[OdE - Chap.2.1] La dernière limite
Re: [OdE - Chap.12.1] La dernière limite
Aeldred arriva rapidement aux côtés de son amie et la trouva pâle et effrayée. C'était la première fois qu'il la voyais comme ça et il se dit rapidement que ça n'était pas bon. Passe encore que Pwyll se laisse mener par le bout du nez par son optimisme insensé, ou que l'autre garde soit un peu peureux, là ça faisait tout de même trois perso... deux personnes qui semblaient entendre des choses (il n'avait pas vraiment l'impression que son costaud d'ami était sur la même planète qu'eux par moment).
"Oanell, ça va ? Tu l'entends toi aussi ? lui demanda-t-il en lui prenant doucement la main dans les siennes avant de reprendre plus bas, pour que Burgred ne l'entende pas : Je ne veux pas t'effrayer plus que tu ne l'es déjà, mais je me rappelle un peu de ce que me disait Fredelme, au sujets de créatures rôdant dans les Limbes... Je ne sais pas ce qu'on trouvera derrière cette porte, mais reste derrière moi, d'accord ?"
Voyant Pwyll prêt à ouvrir la porte, il lui fit signe d'attendre un instant avant de poser son arc contre le mur de la maison et de défaire la sangle de son épée pour la faire passer de l'épaule à la taille. Trop de précautions peut-être mais sait-on jamais. Se tournant vers Burgred, il lui dit simplement :
"Je crois qu'ils entendent tous les trois la même chose -même si la version de Pwyll semble dire le contraire, ajouta-t-il en regardant du coin de l'œil son camarade- mais, pour une raison que j'ignore, vous et moi sommes les seuls à rester sourds à cette comptine. Et je n'aime pas ce brouillard. J'en ai suffisamment vu pour savoir que celui-là ne se comporte pas comme il devrait."
Il soupira, conscient que ses arguments n'atteindraient certainement pas Burgred, mais espéra un instant qu'il saurait agir le moment venu. Revenant à Oanell, avec un sourire engageant, il lui demanda :
"Alors, on entre ? Ou dois-je t'embrasser pour t'en faire passer le seuil ?"
Il ponctua sa phrase d'un clin d'œil mais il espéra qu'elle verrait que ce n'était pas une simple taquinerie, mais plutôt un moyen de la détendre.
"Oanell, ça va ? Tu l'entends toi aussi ? lui demanda-t-il en lui prenant doucement la main dans les siennes avant de reprendre plus bas, pour que Burgred ne l'entende pas : Je ne veux pas t'effrayer plus que tu ne l'es déjà, mais je me rappelle un peu de ce que me disait Fredelme, au sujets de créatures rôdant dans les Limbes... Je ne sais pas ce qu'on trouvera derrière cette porte, mais reste derrière moi, d'accord ?"
Voyant Pwyll prêt à ouvrir la porte, il lui fit signe d'attendre un instant avant de poser son arc contre le mur de la maison et de défaire la sangle de son épée pour la faire passer de l'épaule à la taille. Trop de précautions peut-être mais sait-on jamais. Se tournant vers Burgred, il lui dit simplement :
"Je crois qu'ils entendent tous les trois la même chose -même si la version de Pwyll semble dire le contraire, ajouta-t-il en regardant du coin de l'œil son camarade- mais, pour une raison que j'ignore, vous et moi sommes les seuls à rester sourds à cette comptine. Et je n'aime pas ce brouillard. J'en ai suffisamment vu pour savoir que celui-là ne se comporte pas comme il devrait."
Il soupira, conscient que ses arguments n'atteindraient certainement pas Burgred, mais espéra un instant qu'il saurait agir le moment venu. Revenant à Oanell, avec un sourire engageant, il lui demanda :
"Alors, on entre ? Ou dois-je t'embrasser pour t'en faire passer le seuil ?"
Il ponctua sa phrase d'un clin d'œil mais il espéra qu'elle verrait que ce n'était pas une simple taquinerie, mais plutôt un moyen de la détendre.
Il est toujours utile d'affronter un ennemi prêt à mourir pour son pays. Vous avez en définitive, lui comme vous, le même objectif en tête.
- Terry Pratchett, Va-t-en-guerre.
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Re: [OdE - Chap.12.1] La dernière limite
Burgred haussa les épaules, et répondit en grommelant:
"Si vous voulez voir ou entendre des trucs qu'existent pas, c'est vot' problème. Du moment qu'ça n'met personne en danger, ça m'va.
Et bon, si vous vous sentez déraper, prév'nez moi : s'ra toujours temps d'se trouver un abri et d'prendre la potion de Dame Blodwen."
