Helefrt 2.2 - Initiations et découvertes
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Chroniques d'Helefrt 2.1 - (Re) Prendre goût à la vie
Eozen la suit sans sourciller, sourit à la proposition.
"Je suis d'accord ! Tu pourras monter sur Ankou, il t'aime bien. Et je te fait confiance pour un joli coin plein de nature, j'aime l'eau !"
"Je suis d'accord ! Tu pourras monter sur Ankou, il t'aime bien. Et je te fait confiance pour un joli coin plein de nature, j'aime l'eau !"
"Trois cents hommes au torques d'or attaquèrent :
La lutte pour le pays était farouche.
Bien qu'ils fussent massacrés, ils tuèrent,
Jusqu'à la fin du monde, ils seront honorés."
-- Aneirin Y Gododdin XC
La lutte pour le pays était farouche.
Bien qu'ils fussent massacrés, ils tuèrent,
Jusqu'à la fin du monde, ils seront honorés."
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Suite
Ambre, taquine :
" Ah non, pas de jaloux ! ... puis, je ne voudrais pas vous séparer... Je prends le caernide ! Essayez donc de me rattraper !"
Sur quoi elle courut jusqu'à chez elle, passa dans la cuisine, jetant un peu pêle-mêle dans un sac tout ce qu'elle estimait vaguement utile, avant de confier le paquetage au premier de ses chevalier-servant venu. Ensuite, direction l'étage, pour récupérer de quoi dormir à peu près confortablement et au chaud. Là aussi, elle confia le paquetage aux garçons avant de passer dans un enclos à caernide et en emprunter un qui devait être utilisé habituellement par son père : "Suivez-moi, j'ouvre la route avec ma lanterne ! Ne vous perdez pas surtout ! "
...
De nuit il n'y avait pas grand chose à voir de la forêt plongée dans l'obscurité, une ambiance irréelle, sous un ciel étoilé, si clair qu'il semblait possible de toucher ces astres nocturnes ou de plonger dans cet océan éthéré et paisible. En dehors des chouettes qui hululaient, il n'y avait bientôt aucun bruit en dehors du pas et des souffles des animaux, la voix joyeuse et un peu excitée aussi d'Ambre les appelait à la suivre, elle qui menait sa monture d'un bon pas, de sorte que la promenade fut presque courte.
" Voyez, c'est ici."
Il s'agissait d'un cadre enchanteur, une petite cascade qui tombait dans un petit étang à l'eau transparente et scintillante, reflétant le ciel, la lumière pâle de la lune et celle de la lanterne posée. Pragmatique, la demoiselle indiqua aussi la grotte charmante tout à côté et l'herbe tendre qui poussait au devant pour poser les affaires, s'offrant une gorgée de cidre pour se désaltérer de ses récentes courses, soufflant, tournant sur elle-même bras écartés pour s'enivrer de la danse et de la beauté de ce lieu merveilleux. Elle jeta ses chaussures dans un coin de même que sa ceintures aux grelots et ses bracelets :
" L'eau est tout le temps tiède ici."
Joignant le geste à la parole, elle s'agenouilla pour plonger sa main dans l'eau, en regardant les deux hommes qui l'accompagnaient :
" Je crois me souvenir qu'Eozen apprécie les chemises mouillée et qu'Elwin parlait de concours de ce genre aussi ce matin..."
Hésitant un instant en se mordant doucement la lèvre inférieure et guettant leur réaction, elle décida dans une impulsion de tout simplement et littéralement se jeter à l'eau. Plouf, plonger, ressortir la tête de l'eau et rire en confirmant qu'elle était bonne.
...
" Ah non, pas de jaloux ! ... puis, je ne voudrais pas vous séparer... Je prends le caernide ! Essayez donc de me rattraper !"
