[Artland 2.1] - Le Dernier Tableau (sept.)

[Iris]

Coucou ! Contente de vous revoir !

Bon, en pratique, vous pouvez discuter et décider de votre démarche, ou vous lancer, en sonnant à la porte, c'est comme vous le sentez, je vous laisse le choix de la méthode. Dans le premier cas, il m'est plus facile de faire un long post descriptif relatif directement à l'application du plan ; dans le second, on avance pas à pas avec une visibilité moindre.

A vous !

[Kenny]

Coucou ! Contente de vous revoir !

Bon, en pratique, vous pouvez discuter et décider de votre démarche, ou vous lancer, en sonnant à la porte, c'est comme vous le sentez, je vous laisse le choix de la méthode. Dans le premier cas, il m'est plus facile de faire un long post descriptif relatif directement à l'application du plan ; dans le second, on avance pas à pas avec une visibilité moindre.

A vous !

GO !

Séraphine montrant la sonnette de la tête : "Je vous en prie."

[Iris]

Séraphine Uriel entraîna le sémillant Dr Sullen à la résidence des Reynolds où elle sonna promptement, décidée à avancer un peu cette enquête, la pause au café n'ayant que trop duré.

Un vieux majordome aux cheveux blancs vint lui ouvrir après une dizaine de seconde.

" Madame ? Monsieur ? "

Il les salua courtoisement, conformément à tout ce qu'on pouvait attendre de lui. Maintenant il fallait s'annoncer et demander à voir quelqu'un de la maison...

[Asdel]

"Miss Uriel et Mister Sullen" dit Thomas en tendant sa carte après avoir montré la jeune femme."Nous venons un peu à l'improviste déranger vos maîtres pour une raison très "spéciale", Thomas insiste bien sur le spéciale, faisant comprendre au domestique que cela ne peut se faire sur le pas de la porte"...C'est à propos de Monsieur Reynolds. Eric Reynolds" conclut mystérieusement le docteur, avec un sourire de conspirateur sur les lèvres

Si Séraphine veut ajouter quelque chose fais toi plaisir Kenny, j'espère juste que tu as un bon plan

[Iris]

Le majordome était perplexe, mais pas en position de cuisiner les arrivants. Il prit leurs cartes de visite, les fit patienter dans un petit salon bourgeois, mobilier de qualité, classique et sans fantaisie. Un peu pesante l'ambiance... couleurs sombres... imprimés fleuris denses et dégageant une impression de lourdeur...

Après environ deux minutes, le vieil homme revint les chercher pour les conduire au boudoir de Mme Adeline Reynolds, la mère de feu Eric Reynolds. La dame ne se leva pas à leur arrivée, prétextant d'avoir la goutte. "Dodue" pour le moins, en robe noir, avec dans cette pièce surchargée un oiseau exotique en cage et un chien ridicule sur le giron, presque allongée sur un fauteuil avec repose-pied. Il n'y avait que des chaises "normales", contre un mur, mais on ne les avait pas (pas encore ?) invité à s'asseoir.

" Eh bien, Melle Uriel, Dr. Sullen ? On me dit que vous voulez me parler de mon fils. "

...

[Kenny]

Séraphine toujours avec son sourire bienveillant : "Bien le bonjour Madame. Nous sommes désolés de vous déranger. Les Merrington nous ont autorisé à mener une enquête au sujet d'un tableau retrouvé par médium qu'aurait peint feu votre fils. Nous essayons de remonter l'histoire afin de savoir si ce fameux tableau existe ou si c'est une arnaque." Au mot médium Séraphine avait changé un peu de ton lequel montrait une certaine dose d'incrédulité.

Reprenant une voix plus douce : "Voilà le contexte, acceptez-vous de répondre à quelques questions ?"

[Iris]

La dame à l'air mauvais et dédaigneux écouta Séraphine jusqu'au bout avant de finalement répondre finalement désagréablement mais dans le sens des visiteurs qui pouvaient peut-être s'en trouver soulagés :

" Des médiums ? Vous faites bien de chercher à démasquer ces crapules ! Des sangsues, rien d'autres ! "

" Qu'avez-vous besoin de savoir ? "

...

[Asdel]

Thomas posent plusieurs question à la vieille dame acariâtre, essayant de se montrer charmant et policé.

"Quels liens votre fils avait avec Monsieur Valence Bell ? Étaient-ils vraiment proches, ou une rivalité picturale existait ? Pourrait-il vouloir du mal à "l'héritage" de votre fils ?

"Un Orson Wagner, ça vous dirait quelque chose ? Votre fils fréquentait-il des "spirites" ?

"Votre fils aurait composé un dernier tableau. Une marine inconnue d'un génie de la peinture comme votre fils est...serait inestimable Madame. Même si nous savons combien votre enfant semblait aimer son détachement vis-à-vis de vous, ce qui est indigne d'un bon fils de Liberté, vous n'auriez pas connaissances par les liens ténues que vous conserviez de ce tableau ?"

[Kenny]

Séraphine demande aussi : " Si vous pouviez nous prêter un objet auquel tenait votre fils, je pourrais s'en nul doute prouver que ce fameux médium est un imposteur. Il suffit de lui demander de retrouver l'objet parmi d'autres bien choisis. Je suis sure qu'il se trompera. Cela prouvera qu'il n'a pas le moindre lien avec les esprits."

Séraphine pensait que l'objet pourrait lui ouvrir un lien avec Eric Reynolds et par la même occasion voir ce qu'Orson Wagner trafiquait...

[Iris]

Madame Reynolds les écouta en reniflant légèrement... trop de questions... ça ressemblait presque à un interrogatoire... mais ils se montraient polis dans leur ton et leur attitude...


" Je ne connaissais pas les amitiés de mon fils dans ce milieu de dégénérés. Il aurait certainement eu une meilleure vie en devenant notaire, nous lui avons toujours dit ! et voilà qu'il ne se rappelle de nous que malade, à l'article de la mort ! "

" Un dernier tableau ? Oui, il s'est acharné à peindre jusqu'à la fin. Nous l'avons donné à Herbert, un ancien valet qui nous avait servi fidèlement durant des années, il s'était occupé des soins constants réclamés par mon fils durant cette douloureuse période. J'ignore pourquoi, il aimait cette croûte, une toile noirâtre avec un clair de lune pâle. Herbert Guillaud. Il est allé s'installer dans un petit village côtier, au nord de Liberté, je ne sais plus le nom, Addams notre majordome pourra vous le donner."

" Je vous demande pardon ? Vous voudriez prouver que ce médium est un imposteur ? C'est certainement très bien, mais je ne veux pas être mêlée à cela, j'ai horreur du scandale !"


En définitive, une coopération limitée, pas mauvaise, mais tout de même inconfortable et n'apportant, comme souvent, pas toutes les informations espérées...