Maintenant, il en était sûr : ces formes dans le brouillard n'étaient que le fruit de son imagination, alimentée par la peur de ceux qui l'entouraient.
Quant à cette comptine, c'était pareil, et ça s'expliquait très simplement : dès que quelqu'un s'était mis à en parler, les autres s'étaient convaincus de l'entendre. Mais le fait que les paroles soient différentes chez chacun prouvait que tout cela n'était qu'une pure invention.
Il avait déjà pu observer ce phénomène chez des enfants, notamment la fois où une ribambelle de bambins étaient venus le trouver, convaincus qu'un féond les observait depuis le bois. Finalement, après avoir mobilisé les patrouilles pendant deux jours à la recherche d'un féond imaginaire, l'affaire s'était soldée par une solide remontrance, au terme de laquelle le plus agé avait avoué avoir inventé un mensonge pour se rendre intéressant, avant de croire lui-même à sa fable au fur et à mesure que ses petits compagnons cédaient à la panique.
Au final, la seule trace physique du féond avait été le derrière rougi du jeune garçon après que la damathair se soit chargée de son cas.
"Si vous voulez voir ou entendre des trucs qu'existent pas, c'est vot' problème. Du moment qu'ça n'met personne en danger, ça m'va.
Et bon, si vous vous sentez déraper, prév'nez moi : s'ra toujours temps d'se trouver un abri et d'prendre la potion de Dame Blodwen."
Maintenant, il en était sûr : ces formes dans le brouillard n'étaient que le fruit de son imagination, alimentée par la peur de ceux qui l'entouraient.
Quant à cette comptine, c'était pareil, et ça s'expliquait très simplement : dès que quelqu'un s'était mis à en parler, les autres s'étaient convaincus de l'entendre. Mais le fait que les paroles soient différentes chez chacun prouvait que tout cela n'était qu'une pure invention.
Il avait déjà pu observer ce phénomène chez des enfants, notamment la fois où une ribambelle de bambins étaient venus le trouver, convaincus qu'un féond les observait depuis le bois. Finalement, après avoir mobilisé les patrouilles pendant deux jours à la recherche d'un féond imaginaire, l'affaire s'était soldée par une solide remontrance, au terme de laquelle le plus agé avait avoué avoir inventé un mensonge pour se rendre intéressant, avant de croire lui-même à sa fable au fur et à mesure que ses petits compagnons cédaient à la panique.
Au final, la seule trace physique du féond avait été le derrière rougi du jeune garçon après que la damathair se soit chargée de son cas.
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Re: [OdE - Chap.12.1] La dernière limite
Dubthach commençait à enfin maîtriser sa peur. Peut-être que Burgred avait raison, c’était probablement qu’une illusion due à la tension. Il reprit ses esprit, teint à nouveau fermement ses épées et s’apprêta à reprendre la mission de plus belle.
Cependant, voyant les agissements du garçon envers la barde, il s’approcha de son collègue garde.
"Dis, Burgred, j’ai rien contre le fait que ces deux soient en couple mais… je sais pas si c’est le meilleur endroit ou moment pour les douceurs en amoureux… faudrait peut-être leur dire quelque chose, non ?
En tout cas je te suis si tu veux encore faire le tour du propriétaire."
Dubthach attendit donc les ordres, regardant avec un peu trop d’insistance le jeune couple.
Cependant, voyant les agissements du garçon envers la barde, il s’approcha de son collègue garde.
"Dis, Burgred, j’ai rien contre le fait que ces deux soient en couple mais… je sais pas si c’est le meilleur endroit ou moment pour les douceurs en amoureux… faudrait peut-être leur dire quelque chose, non ?
En tout cas je te suis si tu veux encore faire le tour du propriétaire."
Dubthach attendit donc les ordres, regardant avec un peu trop d’insistance le jeune couple.
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Re: [OdE - Chap.12.1] La dernière limite
Curieux du spectacle qu'il découvrait à l'intérieur alors qu'il venait de passer la porte, Pwyll se dit qu'il valait mieux tenter une expérience afin d'en avoir le cœur net.
Approchant, sur ses gardes et s'attendant à tout moment à une éventuelle action violente à son encontre (notamment une tentative de coup lancée un peu à l'aveuglette, comme si Pwyll était invisible), il soulève un petit objet, par exemple une écuelle ou autre objet peu fragile comme une cuillère, en s'assurant que l'objet est dans le champ de vision des habitants. Histoire de voir leur réaction. S'ils paniquent, Pwyll replace l'objet et vient se positionner un peu à l'écart, contre un mur. S'ils suivent l'objet du regard, il le déplace jusqu'à la porte d'entrée avec l'intention de sortir avec.