Sur quoi elle courut jusqu'à chez elle, passa dans la cuisine, jetant un peu pêle-mêle dans un sac tout ce qu'elle estimait vaguement utile, avant de confier le paquetage au premier de ses chevalier-servant venu. Ensuite, direction l'étage, pour récupérer de quoi dormir à peu près confortablement et au chaud. Là aussi, elle confia le paquetage aux garçons avant de passer dans un enclos à caernide et en emprunter un qui devait être utilisé habituellement par son père : "Suivez-moi, j'ouvre la route avec ma lanterne ! Ne vous perdez pas surtout ! "
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De nuit il n'y avait pas grand chose à voir de la forêt plongée dans l'obscurité, une ambiance irréelle, sous un ciel étoilé, si clair qu'il semblait possible de toucher ces astres nocturnes ou de plonger dans cet océan éthéré et paisible. En dehors des chouettes qui hululaient, il n'y avait bientôt aucun bruit en dehors du pas et des souffles des animaux, la voix joyeuse et un peu excitée aussi d'Ambre les appelait à la suivre, elle qui menait sa monture d'un bon pas, de sorte que la promenade fut presque courte.
" Voyez, c'est ici."
Il s'agissait d'un cadre enchanteur, une petite cascade qui tombait dans un petit étang à l'eau transparente et scintillante, reflétant le ciel, la lumière pâle de la lune et celle de la lanterne posée. Pragmatique, la demoiselle indiqua aussi la grotte charmante tout à côté et l'herbe tendre qui poussait au devant pour poser les affaires, s'offrant une gorgée de cidre pour se désaltérer de ses récentes courses, soufflant, tournant sur elle-même bras écartés pour s'enivrer de la danse et de la beauté de ce lieu merveilleux. Elle jeta ses chaussures dans un coin de même que sa ceintures aux grelots et ses bracelets :
" L'eau est tout le temps tiède ici."
Joignant le geste à la parole, elle s'agenouilla pour plonger sa main dans l'eau, en regardant les deux hommes qui l'accompagnaient :
" Je crois me souvenir qu'Eozen apprécie les chemises mouillée et qu'Elwin parlait de concours de ce genre aussi ce matin..."
Hésitant un instant en se mordant doucement la lèvre inférieure et guettant leur réaction, elle décida dans une impulsion de tout simplement et littéralement se jeter à l'eau. Plouf, plonger, ressortir la tête de l'eau et rire en confirmant qu'elle était bonne.
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Re: Chroniques d'Helefrt 2.1 - (Re) Prendre goût à la vie
Eozen avait cédé avec un sourire et s'était précipité d'abord vers sa chambre, pour récupérer ses affaires, puis à l'étable, pour récupérer Ankou. Il chargea son étalon avec ce dont les autres ne voulaient pas - et il pouvait vraiment le charger ! - avant de suivre le caernide.
Ici, dans la forêt, le chevalier se sentit d'un seul coup au calme, bien. Cela lui avait manqué ces derniers jours, il devait l'avouer, et les bruits, les étoiles que l'on devinait à travers la voûte des feuilles, l'auraient incité à s'arrêter, juste admirer, s'il ne suivait pas Ambre qui semblait impatiente - et qui parvenait à transmettre ce sentiment au jeune étranger.
C'était donc une transition parfaite pour ce qui se passerait ensuite, comme une renaissance, un rappel d'où il venait, de ce qu'il avait accompli. Légèrement grisé, il rejoignit la grotte, laissant Ankou paître après l'avoir débarrassé. Ôtant ses bottes, laissant brassards, armes, bouclier et bottes sur son tas d'affaires, il alla admirer l'eau, son reflet, les étoiles qui y brillaient malgré la forêt aux alentours... Peut-être même certains C'maogh étaient-ils présents, ici, pour se désaltérer ou faire leurs affaires, et il leur adressa une brève mais sincère prière et demande de pardon pour ses actes futurs, avant d'enlever sa tunique et bondir à la suite d'Ambre, presque comme un enfant !
Presque, car Ambre, avec ses vêtements trempés, était une sacrée vision, qui faisait renaître ses sentiments...
Ici, dans la forêt, le chevalier se sentit d'un seul coup au calme, bien. Cela lui avait manqué ces derniers jours, il devait l'avouer, et les bruits, les étoiles que l'on devinait à travers la voûte des feuilles, l'auraient incité à s'arrêter, juste admirer, s'il ne suivait pas Ambre qui semblait impatiente - et qui parvenait à transmettre ce sentiment au jeune étranger.
