
[HRP] Artland - Livre des Morts - Saison 1
Re: [Projet] Artland - Livre des Morts
Je t'ai invité sur le tableau Sidhe, donc tu devrais pouvoir y poster à ta guise 

- Amnèsya
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Re: [Projet] Artland - Livre des Morts
C'est bizarre j'était absolument certain que tu allais mettre en relief ce points...
Mais je l'ai tenté quand même...
Donc voici les réponses préparées : (comme oui je trouve l'idée trop stylé)
- Elle l'a acheté bien avant de trempé dans le marché noir;
- Il est au nom de son amour décédé;
- C'est un cadeau en récompense d'une de ses actions... (la aussi il ne serai pas à son nom).
Dans le principe c'est plus pour le style qu'autre chose, même si elle est plus noir que mes persos, je ne l'imagine pas trop avec du sang sur les mains.
Adéliane : Vendu, le naufrage a été crée en raison d'un crime de lèse majesté envers une divinité marine^^... Cool ca fais des perso de plus sur la liste des ennemis potentiels...
je vais regarder pour le reste des avancé marines^^
++
Mais je l'ai tenté quand même...
Donc voici les réponses préparées : (comme oui je trouve l'idée trop stylé)
- Elle l'a acheté bien avant de trempé dans le marché noir;
- Il est au nom de son amour décédé;
- C'est un cadeau en récompense d'une de ses actions... (la aussi il ne serai pas à son nom).
Dans le principe c'est plus pour le style qu'autre chose, même si elle est plus noir que mes persos, je ne l'imagine pas trop avec du sang sur les mains.
J'avais bien dis à ta discrétion ^^3. Monnaie : bon, quand je vois la mention de "quelques" fusils sur un bateau ... je pense qu'il va falloir se rappeler que la Capitaine a dû déjà faire un emprunt pour avoir son bateau, elle l'a remboursé... elle ne roule pas sur l'or... donc... on va limiter l'artillerie à quelque chose de raisonnable... Plus proche de 1![]()
Adéliane : Vendu, le naufrage a été crée en raison d'un crime de lèse majesté envers une divinité marine^^... Cool ca fais des perso de plus sur la liste des ennemis potentiels...
je vais regarder pour le reste des avancé marines^^
++
C’était compliqué alors j’ai tenté d’expliquer ce qu’était le Graal pour que tous comprenne. C’était difficile alors j’ai essayé de rigoler pour que personne ne s’ennuie. J’ai raté mais je veux pas qu’on dise que j’ai rien foutu parce que c’est pas vrai.
- Iris
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Re: [Projet] Artland - Livre des Morts
Hello !
Faudra faire une biographie année par année si ça continue, j'ai du mal à suivre ce qui est avant ou après
... je te laisse y réfléchir, on verra comment ça s'articule, et des perches au MJ, je prends toujours, ça peut servir
Faudra faire une biographie année par année si ça continue, j'ai du mal à suivre ce qui est avant ou après

... je te laisse y réfléchir, on verra comment ça s'articule, et des perches au MJ, je prends toujours, ça peut servir

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- Amnèsya
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Re: [Projet] Artland - Livre des Morts






