[Warhammer] La mort vous va si bien/Chap 2.0/Les Derniers
Re: [Warhammer] La mort vous va si bien/Chap 2.0/Les Dernier
Ah l'amourrr ... " dit Thorgrim dans un soupir
Pris d'une inspiration soudaine, il se lança dans une chanson en Kazalid. La voix grave et rocailleuse du nain donnait à ses syllabes un ton empreint d'une grande tristesse et d'une nostalgie profonde.
devant les yeux ronds de ses deux interlocuteurs il une un vague sourire avant de reprendre la parole
Je crois qu'en humain reikspile ça donnerait un truc comme ça
"Il comble de bonheurrr
et rrrend intrrrépide
il fait le malheurrr
et peut rrrendrrre stupide
que ne ferait-on pas par amourrr
certain vont même jusqu’à mettrrre fin à leur jourrr"
Puis il replongea son nez dans la bière.
Pris d'une inspiration soudaine, il se lança dans une chanson en Kazalid. La voix grave et rocailleuse du nain donnait à ses syllabes un ton empreint d'une grande tristesse et d'une nostalgie profonde.
devant les yeux ronds de ses deux interlocuteurs il une un vague sourire avant de reprendre la parole
Je crois qu'en humain reikspile ça donnerait un truc comme ça
"Il comble de bonheurrr
et rrrend intrrrépide
il fait le malheurrr
et peut rrrendrrre stupide
que ne ferait-on pas par amourrr
certain vont même jusqu’à mettrrre fin à leur jourrr"
Puis il replongea son nez dans la bière.
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- Mathusalem
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Re: [Warhammer] La mort vous va si bien/Chap 2.0/Les Dernier
Le reste de l'après-midi fut mise à profit.
Thorgrim, Ulfang et Pavlina firent plus ample connaissance autour d'une... d'un certain nombre de bière. Dans le même temps, Silk prit un bain, en compagnie de Faldia.
Calvin Kraemer avait été signalé absent au retour du groupe parti en vain chercher la sorcière, il avait dû profiter de l'agitation pour s'éclipser à son tour. Contre l'avis de Gunter, Nicodemus envoya Gis' le chercher.
********
Robert et Joliesse allèrent parler avec le vieux Jan. Ce dernier était quelque peu sénile, et la vision du médaillon ne lui fit pas grand effet. Mais la patience et la douceur de Joliesse et la persévérance des deux investigateurs l'amena à parler, et il parla longtemps, du temps, de lui, de sa santé bénie par Shallya. Il avait 87 ans et était encore vigoureux. Il était le doyen de la région à ce qu'on lui avait dit un jour. C'était pas comme le baron, lui n'avait que 72 ans mais il voyait bien la Jeanne faire des aller-retour au manoir tous les jours, il était malade depuis des années, et c'était pire chaque année.
Dunkel approchait de la fin. A croire que la famille Dunkel n'était pas dans les bonnes grâces de la déesse de la compassion. Klaus, le baron actuel n'a jamais eu d'enfant, son épouse retire était morte de maladie avant qu'ils en aient eus. Son père avant lui, Rubben Dunkel, était mort d'une longue dégénérescence de son corps, il avait au moins souffert pendant 4 ou 5 ans avant de laisser son seul fils, Klaus, prendre sa suite. C'était il y avait une cinquantaine d'année. Et avant ça... bien sûr il y avait eu l'incendie du château... Lui même n'avait que 15 ans et Rubben n'avait que quelques années de plus que lui, et c'était un sale type déjà à cette époque, pourquoi a-t-il fallu que ce soit le seul survivant. Après l'incendie, il était devenu le baron puis il avait forcé la fille de l'aubergiste à l'épouser et la pauvre était morte en couche en mettant au monde Klaus.
Robert l'amena à parler de Rubben et du château, ils apprirent que c'était Rubben qui avait ordonné à tous d'oublier le château, de ne plus en parler. Pourtant, ce château était une merveille, le joyau des marais qu'on l'appellait. Depuis son enfance, il avait toujours rêvé s'y rendre... Et il y avait été, une fois... Son regard revint sur le médaillon. Il finit par le reprendre en main et bien l'observer.
