OdE - 5.1 - Entourés de murs

Rassemblement des parties achevées de la chronique d'Iris dans l'univers des Ombres d'Esteren.

Une relique maléfique est convoitée par le Temple et un groupe de rebelles cherche à la détruire autant qu'à en apprendre plus sur ses pouvoirs dans un climat de guerre civile sur le point d'éclater en Gwidre.
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Iris
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Message : # 9399Message Iris
21 sept. 2012, 08:14

En fin d'après-midi...


1. Dans l'auberge de la carpe dorée... Laeven & Louve

Les deux jeune filles étaient presque aussi invisibles que si elles avaient été absentes. Avec un peu de chance, elles se feraient complètement oublier de la population ?.. Mais la musicienne tarishe était très belle... trop belle... trop magnétique... d'un genre qu'on n'oublie pas... et si le musicien qu'elle avait humilié l'autre jour ...?


2. Les combattants au contact

Garn se remettait de sa journée désastreuse en songeant que son pommeau portait encore des traces de vernis noir un peu effacé en fond du motif de l'hexcelsis. S'il était un bon sigire consciencieux, il ferait revernir le noir, que son appartenance à son ordre soit plus flagrante... Aïe... aïe... aïe... qu'inventer pour ne plus la porter ?..

Homme Et Demi... pouvait rentrer... seul... sans un mot... comme d'habitude... s'installant à table... pour retrouver les autres...

Elwin avait sans doute déjà énervé ou séduit quelques personnes avec ses traits d'humour exagérément provocateurs...


3. Archerie. Grirav
Grirav a écrit :"faudrait pas tester la porter de nos flèches, pour pas en gaspiller, à tirer dans le vide?"
Un silence, les archers se regardaient... Et la fille qui était devenue leur chef pour cause de compétence au tir, mais surtout de proximité avec un des nouveaux chefs de la ville, Aëlina . C'était une brunette, cheveux & yeux bruns, avec une sorte de frange et queue de cheval, cadette de famille qui avait dit aux siens qu'il était hors de question que seul le petit peuple prenne des risques et s'était donc engagée contre la volonté de ses parents et aînés :

" Eh ! C'est une super idée ! Tu as raison Grirav ! Tant qu'on n'est pas assiégé, on peut voir quels arcs et archers portent à quelle distance ! ça nous prendra du temps de tout tester, faudra se coordonner avec les autres équipes pour que les infos circulent..."

Puisque Grirav semblait doté de bonnes idées, on lui proposa de faire des suggestions pour ces tests...

Bref, certains ont de la chance, d'autres moins...

Du coup, pour trouver une cachette... oui, Grirav en trouvait ... mais était-ce vraiment l'idéal, un trou attenant à une cave non loin des portes ? ... Il pourrait le retrouver en prétendant vouloir se soulager dans une ruelle... mais ce n'était pas à côté de l'auberge tout ça...


4. Cave. Dwyfaël et Maëlys

Voilà un premier contact difficile entre Maëlys la sensible et Dwyfaël le pragmatique. Deux visions du monde, deux logiques, et une confrontation inévitable...

Les deux allaient pouvoir ressortir bientôt... fin de journée... rentrer à l'auberge...

Métajeu a écrit :Je vous laisse vous rejoindre en soirée et faire le point. Nous pourrons partir sur Jour 3...
Dernière modification par Iris le 21 sept. 2012, 08:19, modifié 1 fois.
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Avrock
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Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs

Message : # 9407Message Avrock
21 sept. 2012, 12:11

HRP a écrit :Et les emplettes de Garn ? ? ? Combien de daols ? Ou c'était fermé ?
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Iris
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Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs

Message : # 9408Message Iris
21 sept. 2012, 13:18

Action de Garn a écrit :Passant dans le quartier marchand, il s’arrête chez un tailleur, a la recherche d'un manteau/cape de voyage de couleur sombre, ample et laissant une bonne liberté de mouvement. Le noir lui va si bien, et puis l'automne étant la, il faut penser a se retrouver quelques vêtement de saison.
Sortant de son service, Garn arrivait au moment des fermetures de boutique, il attrapa un tailleur moustachu un peu fatigué mais qui accepta de le servir vu qu'il semblait avoir une idée claire de ce qu'il voulait acheter.


Selon ses envies de luxe, selon qu'il prenait de première (x2) ou seconde main, un vêtement assez chaud pour l'hiver (x2), résistant aux éléments (x2), ou la profondeur du noir (x2, car le noir est plus dur à teindre que du brun sombre), il fallait compter un minimum absolu de 10 daols, et puis multiplier...