C'est ce qui arrive qu'on ont fait une historique par couche^^
J'attend encore quelques jours (globalement je ne sais donc pas car avec moi en ce moment ce que je ne fais pas quand je peux le faire...ca a tendance à être repoussée aux calendes grecs) pour voir s'il faut encore faire quelques retouches pour coller ou s'intégrer avec des pnj/pj puis j'assemble tous cela... dans la rubrique pj d'artland.
Pour ce qui est du bateau... A l'époque dont tu parle 1880 etplus c'est l'époque de la transition voile vers la vapeur... Toutes les inventions maritimes seront effectivement inventé un peu plus tard 1940-1950 lorsqu'on la main d'œuvre a été plus chers...
Donc soit faut réduire, soit faut imaginer que notre cher ingénieur m'a bricoler quelque truc suivant mes besoins...
Soit si on a à l'utiliser faudra recruter un équipage^^
++
Edit : Pour moi qui suis néophyte et je dois l'avouer totalement imperméable a toute notion de mode... Est-ce qu'il y a des conventions particulière en artland? On a inventer la mini-jupe, le pantalon etc... Evidement je suis en train de chercher un visuel pour Esper, la cohérence n'a jamais vraiment été une préoccupation dans mes persos, mais quand même lui faire prendre carguer des voiles en talon aiguille et bas résille on va évité... et de mémoire à l'époque concernée c'est quand même corset and co enfin je crois^^
C’était compliqué alors j’ai tenté d’expliquer ce qu’était le Graal pour que tous comprenne. C’était difficile alors j’ai essayé de rigoler pour que personne ne s’ennuie. J’ai raté mais je veux pas qu’on dise que j’ai rien foutu parce que c’est pas vrai.
- Iris
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Re: [Projet] Artland - Livre des Morts
Mode ? ... eh bien en avant ! je vous copie colle la section consacrée à la question. Evidemment, c'est un gruyère, évidemment, je complèterais...
Niveau visuel, les costumes élégants sont là, les tableaux & modèles sont choisis parce qu'ils sont raccord avec le cadre
: http://pinterest.com/joelledeschamp/artland/
Calendrier : il y a deux calendrier, vous êtes en 1231 pour l'un d'eux, je n'ai pas mis à jour ce texte avec les dates en calendrier républicain... enfin, l'essentiel est d'identifier "présent" et "passé"...
Corset : c'est fini ! (Sauf pour les masochistes & fétichistes) Les vêtements ajustés en revanche n'ont pas disparu.
Marin : en principe tu t'habilles tout bêtement ... comme un marin homme
... Donc : pull "irlandais" + casquette + pantalons de velours côtelé, ce sera la base. Sinon tu peux chercher du côté des costumes bretons traditionnel fin XIXe
... par contre, c'est pas avec ces fringues qu'on te laisse entrer dans un lieu élégant, tu restes dans le vestibule... et tu es même encouragé à te présenter à l'entrée de service !
...
Fringue & coût de la vie : alignez-vous sur le prix des vêtements faits sur mesure ou en semi-sur mesure. Vous remplacez euro par denier et ça vous indique le prix des fringues de première main. Pareil, les chaussure, alignez-vous sur les chaussures de qualité supérieure et pleurez en songeant au prix de la garde-robe de votre perso. Se faire bousiller un costume en tweed, c'est voir saccagé plus de 1000 deniers... Sachant qu'un salaire mensuel assez satisfaisant est à 1000... et qu'on attend de vous, si vous avez une vie sociale, que vous ayez une garde-robe convenable. Voyez les choses du bon côté : la solidité à l'usure est associée au prix. Vous comprenez accessoirement pourquoi la moitié de la population pratique la couture (Artisanat).
PS : l'équipe de l'étudiant trop curieux renonce à vous rejoindre au profit d'un rythme de jeu plus lent qui correspond mieux à leurs attentes. Donc vu le rythme demandé qui me donne à rédiger mon prochain post pour eux dans ... bien deux semaines... je pense que je vais déconnecter leur fin de votre démarrage. On commencera donc... quand tout le monde sera prêt... et que de mon côté j'aurais épongé les urgences estereniennes du moment
Niveau visuel, les costumes élégants sont là, les tableaux & modèles sont choisis parce qu'ils sont raccord avec le cadre

Calendrier : il y a deux calendrier, vous êtes en 1231 pour l'un d'eux, je n'ai pas mis à jour ce texte avec les dates en calendrier républicain... enfin, l'essentiel est d'identifier "présent" et "passé"...
Corset : c'est fini ! (Sauf pour les masochistes & fétichistes) Les vêtements ajustés en revanche n'ont pas disparu.
Marin : en principe tu t'habilles tout bêtement ... comme un marin homme

... par contre, c'est pas avec ces fringues qu'on te laisse entrer dans un lieu élégant, tu restes dans le vestibule... et tu es même encouragé à te présenter à l'entrée de service !