Les mots de Joliesse et Robert l'encouragèrent à poursuivre, ils sentaient bien qu'il hésitait. Il finit par leur dire qu'il avait déjà vu ce médaillon, c'était ce même jour où il avait pénétré au château Dunkel, le jour de l'incendie. A cette époque, il n'avait ni travail et plus de famille, et sa vie était difficile. Le besoin l'avait poussé à tenter de chaparder quelques argenteries pour les revendre...Ce médaillon, il l'avait pris et mis dans la poche de sa veste. Il était dans une des salles à l'étage quand il a senti la fumée. Le temps qu'il sorte, il y avait déjà des flammes dans l'escalier, et des gens criaient à l'étage inférieur, c'était horrible.
Il allait s'enfuir par la fenêtre quand il avait entendu une petite voix dans une pièce voisine. Il ne pouvait pas descendre aider les autres, mais il y avait quelqu'un qu'il pouvait aider... Mais il n'avait rien à faire ici... Il aurait à en répondre... Il hésita, mais finit par aller voir, c'était un enfant qui n'avait pas plus de 3 ans. Il l'avait alors pris avec lui pour sortir de là, mais au moment de retourner dans couloir, les flammes avaient déjà envahies l'escalier et une partie du couloir. Il avait alors couvert l'enfant avec sa veste et il avait atteint la fenêtre par où il était monté. Après cela, il s'était enfui jusqu'à Flensburg, où il avait laissé l'enfant à l'orphelinat. Il n'avait plus repensé à ce qu'il avait volé ce soir là depuis, et n'avait jamais revu le médaillon. Il pense avoir laissé sa veste et le médaillon dedans à l'enfant.
*******
Gladys put s'entraîner au maniement de la hache en aidant à la taille des pieux de la palissade. Thorgrim qui l'avait rejoint et gardait l'oeil martial en dépit de la boisson (voir grâce à la boisson) lui indiqua les postures à prendre, les gestes...
Ulfang quant à lui se sentit observé, mais il ne trouva pas la source qui lui causait cette sensation. Après avoir fait un tour, il vint aider Gladys aux travaux.
Arriva l'heure, vers la fin de l'après-midi, où les équipes de surveillance tournèrent, Pavlina se retrouva de garde avec Nicodemus à l'entrée sud du village, Silk sur la plateforme de vigie près de la route sud également, Ulfang de vigie dans le vieux moulin au nord, Thorgrim avait rejoint la maison Teekessel pour quelques soins bénéfiques, suite à quoi il rejoignit avec Sepp la maison de Robert, où les attendaient déjà Joliesse et Gladys. Faldia attendait le crépuscule pour se rendre aux écuries et prendre les chevaux le moment venu.
Le plan qui s'était dessiné plus tôt allait bientôt pouvoir se mettre à exécution, il ne restait plus qu'à attendre la nuit, peu avant le prochain changement de quart, afin de ne pas laisser le village sans surveillance trop longtemps mais permettant de partir sans trop de problèmes par l'entrée sud. Seul le cas Nicodemus restait à traiter mais Pavlina assura qu'elle en faisait son affaire.
Cependant, avant que ne vint le crépuscule, Ulfang qui n'était pas en poste depuis plus d'une vingtaine de minutes, vit quelque chose au nord, le sol semblait grouiller, et il finit par comprendre qu'il s'agissait d'une foule de non-mourants qui approchait, au moins une cinquantaine. L'elfe souffla dans le cor qui était confié aux vigies.
Gunter fit venir tous les combattants et invita tout ceux qui se sentaient près à se battre à se joindre à eux. Les archers sur les toits (en plus d'Ulfang dans la tour), les combattants derrières les barricades de l'entrée nord, équipés en plus de leurs épées, haches ou fourches, de longs pics en bois et de pierres.
Thorgrim, Ulfang et Pavlina firent plus ample connaissance autour d'une... d'un certain nombre de bière. Dans le même temps, Silk prit un bain, en compagnie de Faldia.
