[PEC] - BOTTTOS Chap III - Vers l'Avenir

[Iris]

Lucrèce effectivement était un peu plus contente quand on lui parlait, limite si elle risquait de ressembler à une chatte ronronnant parce qu'on la caressait dans le sens du poil... Il était également évident que le reste de l'explication de Luther était plutôt fumeuse pour elle, ça lui passait au-dessus de la tête et elle se contentait d'un "les plantes sont magiques", sans chercher plus loin.

Puisque Luther voulait voir ce qu'elle arrivait à faire, elle l'invita à l'accompagner dans la serre... et réfléchissait en chemin à ce qu'elle pourrait bien trouver d'amusant à faire... hors de question de s'embêter avec des utilisations barbantes de super pouvoirs... Après un long dialogue intérieur, elle opta pour se laisser surprendre... Voyons...

Elle imagina le charme délicieux et piquant et un zeste kitsch & érotique de certains passage de Tarzan avec Jane dans la forêt tropicale, un nid douillet et romantique, aérien, plein de tout ce qui pouvait être nécessaire : lit confortable, fruits savoureux, parfums capiteux, fin rideaux de fleurs, un cadre enchanteur où elle pourrait discuter avec Luther (qui d'ailleurs risquait de devoir demander comment faire pour en ressortir). Elle avait un esprit joyeux, joueur, un brin séducteur, mais plutôt enfantin et amusé, c'était un peu une rêverie de jardin secret imaginaire qu'il n'est normalement possible que de créer dans un studio, à grand renfort de truquage et travail du décor.

...

[Crépuscule]

** Pendant le repas ***

"Vous savez, la physique ce n'est qu'une histoire de stimulation le plus souvent, un déclencheur, un processus et une réaction. Il vous faut donc trouver vos déclencheurs et leurs réactions, ce que nous avons commencé à faire ce matin, et comprendre le processus vous permettra de contrôler vos dons.

Par quoi commencer ..

Commençons par la base, imaginer un pendule, ce sera notre oscillateur. Ce dernier va accumuler temporairement de l'énergie s'il est soumis à une excitation, dans notre cas, si vous lui donner du mouvement. Il sera alors le siège d'oscillations, c'est à dire le phénomène par lequel l'énergie du pendule passe d'une forme à une autre de façon périodique, évoluant ainsi de part et d'autre d'un équilibre stable. Bien, à vos têtes je pense que je rentre trop dans les détails. Donc repartons de notre pendule. L'oscillation peut être amortie, c'est le cas avec la gravité, qui fini par ramener notre pendule dans son état stable, ou forcé, si vous réinjecté à intervalles régulier de l'énergie, l'oscillation augmentera, comme sur une balançoire, quand on remue les jambes au bon moment, ce qui permet d'accroitre l'oscillation, et donc dans le cas de la balançoire de monter plus haut. La résonance c'est cela, cet effet d'accumulation en injectant de l'énergie au bon moment par rapport aux oscillations. Sur une corde ou sur une colonne d'air par exemple, cela va créer une onde, c'est pourquoi on retrouve cette notion dans les instruments de musique ou les récepteur radio.

Je vous explique cela car c'est la base, et que je pense que vous agissez en partir comme un oscillateur, vous êtes comme le pendule, mais avec une particularité que l'on retrouve dans le quartz, le phénomène piézoélectrique. Ce phénomène peut se traduire en quelque mots par la transformation d'une contrainte mécanique en électricité, et inversement. Dans le cas du quartz, lorsqu'il est soumis à un champ électrique,il va se déformer. Lorsque le champ est coupé, le quartz va générer à son tour un champ électrique lorsqu'il va reprendre sa forme initiale, ce qui lui permet d'osciller à une fréquence très stable.

C'est ce même phénomène qu'on retrouve dans les sonars, l'onde acoustique stimule les composants piézoélectriques très sensible et précis qui transforme cette force en signal électrique."

etc etc etc (parce que le MJ n'a pas de diplôme en physique et a eu 8 au bac ^^)

*** Après le dessert ***

Luther accompagne donc Lucrèce tandis qu'il conseille à Grayson de travailler en suivant son instinct maintenant qu'il avait une petite idée du processus et des déclencheurs et réactions.

