Mmmm, certainement que j'aurai du placer quelques smileys ici et là
Je ne prends pas cette façon de jouer de manière étouffante, et ne me censure pas.
Il me semble que "adapter" les paroles du musicien, de manière à ce que Aleth puisse ne pas être contrainte à faire preuve d'autorité fait justement partie du jeu !
Pour parler de manière franche et directe, j'ai Léorah. Ici, avec Gyles, je dois savoir le montrer enjôleur, souriant, serviable. Et je m'efforce de le faire parler de manière a "gérer les susceptibilités" de chacun, et surtout des nobles.
Quand je parle de relation gagnant gagnant, c'est réellement le cas de mon point de vue. Lorsque Gyles explique à Aleth qu'il serait ravi de l'intégrer aux cours c'est pour plusieurs raisons : il montre qu'il a toujours cela en tête, il s'y projette, il offre un argument à la Maman, il prend en considération la demande de Aleth sans l'envoyer paître d'un "on verra ça plus tard' car il sait qu'elle a déjà eu du mal à obtenir quelque chose de similaire de Beric, etc etc...
Je l'ai donc fait répondre ainsi sciemment. J'ai choisi de ne pas lui dire "non", ou "plus tard", pour justement lui montrer qu'il considère la chose comme faisable. Et aussi il lui répond comme à une adulte, pas comme à une enfant qu'on envoie balader d'un "ouais, demain" en souhaitant qu'elle oublie dans la nuit.
En résume : ne change rien. Je ne suis pas étouffée. Si je l'étais, je l'aurais signalé.