Fringue & coût de la vie : alignez-vous sur le prix des vêtements faits sur mesure ou en semi-sur mesure. Vous remplacez euro par denier et ça vous indique le prix des fringues de première main. Pareil, les chaussure, alignez-vous sur les chaussures de qualité supérieure et pleurez en songeant au prix de la garde-robe de votre perso. Se faire bousiller un costume en tweed, c'est voir saccagé plus de 1000 deniers... Sachant qu'un salaire mensuel assez satisfaisant est à 1000... et qu'on attend de vous, si vous avez une vie sociale, que vous ayez une garde-robe convenable. Voyez les choses du bon côté : la solidité à l'usure est associée au prix. Vous comprenez accessoirement pourquoi la moitié de la population pratique la couture (Artisanat).
MODE
Quand une mode apparaît en ville, elle commence par être portée par une minorité de grande richesse et / ou des milieux de la scène. Puis en l’espace de quelques années, elle se diffuse dans toute la société. Au sein d’un même courant dominant, plusieurs sous – courants se manifestent, avec parfois des retours en arrière, des effets d’influence, des provocations et des particularismes individuels ou de milieu.
HISTOIRE DE LA MODE
Les Fragilités (1100 – 1200)
Spécificités
Par courant des « fragilités » on entend une mode qui mettait en avant la douceur et la vulnérabilité des femmes. Étaient ainsi appréciés les tailles fines, les jupes très larges et très longues, les superpositions de jupons, les petits chapeaux noués coupant la vue sur les côtés de la même manière que des œillères, des souliers à talons haut nécessitant souvent une aide masculine pour traverser des surfaces irrégulières ou humides…
Remise en cause
Critiqué d’un point de vue idéologique, les « fragilités » se virent reprocher de placer les femmes en position d’infériorité, mais également de leur empêcher la pratique de nombreuses professions, les transformant uniquement en jolies poupées. Le coup final à ce courant fut porté dans les années 1180-1200 par des médecins qui dénoncèrent des abus de corsets trop serrés, avec des dégâts sérieux sur la santé des femmes. Désormais les « fragilités » encore largement portées sont plus confortables et moins extrêmes en dehors des circonstances les plus exceptionnelles et pour une toute petite minorité de la population.
Crinolines (1120 – 1170)
Pendant environ un demi-siècle, les jupes amples ont largement dominé la mode. Les nuances et évolutions se faisaient sur l’ampleur, les matériaux, la forme des manches et les accessoires mis en valeur.
Les costumes populaires ont parfois hérité de certains détails, les jupes amples n’ayant jamais totalement disparu des campagnes. Là, elles sont agrémentées de broderies, dentelles et rubans, fruits de l’artisanat local et souvent familial, avec un conservatisme qui tient de l’affirmation identitaire.
Tournure (1170 – 1200, +1225…)
En réaction aux très larges crinolines, la ligne de la tournure se concentre sur la seule courbe de la chute de rein, avec le port d’une armature soutenant la robe, et en particulier toute la construction de nœuds et plis soulignant taille et fesses jusqu’à les faire totalement oublier.
Mode tapisserie : variante de la ligne de la tournure consistant à utiliser des tissus très raides et d’orner l’ensemble de galons, franges, pompons…
Mode éclatante : variante de la ligne de la tournure consistant à utiliser des tissus particulièrement brillants, et ce dans des tissus monochromes aux coloris tranchés, comme des soies bleu électrique, vert acide, rose vif…
Récemment la tournure a réapparu sous une forme plus légère, plus pratique et moins extravagante que la tournure de la grande époque.
Romantisme (1200 - …)
Parallèlement au développement du modernisme dans le costume féminin, un certain retour en force des rubans et volants est à noter, particulièrement sous l’influence du romantisme qui connaît de nombreuses variations et variantes :
Exotisme : mise en valeur d’éléments étrangers (accessoires tels châles ou sacs et bijoux), des motifs de tissus éclatants qui évoquent les tapisseries et tableaux, les symboles… Le tout sous forme d’imprimés.
Gothisme : variante sombre du roman-tisme dans lequel l’amour passionné et tragique domine. Le noir est la couleur de base, en contraste violent avec d’autres teintes qui sont ainsi mutuellement mises en valeur.