C'était donc une transition parfaite pour ce qui se passerait ensuite, comme une renaissance, un rappel d'où il venait, de ce qu'il avait accompli. Légèrement grisé, il rejoignit la grotte, laissant Ankou paître après l'avoir débarrassé. Ôtant ses bottes, laissant brassards, armes, bouclier et bottes sur son tas d'affaires, il alla admirer l'eau, son reflet, les étoiles qui y brillaient malgré la forêt aux alentours... Peut-être même certains C'maogh étaient-ils présents, ici, pour se désaltérer ou faire leurs affaires, et il leur adressa une brève mais sincère prière et demande de pardon pour ses actes futurs, avant d'enlever sa tunique et bondir à la suite d'Ambre, presque comme un enfant !
Presque, car Ambre, avec ses vêtements trempés, était une sacrée vision, qui faisait renaître ses sentiments...
"Trois cents hommes au torques d'or attaquèrent :
La lutte pour le pays était farouche.
Bien qu'ils fussent massacrés, ils tuèrent,
Jusqu'à la fin du monde, ils seront honorés."
-- Aneirin Y Gododdin XC
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En attendant Elwin
La jeune fille s'était abrité la figure d'une main pour tenter d'éviter les éclaboussures du saut d'Eozen dans l'eau. Gloussant elle l'éclaboussa en retour sitôt qu'il sortit la tête de l'eau, nageant un peu à reculons, faisant signe à Elwin de les rejoindre sitôt qu'il serait sorti de sa rêverie :
" Alors ça vous plait ici ? On est assez près de la Forêt aux Esprits, c'est juste quelques centaines de mètres plus au sud ou sud-ouest, certains disent que ces lieux doivent être bénis aussi d'une manière ou d'une autre, mais c'est aussi un coin de rendez-vous et de pique-nique apprécié. Mais assez de leçons !"
Elle prit sa respiration et plongea pour nager en tournoyant un peu dans l'eau, jouer avec cette espèce d'apesanteur sous-marine. Même si l'eau était "bonne", elle n'en était pas moins rafraîchissante et vivifiante. Par transparence ou par le jeu des mouvements en nageant il était facile de noter qu'elle ne portait pas de sous-vêtements, elle n'avait donc sur elle que sa jupe ample et détrempée, et sa chemise à enfiler par la tête qui lui arrivait aux cuisses, tout aussi mouillée.
...
" Alors ça vous plait ici ? On est assez près de la Forêt aux Esprits, c'est juste quelques centaines de mètres plus au sud ou sud-ouest, certains disent que ces lieux doivent être bénis aussi d'une manière ou d'une autre, mais c'est aussi un coin de rendez-vous et de pique-nique apprécié. Mais assez de leçons !"
Elle prit sa respiration et plongea pour nager en tournoyant un peu dans l'eau, jouer avec cette espèce d'apesanteur sous-marine. Même si l'eau était "bonne", elle n'en était pas moins rafraîchissante et vivifiante. Par transparence ou par le jeu des mouvements en nageant il était facile de noter qu'elle ne portait pas de sous-vêtements, elle n'avait donc sur elle que sa jupe ample et détrempée, et sa chemise à enfiler par la tête qui lui arrivait aux cuisses, tout aussi mouillée.
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Re: Chroniques d'Helefrt 2.1 - (Re) Prendre goût à la vie
Le chevalier avait émergé après s'être appuyé contre le fond, et secoua la tête pour dégager toute eau de ses yeux. Il pouvait ainsi voir Ambre, sublime, moins que nue, plus que nue dans ses vêtements translucides, flottant à la surface de l'eau. Eozen nagea vers elle, lentement, se serra contre son dos et l'enlaça, commençant à embrasser son épaule, remontant rapidement le long de son cou, sa joue... se déhanchant comme lors de la danse, remontant les mains vers la sublime poitrine, cherchant les lèvres lorsqu'elle se cambrerait, et, se souvenant de sa présence, appela Elwin...
Un rien de gentillesse lui souffla de laisser faire son affaire avant, s'il le désirait... Mais les baisers ne comptaient pas !
