[Warhammer - Chapitre 1] La tempête approche

[Kenny]

Durdent avait sorti un arc et se tenait prêt. Effectivement les pensées de Durdent et Jill se rejoignaient, si des gobelins étaient en mauvais état, c'est que quelque chose leur était tombé dessus et Durdent ne voulait vraiment pas savoir ce que c'était et le chuchota aux autres...Il estima leur position pour pouvoir au besoin entamer une retraite "stratégique"...Durdent aussi n'aimait l'or au delà de sa propre vie...

[Crépuscule]

Je suppose qu'aucun de nous n'a jamais croisé de skaven et que les hommes-rats reste une légende pour effrayer les enfants? Peut être Karl ??

Eloïse montra à Jill le rechargement en même temps qu'elle chargea l'arbalète puis elle attendit un signe de Karl pour tirer, le boss étant le mieux placé pour identifier les intrus.

En tout cas, il fallait qu'elle montre qu'elle n'était pas effrayé par le premier danger qui se présentait et ses pensées était donc tournées vers le combat qui s'annonçait .. non sans se demander effectivement ce qu'ils fuyaient.

[Wenlock]

Je ne sais pas si Karl a déjà entendu parlé des Skavens (MJ ?), mais au premier couinement, il commence à comprendre que ce ne sont pas du tout des gobelins !
Je pars du principe que le chemin continue de s'enfoncer dans la forêt mais, puisqu'on connaît un peu le coin, on sait vers où il va ?

Quelque soient ces créatures, elles étaient probablement poursuivies par bien pire qu'elles et en voulaient à leur chariot, la meilleure chance des brigands semblait donc à Karl de se sortir au plus tôt de leur trajectoire et de pousser les fuyards dans une autre direction.
"On décroche !" souffla-t-il en désignant les profondeurs de la forêt, "Eloïse ouvre la route à cheval, tirez sur tout ce qui s'approche !"
Et de sauter vivement à l'arrière du chariot pour le défendre si nécessaire.

[Iris]

Quand j'ai croisé Thalgrim sur MSN, il m'a dit "tu n'as jamais entendu le mot "Skaven" de ta vie" ... Et apparemment ça vaut pour d'autres aussi

Si les mystérieux affreux fuyards venaient des environs de la vieille tour, cela voulait-il dire qu'il fallait retourner à Winsen par la route encore barrée par le second sapin ? ( ), ou qu'il était possible d'aller à bride abattue à la vieille tour ? ...

... Le terrain permettait-il de faire un partage sommaire du butin entre trois chevaux et de s'éparpiller le plus vite et loin possible ? Apparemment pas (enfin, ça prendrait du temps). La vieille tour semblait la meilleure option, même si ça impliquait de se rapprocher du coup de la source des fuyards ? ...

N'étant pas en situation de pouvoir influer sur l'état actuel des événements Jill se contentait de faire du soutien : elle tirerait si elle voyait un agresseur, à coup de flèche magique par défaut, il valait mieux laisser les armes de précision à qui les maniait mieux a priori, et aider à les recharger.

...

[Crépuscule]

Eloïse laissa l'arbalète aux passagers du chariot, détacha la monture et se mit en selle, le faisant virer de direction elle se tourna vers Karl :
"On va où chef?"

[Wenlock]

Un peu irrité qu'on lui pose la question alors que le chariot ne pouvait pas faire demi-tour avant l'arrivée de l'ennemi, que la "grande" route elle-même ne pouvait mener que là d'où venait la menace ou vers un arbre qu'ils avaient eux-mêmes battu et qu'il devenait de pointer la direction une seconde plus tôt, Karl répondit sans plus chuchoter du tout et en brandissant (à nouveau) son épée vers les profondeurs de la forêt : "Mais tout droit, enfin ! Et à fond de train !"

[Crépuscule]

HRP : La route continue en face? Je croyais qu'on était au fond d'un chemin forestier et qu'on avait la forêt en face. ... Forcement, si on est sur un chemin qui continue, Eloïse ne pose pas la question ... mais je trouvais bizarre que tu indiques la forêt .. parce qu'elle voit pas comment y aller avec le chariot ... mais s'il y a le chemin ...