Calvin Kraemer avait été signalé absent au retour du groupe parti en vain chercher la sorcière, il avait dû profiter de l'agitation pour s'éclipser à son tour. Contre l'avis de Gunter, Nicodemus envoya Gis' le chercher.
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Robert et Joliesse allèrent parler avec le vieux Jan. Ce dernier était quelque peu sénile, et la vision du médaillon ne lui fit pas grand effet. Mais la patience et la douceur de Joliesse et la persévérance des deux investigateurs l'amena à parler, et il parla longtemps, du temps, de lui, de sa santé bénie par Shallya. Il avait 87 ans et était encore vigoureux. Il était le doyen de la région à ce qu'on lui avait dit un jour. C'était pas comme le baron, lui n'avait que 72 ans mais il voyait bien la Jeanne faire des aller-retour au manoir tous les jours, il était malade depuis des années, et c'était pire chaque année.
Dunkel approchait de la fin. A croire que la famille Dunkel n'était pas dans les bonnes grâces de la déesse de la compassion. Klaus, le baron actuel n'a jamais eu d'enfant, son épouse retire était morte de maladie avant qu'ils en aient eus. Son père avant lui, Rubben Dunkel, était mort d'une longue dégénérescence de son corps, il avait au moins souffert pendant 4 ou 5 ans avant de laisser son seul fils, Klaus, prendre sa suite. C'était il y avait une cinquantaine d'année. Et avant ça... bien sûr il y avait eu l'incendie du château... Lui même n'avait que 15 ans et Rubben n'avait que quelques années de plus que lui, et c'était un sale type déjà à cette époque, pourquoi a-t-il fallu que ce soit le seul survivant. Après l'incendie, il était devenu le baron puis il avait forcé la fille de l'aubergiste à l'épouser et la pauvre était morte en couche en mettant au monde Klaus.
Robert l'amena à parler de Rubben et du château, ils apprirent que c'était Rubben qui avait ordonné à tous d'oublier le château, de ne plus en parler. Pourtant, ce château était une merveille, le joyau des marais qu'on l'appellait. Depuis son enfance, il avait toujours rêvé s'y rendre... Et il y avait été, une fois... Son regard revint sur le médaillon. Il finit par le reprendre en main et bien l'observer.
Les mots de Joliesse et Robert l'encouragèrent à poursuivre, ils sentaient bien qu'il hésitait. Il finit par leur dire qu'il avait déjà vu ce médaillon, c'était ce même jour où il avait pénétré au château Dunkel, le jour de l'incendie. A cette époque, il n'avait ni travail et plus de famille, et sa vie était difficile. Le besoin l'avait poussé à tenter de chaparder quelques argenteries pour les revendre...Ce médaillon, il l'avait pris et mis dans la poche de sa veste. Il était dans une des salles à l'étage quand il a senti la fumée. Le temps qu'il sorte, il y avait déjà des flammes dans l'escalier, et des gens criaient à l'étage inférieur, c'était horrible.
Il allait s'enfuir par la fenêtre quand il avait entendu une petite voix dans une pièce voisine. Il ne pouvait pas descendre aider les autres, mais il y avait quelqu'un qu'il pouvait aider... Mais il n'avait rien à faire ici... Il aurait à en répondre... Il hésita, mais finit par aller voir, c'était un enfant qui n'avait pas plus de 3 ans. Il l'avait alors pris avec lui pour sortir de là, mais au moment de retourner dans couloir, les flammes avaient déjà envahies l'escalier et une partie du couloir. Il avait alors couvert l'enfant avec sa veste et il avait atteint la fenêtre par où il était monté. Après cela, il s'était enfui jusqu'à Flensburg, où il avait laissé l'enfant à l'orphelinat. Il n'avait plus repensé à ce qu'il avait volé ce soir là depuis, et n'avait jamais revu le médaillon. Il pense avoir laissé sa veste et le médaillon dedans à l'enfant.