Eau de rose : courant typique des jeunes filles mais pas uniquement, beaucoup de femmes aux foyers et certains hommes aussi apprécient beaucoup ce romantisme optimiste dans lequel un bonheur bourgeois est toujours au bout du chemin. Les couleurs pastel sont privilégiées (rose pâle, bleu pâle) en association avec de la dentelle blanche souvent.
Les Pratiques (1200 - …)
Spécificités
Porté par le féminisme et par les préoccupations hygiénistes, le courant dit des « pratiques » se veut débarrassé des corsets et des armatures rigides dissimulées sous les vêtements. Même si elles demeurent minoritaires, les femmes hésitent de moins en moins à porter des pantalons pour les activités de plein air, le sport, ou dans la pratique de certaines professions. La robe ou la jupe demeure toutefois dans les esprits la véritable marque de l’élégance et de la distinction, de sorte que dans les lieux où une « tenue correcte est exigée » (opéras, restaurants chics, bals…), les femmes en pantalons sont refusées, de même que les hommes ne portant pas de costume trois pièces et couvre-chef.
Courant : L’influence du bureau (1200 - …)
Deux influences majeures ont transformé la garde-robe féminine, l’une d’elle est le vêtement professionnel, en particulier de bureau. Le tout aboutissant à des vestes ou gilets rappelant ceux des hommes, parfois agrémentés, retouchés de rubans et fantaisies. Le pantalon existe en deux modèles principaux. L’un est celui venu de l’armée, de la randonnée et de la pratique du golfe ou d’autres sports, soit légèrement bouffant et accompagné de bottines solides à semelle épaisse, sans talons ; l’autre est celui des dandys, fermé généralement sur les côtés par des boutons dissimulés et tombant en une ligne fluide.
Courant : ligne fluide (1230 - …)
Une innovation récente est celle de la ligne fluide, une nouvelle manière de considérer l’élégance des robes. Ce courant point tout juste et est encore limité à des milieux modernistes et préoccupé par un développement industriel plus en simplicité et sobriété. L’idée est de développer des vêtements luxueux en drapés et soieries, des coupes impeccables, un minimum d’artifices, une taille totalement libérée.
LA MODE COMME FAIT SOCIAL
L’intérêt des peintres
Les peintres accordent depuis de nombreuses années un grand intérêt à la mode qui est un marqueur du temps présent et donc de la modernité. Outre cet aspect lié à l’effervescence et l’impermanence, les robes constituent un défi pour qui cherche à rendre sur la toile la diversité des textiles, leur finesse et la manière dont ils captent la lumière ou comment ils mettent la peau en valeur.
La mode dans l’économie
Grandes villes
Les quatre grandes villes artlandaises, Liberté, Dôme, Brillante et Espérance, sont toutes dotées de grands magasins. Là, les clients se promènent dans une sorte de palais de couleurs chatoyantes, entourés de miroirs et dorures. Il est possible d’y passer des heures à flâner, essayer des accessoires, prendre le thé, acheter des confiseries ou déguster des glaces… Ces établissements ont des noms évoquant les temps heureux, le plaisir, la joie : « Au bonheur des dames », « Solstice », « Au bon temps », …
Boutiques de modiste
Toutes les villes de petite à moyenne taille comportent au moins une bou-tique de modiste dans laquelle acheter du tissu au mètre et des accessoires de couture. Il est également possible d’y commander des vêtements comme chez un tailleur. Les modistes sont plutôt orientés vers la confection de robes tandis que les tailleurs sont spécialisés dans les costumes trois pièces, manteaux, vêtements de bureau… Plus la population est nombreuse et plus les boutiques sont spécialisées sur certains produits : chapeaux, parapluies, sacs, fleurs arti-ficielles, ganterie, éventails, ombrelles, rubans, franges, dentelles, chaus-sures…
La machine à coudre
La machine à coudre est un des grands succès artlandais. Elle se répand dans le monde, depuis les comptoirs. Tous ceux qui pratiquent la couture sont heureux d’en posséder une, et d’aller bien plus vite qu’avec simplement une aiguille et du fil. Ce progrès est devenu une norme et la grande majorité des foyers ont au moins un de ces précieux appareils qui pourtant coûtent cher : les ordres de grandeur sont des multiples de 1000 deniers pour les appareils de seconde main, et jusqu’à 10 000 pour les pièces neuves de la plus belle qualité. L’acheteur se console en sachant qu’elle durera des dizaines d’années si elle est bien entretenue.