Un rien de gentillesse lui souffla de laisser faire son affaire avant, s'il le désirait... Mais les baisers ne comptaient pas !
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Le sens des priorités ?
Ambre était restée un moment à nager et danser sous l'eau, remontant essoufflée à surface (dans les 2.50m au plus profond), avec pour seul moyen de ne pas avoir les cheveux mouillés dans la figure, d'émerger de manière à ce qu'ils tombent dans son dos. La jeune fille ne voulait pas se laisser attraper trop facilement, ce n'était pas drôle, mais se laissa capturer un peu, ça n'interdisait pas de s'esquiver à loisir un peu ensuite. Son souffle était plus rapide, pour reprendre sa respiration d'une longue apnée, et troublée, frissonnant presque de la manière dont il se déhanchait tout contre elle, derrière elle, à même de la surprendre à sa guise, se cambrant en soupirant, yeux mi-clos, ses lèvres et son soupir, comme assoiffée.
L'appel à Elwin la réveilla un peu, et puis, elle avait encore envie de nager, sourit à Elwin et à Eozen avant de glisser hors de son étreinte... pas facile de toute façon pour Eozen de tenir sa partenaire tout contre lui, la caresser et rester en même temps à la surface, sauf à l'entraîner plus près du bord.
Eozen voulait l'embrasser ? Qu'il la rejoigne sous l'eau ! ... Elle tournait, lui souriait, l'effleurait et en fait dansait jusqu'à être à bout de souffle, contrainte de revenir prendre de l'air à la surface en riant. Oh, elle ne s'échapperait pas longtemps à perdre le souffle, elle finirait par se fatiguer et être ravie d'être enlacée et réchauffée après... Elle échappait un peu à Eozen, mais seulement pour le plaisir de le laisser l'approcher, l'enlacer, évoquer par ébauche ce à quoi il aspirait.
... Et si Elwin ne se bougeait toujours pas bientôt, elle viendrait le chercher, grand sourire, plongeant son regard dans le sien, sortant de l'onde, dégoulinante, pour l'enlacer, l'embrasser à en perdre le souffle, encore, et l'aider à se débarrasser des parties les plus encombrantes de son équipement.
L'appel à Elwin la réveilla un peu, et puis, elle avait encore envie de nager, sourit à Elwin et à Eozen avant de glisser hors de son étreinte... pas facile de toute façon pour Eozen de tenir sa partenaire tout contre lui, la caresser et rester en même temps à la surface, sauf à l'entraîner plus près du bord.
Eozen voulait l'embrasser ? Qu'il la rejoigne sous l'eau ! ... Elle tournait, lui souriait, l'effleurait et en fait dansait jusqu'à être à bout de souffle, contrainte de revenir prendre de l'air à la surface en riant. Oh, elle ne s'échapperait pas longtemps à perdre le souffle, elle finirait par se fatiguer et être ravie d'être enlacée et réchauffée après... Elle échappait un peu à Eozen, mais seulement pour le plaisir de le laisser l'approcher, l'enlacer, évoquer par ébauche ce à quoi il aspirait.
... Et si Elwin ne se bougeait toujours pas bientôt, elle viendrait le chercher, grand sourire, plongeant son regard dans le sien, sortant de l'onde, dégoulinante, pour l'enlacer, l'embrasser à en perdre le souffle, encore, et l'aider à se débarrasser des parties les plus encombrantes de son équipement.
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Re: Helefrt 2.2 - Initiations et découvertes
Eozen avait compris le jeu, et s'y prêtait avec plaisir. Il était plutôt bon nageur lui-même, et la suivait tranquillement, tendait le bras pour la caresser doucement plutôt que l'attraper vraiment, prenait grand soin de ne pas risquer de déchirer les vêtements imbibés d'eau, en apnée, remontant parfois. Peu à peu, il cherchait à la repousser vers le bord, même si c'était difficile avec une femme si habile, pour réussir à la serrer contre lui, face à face, l'embrasser... Comme il aspirait, certes, même s'il voulait aller plus loin... Plus tard. Pour l'heure, un baiser enfiévré lui suffirait, pour clore ce jeu avec lui et la laisser passer à l'élu de son cœur.