Dans la serre, les plantes poussèrent et grossirent, et un nid façon 'marsupilami' se forma peu à peu dans les hauteurs, caché derrière d'immense feuille. De nombreuses fleurs magnifiques avaient fleuries et des fruits aux couleurs vives se formèrent aussi.

Une sorte de nénuphar poussa sous leur pied. Il était massif et solide, supportant le poids et la sensation fut très étrange quand ils commencèrent à être soulevés du sol par cette feuille massive dont la tige les poussait de plus en plus haut et la ramification s'allongea pour les porter jusqu'au nid.

L'endroit était tel que Lucrèce l'imaginait. Luther était souriant et le regard émerveillé. Il avait du mal à comprendre le mécanisme mais il était envoûté par la magie qui se dégageait de ce don. De plus, l'endorphine coulait à flot dans leur corps à tous les deux, des senteurs aphrodisiaques imprégnaient l'air, stimulant leur production d'hormones. Tout cela ajouté à la chaleur de serre encore accentué par le nid.

"Eh bien je crois que je pourrais t'être d'une grande aide dans ce domaine, les plantes semblent t'être complétement dévouée et tu les fait croître à ta guise ..."

Et visiblement, si Lucrèce n'était pas uniquement concentrée sur les yeux de Luther, ça ne concernait pas que les plantes ...

A tiens j'ai lutté mais j'ai retrouvé concernant ses yeux :

Elle les avait cru noirs jusqu'alors mais elle pu remarquer avec cette proximité comme un reflet irisé autour de ses pupilles.

Car de là où elle est elle vois de nouveau ses yeux de près.

[Iris]

La première réaction de Lucrèce à la survenue du nénuphar fut un joyeux éclat de rire, mêlé de gloussements ravis tout en applaudissant les plantes, bref, des manifestations de satisfaction évidente à l'égard de son nouveau joujou merveilleux... Absolument fascinée par ce rêve devenu réalité, elle passait quelques instants à prendre la mesure de la douceur de ces pétales géants, se laisser enivrer par les délicieux parfums et goûter les fruits les plus petits, ceux qui tenaient en une bouchée.

Ce ne fut qu'alors qu'elle chercha le regard de Luther pour se faire une idée de son appréciation, sourire lumineux jusqu'aux oreilles... Et là elle commença à être un peu troublée, légèrement dépassée par la situation qu'elle avait suscitée, heureuse de l'expérience, mais pas tout à fait sûre de ce qu'elle faisait, de ce qui pouvait se passer, et des conséquences, parce que voilà, "après", si elle écoutait sa part "végétales" instinctive, elle entamerait une relation une plus... compliquée... avec un homme passablement étrange... intéressant et un brin effrayant par aspect...

Que devait-elle faire ? ... Ce dont elle avait envie juste à la seconde, sans penser aux conséquences ? ... Partagée, elle baissa les yeux se demandant si la chaleur qu'elle se sentait au visage se voyait... une inspiration de la bouche, lèvres entrouvertes, envoyant des signaux comportementaux de désir malgré elle, elle chercha d'abord à trouver une position assise confortable, un peu digne, ou sérieuse, ou n'importe quoi qui ne ressemble pas à ce qui la tentait, à savoir plutôt d'ôter ses chaussures, de ses débarrasser de ses collants et de ne plus penser, juste ressentir... et du coup, pour le service floral, sans doute difficile de faire la part des choses puisque Lucrèce elle-même avait du mal à garder contenance.

De nouveau un coup d’œil aux yeux de Luther. Étrange tout de même ces reflets irisés ? ... Ne sachant plus trop où se mettre, elle se décida à répondre et discuter un peu pour ne pas se perdre dans le silence qui ne lui faisait pas penser à grand chose d'autre que son cœur qui battait si fort, et cette envie... Il la tutoyait ? Elle venait juste de s'en rendre compte.