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Gladys put s'entraîner au maniement de la hache en aidant à la taille des pieux de la palissade. Thorgrim qui l'avait rejoint et gardait l'oeil martial en dépit de la boisson (voir grâce à la boisson) lui indiqua les postures à prendre, les gestes...
Ulfang quant à lui se sentit observé, mais il ne trouva pas la source qui lui causait cette sensation. Après avoir fait un tour, il vint aider Gladys aux travaux.
Arriva l'heure, vers la fin de l'après-midi, où les équipes de surveillance tournèrent, Pavlina se retrouva de garde avec Nicodemus à l'entrée sud du village, Silk sur la plateforme de vigie près de la route sud également, Ulfang de vigie dans le vieux moulin au nord, Thorgrim avait rejoint la maison Teekessel pour quelques soins bénéfiques, suite à quoi il rejoignit avec Sepp la maison de Robert, où les attendaient déjà Joliesse et Gladys. Faldia attendait le crépuscule pour se rendre aux écuries et prendre les chevaux le moment venu.
Le plan qui s'était dessiné plus tôt allait bientôt pouvoir se mettre à exécution, il ne restait plus qu'à attendre la nuit, peu avant le prochain changement de quart, afin de ne pas laisser le village sans surveillance trop longtemps mais permettant de partir sans trop de problèmes par l'entrée sud. Seul le cas Nicodemus restait à traiter mais Pavlina assura qu'elle en faisait son affaire.
Cependant, avant que ne vint le crépuscule, Ulfang qui n'était pas en poste depuis plus d'une vingtaine de minutes, vit quelque chose au nord, le sol semblait grouiller, et il finit par comprendre qu'il s'agissait d'une foule de non-mourants qui approchait, au moins une cinquantaine. L'elfe souffla dans le cor qui était confié aux vigies.
Gunter fit venir tous les combattants et invita tout ceux qui se sentaient près à se battre à se joindre à eux. Les archers sur les toits (en plus d'Ulfang dans la tour), les combattants derrières les barricades de l'entrée nord, équipés en plus de leurs épées, haches ou fourches, de longs pics en bois et de pierres.
MJ:Warhammer, MektonZ
PJ:[AdC] Agent Irish
Ainsi que d'innombrables PJ sacrifiés sur l'autel de la Fortune, Impératrice des Mondes ...
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Moi, ma hache...
Gladys ne pouvait pas partir à la chasse au fantôme de druide, alors en attendant, elle faisait son maximum pour apprendre le maniement de la hache. Elle coupa avec zèle, et persévéra avec détermination. Elle était loin, très loin de devenir une guerrière, mais il fallait bien commencer quelque part.
Ensuite, elle prit un peu de temps à souffler, et avait toujours en tête où se trouvait son paquetage, et toutes les cachettes qu'elle avait pu repérer. Tant qu'elle était au village, elle aidait mais elle se tenait prête à disparaître en cas de problème insoluble -- il y en avait régulièrement ces temps-ci --.
Quand l'alerte fut donnée, elle resta prudemment à l'arrière, mais armée de sa hache.
Ensuite, elle prit un peu de temps à souffler, et avait toujours en tête où se trouvait son paquetage, et toutes les cachettes qu'elle avait pu repérer. Tant qu'elle était au village, elle aidait mais elle se tenait prête à disparaître en cas de problème insoluble -- il y en avait régulièrement ces temps-ci --.
Quand l'alerte fut donnée, elle resta prudemment à l'arrière, mais armée de sa hache.
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Re: [Warhammer] La mort vous va si bien/Chap 2.0/Les Dernier
Ulfang entreprit de lancer d'abord une série de flèches pour réduire les rangs des ennemis. Ensuite dès qu'il n'aurait plus de flèches, il irait découper quelques têtes par l'épée. Il était calme pour l'instant, pas de précipitation. Il pouvait prendre le temps de viser. Il entendait le village se préparer à recevoir les non-morts.
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Même pas peurrrrr
Les divers soins apportés à Thorgrim commençaient à faire effet. Certes il n'était pas au top de sa forme, mais il n'allait pas non plus rester les bras croisé pendant que les autres se battaient.