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Elle était bien ma surprise hein !!
Il avait vu juste.
Son cavalier était.... bon. Tres bon même. Il se fait presque prendre à son propre jeu. Et si ce qui avait attiré l'attention de tous avec le couple precedent était une sensualité veloutée, chaude et aguicheuse, celle là était brutale, sauvage, sans tendresse, presque passionnée et tout aussi erotique. Les derniers notes meurent alors que le gwidrite est cambré, maintenu d'une main par Eozen qui le domine dans cette position et les yeux dans les yeux. On peut juste se poser la question s'ils vont se mordre ou echanger un baiser passionel. Subversif? A peeeeiiine.
Non.
Elwin esquisse un demi sourire.
Pas mal beau brun. J'avoue.
Avant de se degager brusquement et de saluer avec emphase les spectateurs et en evitant soigneusement de regarder du coté des Vieux... Son petit doigt était encore assez conscient pour lui souffler qu'il ne voulait pas savoir s'il y avait eut des reactions. Il serait bien trop vite temps de s'en preoccuper. Certains matins ne sont attendus avec aucune impatience.
Il ne peut s'empecher de pouffer de rire, celui d'Ambre est contagieux. C'est bien la preuve que son initiative est une reussite totale. Finie la fascination exclusive : retour à égalité.
Oh Princesse tu est le soleil de nos nuits voyons, et puisque nous te decevons tant, il faut immediatement reparer la faute. Nous sommes à ton service...
La treve avec Eozen semble signée et pour le gwidrite, dans l'etat actuel de son esprit, ça semble tout à fait normal, voir meme logique.
Oui, oui j'arrive! J'vais certainement pas vous laisser vous amuser sans moi!
Le passage à la chambre ne separe pas les deux hommes puisque, rappelons le, ils partagent la même... Ce qui pourrait potentiellement etre assez génant et preter aux rumeurs apres leur prestation de la soirée et leur disparition commune mais il est douteux que Eozen et Elwin soient en état d'y penser pour le moment.
Le rouquin n'eut pas vraiment d'affaire à prendre, sinon une couverture, puisque d'affaires il n'avait pas.
Retrouvant Ambre et puisqu'il ne portait rien il s'empara du premier des paquetages, tentant d'imaginer ce qu'elle avait bien pu prendre... saurait elle encore les surprendre?
N'empeche que le voila prit à son propre jeu se marre il. Ambre étant ravie de les faire tourner en bourrique puisqu'ils formaient un couple si assortis. C'était de sa faute en plus... Baaahhh.
Oui Mamaaaaaannn. Promis on ne se perd pas. On a le droit de te donner la main aussi?
Le silence bientot retombe, entrecoupé seulement des rires de la jeune femme. Le gwidrite s'est perdu dans la contemplation du ciel étoilé. De sa magnificence. Une telle beauté, et si innacessible. Froide et lointaine, et si pure...L'une des plus fabuleuses créations de l'Unique.. ehu... non... pas penser! Pas penser! Pas penser alors que la ballade et l'air frais de la nuit le desaoulent un petit peu.
Bon, iobjectivement, il est en train de marcher là dans la foret avec une fille qui lui plait beaucoup et un homme qui lui plait moins -quoique... non! cette pensée n'a jamais existé! Ne dois jamais avoir existé! C'est l'alcool! - à destination d'un lac romantique... heum...
Mieux vaut cesser de penser tout de suite. Il comprendra mieux demain.
La clairiere est veritablement enchanteresse. Un petit paradis perdu. Eden sauvage et pur.
Dont la nymphe qui goute à l'eau n'est pas le moindre des avantages. Et qui se lance à l'eau avant qu'il n'ai pu decider de l'y pousser.
Le gwidrite à retiré sa ceinture, sa tunique et ses bottes pour tremper les pieds dans l'eau, en découvrant avec surprise sa tiedeur. C'est une grande premiere pour lui. Une bouteille à la main, s'amusant à projeter parfois des eclaboussures en direction des deux baigneurs sans cesser de les taquiner d'un "raté, elle est trop rapide" ou d'un "plus à droite" rieur. Le cidre est pour lui une necessité là. Juste assez alcoolisé pour qu'il tienne à distance le "je suis en train de faire quoi au juste là?" qui aurait pu pointer le bout de son nez.