Technique : La couture fait parti des savoir-faire appris dans « L’entretien de maison », discipline courante d’ARTISANAT. Il existe des travaux simples accessibles pour les débutants autant que des points très complexes qui ne peuvent être réalisés que par des professionnels. De manière générale, un bon artisan sera également bien plus rapide qu’un débutant. La majeure partie de la population a des bases solides (5 à 10) dans différents artisanats et peut donc aisément trouver du travail dans ses métiers : couture, cuisine, réparations, ménage…
La presse spécialisée
La presse spécialisée dans la mode présente tout ce qu’il est nécessaire de savoir pour suivre ce domaine évanescent avec une forte composante de travaux manuels :
Patrons de modèle : pour coudre soi-même les robes ou apporter l’article chez sa couturière pour obtenir une robe sur mesure, adaptée aux goûts ou à la morphologie des clients
Mode d’emploi : pour broderies et tricots visant à imiter des productions normalement hors de prix
Chroniques mondaines : décrivant les robes d’actrices et d’héritières, les récents défilés et courses hippiques… Les articles se présentent comme des récits, de petites histoires qui doivent permettre au lecteur de pouvoir s’imaginer y avoir été
Conseil : pour se coiffer, maquiller, choisir les bonnes couleurs et éviter les fautes de goût…
Au gré des saisons & circonstances
Un phénomène urbain
Dans les régions pauvres ou excentrées, la population porte pratiquement les mêmes vêtements en toute saison, l’essentiel étant qu’ils soient solides. S’il ne faut avoir qu’une seule robe ou tenue, elle doit être noire ou à la rigueur d’un bleu marine, d’ailleurs pratiquement les adultes ont au moins un ensemble dans ces couleurs dans sa garde-robe. Cependant, les habitants des villes moyennes à grandes souhaitent très largement suivre la mode, symbole de liberté et de changement. Il s’agit en effet d’être différent à chaque saison et de cultiver ses particularités individuelles afin d’avoir son « style » propre, tout en étant assorti à ses pairs…
Un marqueur de richesse
Une tenue complète (avec chemises de rechange par exemple) de bonne qualité coûte dans les 1000 deniers. Les costumes de jour sont assez semblables depuis la classe moyenne jusqu’aux classes supérieures et il est aisé d’aller et venir en ville sans avoir honte de soi. Le véritable marqueur social réside dans la capacité à se changer en ayant des tenues adaptées à différentes circonstances.
Un homme peut assister à la plupart des situations sociales en alternant tenue de jour urbaine, tenue de cam-pagne et smoking ; en revanche cette recherche d’économie sera un peu plus flagrante chez une femme compte tenu de la diversité visible des robes.
Tenue de jour urbaine : pour les affaires, le bureau ; aller au concert de midi… On reconnaît les ensembles de femmes à ce que le haut et le bas ne soient pas solidaires, il s’agit d’une veste et d’une jupe dans la majorité des cas. Pratique pour marcher et travailler, coupe et couleurs sobres.
Tenue de visite mondaine : élégante, plus soignée, mais néanmoins assez confortable ; pour les fêtes de jour
Tenue de dîner : smoking ou robe soignée ; assortie de bijoux et accessoires de prix
Tenue de campagne : adaptée à la marche, en lainage, chaude et confortable
Tenue de plage & d’été : tissus légers, en lin ou coton, de couleurs claires
Tenue de cavalier : botte, pantalons adaptés et renforcés, veste ; tenue d’amazone pour celles qui montent de cette manière
Tenue de bal : smoking ; robe de bal, donc adaptée à la danse, mais souvent aussi très décolletée et affriolante
Tenue de soirée : pour l’opéra ou le théâtre, d’un style assez proche des contraintes de la tenue de dîner mais souvent plus spectaculaire et mettant davantage l’accent sur le manteau.
MODE MASCULINE
Les principales composantes sont le pantalon, la redingote, la jaquette, le gilet complétant le veston, le haut-de-forme (ou le melon ou le canotier). La silhouette est globalement près du corps. Aucun homme appelé à se présenter dans un contexte élégant ne sort sans canne ni gants.
