[PEC] - BOTTTOS Chap IV - Sur les traces de la vérité

[Crépuscule]

"Le capitaine cherche la même chose que moi, pour des raisons que je ne connais pas, mais je ne crois pas me tromper en disant que le surnaturel ne lui est pas inconnu.
Il a un certain nombre de secret, tout comme moi, et nous les avons toujours respecter comme tel mutuellement. C'est quelqu'un de droit qui sait rester calme quelque soit la situation et agir avec efficacité. Voilà ce que je peux te dire à son sujet.

Quant à Sinclair, je la connais moins bien, c'est Elis qui la intégrer il y a plusieurs années à son équipage, elle lui est fidèle. C'est une aventurière, et une mercenaire aussi à ses heures perdues.

C'est à toi de prendre cette décision, elle te concerne en premier lieu, c'est ton don qui va être révéler, c'est à toi de décider si tu être a en assumer les conséquences."

[Iris]

Lucrèce, dans le brouillard :

" Ce vaisseau cumule bien des personnes mystérieuses. "

" Je n'ai pas peur que mes capacités soient connues. Avec ton peuple aux trousses, je pense que les gens ici à bord sont les cadets de mes soucis et j'aimerais autant ne pas me faire d'ennemis d'alliés potentiels. Je ne vois pas comment ça pourrait aller plus mal me concernant. Et si je me trompe, tant pis pour moi. "

" En plus, tu devrais quand même faire confiance aux gens qui se mettent sans doute en danger pour toi sans le savoir..."

" Bref, je vais dire au Dr Aronnax que le Capitaine peut entrer voir Luther et nous clarifierons la situation me concernant."

...

[Crépuscule]

Le docteur sortit pour chercher le capitaine. Lucrèce put profiter de ce temps pour remettre un peu d'eau aux plantes qui commençaient à manquer de vivacité.

On finit par frapper à la porte et quand Lucrèce ouvrit, le capitaine découvrit Luther et ses soigneuses végétales.
Ses pupilles s'écarquillèrent un instant mais ce fut la seule réaction notable. Peut être que le docteur avait préparé le terrain.
Ce dernier n'était pas avec lui, Elis expliqua que Jebediah, le mécanicien, avait apparemment fait un malaise dans la soute et qu'il était dans sa cabine pour l'osculter.

"C'est assez inattendu, et miraculeux on peut dire vu la situation je rajouterai..."

Elis posa quelque question sur la manière dont cela fonctionnait, mais après les quelques explications de Lucrèce, il s'interressa principalement à l'état de Luther, comme-ci tout le reste n'était qu'un aspect 'matériel'.

Si Lucrèce lui demandait s'il savait des choses sur ce genre de 'don', ou pourquoi il ne semblait pas étonné, il lui répondra qu'il a beaucoup voyager, dans des endroits très reculés, parfois même pas cartographié (sur les cartes officielles), il a rencontré de nombreux peuples, de nombreuses croyances, et assisté à différents phénomènes 'étranges'. Cela est appelé différemment d'une culture à une autre, magie, dons surnaturelles, phénomènes encore inexpliqués .. quelque soit le terme, il sait que cela existe, le plus important pour lui n'est pas de savoir comment cela fonctionne, mais ce que chacun en fait. Et dans le cas actuel, il constate que c'est un don plutôt utile.

Luther lui explique qu'il a des ennemis, ce que le capitaine avait déjà bien compris, qu'ils veulent Lucrèce pour son don. Il lui révèle aussi ce qui s'est produit à son manoir, le vol de l'épée de Nuada. Elis est extrêmement attentif et semble grandement intéressé par les dernières découvertes de Luther, demandant quelques précisions de temps à autres. Luther lui explique un peu ce qu'il envisage après avoir laissé Lucrèce évoquer ou non le sujet de ses origines atlantes (Si elle le fait, il complétera au besoin avec ses infos, cependant, il ne parle à aucun moment de ses origines à lui et de celle de ses poursuivants. Le capitaine Arwall ne pose d'ailleurs pas de question dessus.). Il lui parle du besoin de disparaitre une fois à destination, de trouver les atlantes pour mettre Lucrèce à l'abri.