L'image d'Ambre venant le chercher alors qu'il les regarde pour le moment seulement a moitié dans l'eau au bord n'est pas pour lui deplaire. Oh que non. Et puis il ne peut retenir son amusement -voir presque de l'attendrissement- en repensant un instant à la déclaration d'Eozen la veille... Ambre serait elle reelement sa premiere?
Lui même peut se targuer d'un peu plus d'experience que ça tout de même...
Et Elwin à son tour se laisser glisser à l'eau, happé par la sirene. Levres goutant à d'autres levres. Une langue quemandant l'acces à sa jumelle et un autre ballet, entre deux êtres, entre deux eaux.
Rompre le contact pour reprendre une respiration, et sa liberté. Qui poursuit qui dans ce jeu aquatique.
L'eau tiede parait la complice ideale, douce et carressante sur la peau, retombant en milles gouttes lors qu'assoifés d'air les humains emergent de ses ondes. Pour mieux y replonger.
Tracer du doigt l'arrondis de sa joue, la finesse de son visage et suivre ensuite cette même ligne d'une serie de baisers, legers, simples carresses des levres.
Et si Elwin savoure la douceur du cou d'Ambre, se glissant dans son dos, il ne s'offusque absolument pas si Eozen goute en meme temps les delices de sa bouche.
Une main comme par megarde se pose sur un sein au travers du tissus maintenant detrempé de la robe, et se retire presque aussi en une carresse, non sans en titiller un mamelon au passage. Pas question qu'Ambre soit la seule à jouer avec eux.
Scene assez irrelle ce soir dans la foret.
Son cavalier était.... bon. Tres bon même. Il se fait presque prendre à son propre jeu. Et si ce qui avait attiré l'attention de tous avec le couple precedent était une sensualité veloutée, chaude et aguicheuse, celle là était brutale, sauvage, sans tendresse, presque passionnée et tout aussi erotique. Les derniers notes meurent alors que le gwidrite est cambré, maintenu d'une main par Eozen qui le domine dans cette position et les yeux dans les yeux. On peut juste se poser la question s'ils vont se mordre ou echanger un baiser passionel. Subversif? A peeeeiiine.
Non.
Elwin esquisse un demi sourire.
Pas mal beau brun. J'avoue.
Avant de se degager brusquement et de saluer avec emphase les spectateurs et en evitant soigneusement de regarder du coté des Vieux... Son petit doigt était encore assez conscient pour lui souffler qu'il ne voulait pas savoir s'il y avait eut des reactions. Il serait bien trop vite temps de s'en preoccuper. Certains matins ne sont attendus avec aucune impatience.
Il ne peut s'empecher de pouffer de rire, celui d'Ambre est contagieux. C'est bien la preuve que son initiative est une reussite totale. Finie la fascination exclusive : retour à égalité.
Oh Princesse tu est le soleil de nos nuits voyons, et puisque nous te decevons tant, il faut immediatement reparer la faute. Nous sommes à ton service...
La treve avec Eozen semble signée et pour le gwidrite, dans l'etat actuel de son esprit, ça semble tout à fait normal, voir meme logique.
Oui, oui j'arrive! J'vais certainement pas vous laisser vous amuser sans moi!
Le passage à la chambre ne separe pas les deux hommes puisque, rappelons le, ils partagent la même... Ce qui pourrait potentiellement etre assez génant et preter aux rumeurs apres leur prestation de la soirée et leur disparition commune mais il est douteux que Eozen et Elwin soient en état d'y penser pour le moment.
Le rouquin n'eut pas vraiment d'affaire à prendre, sinon une couverture, puisque d'affaires il n'avait pas.
Retrouvant Ambre et puisqu'il ne portait rien il s'empara du premier des paquetages, tentant d'imaginer ce qu'elle avait bien pu prendre... saurait elle encore les surprendre?
N'empeche que le voila prit à son propre jeu se marre il. Ambre étant ravie de les faire tourner en bourrique puisqu'ils formaient un couple si assortis. C'était de sa faute en plus... Baaahhh.