Avant d'aller se positionner en première ligne sur la barricade il lança haut et fort pour qu'on puisse l'entendre
"Garrrdez les yeux ouverts sur d'éventuelles incurrrsions qui viendrrraient d’ailleurrrs. Des non-combattants pourraient s'en occuper, avec un corrre ou une cloche pour donner l'alerrrte. Ça serrrait pénible de se fairrre prendrrre à rrreverrrs alors que toute notre attention est concentrrrée sur la défense de la barricade Nord."
Une fois au premier rang, hache en main il tenta comme il put de rassurer ceux qui étaient autour de lui :
Le nain ne tenta pas de leur vendre de l'espoir en vain il n'était de toute façon vraiment pas doué pour ce genre de chose , il se contenta donc d'énoncer des faits ,de sa voix grondante et gutturale :
"Bon on garrrde son calme. Ils sont pas si nombrrreux que ça , et ils sont lents. En plus ils vont devoirrr franchirrr un fossé plein de pieux puis escalader la barrrricade alors qu'on leur jette des pierrrrres et des flèches, et avant même de pouvoirrr nous faire quoi que ce soit il vont nous prrrésenter leurrr tête ou leurrrs mains en prrremier, histoire de pouvoirrr se hisser sur la barrrrricade. Trrranchez les mains , on verrrrra comment ils ferrront pour rrremonter sans mains ,et frrrapper les à la tête, il semble que ça soit leurrr point faible. Et surrrtout n'ayez pas peurrr de leur fairrre mal, ils sont morrrt !
Et pourrr le peu qui parrrviendrrraient jusqu’à nous , et ben on va pas leur fairrre rrregrrretter le trajet ! " lança-t-il avec un sourire sinistre tout en brandissant sa hache d'un air menaçant.
Avant d'aller se positionner en première ligne sur la barricade il lança haut et fort pour qu'on puisse l'entendre
"Garrrdez les yeux ouverts sur d'éventuelles incurrrsions qui viendrrraient d’ailleurrrs. Des non-combattants pourraient s'en occuper, avec un corrre ou une cloche pour donner l'alerrrte. Ça serrrait pénible de se fairrre prendrrre à rrreverrrs alors que toute notre attention est concentrrrée sur la défense de la barricade Nord."
Une fois au premier rang, hache en main il tenta comme il put de rassurer ceux qui étaient autour de lui :
Le nain ne tenta pas de leur vendre de l'espoir en vain il n'était de toute façon vraiment pas doué pour ce genre de chose , il se contenta donc d'énoncer des faits ,de sa voix grondante et gutturale :
"Bon on garrrde son calme. Ils sont pas si nombrrreux que ça , et ils sont lents. En plus ils vont devoirrr franchirrr un fossé plein de pieux puis escalader la barrrricade alors qu'on leur jette des pierrrrres et des flèches, et avant même de pouvoirrr nous faire quoi que ce soit il vont nous prrrésenter leurrr tête ou leurrrs mains en prrremier, histoire de pouvoirrr se hisser sur la barrrrricade. Trrranchez les mains , on verrrrra comment ils ferrront pour rrremonter sans mains ,et frrrapper les à la tête, il semble que ça soit leurrr point faible. Et surrrtout n'ayez pas peurrr de leur fairrre mal, ils sont morrrt !
Et pourrr le peu qui parrrviendrrraient jusqu’à nous , et ben on va pas leur fairrre rrregrrretter le trajet ! " lança-t-il avec un sourire sinistre tout en brandissant sa hache d'un air menaçant.
Re: [Warhammer] La mort vous va si bien/Chap 2.0/Les Dernier
La "douce" voix experte du nain était rassurante, Ulfang n'aurait su quoi faire si le village avait paniqué. Et il était clair que c'était plus simple de se concentrer sur une chose à la fois. Il prit le temps de regarder au loin si d'autres de ces machins immondes venaient vers le village, ensuite les autres barricades du village, puis il regarda vers la barricade s'ils avaient besoin de lui...
