Merci. Effectivement, j'ai une chance de malade de participer à ça.
En fait, quand j'ai commencé le JDR, avec mon groupe, on faisait que ça, on était fauché (jeune adulte, ou fin de cycle scolaire), et y'avais pas la concurrence de la PS3 ou d'internet.
Dark à raison, les liens sont très forts à table entre les pjs, et aussi avec les pnjs. Notre MJ se défonce pour rendre tout ça vivants mais il le fait aussi parce que les joueurs se défoncent aussi.
On fait des résumés subjectifs fleuves des parties, ça prouve notre intérêt et notre motivation. Le roleplay et l'intégrité narrativiste (argh le vilain mot) prime sur le ludisme et l'efficacité.
Enfin, ma petite femme joue aussi, pour son premier perso de jdr, elle fait la paladine et assures sévère. Son perso est très humain, contrairement aux stéréotypes fréquents de rouleaux compresseur inflexible.
Le dernier et principal succès de la table réside aussi dans la compatibilité entre les participants. Il y'a peu d'écarts d'âge, comportements et gouts convergents, etc...
Sinon, Iris, merci pour les conseils. Effectivement, j'avais fais le choix de ne pas insister sur un genre, en l'occurrence métaphore "mer/vagues/bateau...". Je pense que c'est une erreur. Quand un truc me passe par la tête, je crois souvent que le lecteur comprendra le double sens car moi je ne vois que ça, mais ce n'est pas toujours le cas. "Expérimentale" est un terme judicieux. J'y ferais attention!
Après, c'est le seul texte de ce genre que j'ai fait et je n'en ferais pas d'autre de sitôt. Celui-ci était important car c'était une attente forte dans l'histoire. Les autres joueurs me harcelaient souvent "alors, tu l'as niqué?"
Meme ma femme, c'est dire si tout le monde en avait marre que ceci n'arrive jamais...