Inspiration soudaine.Iris a écrit :Pwyll ionnthèn : c'est un plan prémédité ou une inspiration soudaine ?... j'ai raté quelque chose ?... ?... ()
... ou alors, il devra faire un voyage dans le futur parce qu'en voulant retourner dans le passé pour corriger son erreur, il aura bu la potion pourrie d'un enchanteur débile qui aura oublié les oeufs de caille.Plus tard, Aeldred fut acquitté car sa ligne de défense ("désolé, je l'ai pris pour un ours...") se tenait.
Oui mais non, pas envie de finir en tas de purin moi !Arthus a écrit :... ou alors, il devra faire un voyage dans le futur parce qu'en voulant retourner dans le passé pour corriger son erreur, il aura bu la potion pourrie d'un enchanteur débile qui aura oublié les oeufs de caille.
C'est presque ça !Casaïr a écrit :Et voilà, après un mois d'errance, Cendres et Roparz arrivent !
Leurs premières impressions :
"Bin c'toujours aussi pourri là-bas ! Même 'près avoir testé toutes les gnôles artisanales, j'peux vous dire que c'nul. Z'en voulez un godet ?"
KWAAAAAAA ?! Ils vont pas faire leur rapport sur la place publique du village ?! Quelle honte ! on nous dit jamais rien !Iris a écrit :Désolée de vous faire mariner, mais de base, un rapport d'éclaireur, c'est pas public ^^
Les âges de l'apprentissage a écrit :En Tri-Kazel, l’apprentissage et l’existence sociale sont généralement organisés selon un parcours balisé. Ceux qui sortent de ce cadre sont considérés, avec plus ou moins de bienveillance, comme des marginaux. Ils devront créer leur propre chemin, s’inventer et se réinventer, gagner la confiance de la communauté, marquer leur époque du sceau de leur ambition.
• Premier cercle d’âge. Les enfants restent en permanence auprès de leur mère, de la dàmàthair ou de leur grand-mère ou tante. Ceux qui ne sont pas assez vigoureux meurent durant cette période. On estime généralement que passé le premier cercle, les enfants ont de bonnes chances d’atteindre leur service d’ost.
• Second cercle d’âge. C’est le temps du jeu et de l’enfance, celui de la liberté, mais également l’âge durant lequel les adultes cherchent à identifier les aptitudes et facilités des uns et des autres.
• Troisième cercle d’âge. L’apprentissage professionnel débute, se déroulant en parallèle des enseignements des dàmàthairs. Les jeunes apprennent auprès de leurs parents ou d’un mentor.
• Service d’ost. Les motifs d’exemption ne sont pas rares, mais le service d’ost demeure pour la majorité des Tri-kazélien une étape marquante dans l’existence. Dans la plupart des cas, le rythme des formations professionnelles est conçu pour que les jeunes adultes puissent exercer sitôt qu’ils sont libérés de leurs devoirs envers leur seigneur. Entre 16 et 21 ans se terminent les premiers enseignements. Ils sont suivis d’une phase d’approfondissement qui dure tout le long de l’existence. De jeunes gens profitent de la période suivant leur service d’ost pour se découvrir une vocation et démarrer un nouveau métier.
• Foyer. Les jeunes gens se marient généralement après une période de voyages, d’approfondissements et de découvertes, entre 21 et 25 ans en moyenne. Les familles sont considérées comme bienheureuses et fortunées à partir de trois enfants. N’en avoir que un ou deux paraît peu dans une société où la mort est très présente.
• Maturité. Passé 25 ans, on estime que l’individu est désormais engagé dans la voie qu’il suivra jusqu’à sa mort. Les changements de profession sont rares et concernent avant tout les métiers à risque (soldat, mercenaire, varigal). Les reconversions ont tendance à mettre à profit des compétences non guerrières.
