangeaient, il finit par proposé tout innocemment :
"- On peut même vous aider à décharger tout ce poids de feuilles et d'encre, si vous voulez. Je serai très heureux de vous rendre ce menu service. On peut même vous aider à les classer et les ranger ... à moins que ce ne soit trop long pour ce soir, et que vous vous arrangiez pour nous (me ?) faire revenir ?"
"- On peut même vous aider à décharger tout ce poids de feuilles et d'encre, si vous voulez. Je serai très heureux de vous rendre ce menu service. On peut même vous aider à les classer et les ranger ... à moins que ce ne soit trop long pour ce soir, et que vous vous arrangiez pour nous (me ?) faire revenir ?"
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Glouglouglou
Les filles se regardèrent :
" Ranger et classer ? ... mais c'est pas à nous de le faire... Tu sais qui s'en charge ?"
" Non... j'imagine qu'il doit bien y'avoir un clerc ou un truc du genre... Mince, qu'est-ce qu'on fait ? "
" Dans l'ordre y'a marqué quoi ? "
" Euh... Ben regarde-toi même !"
" Mais euh !..."
... en fait... Dwyfaël se rendit compte, ou eut seulement la confirmation, qu'en fait, la plupart des gens à qui il avait montré son ordre de mission ne savaient pas lire... Ils reconnaissaient le papelard officiel pour sa couleur, son sceau, et tout... et puis le brassard orange des porteurs... mais... le détail... fallait le lire... et ça ... euh... justement... les demoiselles... étaient penaudes...
" Ranger et classer ? ... mais c'est pas à nous de le faire... Tu sais qui s'en charge ?"
" Non... j'imagine qu'il doit bien y'avoir un clerc ou un truc du genre... Mince, qu'est-ce qu'on fait ? "
" Dans l'ordre y'a marqué quoi ? "
" Euh... Ben regarde-toi même !"
" Mais euh !..."
... en fait... Dwyfaël se rendit compte, ou eut seulement la confirmation, qu'en fait, la plupart des gens à qui il avait montré son ordre de mission ne savaient pas lire... Ils reconnaissaient le papelard officiel pour sa couleur, son sceau, et tout... et puis le brassard orange des porteurs... mais... le détail... fallait le lire... et ça ... euh... justement... les demoiselles... étaient penaudes...
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Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs
* Quelle aubaine ! *
Saisissant la balle au bond, toujours aimable, plaisant et avenant :
"- ah bah mince, alors. C'est bien stipulé ici montrant du doigt une ligne du laisser-passer qu'il faut les emmener à la bibliothèque ET les faire emmagasiner... un petit sourire poli, arrageant " on peut vous le faire. Je m'y connais un peu."
Saisissant la balle au bond, toujours aimable, plaisant et avenant :
"- ah bah mince, alors. C'est bien stipulé ici montrant du doigt une ligne du laisser-passer qu'il faut les emmener à la bibliothèque ET les faire emmagasiner... un petit sourire poli, arrageant " on peut vous le faire. Je m'y connais un peu."