Approchant, sur ses gardes et s'attendant à tout moment à une éventuelle action violente à son encontre (notamment une tentative de coup lancée un peu à l'aveuglette, comme si Pwyll était invisible), il soulève un petit objet, par exemple une écuelle ou autre objet peu fragile comme une cuillère, en s'assurant que l'objet est dans le champ de vision des habitants. Histoire de voir leur réaction. S'ils paniquent, Pwyll replace l'objet et vient se positionner un peu à l'écart, contre un mur. S'ils suivent l'objet du regard, il le déplace jusqu'à la porte d'entrée avec l'intention de sortir avec.
On dirait qu'ça t'gêne de marcher dans la boue !
Re: [OdE - Chap.12.1] La dernière limite
A la mention par Dubthach de la liaison manifeste entre le jeune chasseur et la barde, toute tension sembla déserter Burgred. Tout en affichant un sourire bonhomme, il répondit à son jeune collègue :
"Bah, tinquiètes pas, va! C'est bien de leur âge, et puis ça n'a pas l'air bien méchant. Et si ça peut leur mettre du coeur au ventre, ça n'sera pas un mal!"
Il jeta un clin d'oeil entendu à Dubthach, avant de répondre à sa proposition :
"T'as raison mon gars, plutôt que de rester ici à lorgner sur c'qu'ils font, on s'rait plus utiles à faire un r'pérage des alentours. On a qu'à faire le tour de la ferme, puis revenir ici en attendant qu'ils aient fini d'discuter."
Et joignant à le geste à la parole, Burgred se mit en marche. Ce faisant, il ne vit pas Pwyll se diriger vers la porte de la chaumière...
"Bah, tinquiètes pas, va! C'est bien de leur âge, et puis ça n'a pas l'air bien méchant. Et si ça peut leur mettre du coeur au ventre, ça n'sera pas un mal!"
Il jeta un clin d'oeil entendu à Dubthach, avant de répondre à sa proposition :
"T'as raison mon gars, plutôt que de rester ici à lorgner sur c'qu'ils font, on s'rait plus utiles à faire un r'pérage des alentours. On a qu'à faire le tour de la ferme, puis revenir ici en attendant qu'ils aient fini d'discuter."
Et joignant à le geste à la parole, Burgred se mit en marche. Ce faisant, il ne vit pas Pwyll se diriger vers la porte de la chaumière...
Dernière modification par Arthus le 07 juin 2016, 17:07, modifié 1 fois.
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Re: [OdE - Chap.12.1] La dernière limite
Pwyll sort de la maison en marchant à reculons et en brandissant une assiette dans sa main gauche. Il recule doucement en regardant ce qui se passe dans la maison et en passant le seuil.
Pwyll dit "Aeldred, Oanell, ils nous voient pas les gens à l'intérieur. Ils ont l'impression de voir une assiette volante. C'est eux qui font un cauchemar éveillé ou c'est nous ?"
Après une brève note d'hésitation : "Tiens, la comptine s'est arrêtée."
Pwyll dit "Aeldred, Oanell, ils nous voient pas les gens à l'intérieur. Ils ont l'impression de voir une assiette volante. C'est eux qui font un cauchemar éveillé ou c'est nous ?"
Après une brève note d'hésitation : "Tiens, la comptine s'est arrêtée."
On dirait qu'ça t'gêne de marcher dans la boue !
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Re: [OdE - Chap.12.1] La dernière limite
Quand Aeldred attrape sa main Oanell revint un peu à elle.
- Je l’entends, c’est dans ma tête Aeldred ! Et à l’interrieur ils sont si … bizarre.
- C’est bas ça.
Elle avait souri, légèrement, et se décala pour laisser entrer Pwyll et Aeldred devant elle. Que se passait-il à la fin ! Elle observa Pwyll qui ... faisait des test apparemment.
- Je ne sais pas ce quoi faire. Vous avez une idée ? Il faut les aider !
- Je l’entends, c’est dans ma tête Aeldred ! Et à l’interrieur ils sont si … bizarre.
La jeune barde hocha la tête, tremblante.Je ne sais pas ce qu'on trouvera derrière cette porte, mais reste derrière moi, d'accord ?"
"Alors, on entre ? Ou dois-je t'embrasser pour t'en faire passer le seuil ?"
- C’est bas ça.
Elle avait souri, légèrement, et se décala pour laisser entrer Pwyll et Aeldred devant elle. Que se passait-il à la fin ! Elle observa Pwyll qui ... faisait des test apparemment.