Oui Mamaaaaaannn. Promis on ne se perd pas. On a le droit de te donner la main aussi?
Le silence bientot retombe, entrecoupé seulement des rires de la jeune femme. Le gwidrite s'est perdu dans la contemplation du ciel étoilé. De sa magnificence. Une telle beauté, et si innacessible. Froide et lointaine, et si pure...L'une des plus fabuleuses créations de l'Unique.. ehu... non... pas penser! Pas penser! Pas penser alors que la ballade et l'air frais de la nuit le desaoulent un petit peu.
Bon, iobjectivement, il est en train de marcher là dans la foret avec une fille qui lui plait beaucoup et un homme qui lui plait moins -quoique... non! cette pensée n'a jamais existé! Ne dois jamais avoir existé! C'est l'alcool! - à destination d'un lac romantique... heum...
Mieux vaut cesser de penser tout de suite. Il comprendra mieux demain.
La clairiere est veritablement enchanteresse. Un petit paradis perdu. Eden sauvage et pur.
Dont la nymphe qui goute à l'eau n'est pas le moindre des avantages. Et qui se lance à l'eau avant qu'il n'ai pu decider de l'y pousser.
Le gwidrite à retiré sa ceinture, sa tunique et ses bottes pour tremper les pieds dans l'eau, en découvrant avec surprise sa tiedeur. C'est une grande premiere pour lui. Une bouteille à la main, s'amusant à projeter parfois des eclaboussures en direction des deux baigneurs sans cesser de les taquiner d'un "raté, elle est trop rapide" ou d'un "plus à droite" rieur. Le cidre est pour lui une necessité là. Juste assez alcoolisé pour qu'il tienne à distance le "je suis en train de faire quoi au juste là?" qui aurait pu pointer le bout de son nez.
L'image d'Ambre venant le chercher alors qu'il les regarde pour le moment seulement a moitié dans l'eau au bord n'est pas pour lui deplaire. Oh que non. Et puis il ne peut retenir son amusement -voir presque de l'attendrissement- en repensant un instant à la déclaration d'Eozen la veille... Ambre serait elle reelement sa premiere?
Lui même peut se targuer d'un peu plus d'experience que ça tout de même...
Et Elwin à son tour se laisser glisser à l'eau, happé par la sirene. Levres goutant à d'autres levres. Une langue quemandant l'acces à sa jumelle et un autre ballet, entre deux êtres, entre deux eaux.
Rompre le contact pour reprendre une respiration, et sa liberté. Qui poursuit qui dans ce jeu aquatique.
L'eau tiede parait la complice ideale, douce et carressante sur la peau, retombant en milles gouttes lors qu'assoifés d'air les humains emergent de ses ondes. Pour mieux y replonger.
Tracer du doigt l'arrondis de sa joue, la finesse de son visage et suivre ensuite cette même ligne d'une serie de baisers, legers, simples carresses des levres.
Et si Elwin savoure la douceur du cou d'Ambre, se glissant dans son dos, il ne s'offusque absolument pas si Eozen goute en meme temps les delices de sa bouche.
Une main comme par megarde se pose sur un sein au travers du tissus maintenant detrempé de la robe, et se retire presque aussi en une carresse, non sans en titiller un mamelon au passage. Pas question qu'Ambre soit la seule à jouer avec eux.
Scene assez irrelle ce soir dans la foret.
Ne te fie pas à tes yeux mon vieux. Tout ce qu'ils te montrent ce sont des limites: les tiennes.
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Irréalités
Ambre était un peu essoufflée, après tout elle jouait et nageait avec deux hommes qui lui accordaient toute leur attention, elle resta un peu plus longtemps à la surface pour respirer, en nageant doucement, enlaçant, se laissant emporter pour se reposer un peu et pour l'ivresse de la surprise de laisser un peu d'initiative à l'un ou l'autre de ses partenaires. Elle prend ce temps pour défaire l'attache de sa jupe en vue de la jeter sur le bord de l'eau...