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keborn
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Vous reprendrez bien un peu de thé, très chère ?

Message : # 9409Message keborn
21 sept. 2012, 13:44

A quel moment tout était-il parti de travers ? A l'instar de quelque magientiste expérimentant l'un de ces nouveaux et complexes prototypes d'artefacts, Dwyfaël avait dû tirer sur le mauvais levier. En tout cas, celui qu'il venait d'abaisser ne donnait pas du tout l'effet escompté.

A quel moment s'était-il trompé concernant la jeune femme ? Son attention compassionnelle affichée à l'égard de "l'enfant-loup", sa généreuse "offrande d'assiette de gruau" à l'affamée Tarish indigente, son teint blafard et son regard hagard à la suite de l'horrible et macabre mise en scène de la place publique en disait long quand à sa faculté empathique d'absorber et de son noyer dans le malheur d'autrui.

Alors qu'il la mettait en garde contre les dangers qui les guettaient, qu'il lui "offrait" (moyennant finances, il est vrai et de manière quelque peu rude...directe et franche, froide et pragmatique, sans s’embarrasser - à tort - des fioritures d'une fausse courtoisie mielleuse, dirons-nous) Dwyfaël aurait dû logiquement voir s'amonceler aux bord des yeux de la sensible jeune artisane quelques épaisses larmes à l'idée insupportable de voir son ami pendu au bout d'une corde et, du coup, voir s'ouvrir la discussion vers l'ébauche d'une "alliance de circonstances".

Au lieu de cela, de larmes s’amoncelant aux bord des yeux, il y en avaient bien, mais de colère contenue ! Sans parler des pointes acerbes et des flèches perçantes qui fusaient de la bouche de la jeune femme !
"- (...)sûrement que cela ne vous intéresse pas. Qui êtes vous pour juger ainsi les gens ? (...) tout ce que je vois ce n'est qu'un infirme qui se met sûrement à scruter chaque personne passant à sa portée car il est incapable de tisser des relations avec celles-ci (...) Tu devrais plutôt essayer de garder ta vie en sûreté car tu ne risques pas de la garder longtemps"

S'il avait été surpris de la façon dont les choses étaient parties à l'inverse de ce sur quoi il avait parié, le bouquiniste ne broncha toutefois en aucune manière ni ne sourcilla même un instant. Naviguer au coeur des nids de vipères et des paniers de crabes de la cour seigneuriale lui avait appris à garder son sang froid et rester stoïque même face aux plus sournoises et veules menaces à peine voilées des langues d'aspic. Ca n'allait pas être cette jeune paysanne sans expérience qui allait le faire sortir de ses gonds, quand même !!

Laissant place quelques secondes au silence, le temps que la bouffée de colère qui avait saisie Maëlys retombe un tout petit peu, le bouquiniste - à contrario de la demande expresse de l'artisane de se taire - alors qu'il se dirigeait en direction des sacs de céréales à réquisitionner sur lesquels il marquait des croix à la craie blanche - reprit calmement, tout sourire, d'un ton très poli, accompagné d'une courtoise courbette en signe de déférence pour la jeune femme:

"- Je vous prie de bien vouloir me pardonner, gente dame. Je crains que vous ayez mal-interprété mes propos. Je me suis certainement mal exprimé et je vous m'en voyez confus.

- En ce qui concerne la pauvre enfant, j'aurai pensé que vous m'auriez instruit quant à son gentilé, très chère. Il m'a semblé que vous n'ayiez vous-même pas jugé utile de la présenter - à contrario du reste de votre compagnie - à cette envoûtante Tarish
- avec une petite pointe de cynisme - ... et je n'ai guère eu l'occasion de converser avec elle, depuis, voyez-vous. Elle semble rester plus souvent enfermée à l'étage... vous m'en voyez chagriné.
Mais vous avez raison, je dois être un affreux personnage.

- J'espère que vous vous souviendrez tout de même que je vous ai offert la possibilité de bénéficier de mes contacts ici pour vous délester quelque temps de ce qui pourrait vous porter préjudice, si jamais des fouilles devaient avoir lieu dans l'auberge. La folie inquisitrice et vengeresse, ou simplement la haine, la folie, la convoitise ou la jalousie - parce que oui, les hommes sont mauvais et les oripeaux de nobles causes et de bons sentiments dont ils se parent ne servent qu'à masquer leurs tendances les plus sordides et les plus fourbes - risquent de finir par venir frapper à notre porte à un moment ou un autre.