" Merci, les plantes sont vraiment adorables, oui, je ne sais pas ce que j'ai fait pour mériter autant de dévouement de leur part, mais je pense que la moindre des choses désormais est de voter Vert pour chaque élection !" *une note d'humour, mais en fait, elle se sentait vraiment redevable et en devoir de faire quelque chose, en revanche, elle ne savait pas encore quoi*

" Luther, tu... vous...hum... je n'avais jamais vu chez quelqu'un d'autre ce genre de reflet irisé autour des pupilles ? ... c'est lié à votre... ton don ?"

Oui, parler de futilités pour ne pas penser.

[Crépuscule]

"Assurément" répondit simplement Luther, souriant, la regardant toujours dans les yeux.

Il finit par lâché ce lien pour déboutonner sa chemise, son torse musclé était tout autant dénué de poils que son crâne.
Lucrèce aussi avait chaud.

Quand il releva la tête, il lui dit :

"Tu sais, depuis le premier moment où je t'ai vu, j'ai su que tu allais bouleverser ma vie, et ça n'avait rien à voir avec ce qu'on a découvert dans la salle. C'est comme si une force invisible m'a attiré vers toi, c'est déstabilisant pour quelqu'un de pragmatique comme moi. Cette force, je pense qu'elle t'as aussi amené à moi, c'est le destin.
Et ici, je la sens encore. Ne le sens-tu pas?"

Le nid végétal semblait bougé légèrement, comme une respiration, ou des battements de coeur, et petit à petit rendait le cocon plus étroit, de manière subtil, mais de sorte que sans même vraiment s'en rendre compte, leurs hôtes se rapprochaient l'un de l'autre.

Quelques tiges souples rampaient ou ondulaient dans l'air vers eux, les touchant parfois mais se rétractant ensuite. Luther n'y prêtait pas attention, il était focalisé sur Lucrèce. Cette dernière savait que c'était ses envies profondes qu'écoutaient les plantes et qu'il suffisait d'un rien pour qu'elles arrachent la chemise de Luther et ses propres vêtements.

[Iris]

Lucrèce fut un peu frustrée de la réponse "un peu" courte de Luther relativement à ses yeux, elle aurait tout de même eu envie d'un peu plus, mais tant pis, il faudrait le cuisiner plus tard, dans l'immédiat... elle le regarda déboutonner sa chemise, elle avait envie de toucher sa peau, de sentir son odeur mais n'était pas très sûre de la manière dont serait interprété le fait qu'une jeune fille bien élevée se jetât sur lui, déjà qu'elle l'avait entraîné ici,... Un instant elle se demanda si Luther était totalement glabre, si cela valait pour l'ensemble de son corps.

... Elle déglutit, baissa les yeux et entrevit les tiges souples, soupira et dénoua son écharpe, parce que non, elle, quand il y a de la neige dehors, elle ne sort pas "juste" avec une chemise sur elle ! Comme l'espace devenait légèrement réduit et qu'elle était encombrée avec de vrais vêtements d'hiver qu'elle n'avait pas pris le temps d'enlever en entrant dans la serre, elle mit les "tiges" à contribution pour se mettre un peu plus à l'aise en profitant du service de "plantes-vestiaires"... en leur signalant mentalement que ces gentilles plantes vivaient dans une serre chaude mais qu'elle devrait ressortir dans le froid et la neige pour quitter les lieux après, donc qu'elle en aurait encore besoin.

C'était une déclaration d'amour, non ? ... ça y ressemblait beaucoup en tous cas... Le destin ? Qu'est-ce qu'il venait faire là-dedans ? ... Si elle n'avait été échaudée par l'épisode du Prince Charmant - Grand Méchant Loup, elle lui serait de suite tombée dans les bras, mais là, elle avait vécu une expérience qui lui avait appris à être plus prudente face aux grandes déclarations... D'un autre côté, ici, il était probablement "à sa merci" et elle protégée par les adorables plantes, elle n'avait donc en toute logique rien à craindre.

" Le destin... je ne sais pas... je... Luther..."