[Thalgrim]

Concernant les Skavens, c'est effectivement un mot qui est complétement inconnu à vos personnages. Après, y a bien des légendes urbaines parlant d'homme rats grouillants sous les villes, mais étant donné que vos personnages ne sont pas vraiment des citadins, peu de chance qu'ils les aient entendu.
Et oui le chemin forestier continu, à votre connaissance, il doit finir par rejoindre la route Untergard/Harsum. Cependant, ça va demander des jets de Conduite d'attelage de lancer à le chariot à fond sans le planter.
Par contre, je tiens à préciser que les gobelins couinent bel et bien, et que le couinement n'est pas un terme qui ne s'applique qu'au rat :p

La valeureuse bande de Karl entama donc promptement sa retraite: Pieter sauta à la place du conducteur et claqua les rènes en criant sur les chevaux, Eloïse sauta sur la monture du chevalier après l'avoir détaché, tandis que Karl vient rejoindre ses camarades à l'arrière du chariot. Le lourd véhicule commença à se mettre en branle, alors que Gerhart, plus lent d'esprit que ses compagnons réalisait seulement qu'il fallait se replier.
Pendant ce temps, les arrivants avaient continué leur progression et ils brandissaient leurs armes en direction du convoi en poussant des cris aigus. Durdent lâcha un de ses traits dans leur direction, mais sa flèche se planta dans un tronc à quelques pas d'un des assaillants. A ses cotés, Jill tentait de manipuler l'Aethyr pour produire un effet magique, pour le moment sans effet. Alors que le chariot commençait tout juste à prendre un peu de vitesse, les premières créatures émergèrent d'entre les arbres. Elles étaient emmitouflées dans des peaux crasseuses à peine tannées qui laissaient entrevoir leur peau verte, et portaient des boucliers rudimentaires et des lames sommairement travaillées. Leurs petits yeux rouges luisaient de méchanceté et leur bouche arborait un rictus cruel dévoillant leurs petites dents pointues. Le cri de guerre d'un des gobelins se mua en glapissement de douleur lorsqu'une flèche tirée par Durdent lui transperça le bras droit. De son coté, Jill continuait à mobiliser sa volonté pour façonner un sort, mais perdit sa concentration, probablement à cause des premiers mouvements du chariot, et l'énergie magique se dissipa sans effet autour d'elle. Gerhart, qui s'était élancé à la poursuite du chariot afin de sauter dedans, poussa un cri de douleur lorsqu'une flèche gobeline se planta profondément dans son épaule droite. Le guerrier ne lacha pourtant pas son arme et continua de courir en tendant le bras gauche en direction de Karl. 3 autres flèches s'abattirent sur les brigands, l'une d'elle se plantant dans bois du chariot et les autres manquant largement leur cible.

Concrètement, il y a 4 gobelins (dont un blessé) sur vos talons, à une vingtaine de mètre derrière le chariot. Gerhart est environ deux mètres derrière le véhicule. Le chariot n'a pas encore atteint sa pleine vitesse (pour le moment les chevaux sont au trots, et les gobelins ont donc une chance de le rattraper en courant. Il y a 4 autres gobelins plus en retrait qui ont tiré à l'arc, et 2 autres qui se déplacent pour rejoindre les premiers. Eloïse est devant le cahriot, Pieter le conduit, et Durdent, Karl et Jill sont à l'arrière.

[Iris]

Jill jura entre ses dents contre l'Aether qui lui jouait des blagues juste quand ça devenait vital de le manier, du coup, la poisse étant contre elle, elle laissa Karl et Durdent combattre, se concentrant pour aider Gerhard à monter, lui tendant la main (ou une corde ou n'importe quoi d'utile pour le tirer "à bord")... Bon, Gerhard tendait la main vers Karl, mais elle pouvait peut-être lui tendre son bâton pour le tirer ?

Nota : Gerhard étant un peu lent à comprendre, elle l'appelle avec un "par ici" ou "attrape, je te tire", ou n'importe quoi d'autre de court et fonctionnel.

...

Si elle ne peut vraiment rien faire pour son collègue, elle essaie de voir un chef gobelin et lui envoyer une flèche magique, en espérant que ça marchera, ce coup-ci...

[Crépuscule]

Cool ... j'ai eu peur un moment de connaitre le scénar ce qui aurait pas été drôle, d'ailleurs c'est un officiel ou c'est un maison?

Eloïse ouvrait donc la route, elle pris un peu de distance, histoire de pouvoir alerter à temps si un obstacle se présentait ... dans ces chemins peu usités, il n'était pas rare de trouver des arbres pourris encombrant le passage. De temps à autre, elle essaye de voir si les autres sont en difficulté afin de faire demi tour le cas échéant si le chariot était ralenti ou immobilisé.