Pour preuve, ce que nous sommes en train de faire ici.
Que ferait quelqu'un d'autre, que vous ou moi ? Un bigot zélé, par exemple ? S'il trouvait cachés au milieu de ces sacs de céréales un Tabard frappé de l'Exelcis, des objets de dévotion "païenne" ou des signes kabbalistiques occultes ? Dites-moi ?

...cela fait longtemps que l'altruisme et la grandeur d'âme ont quitté Tri-Kazel. Bienvenu dans ce monde cruel et sans miséricorde, Maëlys. Votre bonne et bienfaisante Damathair aurait dû vous préparer à cela, jeune fille, plutôt que de vous dorloter et de vous bercer d'illusions quant à la bonté inhérente aux hommes."


Il continuait de marquer les sacs. Faisant une pause dans son exposé. Avant de reprendre, tout sourire. Aucune once d'animosité, de mépris ou de colère sur son visage ou dans sa voix.
"- Mon offre tiens toujours. Mon offre. Et non des menaces désobligeantes comme vous semblez le croire et que vous distribuez vous-même sans ménagement.
Faites en part à votre protecteur, Garn. J'imagine qu'il sera bien plus pragmatique et qu'il saura saisir sa chance.

Comme vous l'avez si délicatement relevé, je suis handicapé. La compagnie d'un chasseur, d'un colosse et d'hommes armés augmenteraient sans aucun doute mes chances de survie au-delà de ces murs...
A moins que ce ne soit des assassins ... et qu'ils ne m'étripent allègrement. Puisque c'est ce que laissent planer vos menaces... je me suis effectivement bien trompé sur vous. Vous n'êtes pas cette sensible et altruiste jeune fille que vous laissez paraître...

Sur ce, "
faisant une dernière grande croix sur le dernier des sacs à emporter, " nous devrions retourner là-haut. Notre courtoise petite entrevue touche à sa fin. Je n'ai rien contre vous. Je suis à votre disposition, si vous revenez dans votre bon sens."

S'appuyant sur sa canne à la pointe d'acier aiguisé, le bouquiniste remonte et poursuit l'inventaire. Il restera naturel le reste de la journée et sera aimable envers Maëlys, comme si ce qui s'était joué dans cette cave ne s'était jamais passé.
Dernière modification par keborn le 21 sept. 2012, 14:27, modifié 7 fois.

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Message : # 9412Message keborn
21 sept. 2012, 14:14

Durant les réquisitions dans les maisons bourgeoises, Dwyfaël, sous prétexte de vérifier si les habitants ne cachent rien qui puissent servir à l'effort de guerre, en profite pour repérer quelque objet de valeur, toiles, statuettes, livres, bijoux. Tout ce qui pourrait être transportable facilement. Il repère les accès (sorties, portes, fenêtres, axes donnant sur la rue, ruelle de derrière) dans ces riches demeures. Il note tout ce qui est intéressant dans un coin de sa tête.

Il récupère aussi ce qui pourra très bien faire office de cabas.

Il profitera aussi d'un moment où il consigne par écrit les stocks de sacs réquisitionnés (où, quoi, combien...) pour écrire (discrètement) une petite note, qu'il met sous plis.
Lorsqu'il sera seul, (il vérifiera qu'il n'est pas suivi) en chemin pour rentrer à l'auberge, il donnera le plis à un gamin (accompagné d'une pièce) pour qu'il le porte à Aldéric Màhertyïs (le riche bourgeois versé dans l'occultisme) en main propre.
Succinctement, il y demande ce que ce dernier pourrait lui apprendre concernant les "histoires et légendes" qui se disent à propos des souterrains de la ville.

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Message : # 9418Message Iris
21 sept. 2012, 15:45

Les nouvelles et investigations de l'ami Dwyfaël ne porteraient guère leurs fruits, au plus tôt que demain et plutôt deux ou trois jours après...

Quant au cambriolage, ça serait plus facile plus tard, quand il ne serait pas dans une cave à réceptionner les réquisitions effectuées par d'autres...


...
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Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs

Message : # 9419Message Maëlys
21 sept. 2012, 19:26

Maëlys resta cloîtrée dans sa colère.

Elle écouta le Claudiquant parler mais à chacune de ses phrases, elle ne sentait que des paroles mielleuses pour l'embobiner.