Expression de fantaisie
La seule véritable fantaisie réside dans le choix du tissu : pied-de-poule, carreaux, rayures…
À quoi il faut ajouter les variations de largueur du pantalon, étroit ou large. En ville le pantalon est censé tomber sur la bottine avec un pli cassé.
COIFFURE
Les cheveux libres
Les cheveux libres appartiennent au monde de l’intimité, dans la famille ou le couple. Les cheveux libres en public sont signes de folie, de souillure ou la marque provocatrice de prostituées. Seuls les cheveux courts peuvent être laissés tels quels, et encore est-ce uniquement le fait de femmes qui travaillent dans des métiers actifs, modernes ou physiques.
La nuque
La nuque est une partie du corps fantasmé, désirée, offerte par les cheveux relevés, évoquant le sexe, peau qui se dévoile dans l’intimité, entourée d’une toison. Tenir la nuque est un premier geste de possession du corps de la femme, violente ou tendre ; de même que dénouer ses cheveux, défaire sa coiffure.
Les cheveux pleins de pouvoir
L’imaginaire des cheveux féminins est lié à l’eau : fluide, volant, coulant, cascadant… Les peintures représentent la femme aux cheveux détrempés, flottant dans l’eau, tirant, essuyant, coiffant… Il s’agit presque d’une force qui sort du registre ma-tériel, quelque chose qui lie au monde surnaturel, bienveillant ou malveillant. Les cheveux échappent à la corruption de la mort, la chevelure de la morte demeure, s’étend, peut être touchée, caressée, et semble continuer à pousser…
Cheveux et identités
Les cheveux sont le signe le plus malléable de l’identité de la femme : coupés, teintés, perruque… Changer de coiffure, c’est changer de vie. Couper les cheveux d’une femme contre son gré est courant dans le cadre d’une violence idéologique.
Pour un chignon à rubans et anglaises
Une raie au milieu, les cheveux tirés en arrières et serrés dans une très large barrette plate qui ramène le surplus d’une vingtaine de centimètres au moins en hauteur. Deux rubans large de belle couleur sont noués et placés pour réaliser des boucles ravissantes et pleines de volume. Ces rubans peuvent être attachés à des peignes ou épingles qui permettront de les placer dans les cheveux tirés et aideront à donner une direction aux nombreuses mèches qui dépassent de la barrette qui maintient le chignon. Pour finir, un fer à friser est utilisé sur les mèches afin d’obtenir un effet d’anglaises qui tombent comme dégringolant d’un ruban placé où pourrait se trouver la corne chez un animal. Ces boucles, presque rigides et longues, tout en étant pleines de rebond apportent à la coiffure à la fois le mouvement et la structure sur une base qui était très stricte.
PARFUMERIE - SOURCES DES ABSOLUS
L’île de Grâce la Parfumée dans l’Archipel du Soleil
Un territoire consacré aux parfums, un lieu enchanteur, plein de champs de fleurs, de fragrances, de senteurs, et qui sert de base à l’export d’essences principalement vers Artland, l’Archipel du Soleil, les Deux Roses, Rangar, Ravensbrück…
Du travail du cuir au parfum
Originellement les techniques développées sur l’île étaient le développement de méthodes inventées dans les Terres d’Encens et visant à préparer du cuir, certes à l’aide de nombreux excréments et substances répandant une puanteur à peine soutenable, mais ensuite, à tremper le cuir dans un produit parfumé qui changerait l’odeur du produit ensuite séché.
La « concrète »
Terme désignant le jus de parfum directement tiré de la plante. C’est à partir de la concrète qu’est tiré le concentré appelé « l’absolu » dont se servent les parfumeurs.
COSTUME VESMERI
Broderies
Une caractéristique commune aux différentes lignées vesmeri est la part importante des broderies dans le costume. Cet art se manifeste avec une grande richesse, sur les vêtements et le linge de maison. Les motifs sont géométriques ou figuratifs et dans ce cas, stylisés.
PS : l'équipe de l'étudiant trop curieux renonce à vous rejoindre au profit d'un rythme de jeu plus lent qui correspond mieux à leurs attentes. Donc vu le rythme demandé qui me donne à rédiger mon prochain post pour eux dans ... bien deux semaines... je pense que je vais déconnecter leur fin de votre démarrage. On commencera donc... quand tout le monde sera prêt... et que de mon côté j'aurais épongé les urgences estereniennes du moment