Joueur : [Artland] Eulalie | [Oikouménè] Lame rouge et Démétrios | [Mekton] Théon | [Warhammer] Ulfang et Unien Ulgarys
Re: [Warhammer] La mort vous va si bien/Chap 2.0/Les Dernier
Le vieux Jan s'avéra être un puits de souvenirs et il le remercia pour son aide. Il y avait là énormément de choses à retenir, notamment au sujet du baron.
"Je ne sais pas pour toi Joliesse mais j'ai l'impression qu'on a bien fait de ne pas en parler aux Dunkel. Ils cachent quelque chose, c'est sûr et certain, sans doute le genre de secret que l'on garde même lorsque la fin du monde frappe à votre porte. Tout ça pour garder une parcelle sans doute illusoire de pouvoir."
Cette idée en tête, il garda le silence jusque chez lui, cherchant une explication à un acte aussi insensé que terrible que celui de brûler un château tout entier. Que s'était-il passé là-bas ?
Le soir approchant, les membres de la future expédition hors des murs se rassemblèrent chez Robert. Il ne les accueillit pas personnellement, prenant note dans son office de ce que Jan leur avait dit. Une trace écrite d'un tel événement était nécessaire selon lui mais, pas fou, il dissimula tout cela sous la planche dessous son bureau. Une fois satisfait, il retourna dans le salon où les autres attendaient jusqu'à ce que le cor d'alerte ne rugisse. Il sortit avec les autres et, comprenant de quoi il retournait, commença à faire le tour des maisons pour demander aux occupants qui ne se trouvaient pas près de Gunter de se barricader par précaution. Une fois cela fait, il retourna près de la barricade ciblée par la horde de non-morts et observer l'évolution de la situation, prêt à prendre en charge les blessés si nécessaire même si dans le cas présent il valait mieux éviter certains types de blessures...
"Je ne sais pas pour toi Joliesse mais j'ai l'impression qu'on a bien fait de ne pas en parler aux Dunkel. Ils cachent quelque chose, c'est sûr et certain, sans doute le genre de secret que l'on garde même lorsque la fin du monde frappe à votre porte. Tout ça pour garder une parcelle sans doute illusoire de pouvoir."
Cette idée en tête, il garda le silence jusque chez lui, cherchant une explication à un acte aussi insensé que terrible que celui de brûler un château tout entier. Que s'était-il passé là-bas ?
Le soir approchant, les membres de la future expédition hors des murs se rassemblèrent chez Robert. Il ne les accueillit pas personnellement, prenant note dans son office de ce que Jan leur avait dit. Une trace écrite d'un tel événement était nécessaire selon lui mais, pas fou, il dissimula tout cela sous la planche dessous son bureau. Une fois satisfait, il retourna dans le salon où les autres attendaient jusqu'à ce que le cor d'alerte ne rugisse. Il sortit avec les autres et, comprenant de quoi il retournait, commença à faire le tour des maisons pour demander aux occupants qui ne se trouvaient pas près de Gunter de se barricader par précaution. Une fois cela fait, il retourna près de la barricade ciblée par la horde de non-morts et observer l'évolution de la situation, prêt à prendre en charge les blessés si nécessaire même si dans le cas présent il valait mieux éviter certains types de blessures...
Il est toujours utile d'affronter un ennemi prêt à mourir pour son pays. Vous avez en définitive, lui comme vous, le même objectif en tête.
- Terry Pratchett, Va-t-en-guerre.
- Terry Pratchett, Va-t-en-guerre.
"I'll be back" mais au présent
Mortecouille en gelée ! pesta Silk depuis son promontoire. Alerte au nord et là, une attaque traitresse sur Pavlina, cela beaucoup trop de dérangement pour un halfling qui essayait depuis très, mais alors très longtemps, de trouver une rime avec "alcôve". Après un rapide coup circulaire à la recherche d'autre forfaiture, il descendit prestement pour rejoindre Pavlina qui avait maîtrisé son adversaire.
"Hey, t'as jamais pensé à faire une carrière de marionnettiste ? C'est un peu pareil, tu tiens des personnages par des cordes et tu les fais bouger comme tu veux."