Le capitaine promet de faire tout son possible pour les aider à échapper aux ennemis et à trouver les atlantes. Il demande en revanche de ne pas en parler, il fera le nécessaire et parlera de ce qu'il faut à qui il faudra. Il avoue avoir quelques soupçons d'être espionné, lui, Luther ou quelqu'un d'autre, par quelqu'un à bord, il ne sait pas qui exactement, et il demande donc à Lucrèce d'être vigilante.

Il finit par demander la permission à Luther d'emprunter Mlle Valentin pour le déjeuner, et dit qu'il demandera au docteur d'apporter un plateau bien garni pour Luther.

*******

De son côté Grayson put constater que le bracelet amplifiait ses capacités et qu'il semblait 'répondre' à ses réflexes, comme s'il était lié d'un manière indéfini. D'ailleurs, Amanda et Grayson constate que le bracelet est verrouillé, impossible à enlever, comme aimanté à eux. Amanda semble un peu vexée de ne pas réussir à faire une armure ou quelque chose comme Grayson, et finit par se mettre à remettre un peu d'ordre dans la chambre, essayer d'effacer au maximum les traces de leurs ébats électriques.

Grayson réussit de son côté à enlever l'armure, comprenant 'par sensation' un peu le fonctionnement. Pour lui, ça ressemble un peu à un on/off, un interrupteur mental envoyant le jus jusqu'au bracelet qui s'active ou se désactive.

Il se rend compte aussi qu'il a emmagasiné pas mal d'énergie après les décharges qu'il avait reçu, et que cette dernière ne demande qu'à ressortir à la moindre occasion, notamment quand, en poussant du pied une statuette décorative en métal qui était tombé par terre, cette dernière fut propulsée à ce contact contre une des parois où elle s'encastra. Amanda essaya de l'aider à trouver un moyen de se 'vider' de se trop plein (bande de cochon, j'ai lu dans vos pensées!). Elle finit par découvrir qu'elle n'était pas uniquement capable de générer de l'électricité mais aussi d'en absorber depuis d'autres sources dans ses boules d'électricité.

Amanda pensait possible que Grayson puisse convertir son énergie en électricité vu les propriétés dont lui avait parlé Luther à son sujet. Il fallut le temps mais Grayson finit par y parvenir sous une forme assez basique, assez proche des petites chataignes qu'on se prend parfois au contact de quelqu'un ou en touchant un objet. Une fois tout ceci découvert, ce fut très rapide, au début le transfert avait un faible débit puis ils réussirent à l'augmenter et en quelques dizaines de secondes, ce fut finit, Grayson se sentit enfin plus 'léger'.

Leur estomac commençait à crier famine. Quand Amanda ouvrit la porte pour sortir, proposant à Grayson l'aller manger, ils découvrirent Sofia, l'intendante, dans le couloir devant la porte, qui sursauta.

En anglais de sa voix douce, avec un petit accent espagnol :
"Bonjour, Miss Sean ... ** petit sourire vite masqué en voyant Grayson ** ... et bonjour Mister Owen. Justement j'allais vous chercher aussi. Le repas est servi si vous voulez bien vous rendre à la salle à manger."
** Puis découvrant des traces carbonisées sur une paroi derrière Grayson, elle change de ton et d'expression, montant dans le rouge :
Sofia : "Mais qu'est ce que c'est que ça, madre de dios!"
Amanda : "Un .. petit accident ... Grayson a essayer de m'aider à réparer cette lampe et ça a fait court jus , mais je payerai les réparations, ne vous en faite pas."
Sofia : "Hayhyahya ... quelle carnage! ... ** son ton redescend ** Bon, je vais voir si j'arrive à récupérer ça ... ** ton légerement taquin ** ... la prochaine fois, allez plutôt dans la soute pour faire votre .. bricolage, il y aura moins de risque d'accident. Allez oust, allez manger, je m'occupe de ça."