Puis il se tut enfin et se détourna. Si grande joie de ne pas le voir en train de la scruter, d'épier le moindre de ses gestes, même si elle se doutait qu'il le faisait sûrement encore d'une façon ou d'une autre.

Tout le reste de l'après-midi, elle continua son travail avec une absolu indifférence pour l'homme, comme si il n'existait pas, comme si elle ne lui avait jamais parlé. Mais à chaque instant, un petit détail ne pouvait que le ramener à sa mémoire, la façon dont il s'était invité dans la conversation lorsque Laeven était arrivée, ses phrases pleines de menaces puis mielleuses au possible...
Tout ceci faisait qu'elle passa le reste de l'après-midi dans un état agité, pestant silencieusement de rester cloîtrée dans une cave alors que le grand air aurait été largement préférable.

Une fois le soir arrivé, elle quitta rapidement l'entrepôt pour rejoindre l'auberge d'un pas rapide. Dès qu'elle entre, elle cherche Garn du regard puis si elle le trouve lui dit :
"Tu veux bien venir ? Il faudrait qu'on parle un peu tout les deux."

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Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs

Message : # 9424Message Avrock
21 sept. 2012, 21:07

Vu le détour de Garn par la case marchand, je suppose qu'il arrive bien plus tard que Maelys.
Si Iris n'y voit pas d'inconvénient, je propose que cette discussion ai lieu dans la chambre de Garn et Elwin lorsque ce dernier vas y poser ses affaires.

@Iris: concernant le shopping, je vais directement faire ça dans la fiche de perso... Étant donné sa journée, Garn ne va même pas essayer de négocier. Et puis, les (x2) j'ai compris que c'est pour l'option en question, mais s'il en prend deux (chaud & intempéries) ça fait un total de 30 ou 40 daols ? Je me base sur mon expérience de beaucoup de jeu où les multiplicateurs ne se multiplient pas entre eux mais augementent simplement le multiplicateur de plus un.
Lorsque Garn arrive à la Carpe Dorée, Maelys l'accoste et lui demande :
"Tu veux bien venir ? Il faudrait qu'on parle un peu tout les deux."

Le jeune homme est un peu surpris. Que peut il bien se passer pour qu'elle s'adresse a lui si subitement ?
Tout naturellement, il lui propose de le suivre dans sa chambre, le temps pour lui de s'alléger un peu. Il ne serait pas forcément bien vu de manger en armure et armé, et puis ça pèse son poids cet équipement, même si c'est plus léger que la maille qu'il avait avant.

Un fois dans la chambre il commence à enlever son équipement et se faisant il lui demande:
"- Qu'y-a-t-il Maelys ? Des ennuis en vue ? As-tu appris quelque chose d'intéressant à l’intendance ? De mon côté, j'ai plutôt fait chou blanc, et mes camarades semblent nourrir des doutes à mon égard... Une journée de merde, si l'on peut dire ! "
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Message : # 9429Message Iris
21 sept. 2012, 21:35

Métajeu a écrit :1. Je confirme que l'emploi du temps de Garn est chargé, donc que la discussion, c'est dans la chambre de Garn ET Elwin... (tu te rappelles que tu n'aimes pas Elwin ? :lol: ... vous pouvez aussi causer dans la cour intérieure aussi...

2. Monnaie ! Eh, c'est une ville assiégée ! On multiplie tout par deux ! :mrgreen: ... Donc 10, 20, 40, 80, 160... mais rassure-toi ce sont des daols de braise ;) ... Donc au pire, ça coûte 16 daol d'Azur SEULEMENT !!! Faut pas être radin ! Tu vas la porter longtemps ta cape :P
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Re: OdE - 5.1 - Entourés de murs

Message : # 9432Message Maëlys
21 sept. 2012, 22:17

A peine lui avait-elle parlé qu'il lui proposa de monter, dans sa chambre, avec Elwin...
Elle se crispa l'espace d'un instant en pensant à l'homme qui était en haut.

L'artisane secoua la tête par la négative pour lui répondre.

"Non, je vais plutôt t'attendre là, on ira à l'extérieur, je préfère être au calme"
Métajeu a écrit : Je ne dis pas que j'aime pas Elwin, juste qu'il y a un litige entre nous deux qui n'attend (peut-être) que son retour pour être réglé, à moins que y'ai plus que ça, cela dépendra des paroles échangées !

Verrouillé