Euh ou nous ? Tout cela n’a aucun sens. Aeldred a touché Gillean et moi non … je ne comprends pas. Et Dubthach dans tout cela ?"Aeldred, Oanell, ils nous voient pas les gens à l'intérieur. Ils ont l'impression de voir une assiette volante. C'est eux qui font un cauchemar éveillé ou c'est nous ?"
Frissonnant, Oanell écouta."Tiens, la comptine s'est arrêtée."
- Je ne sais pas ce quoi faire. Vous avez une idée ? Il faut les aider !
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Re: [OdE - Chap.12.1] La dernière limite
- C’est bas ça.
Le chasseur rendit son sourire à Oanell, content de voir qu'elle le prenait comme il l'avait souhaité.
Les manigances de Pwyll, ainsi que ses révélations lelaissèrent malgré tout perplexes
'Ils ne voient... qu'une assiette ?... Et nous... serions leurs rêves ?"
C'était improbable, sinon, Burgred aussi en ferait partie, mais peut-être qu'autre chose...
- Je ne sais pas ce quoi faire. Vous avez une idée ? Il faut les aider !
C'était un vrai du cœur qu'Oanell lançait, et Aeldred ne sut y rester indifférent. Il attrapa une flèche de son carquois tout en poussant la porte pour entrer lui-même.
"J'y vais, pour voir comment ça se présente. S'ils voient des objets voler, peut-être peut-on tenter de communiquer autrement avec eux ?
Il franchit la porte pour la refermer rapidement et observer les personnes à l'intérieur, cherchant à comprendre ce qu'il se passait ici, puis, se dirigeant vers le milieu de la pièce, il planta sa flèche dans le sol, la lâcha puis recula. Essayons de déclencher une réaction...
Le chasseur rendit son sourire à Oanell, content de voir qu'elle le prenait comme il l'avait souhaité.
Les manigances de Pwyll, ainsi que ses révélations lelaissèrent malgré tout perplexes
'Ils ne voient... qu'une assiette ?... Et nous... serions leurs rêves ?"
C'était improbable, sinon, Burgred aussi en ferait partie, mais peut-être qu'autre chose...
- Je ne sais pas ce quoi faire. Vous avez une idée ? Il faut les aider !
C'était un vrai du cœur qu'Oanell lançait, et Aeldred ne sut y rester indifférent. Il attrapa une flèche de son carquois tout en poussant la porte pour entrer lui-même.
"J'y vais, pour voir comment ça se présente. S'ils voient des objets voler, peut-être peut-on tenter de communiquer autrement avec eux ?
Il franchit la porte pour la refermer rapidement et observer les personnes à l'intérieur, cherchant à comprendre ce qu'il se passait ici, puis, se dirigeant vers le milieu de la pièce, il planta sa flèche dans le sol, la lâcha puis recula. Essayons de déclencher une réaction...
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A présent que Pwyll avait joué à faire voler les assiettes et était allé parler à ses comparses, la porte était bloquée. On entendait d'ailleurs des échos vagues signalant qu'on bougeait des choses dans la maison...
Quant aux volets, ils étaient en osier, couvrant de petites fenêtres et déjà fermés, ne laissant filtrer que la lumière de l'intérieur.
Quant aux volets, ils étaient en osier, couvrant de petites fenêtres et déjà fermés, ne laissant filtrer que la lumière de l'intérieur.
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- Pwyll
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Re: [OdE - Chap.12.1] La dernière limite
"Ces gens sont victimes d'une magie peu recommandable... On devrait essayer de trouver la source de la comptine. C'est peut-être ça qui leur a porté sur les nerfs à force. Après tout, les paroles que le garde entendait font penser à la situation des gens dans la maison."
Tout en détachant son maillet à deux mains, Pwyll ajouta : "On trouve la source de la comptine et on lui refait le portrait."
Pwyll concentre ensuite son attention sur les environs et essaie de scruter, avec les yeux, les oreilles et le cœur surtout, s'il perçoit une éventuelle source pour les fameuses paroles :
La brume se lève,
La joie s'en va,
Les morts se lèvent,
Les yeux n'ferment pas
Tout en détachant son maillet à deux mains, Pwyll ajouta : "On trouve la source de la comptine et on lui refait le portrait."
Pwyll concentre ensuite son attention sur les environs et essaie de scruter, avec les yeux, les oreilles et le cœur surtout, s'il perçoit une éventuelle source pour les fameuses paroles :
La brume se lève,
La joie s'en va,
Les morts se lèvent,
Les yeux n'ferment pas
Métajeu : y a-t-il plusieurs pièces / un étage à la maison ?
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