Amanda tenta bien de protester mais elle ne put rien face à la détermination de la petite mais tenace Sofia.

(désolé si j'écorche l'espagnol ^^)

*********

La salle à manger est au même niveau que l'infirmerie et la cabine d'Amanda toute proche.

Dans la salle à manger se trouvait autour de la table les mêmes invités que la veille à l'exception du docteur. (à savoir : Elis, Lidenbrock (l'océanographe), Eloïse, Amanda, Grayson et Lucrèce s'ils vont déjeuner comme ça leur a été proposé.).
A table, le capitaine interroge Eloïse sur ses origines. Cette dernière évoque son enfance à Seattle et après quelques questions du capitaine, elle parle aussi de ses origines inuit. Eloïse est en effet métisse, d'une mère inuit qui s'était installé à Seattle pour travailler et y avait rencontré son père irlandais. Ses grand-parents inuits vivait eux bien en tribu dans les terres tout au nord du continent.

Linderbrock, sauf questions, n'est pas particulièrement bavard.
Amanda quand à elle rougit à chaque fois que Sofia apportait les plats, mais sourit aussi à Grayson à ces occasions (s'il est là).

Si vous avez envie de discuter, n'hésitez pas à poser vos questions.
Vous pouvez aussi préciser certaines choses si vous voulez.
Sinon, je veux bien connaitre vos intentions pour la suite.

[Iris]

1. Avec le Capitaine Arwall et Luther dans l'infirmerie aux plantes vertes

Observant l'attitude du capitaine, Lucrèce fut soulagée du choix qu'elle avait fait de risquer de lui faire confiance et était assez intéressée de cette impression d'espionnage qu'il avait eue. En revanche, elle ne s'étala pas sur ses origines. Pourquoi ? En premier lieu parce qu'elle ne savait pas quoi en penser, c'était trop confus pour elle. Ensuite parce que ça ne concernait pas qu'elle et qu'elle ne souhaitait pas mettre en péril des gens qui n'avaient rien demandé. Ils l'avaient rejetée, mais elle ne voyait pas pourquoi elle mettrait son "frère" possiblement en danger par des paroles dont elle ne pouvait pas mesurer la portée.

" Au sujet de cette impression d'espionnage... quelqu'un était venu à la porte de la cabine de Luther quand il était au plus mal, ça m'a réveillée, mais la personne est rapidement partie, je n'ai pas pu voir de qui il s'agissait et c'était au milieu de la nuit."

Concernant l'usage bon ou mauvais de son don, une part d'elle songeait que Greenpeace serait sûrement ravi d'avoir parmi ses rangs une activiste potentiellement aussi utile pour lutter contre la déforestation des forêts tropicales...

" Au sujet du malaise de Jebediah le mécanicien... il courait après un rat, enfin, il pense avoir vu un rat, mais si ce qui a fait le bruit qu'Eloïse et moi avons entendu était parti dans la soute, ça pourrait être lié ? ..."


2. Repas et au-delà

Lucrèce se rendit comme prévu à la salle à manger, écoutant et observant, et faisant un peu la conversation :

A Eloïse : " Des origines Inuit ? Vous avez visité le pays d'origine de votre mère ? Vos études en archéologie vous ont-elles poussée à fouiller dans ces régions ? "

A Linderbrook : "En quoi consiste votre travail d'océanographe ? Je ne connais pas du tout.. ?"


... Quant à la suite, Lucrèce n'a pas vraiment prévu ce qu'elle peut faire sur un bateau, elle n'a pas vraiment eu le temps de s'y préparer... Il en résulte qu'elle a tendance à errer, discuter poliment (en quoi consiste telle recherche, sur quoi ils ont travaillé précédemment...), feuilleter des livres, voir en cuisine si elle peut se rendre utile, voir si Luther est en bonne forme... bref, elle traîne et cherche à s'occuper, plutôt ouverte aux éventuelles propositions d'activité (jeux de cartes, même d'échec, sport...).