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Re: [Projet] Artland - Livre des Morts
(HRP j'ai évidemment pas tous lu sinon c'est sûr que je vais pas bosser^^)...
.... Cherche.... Cherche....
En parlant d'artisanat, Il reste pas quelques XP à dépenser sur Esper... Parce que je crois que je/tu/elle n'a pas prit cette option... Hors cela fait pas trops... Tu vas pas loin si tu ne sais pas coudre tes voiles... (Je suis incapable de faire un ourlet, mais les travaux simples de voilier à l'époque je savais faire)...
A moins que tu rentre cela dans réparation^^
.... Cherche.... Cherche....
En parlant d'artisanat, Il reste pas quelques XP à dépenser sur Esper... Parce que je crois que je/tu/elle n'a pas prit cette option... Hors cela fait pas trops... Tu vas pas loin si tu ne sais pas coudre tes voiles... (Je suis incapable de faire un ourlet, mais les travaux simples de voilier à l'époque je savais faire)...
A moins que tu rentre cela dans réparation^^
C’était compliqué alors j’ai tenté d’expliquer ce qu’était le Graal pour que tous comprenne. C’était difficile alors j’ai essayé de rigoler pour que personne ne s’ennuie. J’ai raté mais je veux pas qu’on dise que j’ai rien foutu parce que c’est pas vrai.
Re: [Projet] Artland - Livre des Morts
Tu as Artisanat à 7 dans ta fiche 

- Iris
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Re: [Projet] Artland - Livre des Morts
J'ai chiffré ta fiche, je t'ai bien sûr mis de l'artisanat ! Même Métier "Fermier" et "Marin" dedans comme spé.
... alors avec 7, tu n'es pas la meilleure réparatrice / manuelle du monde, mais pour les travaux courants, ça fait l'affaire, au pire en prenant son temps.
... les seules fiches que je conçois qui n'ont pas d'artisanat sont les gens des classes supérieures, tous les autres ont le bricolage au minimum de base

... les seules fiches que je conçois qui n'ont pas d'artisanat sont les gens des classes supérieures, tous les autres ont le bricolage au minimum de base

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Re: [Projet] Artland - Livre des Morts
Je viens de me lire les éléments relatifs à la mode... J'ai pris peur quand j'ai vu le coût et la quantité à avoir !
Le premier qui fait un accroc à ma veste je le tue !
Le premier qui fait un accroc à ma veste je le tue !

- Iris
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Re: [Projet] Artland - Livre des Morts
Une des premières leçons pour apprendre à parler artlandais :
"My tailor is rich."
.... 
"My tailor is rich."


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