Ne laissant guère de temps à la grande gaillarde de réfléchir à la question, il renchérit : "J'ai entendu l'alerte donnée au nord. Ça doit être l'elfe. Non-non, on y va pas tout de suite, on est près à une attaque de front depuis un moment. Non, par contre, vu ce qui vient de se passer ici, on devrait faire le tour de notre coté voir si y'a d'autres ruffians qui tentent leur chance.
"Euh, il est assommé, mort ou... il peut répondre à quelques questions pour sauver sa caboche ?"
"Hey, t'as jamais pensé à faire une carrière de marionnettiste ? C'est un peu pareil, tu tiens des personnages par des cordes et tu les fais bouger comme tu veux."
Ne laissant guère de temps à la grande gaillarde de réfléchir à la question, il renchérit : "J'ai entendu l'alerte donnée au nord. Ça doit être l'elfe. Non-non, on y va pas tout de suite, on est près à une attaque de front depuis un moment. Non, par contre, vu ce qui vient de se passer ici, on devrait faire le tour de notre coté voir si y'a d'autres ruffians qui tentent leur chance.
"Euh, il est assommé, mort ou... il peut répondre à quelques questions pour sauver sa caboche ?"
"Seuls les singes et les pitres sollicitent l'applaudissement" Tywin Lannister
- Amnèsya
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Re: [Warhammer] La mort vous va si bien/Chap 2.0/Les Dernier
Pav ne put que sourire à Silk...
"Non Silk, désolée... mais il ne rigolera plus à tes blagues... Je te dirais bien que j'en suis contente... mais même pas... Par contre je suis inquiète, je ne sais pas ce que sont devenus ses accolytes... je sais qu'ils avaient quitté village cet aprem surement pour se mettre à l'abri... Et je ne sais pas trop quel sera sa réaction lorsque leur patron ne reviendra pas...
En meme temps je ne sais pas ce qu'il aurait pu t’apprendre...
Je te couvre si besoin "
"Non Silk, désolée... mais il ne rigolera plus à tes blagues... Je te dirais bien que j'en suis contente... mais même pas... Par contre je suis inquiète, je ne sais pas ce que sont devenus ses accolytes... je sais qu'ils avaient quitté village cet aprem surement pour se mettre à l'abri... Et je ne sais pas trop quel sera sa réaction lorsque leur patron ne reviendra pas...
En meme temps je ne sais pas ce qu'il aurait pu t’apprendre...
Je te couvre si besoin "
C’était compliqué alors j’ai tenté d’expliquer ce qu’était le Graal pour que tous comprenne. C’était difficile alors j’ai essayé de rigoler pour que personne ne s’ennuie. J’ai raté mais je veux pas qu’on dise que j’ai rien foutu parce que c’est pas vrai.
Re: [Warhammer] La mort vous va si bien/Chap 2.0/Les Dernier
"Tu veux dire, il est mort-mort ? Hum dans ce cas... Et s'il revenait grossir les rangs des autres mort pas mort ? Hum... Ecoutes, j'ai pas trop envie que tu lui coupes la tête, c'est un peu radical, par contre, faire faire un demi-tour à ses pieds fera que même s'il revient, il pourra pas marcher..."
Silk murmura comme pour lui-même : "Je suis vraiment en train de dire ce que je suis en train de dire ?"
"Allez, dépêches-toi et traines-le à l'écart : on le fouillera plus tard. Après, faisons le tour dès fois que y'en ai d'autres". Dans cet idée, Silk serait à l'affut des visages qu'ils soient amis et étrangers.
Silk murmura comme pour lui-même : "Je suis vraiment en train de dire ce que je suis en train de dire ?"
"Allez, dépêches-toi et traines-le à l'écart : on le fouillera plus tard. Après, faisons le tour dès fois que y'en ai d'autres". Dans cet idée, Silk serait à l'affut des visages qu'ils soient amis et étrangers.
"Seuls les singes et les pitres sollicitent l'applaudissement" Tywin Lannister