[Crépuscule]

Lucrèce/Elis, avant le repas

Le capitaine fut très interressée par les mouvements furtifs que Lucrèce avait repérée. Il lui précisa qu'il allait faire surveiller les coursives.

Pour le malaise de Jeb', il va attendre l'analyse du docteur, mais il n'aime pas cette histoire de rat, même si ce rat n'a rien à voir avec le malaise, il n'a jamais eu de rat à bord et il est indamissible qu'il y en ait. Il y a de nombreux système anti intrusion de nuisible à bord et cela prouve bien une chose, c'est que les rats sont des animaux extrêmement futé capable d'improviser et d'apprendre. Il va falloir vérifier les systèmes et débusquer la bête.

Pendant le repas

Eloïse confirme qu'elle a déjà été quelques fois dans sa tribu d'origine, là où vivaient ses grands parents, quand elle était jeune, mais n'y ait pas retournée depuis leur décès, au début de son adolescence. Après il y a eu les études à Seattle, les voyages pour ses thèses, puis son travail d'archéologue. En revanche, elle n'a jamais fait de fouille dans le Grand Nord, elle est surtout spécialisée sur l'Egypte, la Crète et les Cyclades, c'est dans ces lieux qu'elle a eu à se rendre.

L'histoire inuit est beaucoup moins liée à des sites archéologiques explique-t-elle, il n'y a pas de ruines, de temple, tout y est souvent temporaire. Il y a peu d'objets antiques. Elle posséde néanmoins un collier qu'elle a hérité de sa grand-mère, qu'elle porte sur elle, qui est une antiquité, datant de la fin du paléolithique. Elle vous le montre, c'est un objet en ivoire de narval et bois de caribou. Sa grand-mère était une angakuq, une guérisseuse, chamane de la tribu. Petite ça avait beaucoup stimulé son imagination, elle aimait les histoires qu'elle lui racontait, des choses sur les esprits, le rêve, que tout est relié.

Collier d'Eloïse (ou presque, il est plus rustique mais c'est ce style)


Linderbrock explique en anglais, de son fort accent allemand, (traduit par Eloïse) qu'il est spécialisé dans le domaine géologique. Il étudie la composition des fonds marin, les failles, les mouvements tectoniques, l'activité volcanique sous-marine ...

**mode feignasse:on** Et si tu veux en savoir plus, wiki est ton ami **mode feignasse:off**

Après le repas (Et d'éventuels autres échanges), Le capitaine Arwall demande à Eloïse et à Lucrèce si elles veulent bien l'accompagner pour marcher un peu avec lui sur le pont à l'extérieur.

[Iris]

Ouah, un collier en bon état en transmission directe depuis le Paléolithique ?... En Europe, ça revient à -15 000 / -50 000, à la louche... par contre, "paléolithique" signalant une économie de chasseur-cueilleur, et vu que les Inuits ont fait dans la chasse-cueillette jusqu'au XXe siècle... logiquement le collier peut dater d'un petit siècle

...

Cela dit, Lucrèce n'y connaît rien, elle acquiesce juste avec un "oh" sans avoir la moindre idée de ce que ça peut vouloir, mis à part "très ancien".

Lucrèce écouta tous ces gens instruits avec force attention, sans toujours tout comprendre, en particulier à chaque fois qu'ils utilisaient un mot technique, c'est-à-dire chez certains spécialistes les trois-quart du temps, de quoi dégoûter de vouloir essayer comprendre...

Après un repas à essayer de suivre des explications, Lucrèce n'avait aucune objection à aller s'aérer et accepta donc sans arrière pensée la proposition du Capitaine Arwall de sortir avec lui et Eloïse sur le pont extérieur.