D'un côté, il y avait cet homme au magnétisme déstabilisant, de l'autre la conscience de la vie végétale qui lui gueulait plus ou moins un "bon, tu te décides ?!"... Elle ferma les yeux un instant pour bien expliquer aux plantes qu'on ne déchire pas les vêtements, ça complique considérablement la vie ensuite ! ... Avant de s'approcher un peu de Luther (vu l'espace réduit, toutes les amplitudes de mouvements paraissent être limitées par la force des choses), frôler puis caresser sa joue avec hésitation, surtout pour lui signifier qu'elle était d'accord, et dans la foulée, les gentilles plantes risquaient d'avoir fort à faire pour dénouer, défaire, ôter, sans tout déchirer / bousiller comme les brutes sauvages de désir qu'elles étaient... Enfin, pour la mesure des plantes, ça allait dépendre un peu de la manière dont Luther réagissait, parce que s'il l'embrassait avec fougue, elle répondrait de même, et ses bonnes résolutions sur la conservation utile des vêtements allaient être oubliées !...

[Crépuscule]

J'ai supposé qu'arrivés dans la serre où il faut bon, vous aviez déjà enlevé une couche ^^, en tout cas c'est cas pour Luther vu que Lucrèce, n'a pas pris le temps

[Crépuscule]

Les tiges essayèrent de faire au mieux, mais il allait falloir les aider un peu si les deux tourtereaux ne voulait être contorsionnés de manière peu pratique. Luther accompagna de ses bras le mouvement des plantes qui lui ôtait sa chemise après s'être glissées sous les manches, se penchant un peu en avant, se trouve de sorte penché légèrement vers Lucrèce qui lui caressa alors la joue.

Effectivement, Luther commença alors à l'embrasser, délicatement, ses lèvres étaient douces, et quand Lucrèce répondrait à son baiser, il passera sa main dans ses cheveux derrière sa tête et y mettra plus de fougue tout en l'allongeant doucement.

Le parfum enivrant volait autour d'eux, une douce lumière filtrée à travers les feuilles, la chaleur de leurs corps s'ajoutait à celle de la serre ...

[Iris]

Ah, les "plantes assistantes" avaient quelques limites pratiques, c'était plutôt amusant, mais pas tout à fait au point... au moins elle devait pouvoir se débarrasser de ses chaussures et collants, la sensation de sa peau nue enfin à l'air, pouvant "respirer" et sentir avec plus d'acuité son environnement tactile, les pétales, se rapprocher de Luther, se glisser autour de lui d'une manière pouvant rappeler les plantes grimpantes (histoire de poursuivre les métaphores végétales). Elle l'embrassait, l'enlaçait, soupirait, ressentait, et ne pensait plus vraiment, se laissait porter par le mouvement, n'aspirait qu'à sentir sa peau, son souffle, ses baisers, et donnerait à brève échéance un coup de main pour défaire la boucle de sa ceinture, mécanisme sans doute trop tordu pour les possibilités et la bonne volonté des plantes. Elle se laissait glisser dans la plus délicieuse des langueurs caressantes au cours d'une expérience d'abandon total en plein confiance en dépit de l'étrangeté conceptuelle d'être entourée de plante qui réagissaient à son intériorité et la mettaient dans une situation de double intimité, physique et psychologique, même si elle avait voulu dissimuler, tromper, le fait que les plantes réagissent à ses émotions lui interdisaient toute simulation, flatterie hypocrite, elle était prise sur le fait dans un état de "nature", transparente.

Son partenaire (qui n'était pas complètement stupide aux dernières nouvelles) comprenait certainement que son "destin" le menait ici, en cette serre, entourés d'une végétation en écho à la rencontrer au-delà des voiles éventuels, dans un état de vulnérabilité et de fragilité autant que de joie sans fard, qu'il s'agissait assurément, au moins pour elle (le bonhomme reste largement insondable) d'une expérience d'une intensité rare, qui dépassait sans commune mesure tout ce qu'elle avait pu vivre jusque là. ... s'il se révélait en réalité trouble, ambigu ou dangereux, le choc serait d'autant plus rude !