... a priori, dans la foulée, elle s'emploiera à débarrasser les deux autres joyeux baigneurs de leurs pantalons qui risquent d'être vraiment casse-pied à ôter hors de l'eau... ne manquant pas au passage de leur caresser les jambes et brièvement leur intimité, finissant d'aider à faire glisser une jambe puis l'autre en poussant le tissu de sa jambe nue, s'enlaçant, entortillant, retrouvant la surface avec une tâche pas forcément achevée mais trouvant plutôt amusant d'essayer de réussir à ce jeu d'adresse...
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... a priori, dans la foulée, elle s'emploiera à débarrasser les deux autres joyeux baigneurs de leurs pantalons qui risquent d'être vraiment casse-pied à ôter hors de l'eau... ne manquant pas au passage de leur caresser les jambes et brièvement leur intimité, finissant d'aider à faire glisser une jambe puis l'autre en poussant le tissu de sa jambe nue, s'enlaçant, entortillant, retrouvant la surface avec une tâche pas forcément achevée mais trouvant plutôt amusant d'essayer de réussir à ce jeu d'adresse...
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Meneuse : Ombres d'Esteren | Dragons
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Re: Helefrt 2.2 - Initiations et découvertes
Eozen laisse Ambre et Elwin jouer... Et lui aussi se met à participer à la danse. Sans insister sur Elwin, même si parfois il ose poser une main, presque par mégarde, sur son corps, il s'occupe principalement de la jeune femme, qui peut se targuer d'être au centre d'une danse érotique, cible d'attentions partagées, sans jalousie, juste le plaisir à venir.
Puisqu'il en a l'occasion, il profite des lèvres pleines d'Ambre, vient chercher sa langue de la sienne, frissonnant profondément à cette sensation exquise, la première... Ses mains explorent les cuisses de la rouquine, profitent de l'attache défaite de la jupe pour la faire glisser, l'ôter, la jeter sur le rebord, puis flatter la peau nue, lisse, chaude, un contact grisant, troublant.
Il la laisse ôter son pantalon avec un hoquet interloqué, sous le charme, Ambre a pu remarquer lors de sa caresse qu'il n'est pas indifférent, très loin de là ! Il soupire d'aise en sentant la jambe nue glisser contre la sienne, laisse le pantalon chuter, le rattrape de justesse pour le lancer hors de l'eau, revenir à la charge dans ses caresses. Ambre peut sentir qu'involontairement, il y est presque, entre les jambes de la jeune femme... Ne semblant savoir que faire, à part un autre baiser fougueux, seulement vêtu de sa chemise blanche, trempée, transparente, laissant son tatouage clairement visible, semblant prendre vie sous la lueur des étoiles et le tissu collant...
Puisqu'il en a l'occasion, il profite des lèvres pleines d'Ambre, vient chercher sa langue de la sienne, frissonnant profondément à cette sensation exquise, la première... Ses mains explorent les cuisses de la rouquine, profitent de l'attache défaite de la jupe pour la faire glisser, l'ôter, la jeter sur le rebord, puis flatter la peau nue, lisse, chaude, un contact grisant, troublant.
Il la laisse ôter son pantalon avec un hoquet interloqué, sous le charme, Ambre a pu remarquer lors de sa caresse qu'il n'est pas indifférent, très loin de là ! Il soupire d'aise en sentant la jambe nue glisser contre la sienne, laisse le pantalon chuter, le rattrape de justesse pour le lancer hors de l'eau, revenir à la charge dans ses caresses. Ambre peut sentir qu'involontairement, il y est presque, entre les jambes de la jeune femme... Ne semblant savoir que faire, à part un autre baiser fougueux, seulement vêtu de sa chemise blanche, trempée, transparente, laissant son tatouage clairement visible, semblant prendre vie sous la lueur des étoiles et le tissu collant...
"Trois cents hommes au torques d'or attaquèrent :
La lutte pour le pays était farouche.
Bien qu'ils fussent massacrés, ils tuèrent,
Jusqu'à la fin du monde, ils seront honorés."
-- Aneirin Y Gododdin XC
La lutte pour le pays était farouche.
Bien qu'ils fussent massacrés, ils tuèrent,
Jusqu'à la fin du monde, ils seront honorés."
-- Aneirin Y Gododdin XC