Dehors elle prit le temps de prendre une grande bouffée d'air froid (hiver en pleine mer...), regarda un peu le temps qu'il faisait, le ciel, la mer... Rien à dire... Un temps de silence... Elle songea que le seul point commun d'Eloïse et elle, c'était d'avoir entendu un battement, c'était donc peut-être de ça qu'il s'agissait.

Regard interrogateur vers le Capitaine.

...

[Crépuscule]

Grayson a-t-il des choses à dires, des pensées à emettre dans sa tête, des échanges avec d'autres personnes ?
J'aimerais, même s'il est pas bavard durant le repas, ses intentions pour l'après midi stp.
Merci

[Kenny]

Pendant le repas, si la conversation tourne autour d'Eloîse et des spécificités de chacun, cela devait être d'un ennui mortel, en tout cas pour Grayson, qui aimait vivre à 200%, quitte à ne faire que survoler sans approfondir...

Mais malgré son besoin de vivre avec rapidité, il faut avouer qu'il se sentait dépassé par la situation, il avait toujours eu l'habitude de contrôler sa vie, et là c'étaient les évènements qui le faisaient réagir.

Une fois le repas terminé :
"Veuillez m'excuser mais je suis fatigué, je vais me retirer dans ma cabine."

-----------------------------------------------------------------------------------------
Si rien ne venait le perturber, il comptait bien se faire une idée plus précise des arts aztèques, pour être utile.
Il avait emporter tout un tas d'ouvrages pour apprendre ce peuple. D'ailleurs peut être trouverait-il des similitudes avec les arts asiatiques, maintenant qu'il savait qu'il recherchait l'Atlantide ?

[Crépuscule]

Dans ta chambre ou dans celle d'Amanda ?

Que comptes-tu faire dans ta cabine durant l'après midi ?

Sur le pont, le capitaine amena les demoiselles vers la proue du yacht. Le lieu rappelle peut être aux filles une scène mythique du cinéma hollywoodien avec en fond la voix d'une diva canadienne, mais quand Arwal se retourne vers elle, son visage n'a rien de romantique et les tirent de leurs éventuelles rêveries. Ses traits sont raidis, son regard encadré par des sourcils sombres plissés et quelques rides profondes est intense. Il a un air grave, pas agressif mais tout de même intimidant.

La plainte du vent qui souffle et fais voler les cheveux des trois 'promeneurs' et le bruit des flots fendus par la coque du navire couvrent partiellement la voix du capitaine, toutefois discernable pour ses interlocutrices si elles restent proche de lui.

"Ici nous serons tranquille pour parler un peu, à l'abri des oreilles indiscrètes.

Il semble que vous êtes plus que de simples invités. Qu'espérer vous découvrir au bout de ce voyage ?"

Eloïse sembla assez interloquée et lance un regard plein d'incompréhension à Lucrèce.

[Iris]

Lucrèce eut une seconde de moue, le temps de réfléchir à ce qu'elle devait dire :

" Euh... capitaine... vous avez déjà discuté avec Luther tout à l'heure, vous savez déjà tout pour ce qui me concerne, ou en tous cas à peu près autant que j'en sais moi-même, non ? "

Même si ce n'était pas grand-chose, effectivement... Luther avait déjà raconté qu'il cherchait les Atlantes et avait l'intention de mettre à l'abri Lucrèce qui avait des problèmes du fait de son don en rapport avec les plantes vertes.

" Il y a quelques jours encore j'ignorais le but de ce voyage, il m'avait seulement été proposé de passer le Nouvel An dans les îles... ça semblait encore lié avec un ... incident... enfin... tout s'est tellement enchaîné, je n'ai pas vraiment eu le temps de... J'ai surtout eu l'impression de fuir, d'esquiver, de courir en permanence... Dire qu'il n'y a encore que deux semaines je menais une vie tout à fait banale à travailler comme vendeuse dans une parfumerie ! "

" Donc pour vous répondre, moi, je ne cherche pas grand-chose, je suis surtout un fétu de paille emporté dans un torrent."

...