Mais en attendant elle se plaisait à danser, étroitement enlacée, d'une souplesse caressante, l'étreignant de tout son être, goûtant aux douceurs de cette belle après-midi dont le cours était suspendu au seul rythme des respirations et mouvements qu'elle accompagnait plus qu'elle n'initiait, désirant comprendre, ressentir, connaître les vœux, les goûts, les souhaits, la personnalité de son amant, d'une réceptivité attentive et curieuse autant que sensuelle.

... D'ailleurs... qu'est-ce qu'elle peut apprendre du "fond" qui se révèle (j'espère !) de ce cher Luther Irons ? (qui est quand même Monsieur Mystère depuis un moment !!)

[Crépuscule]

Joli post ... je ferai pas mieux ^^

Luther était passionné et délicat, mais également fort et meneur, même dans cette situation. Si Lucrèce décidait de se laisser faire, les plantes aussi prendrait leurs distances, les laissant, à l'abri des regards, s'unir, se lier l'un à l'autre au delà même des contacts de la chair.

Au delà du mystère de ses yeux, elle y lisait le désir de la découvrir et de la rendre heureuse.

[Iris]

Merci ! On notera les commentaires humoristiques à côté des élans lyriques ( ). Sinon, les passages à l'eau de rose, c'est comme les combats ou les énigmes, si ça ne sert pas à faire connaître les personnages ou introduire un enjeu dramatique utilisable par la suite, ça n'a pas trop d'intérêt, du coup, j'essaie d'aller dans cette direction, celle de mettre un peu de "contenu solide" avec les pures émotions et comme le but n'est pas de virer en mode pornographie, l'évocation vaut mieux que la description factuelle, objective... puis c'est plus sympa à lire je trouve... bref, voilà, toute ma démarche "érotique en JdR" résumée

Pour cette fois, Lucrèce était plus nettement d'humeur à suivre le rythme de Luther pour réellement faire sa connaissance, touchée qu'il soit aussi désireux de la "rendre heureuse", troublée de le trouver encore si "fort et meneur" y compris dans l'intimité, pour l'instant, elle ne se posait aucune question, l'acceptait et l'appréciait ainsi, profitant des quelques avantages de ce genre de dispositions d'esprit pour honteusement profiter des attentions décidées de son amant.

Dès lors on peut raisonnablement admettre que leur congrès s'acheva en la laissant essoufflé, totalement défaite, souriante, ne regrettant a priori pas trop d'avoir invité Luther dans son "nid"... et commençant très doucement à avoir l'esprit rationnel qui se réveillait avec une check list de tout ce qu'elle avait oublié : quelle heure était-il ? ... oups, elle ne se rappelait pas vraiment avoir pensé au préservatif, et avec les plantes qui récupéraient leurs vêtements, et même, Luther ne se baladait quand même pas chez lui avec une capote en poche !? ... qu'allait penser Grayson avec qui elle discutait il y a peu encore du mystère et du danger potentiel que pouvait représenter Luther ? comment les choses allaient-elles se passer entre eux désormais ? allait-il continuer à faire des secrets et des mystères ou se confierait-il désormais un peu plus à elle ? quel était au juste le lien entre ses iris irisés et ses pouvoirs ?

... bref, toute une mécanique pleine de questions et de curiosité se remettait en marche et toutes sortes d'idées et pensées lui traversaient l'esprit qui se réveillait alors qu'elle était encore étendue aux côtés de Luther, ravie et un peu distraite quand elle s'attachait à réfléchir ou répondre à une de ses questions... En fait, tout tourner autour de "Et maintenant ?" ...

Si vraiment, il ne prenait pas l'initiative de faire le point, elle tenterait un : "Comment ça se passe maintenant ? ... Je veux dire, qu'est-ce que ça va changer ou impliquer ? ... Tu as l'air de toujours tout prévoir, tu avais déjà pensé à cette... éventualité ? Et par rapport à tout le ... reste ? ... Qu'est-ce que tu en penses ?"

...