[PN] Chap 1.0 Un Espadon sous le soleil.

[Amnèsya]

Lothar respirait... Pour lui, l'escarmouche semblait être terminé. les rares brigands encore debout fuyait.
Se préoccupant de l'état des pertes deux semblait avoir rapidement besoin de ses services. L'aspirant Camille Saint James avait l'air de plus en plus mal au points et pouvait défaillir à chaque moment.

Pour ne pas pénaliser le joueur, la blessure sera sérieuse mais heureusement sans conséquence si traitée tôt; genre un peu de repos...

Le brigand qui avait la main coupée lui aussi nécessité une intervention rapide si on voulait le maintenir en vie.
Les autres était soient sain et sauf, soit plus ou moins blessé mais rien qui ne pouvait se traiter avec des premiers secours... Manuel, et Malthèse surtout avait encaissé le choc.
Pour Lothar, le principal problème était de savoir si dans la précipitation, il avait pensé à prendre son matériel. Peut probable mais peut être qu'il gardait toujours avec lui le minimum vital.

Les seuils de blessures sont les suivants :
Légère;
Sérieuse (malus de -1)
Grave (malus de -2)
Critique (Malus de -3)
Coma (Impossibilité d'agir)
Les blessures sont cumulatives pour définir l'état général du personnage... Ainsi Malhèse qui ne présente que des blessures légère est néanmoins dans un état Grave du fait de leur nombre. Premier soins permet de traiter des blessures légères et sérieuses, Au delà c'est médecine obligatoire, le premier soin ne pouvant servir au mieux qu'à ne pas empirer l'état ou éventuellement aider le jet de médecine)

[Avrock]

L'aspirant semble aux yeux de Lothar celui ayant besoin de soin en urgence, aussi se dépêche-t-il d'aller s'occuper de lui. Ensuite viendrai le brigand et finalement Malthèse et les autres en fonction de la gravité de leurs blessures, a moins que le capitaine n'en décide autrement.

Quand a savoir s'il a sa trousse avec lui, le jeune homme l'avait sur ses genoux, a portée de main lorsqu'il était dans le fiacre. Le tout est d'établir si durant l'action il l'a perdue ou pas...

[Amnèsya]

test de médecine sur Camille : 3,3 1 4 succès.
(Je ne sais pas pourquoi j'ai un dès au bureau)

Lothar était dans son élément et efficace. S'il ne comprenait pas vraiment l'espagnol, l'anatomie et la chirurgie n'avait plus de secret pour lui. Et par bonheur, instinctivement, il n'avait pas lâché sa trousse.

Réduction de la blessure de Camille de deux crans (Niveau sérieux). Pour les descriptions je te laisse voir, je pense qu'une plaie dans le ventre pourrait être crédible dans l'absence de séquelles graves. Je laisse les autre réagir aussi pour voir si tu peux aussi soigner le bandit

[Maëlys]

Se tournant vers un des autres membres du groupe, il leur dit, sans pour autant crier :

"Là-bas, j'ai cru voir un reflet !"

Puis se souvenant que ce Gui avait tiré avec son arme, il continua : "L'arme du noir n'a pas été utilisée, elle est encore chargée."

[Asdel]

"Je crois" répondit Gui, encore commotionné par sa chance insolente dans la bataille. Il en avait vu d'autres des boucheries sur les ponts des vaisseaux, le sang poissant le pont qui en devenait aussi glissant qu'une mare gelée, les éclisses et espars transformées en de terribles massues ou de cruelles pointes, et c'était sans oublier l'odeur de la poudre, les cris rauques des gorges nouées tandis que les corps s’emmêlaient dans une danse frénétique. C'était la guerre, et c'était presque naturel. Mais vivre ceci en Bretagne, alors qu'ils étaient sensés être à l'abri de l'anglois ?
Gui ne perdait cependant pas les bonnes habitudes, ou plutôt, les réflexes de survie. Il rechargeait son arme avec des gestes mesurés d'automate, attendant les ordres de son capitaine.

[Amnèsya]

Après la bataille, les premiers réflexes de Clichy avait été de s'assurer que sa femmes et sa fille étaient saine et sauve...
Ensuite, il s'était occupé de Malthèse, l'aidant à se remettre après la rude lutte qui l'avait mené...

Au dire de l'Espagnol, il s’interrompit et se retourna pour analyser la lande... Il croisa le regarda de Gui qui visiblement attendait ses ordres...
" - A couv..."

Et ne finit jamais sa phrase, les hurlements de désespoir d'effroi et d'horreur de la jeune fille et de sa mère déchirèrent les ténèbres et firent échos à la détonation qui fendit les cieux...
Au loin, dans la direction désignée par Manuel, les herbes s'affolaient elles-aussi.
Son méfait accompli, le lâche prenait la fuite avec ceux qui restait de son groupe...
Le capitaine oscilla... Les yeux fous... et s’effondra...

[Avrock]

" - A couv..."

Lothar venais de finir les premier soin sur Camille lorsque le capitaine se fit faucher. Le premier réflexe de l'allemand fut de se précipiter sur l'homme, analyser d’où pouvait venir la blessure, de voir ce qu'il peut faire et le faire.
"- Laissez-moi de la place. Tenez les femmes, qu'on ne me dérange pas." dit il a l'attention du groupe.

"- Tenez-bon Capitaine, vous êtes entre de bonnes mains."

[Asdel]

"Dieu tout puissant" la voix gutturale du Marseillais avait claqué, surprise, dans la nuit.

Dieu tout puissant, c'était vraiment le cas. Leur seigneur et maître, leur père à tous, même s'il était plus jeune que Gui, venait de tomber, abattu lâchement, bien loin de tous les champs d'honneurs de ce monde. Ni une ni deux, l'impétueux homme du Sud, fouetté par la traîtrise, se dit qu'il allait se faire le saligaud, le fils de sa mère et autres joyeusetés qui avait osé faire feu et abattre le capitaine. Par contre, pas sûr qu'il en laisserait des miettes aux autres si on le l'arrêtait.
Bien décidé à faire une bouillie du tireur, Gui partit à petites foulées, en zigzagant, tenant fermement son pistolet en position de demi-chien, prêt à faire feu à tout instant.

[darkbaron]

De son côté, Gwenaëlle était sous le choc. En peu de temps, sa vie avait été plus d'une fois en danger. Elle n'avait jamais été autant de fois si proche de la mort... Surtout en aussi peu de temps. Dans son esprit, c'était quelque chose de si étrange... Elle ne savait que faire. Comment pouvait-on réagir face à de telles menaces ? Elle était donc restée passive, se contentant de suivre l'action sans vraiment y participer. Elle n'était pas une combattante et ne pouvait donc être d'aucune aide pour ses "compagnons". Elle le savait très bien. Elle n'aurait jamais cru voir autant de dangers se joncher sur sa route... Allait-elle arriver à bon port saine et sauve ?

Et maintenant, même le capitaine était blessé ! Qu'est-ce qu'il se passait ici ? Pourquoi le sort s'acharnait-il à ce point sur son expédition ?

[Maëlys]

A peu Manuel eut-il le temps d'avertir ses proches compagnons du reflet et le capitaine de réagir qu'une détonation retentit, coupant net la parole à Clichy qui s'écroula l'instant d'après.
Voyant Gui partir dans la direction du tireur, qui fuyait déjà, il jura entre ses dents puis s'élança à la suite de Gui, une fois qu'il le rattrapa il lui dit :

"Reviens ! A deux, on sait pas combien ils sont, là-bas !"