Ainsi qu'Enguerrand l'avait suggéré, ils se restaureraient selon leur souhaits. Il proposera, si comme il pense ils choisissent de faire un déjeuner frugal d'avancer un peu l'heure du banquet. Ce qu'il ne disait pas, c'est qu'il souhaitait qu'ils ne repartent pas le jour même, sans doute pour continuer chez le prince de Dorne, probablement leur destination finale.
Le plus ils resteraient, le plus de prestige il récupérerait et le plus d'alliances -souvent tacites- il pourrait conclure.
Enguerrand est bien sur tout disposé, cachant par prestance son désir et son enthousiasme, à converser avec chacun d'entre eux sans attendre la liesse du banquet prévu.
Dans l'immédiat, si la délégation n'engage pas des a présent de conversations avec lui, il va bavarder avec la louve et le loup du nord, plaisanter quelque peu pour qu'ils desserent les crocs.
"...Très chers, je vous assure que vous étiez infiniment plus charmant et de bonnes compositions quand vous avez vous même franchi la grande porte deux jours plus tôt."
Le fils Aversin marquait sans doute un point avec ce qui était, au minimum une demi-vérité. Son ironie était accompagné d'un franc sourire désarmant. Puis cherchant Balder des yeux, il dit à ce dernier :"Voilà le véritable prince du château !"
Enguerrand verra aussi quiconque le sollicite...
(ou joueur qui veut faire du rp avec le jeune seigneur)